lundi 25 janvier 2016

Quand les pratiques terroristes rencontrent les intérêts de la Communauté internationale en #Haiti.-

Complicité Politiciens-Déstabilisateurs/ Missionnaires-Stabilisateurs #MINUSTAH :



L’annulation du second tour des élections présidentielles suite aux actes de sabotage des centres de vote, d’incendie d’une école nationale à Léogane, est un mauvais précédent qui encouragera les pratiques anti-démocratiques en Haiti. Comme les manifestants, les citoyens qui ont été violentés ont des droits.

Durant les 4 dernières années, le MOPOD et ses alliés n’ont jamais caché leur volonté d’entrainer le pays dans une situation chaotique, ingouvernable. Tristement, la communauté internationale a cautionné ce genre de pratiques antidémocratiques en exigeant au gouvernement de négocier sous pression de violence politique. Les citoyens paisibles à la recherche d’opportunité et de développement économique observent impuissants les actes de violence de militants violents qui lancent leurs mots d’ordre de destruction sur des médias de la capitale, incitant leurs sympathisants à mettre la ville à feu…

C’est du terrorisme le fait d’utiliser la violence contre des civiles innocents, des non-combattants, pour imposer sa vision politique. Il parait que ces actes terroristes en Haiti rencontrent les intérêts politiques de la communauté internationale.

En effet, cette situation insupportable est sur le point de créer son antidote. Car, des jeunes et des militaires démobilisés, préoccupés par l’évolution imprévisible de cette situation anarchique se mobilisent en conséquence. Une fois mobilisés et opérationnels, ils promettent d’utiliser les moyens nécessaires pour rétablir l’ordre et protéger la population. Les diplomates étrangers qui ont cautionné les abus de ces groupes violents durant les 4 dernières années n’auront aucune légitimité morale pour opiner sur la présence des ces groupes d'auto-défense qui risquent d'occuper le terrain. Quand aux organisations de droits humains bidons, leur position politique est connue, elles sont discréditées.

De plus, des jeunes sont sur le point de marcher sous le leadership de Guy Philippe, qui, malgré les accusations de trafic illicite des stupéfiants contre lui, est le seul à prendre position contre les anarchistes et à dire non à leur projet de créer le chaos en Haiti. Au delà de Michel Martelly et de Jovenel Moise, il y a un pays à sauver. Un haïtien progressiste ne saurait cautionner l’anarchie.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
reseaucitadelle@yahoo.fr
@reseaucitadelle

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