lundi 28 mars 2016

#Haïti-Politique : Déclaration du Porte-parole de l’UE sur la formation du nouveau gouvernement haïtien.-


AL/HPN — 28 MARS 2016

La ratification de la déclaration de politique générale du Premier Ministre haïtien Enex Jean Charles est un pas significatif  vers le retour à l'ordre constitutionnel en Haïti. Elle permet l'investiture d’un gouvernement intérimaire dans le cadre de la mise en œuvre de l'Accord tripartite du 5 février. Cet accord doit assurer la continuité de l’Etat ainsi que la poursuite du cycle électoral entamé en 2015.

Toutes les parties prenantes doivent redoubler leurs efforts pour la mise en place rapide du  Conseil électoral provisoire qui devra prendre les mesures nécessaires afin de faire aboutir dans les meilleurs délais le processus électoral  entamé en 2015 et de procéder à la publication des résultats des élections municipales. Ces étapes sont indispensables pour garantir que la voix des Haïtiens et des Haïtiennes soient entendues et qu’ils puissent démocratiquement et librement choisir leurs dirigeants locaux comme nationaux.

Haïti a besoin d'autorités légitimes pour faire face aux importants défis auxquels le pays est confronté. La vie quotidienne de millions de citoyens haïtiens en est directement affectée.

L'Union Européenne reste fermement engagée à accompagner Haïti dans tous ses efforts et à progresser sur la voie du développement. Seules des institutions stables et un système de gouvernance qui jouit de la légitimité démocratique permettront à l'aide de l'Union européenne de produire des effets significatifs et durables.

“Spotlight” sur la pédophilie en #Haiti.-

Pour mieux comprendre le transfert de prêtres pédophiles vers #Haiti, l’invasion des réseaux pédophiles dans ce pays de la Caraïbe, l’arrestation du prêtre canadien John Duarte pour abus sexuels sur des enfants de Labadie (Nord), la condamnation du missionnaire Douglas Perlitz pour abus sexuels sur des enfants de rue de Cap-Haitien et les scandales répétés au sein de l’orphelinat Saint-Joseph de Delmas 91 impliquant le religieux Michael Geilenfeld, nous vous invitons à regarder le film “Spotlight”. L’avocat de Boston Mitchell Garabadian interprété dans le film représente 147 victimes de Cap-Haitien. Avec @CyrusSibert de @ReseauCitadelle, il travaille pour assurer que les droits des victimes d’Haiti soient respectés.

samedi 26 mars 2016

Attorney Garabadian of The film “Spotlight” represents 147 children in ‪#‎Haiti‬ who were sexually abused by Douglas Perlitz.-

“Current abuse. I represent 147 children in #Haiti who were sexually abused by Douglas Perlitz, who is not a priest, at his Society of Jesus, a Jesuits-run school, Order of Malta-run school, Fairfield University-run school.” Attorney Mitchell Garabedian has represented hundreds of survivors of clergy sexual abuse and was featured prominently in the film “Spotlight” – he was played by Stanley Tucci. 

mercredi 23 mars 2016

Se awogans pou Fritz Jean debake nan palman ak sèlman sipò InitiativeCitoyenne/Lavalas/Pitit-Dessalines ki pa gen depite.-

Sa ki rive Fritz Jean kite gen pozisyon anti-Martelly se konsekans politik tout pozisyon radikal andedan yon sistèm demokratik. Koman yon nèg ki pran lari an septanm 2012  pou rele ABA Martelly — mwens pase yon lane aprè TET KALE vrèman gen kontwòl pouvwa-a — kapab tann pou palmantè PHTK ak alye li yo vote li? Si sa te rive konnen sepa politik kap fèt nan palman an. Se yon konpòtman awogan pou Fritz Jean debake nan palman ak sèlman sipò InitiativeCitoyenne/Lavalas/Pitit-Dessalines ki pagen okenn palmantè pou sipòte li.

dimanche 20 mars 2016

LE PROBLÈME PRIVERT— CRISE AU SEIN DE L’ÉTAT D’HAITI : LA PRÉSIDENCE PROVISOIRE EST MAL PARTIE.-

Depuis l’investiture du président provisoire, Jocelerme Privert, le 14 février dernier, une situation de tension règne au sommet de l’Etat.  Le discours de Privert le 7 février, lors président de l’Assemblée nationale, avait une allure on ne peut plus cavalière et annonçait déjà les couleurs de la confrontation. Dans la cour du Palais national, le jour de l’investiture, le Premier Ministre Evans Paul, ainsi que les membres de son gouvernement, ne reçurent pas l’accueil protocolaire dû à leur rang durant la cérémonie. Le président a snobé le pouvoir judiciaire et cherche depuis quelques semaines à déstabiliser l’institution parlementaire dont il est issu.
Ramenons-nous à la date du 2 mars où, sur les ondes de Magic FM,  le président a tenu des propos qui, par la suite, ont été contredits tant par des déclarations que par des actes. Ce 2 mars, monsieur Privert avait admis que le gouvernement sortant, y compris le Premier Ministre, doit rester en place pour la gestion des affaires courantes jusqu’à l’installation d’un nouveau gouvernement. Il a été jusqu’à reconnaitre qu’aux termes de la Constitution haïtienne, il existe bien une différence entre un gouvernement investi et un gouvernement installé. Tandis que l’investiture peut précéder la ratification, par le Parlement, de la politique générale du Premier Ministre ; en aucun cas il ne peut se faire qu’un gouvernement soit installé sans recevoir l’onction parlementaire. Il est bien entendu que l’investiture se fait au Palais National par le Président de la République, alors que l’installation s’effectue au poste de travail de l’intéressé, en l’occurrence la Primature, et inaugure son entrée en fonction. En tout état de cause, seul un gouvernement installé peut entrer en fonction. Donc, le Premier Ministre nommé et investi n’est pas encore en fonction. 
L’investiture de monsieur Fritz Alphonse Jean n’en fait pas encore un Premier Ministre. Il va de soi que monsieur Evans Paul et son gouvernement doivent rester en poste. La question n’est pas du tout anecdotique. Car elle implique que l’administration de l’État doit continuer à fonctionner sans interruption. Tout décaissement de fonds nécessite la signature du titulaire d’un ministère en tant qu’ordonnateur des dépenses. Et celles-ci se font sur une base quotidienne et au gré des besoins. De la sorte, ni le Premier Ministre ni aucun ministre du gouvernement sortant ne peut se soustraire aux responsabilités que lui imposent ses fonctions – même finissantes. 
Lorsque cette semaine, il  a affirmé ne pas reconnaitre Evans Paul comme Premier Ministre, le président Privert n’a pas fait que se contredire, il a aussi malheureusement décrété le blocage de l’administration publique in extenso. Car, cette non-reconnaissance ne concerne pas que monsieur Paul mais tout le gouvernement dont il est le chef ; et ce, au nom du principe de solidarité gouvernementale. 
Même dans l’hypothèse d’une démission formelle de monsieur Paul, l’article 165 de la Constitution de 1987 amendée prévoit que le gouvernement, sous sa houlette, doit continuer à expédier les affaires courantes. Dans l’éventualité d’une « incapacité permanente dûment constatée du Premier Ministre ou de son retrait du poste pour raisons personnelles, le président choisit un Premier ministre intérimaire parmi les membres du cabinet ministériel ». 
A la lumière de ce qui précède, même si le gouvernement devait fonctionner sans monsieur Paul, il ne saurait se retrouver sous le leadership d’un Premier Ministre « simplement investi ». A la démission du Premier Ministre Laurent Lamothe en décembre 2014, la ministre de la Santé publique, madame Florence Duperval Guillaume, a dû le remplacer ad interim, conformément à l’article 165 suscité.
L’on comprend donc mal que le président Privert, faisant face à une situation singulière où les membres du gouvernement, menacés de « lynchage », ont du se replier chez eux pour continuer à liquider les affaires courantes, ait instruit les ministres de regagner leur poste à l’exclusion du Premier d’entre eux. Ceci n’est conforme ni à la lettre ni à l’esprit de la Charte fondamentale de la Nation.
Les écarts du président provisoire ne se limitent pas hélas ! aux contradictions ci-dessus rapportées, mais s’étendent à des prises de décisions du moins irrégulières, sinon illégales. Est-il dans les attributions d’un Secrétaire Général de la Présidence d’ordonner à un ministre de l’Économie et des Finances le décaissement de fonds à transférer sur le compte d’un directeur départemental de ce Ministère, fût-il pour répondre à une situation d’urgence ? Qui en seront les ordonnateurs, pour être utilisés à quelles fins ? Est-il compréhensible que la Présidence ait  directement recours à l’administration de la Banque Centrale, pour bloquer tous les chèques émis par l’administration quelle que soit l’institution concernée et envoie au compte-gouttes la liste des chèques à libérer, ce qui explique que même des décaissements réguliers pour le fonds de pension des employés de l’EDH ont été retournés à l’institution Avec toutes les plaintes exprimées concernant des  chèques retournés, cette mesure concernerait-elle aussi des projets en cours au risque d’aggraver une situation économique déjà très fragile? Concernerait-elle aussi le paiement des factures des compagnies sous contrat avec l’Etat dont un risque non souhaité pour l’économie est la mise en faillite de certaines de ces entreprises? Est-il normal que le président de la République ait décidé d’opérer des changements à la tête de l’institution policière sans consulter au préalable le Conseil Supérieur de la Police Nationale (CSPN) ? 
Dans le premier cas, le ministre des Finances a bien fait de relever l’irrégularité d’une telle requête qui engage ses responsabilités directes dans la manière dont les fonds seront utilisés parce que son directeur n’est qu’un délégataire de son autorité. Dans le second cas, l’initiative pourrait être perçue comme un acte d’instrumentalisation de la Police. Objectivement, cela ne fait que fragiliser cette institution qui au contraire demande à être consolidée et renforcée.
Pour comble d’affaiblissement institutionnel, la Présidence s’est rabaissée à éconduire le Premier Ministre Evans Paul. On en veut pour preuve que ce dernier a été sommé, en pleine réunion de travail avec ses ministres, de restituer toutes affaires cessantes ses véhicules de fonction et son cortège. Dire que la Loi octroie à tout ancien Premier Ministre, et pendant les deux années consécutives à la cessation de fonction, un traitement au diapason de la dignité de la fonction qu’il occupait. En outre, l’incident survenu au portail d’accès de la Résidence Officielle des Premiers Ministres n’honore pas la Présidence. Pour rappel, une unité du Corps d’intervention et de maintien de l’ordre (CIMO) était postée devant la Résidence pour en interdire l’accès au Premier Ministre Paul. Pourquoi dépêcher le CIMO, alors qu’il n’y avait aucune nécessité pour ce faire ? La Résidence officielle des Premiers Ministres sise à Musseau est normalement sécurisée et gardée par des policiers ordinaires en uniforme postés en point fixe dans les parages. Tant pour les véhicules que pour l’accès à la Résidence, la Présidence aurait pu jouer la carte du fair-play en accordant un préavis à monsieur Paul pour tout restituer.
Dans un climat politique de méfiance généralisée et de polarisation politique et idéologique, la présidence provisoire, en optant pour la confrontation, met à mal la recherche du consensus et du vivre-ensemble. Tous les faux pas faits, depuis le 7 février, par le Palais National ne sont pas de nature à rasséréner les citoyens qui veulent le dialogue, les pourparlers à des fins d’apaisement et de stabilisation. 
La Présidence semble délibérément avoir choisi de ne pas moucheter son fleuret dans ce combat pourtant amical. Est-ce une forme larvée de diversion visant à occulter des desseins inavouables et inavoués ? Quelle est l’économie de tout ça ? On ne le voit pas. S’il y a quelque chose pour lequel Evans Paul est connu, c’est sa propension au dialogue, sa modération, son discours apaisant, son entregent facile. On aurait pu capitaliser sur ces « vertus » pour une transition harmonieuse. Privert a choisi de ne pas le faire. On ne sait trop pourquoi. C’aurait été la voie la plus facile, la voie du consensus et de l’entente cordiale. L’affrontement est annonciateur du chaos, de l’anarchie. 
Les immenses défis auxquels est confronté le pays auraient dû porter les élites politiques à faire l’économie de cette bataille inutile et insensée pour le contrôle du pouvoir. Elles auraient dû penser à entamer le dialogue sur les différentes visions et approches pouvant aider à sortir la République des ornières de la misère et du sous-développement. Le  chaos, la catastrophe, nous voulons croire que des politiciens ne les provoquent pas à dessein! Dans l’intérêt de notre pays, de notre population, nous sommes en droit d’attendre d’eux qu’ils travaillent  à renforcer nos institutions et les mettre en valeur et en capacité pour que l’Etat soit en mesure de satisfaire les besoins urgents et légitimes de la population.

samedi 19 mars 2016

Flash!! Privert remettra le Pouvoir à Fritz Jean pour y revenir à partir des élections générales.-

Le Président Jocelerme Privert exécute une stratégie de Coup d’Etat par relais. L’ancien Président de l’Assemblée Nationale devenu Président Provisoire de la République d’Haiti cherche à se retirer en douceur comme Ponce Pilate avec l’idée de retourner au Pouvoir en tant que candidat à la Présidence lors des élections générales à la fin de l’année. 
Si, dans un 1er temps, il donne satisfaction à René Préval en intégrant tous ses dinosaures au sein de son cabinet, en fin de compte il remettra le Pouvoir Exécutif d’Haiti à  Fritz Jean avant de revenir comme candidat.
Président Privert aurait accepté de remettre le Pouvoir Exécutif à Fritz Alphonse Jean à la fin de son mandat qui prendra fin en mai 2016. C’est la raison pour laquelle, il cherche par tous les moyens - avec le support de la bourgeoisie traditionnelle d’Haiti et des hommes d’affaires dominicains, à imposer son Premier Ministre désigné en désaccord avec des groupes influents au parlement.
Monsieur Privert est prêt à partir couronnant sa carrière de fonctionnaire avec le titre de Président d’Haiti. Se croyant plus intelligent, il tentera de revenir comme candidat. En ce sens, il est prêt à confier le pouvoir à Fritz Alphonse Jean. Au lieu de remettre le pays sur les rails de la démocratie, cette présidence provisoire n’aura servi qu’à renforcer l’influence politique du clan LAVALAS/INITE/VERITE et à assouvir les ambitions politiques d’un ancien fonctionnaire.
Si le parlement haitien commet l’erreur de voter la politique générale de l’actuel Premier Ministre désigné, il s’en suivra la démission du Président Privert, le constat de la non-application de l’Accord du 5 février 2016 suivi du chambardement général - “Table rase”, pour des élections générales avec Fritz Jean comme Chef légitime de l’Exécutif jouissant des prérogatives en vue d’assurer la continuité de l’Etat. Les Sénateurs en fin de mandat aiment bien ce plan qui garantira leur “réélection” avec l’aide d’un Conseil Electoral Partisan.
Les parlementaires doivent se montrer vigilants. S’ils acceptent de voter n’importe quoi en échange de pots de vin, ils devront s’attendre aux conséquences.
A RéseauCitadelle, nous gardons en mémoire cette déclaration ambigüe du Président Privert après son élection le 7 février dernier : “Vous êtes parlementaires tant que le peuple n’aura pas fait choix d’autres parlementaires pour vous remplacer.” Pourquoi, ne s’était-il pas contenté de dire “Jusqu’à la fin de vos mandats? Suspense!!!
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
19 mars 2016
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr

lundi 14 mars 2016

Le Président Privert peut nommer les Conseillers Electoraux par Arrêté Présidentiel.-

Le Président Privert qui a pu nommer le Premier Ministre Fritz Jean par Arrêté Présidentiel, en dehors de la Constitution i.e. d’un accord avec les Présidents des deux Chambres du Parlement, nous dit qu’il ne peut pas nommer des Conseillers Electoraux par Arrêté Présidentiel. “Il lui faut attendre la ratification de son Premier Ministre Fritz Jean pour pouvoir reconstituer le CEP en Conseil des ministres". Ala pay!

vendredi 11 mars 2016

#Haiti : Pandan Aysyen ap fè makak, Blan Meriken ak Kanadyen ap pwepare yo pou pwan kontwòl sityasyon an.-

Pandan dirijan Aysyen yo ap fè makak, Blan Meriken ak Kanadyen ap pwepare yo pou pwan kontwòl sityasyon an. Kanada pwal deplwaye 2000 sòlda Ayiti, pwan kòmand MINUSTAH epi asire pwoteksyon lò yo bezwen explwate nan peyi a. Kenneth Merten te rankontre dirijan Kanadyen yo nan sans sa pou kòmansman mwa fevrye. Bagay sa fè’m sonje pwojè pou mete Ayiti sou titèl ki te deside nan Kanada nan lane 2002 pandan Aristide tap fè Makak nan peyi-a di “je veux et je peux!”. Blan pral itilize akò 6 fevrye-a pou imilye tout nèg mete yo ajenou men’m jan yo te fè ak Akò Govenors Island pou imilye militè aysyen yo nan lane 1993-1994. 
Tout manifestasyon pou destabilize Martelly sete bagay pou ede blan ak Dominiken ranfòse kontwòl yo sou peyi a. NAP SIB!
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#‎Haïti‬ - Sécurité : Le Canada pourrait prendre le commandement de la Minustah.-
10/03/2016 09:15:45

Selon des sources diplomatiques et gouvernementales à Port-au-Prince et Ottawa, le Canada souhaiterait contribuer plus concrètement aux efforts des Casques bleus de la Minustah et envisagerait de prendre la relève à l’automne prochain des effectifs brésiliens (979 casques bleus), qui représentent le plus gros contingents (40%) des forces de la Minustah en Haïti.

Actuellement seulement 5 casques bleus canadiens (sur 2,370) et 90 policiers (sur 2,376) sont déployés en Haïti. Dans le cadre éventuel de cette relève canadienne, 2,000 soldats et policiers canadiens, pourraient être déployés, toutefois rien n’a été encore arrêté sur le niveau de l'effectifs. D’autres sources parlent d’un millier d’hommes. 

En devenant le contingent majoritaire de la Minustah, le Canada en prendrait le commandement selon la règle. Outre l’intérêt du Canada pour un siège au Conseil de sécurité, l'usage du français par ses effectifs en Haïti, pourrait jouer en sa faveur, comme l'avait mentionné le Premier Ministre Justin Trudeau le mois dernier.

HL/ HaïtiLibre



mardi 8 mars 2016

Des bandits armés de la Plate-Forme “Pitit Dessalines” ont attaqué Radio Kontak Inter au Cap-Haitien.-


‪#‎Haiti‬ : 7 février 2016 - 7 mars 2016, un (1) mois depuis que des bandits armés de la Plate-Forme “Pitit Dessalines” ont attaqué Radio Kontak Inter au Cap-Haitien. Radio de province avec des émissions non liées aux idées reçues, on n’en a pas parlé. Mais, les impacts de balles témoignent encore de l’intolérance et de la violence de ces bandits qui ne cessent d’intimider par tous les moyens les journalistes de la Radio.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
reseaucitadelle@yahoo.fr
@reseaucitadelle

samedi 5 mars 2016

#‎Haiti‬, une société incapable d’organiser des élections crédibles …#CEP #UEH #POHDH

‪#‎Haiti‬ une société incapable d’organiser des élections crédibles … ‪#‎CEP‬(politic) ‪#‎UEH‬ (Université) ‪#‎POHDH‬ (Droits humains) tous divisés par une crise électorale…Les mauvais perdants.- Lisez cette lettre de l’IMED sur la crise électorale qui divise les organisations de défense des droits humains.-


























#Haiti : Des magistrats formés pour renforcer la lutte contre la traite des personnes.-

[ BRAVO ! Ce projet contribuera à renforcer la lutte contre les pédophile et en général contre les abus sur les enfants ! ]

Des certificats ont été remis à des juges siégeant dans les juridictions de Port-au-Prince et de Croix-des-Bouquets le mardi 1er mars à l’Ecole de la magistrature, à Frères. Cette cérémonie a eu lieu à l’issue d’une formation qui s’est tenue du 24 au 26 février dernier sur la Côte-des-Arcadins.

« Selon les dernières données recueillies, il y a plus de 300 000 enfants en Haïti qui sont victimes du phénomène de la domesticité», a indiqué le Dr Ely Thélot, président du CNLTP. Pour faire face à ce fléau, le responsable du CNLTP a appelé à l’implication des juges et des hommes de loi qui sont, d’après lui, des acteurs très importants dans cette lutte. Ce séminaire constitue, selon le Dr. Ely Thélot, le meilleur moyen de doter ces derniers des mécanismes et disposer des informations nécessaires pour mieux lutter contre ce phénomène en Haïti. 

Dans le même temps, Ely Thélot a souhaité que ces magistrats mettent ces connaissances en pratique pour entamer des poursuites à l’encontre des criminels et les punir selon la loi. 

Selon le représentant de l’Organisation internationale de la migration (OIM), Grégoire Goodstein, la question du trafic humain est très présente en Haïti. Selon ce dernier, l’OIM travaille depuis 2005 contre ce phénomène en Haïti, mis à part ses autres volets d’intervention dans le pays. 

« L’OIM est en train de mettre en œuvre un projet de deux ans en Haïti. Celui-ci, soutient Grégoire Goodstein, entend fournir une aide directe aux personnes victime la traite et dans un second temps appuyer la police et les magistrats par l’organisation de séances de formation », a conclu le représentant de l’OIM, rappelant que ce projet prendra fin au mois de septembre prochain. 

L’organisation de ces journées de formation est le résultat d’une collaboration entre l’Ecole de la magistrature (EMA), le Comité national de lutte contre la traite des personnes (CNLTP). Cette activité a reçu le support de l’Organisation internationale la migration(OIM) à travers un financement du Département d’Etat américain et l’UNICEF. 

AUTEUR 
Remixon Guillaume 
remixong@lenouvelliste.com

#Haiti : De solution de sortie de crise, Privert et son accord risquent de devenir un élément de blocage.-

Avec les gens les plus extrémistes, anti-Martelly, anti-PHTK, anti-Elections2015 autour du Président Jocelerme Privert qui normalement devrait symboliser l’harmonie et le consensus, on peut être certain que l’Accord du 6 février 2016 ne sera pas respecté. C’est comme demander au Hamas d'appliquer un Accord avec Israel qu'il refuse de reconnaitre. On a raison d’être pessimiste. 
Au lieu d’être un leader autonome et responsable, le Président Privert est sur le point de se rabaisser à un simple homme de main d’Aristide/Préval. Déjà, alors que des policiers sont abattus dans les rues de la capitale haïtienne, comme au temps de l’Opération Bagdad, on ne sent pas le leadership du Président Provisoire pour rétablir la sécurité et la confiance. Le défaut des carriéristes de la fonction publique est de développer ce réflexe d'exécutant, cette routine qui paralyse l'esprit d'initiative. 
Comme en 2010, les dinosaures de l’INITE vont rééditer l’erreur de vouloir imposer leur agenda de continuité au pouvoir sans le peuple avec l’argent de la bourgeoisie traditionnelle rétrograde.
M. Privert qui est déjà en conflit ouvert avec son parlement perdra toute légitimité après le 24 Avril 2016. Comme le Président Martelly, après les 120 jours, il sera en situation de fin de mandat donc condamné à remettre le pouvoir à son successeur. 
PHTK peut toujours attendre, car, plus le temps passe, plus les membres de l’ancienne opposition à Martelly perdront leur capacité de convocation, plus l’absence de programme et/ou de projet alternatives sera visible, plus les leaders de l’opposition seront détestés à cause de leur traditionnelle lutte fratricide pour le pouvoir.
Entre-temps, les contradictions et les difficultés économiques engendreront une nouvelle dynamique de lutte populaire qui chambardera cette monstruosité transitoire qui consiste pour l’Etat d’Haiti d’être dirigé par un Président Marionnette tiraillé par Aristide/Préval, par deux (2) Premier-Ministres et par un Parlement paralysé par l’appétit démesuré des nostalgiques Lavalas/INITE toujours obsédés par le contrôle total du pouvoir comme au 21 mai 2000. 
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti, 5 mars 2016
reseaucitadelle@yahoo.fr, @reseaucitadelle

jeudi 3 mars 2016

L’Accord du 6 février 2016 rappelle celui de Governors Island entre Aristide et les Militaires putschistes en 1993.-


Politisyen aysyen pap janm pran leson! Sa kap pase jodi-a sanble tèt koupe ak sak te pase nan lane 1993 kote jeneral militè putchis  ale New York siyen akò Govenors Island ak Aristide apre sa yap fè manèv pou yo pa respekte’l. Konsekans : Anbago, 20 mil solda okipe peyi nou, lame kraze, Ayiti sou tutèl MINUSTAH. Se menm ti bagay la ki pral rive ekip Privert/INITE/Lavalas la ki panse yo kapab pa respekte akò a epi ap fè dilatwa pou kenbe pouvwa. Yo pa wè si yo tann yon pyèj pou yo!

mardi 1 mars 2016

Stanley Lucas ap defann lide sa yo lontan avan Martelly.-

Moun kap di Stanley Lucas tap fè propagann pou Martelly pra’l wè si lap sispann goumen kont Anakopopilis ak Monopòl-Gwoup-de-Boudon. Stanley Lucas toujou ap defann lide santris ki pa dakò vyolans politik anachis Lavalas yo, ki kreye gwo tèt chaje pou ekonomi peyi-a, fè moun pè envesti epi anpeche jèn yo jwenn travay ak opòtinite. Se pozisyon Cyrus Sibert tou. Se nòmal pou nou te kore Martelly ki tap ale nan yon lòt direksyon ke sa nou tap viv depi 1990. Nap defann lide sa yo lontan avan Martelly. Kidonk se TET-KALE ki vini jwenn nou. Yo mèt tann pou yo wè si nap janm defann pouvwa anakopopilis yo. Stanley Lucas telman pa opòtinis, li defann TET-KALE ak tout yo toujou bare wout chak fwa non li site pou pòs minis. Menm lè nou pa toujou dakò sou tout bagay, nou te toujou defann ti chanjman kap fèt yo. Sete yo strateji pou rive pi lwen nan Eta de dwa nap chache-a. Lavni pral demontre nou te sou pi bon wout ak Martelly. Kontradiksyon yo kòmanse eklate, trou manti pa fon. Zòt pap di’w : Depi Laurent Lamothe kite pouvwa bagay yo ap degrade. Li pat fasil pou jwenn ti rezilta nou te wè yo!

Si se yon chèk administratif Stanley yo pran pou detri’l, konnen li pagen move dosye.-

AlaPay! Anakopopilis ki toujou ap pale de kòripsyon paka repwoche Stanley Lucas anyen ki mal. Yo pa wont piblye yon chèk leta pou entimide Stanley, fè chantaj pou’l  sispann pale, kòmsi resevwa yon chèk leta pou travay li fè se yon peche. Se konsa nèg sa yo ye. Yap akize’w pandan yap fè menm bagay avè’w pafwa pandan yap vole. Pandan nèg yo ap anvayi leta ak Konseye nan Palè yo vle fè moun kwè konseye ak konsultan Martelly yo koupab paske yo te resevwa chèk leta pou travay yo. Jan nèg sa yo rayi Stanley, si se yon chèk administratif yo oblije piblye, konnen Stanley se yon nèg onèt ki pagen move dosye.