samedi 28 mars 2015

Haiti-Elections : Nouveau scandale à la Cour des Comptes...Récusation.-

La Cour Supérieure des Comptes de la République d'Haiti est sur le point de rendre public un rapport sur la gestion du gouvernement Martelly-Lamothe. Le texte en pièce-jointe ou sur slideshare.com/reseaucitadelle est la Synthèse de ce document qui sera présenté par les juges de la Cour en guise de Rapport. Dans la dite synthèse, la Cour reconnait que ''il est important de souligner que ce rapport sur la situation financière et l'efficacité des dépenses publiques n'est pas un rapport d'audit technique, encore moins financier." 


(Lisez : Haiti : Synthèse du rapport du Rapport de la Cour des Comptes.-

Alors, pourquoi publier un tel document? La Cour des Comptes, se contente t-elle de produire un rapport basé sur des subjectivités, des spéculations ou des souhaits tirés d'idéologies politiques?

Les anti-Lamothe se féliciteront sans doute de cette stratégie visant à paralyser la candidature de l'ancien Premier Ministre. La Cour ne pouvant pas changer les données comptables, elle préfère changer la nature de sa mission. Mais, en réalité, on est en train de détruire l'une des institutions les plus importantes de la République.

Ces juges de cette Cour des comptes qui ont été installés à la faveur de la stratégie d'opposition et dilatoire des parlementaires de l'INITE, ne cachent pas leur mission politique. Une simple lecture du document de Synthèse démontre que nous avons affaire à tout, sauf à une Cour des Comptes. Car, une Cour des Comptes qui se livre à des Analyses économiques, qui joue le Role de Parlement i.e. qui critique les choix de politique publique, qui s'érige en firme de supervision technique de travaux, n'existe que dans l'imaginaire des magouilleurs haïtiens.

Nous sommes en train de revivre la magie de la Cour de Cassation en 2006, ces juges corrompus qui avaient profané le Temple de Themis, dans le seul objectif de permettre à Dumarsais Ciméus de devenir candidat à la Présidence. Aujourd'hui, la Cour des Comptes change toutes les définitions constitutionnelles et doctrinales pour accoucher d'une monstruosité politicienne.

C'est inacceptable! Les juges de la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif d'Haiti ne doivent pas exhiber au monde un tel produit comme Rapport de son travail.

De plus, les multiples interventions du Président de cette institution dans la Presse, avant la publication même du rapport d'enquête sont inacceptables. Une Cour qui enquête, travaille en silence. Ses dirigeants ne se livrent pas à des déclarations intempestives sur les médias.

Nous invitons le public à Consulter sur le web des rapports de Cour des comptes. Il y a par exemple ce rapport de la Cour des Comptes du Maroc : http://www.slideshare.net/zaidaniy/rapport-annuel-de-la-cour-des-comptes-relatif-lexercice-2012-volume2-livre2
 
Aussi, pouvez-vous consulter des rapports de la Cour des Comptes de France : https://www.ccomptes.fr/Publications/Publications/Rapport-public-annuel-2015

Le travail d'une Cour des Comptes est défini par la Constitution, les lois de la République et la doctrine. Une procédure de travail est établie par la loi, la coutume ou la tradition administrative. Aucun juge ne peut le redéfinir dans l'unique but de satisfaire ses amis, ses patrons, ni de justifier les pots-de-vain reçus.

Le peuple haïtien observe avec patience les manoeuvres visant à écarter des candidats qu'il espère voir dans la course électorale. On notera que les rétrogrades sont têtus. Car, à plusieurs reprises, l'histoire récente des élections en Haiti l'a prouvé: Plus on persecute un candidat, plus le peuple fait de lui son Sauveur; Et, à un certain moment, quand les institutions dirigées par des irresponsables ne jouent pas leur role, l'affaire est réglée dans la rue à coup de VIVE ou d'ABA. C'est dangereux de chercher à écarter de la course électorale, le personnage politique le plus populaire dans les sondages. 

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
28 mars 2015
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr

Lisez : Haiti : Synthèse du rapport du Rapport de la Cour des Comptes.-
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"You can fool some people sometimes, But you can't fool all the people all the time."
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.) dixit Abraham Lincoln..

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vendredi 27 mars 2015

ALLIANCE HAITIANO-DOMINICAINE: Message à nos frères et sœurs dominicains.- (Texte de Cyrus Sibert)

ALLIANCE HAITIANO-DOMINICAINE : Message à nos frères et sœurs dominicains.-

La République Dominicaine est une nation sœur de la République d'Haïti. Les deux républiques sont fondées par des indigènes qui se sont solidarisés durant 3 siècles d'esclavage, d'oppression colonialiste et raciste.

Du Cacique Henry à Jean Jacques Dessalines, ensemble, les peuples de l’Ile Kiskeya ont combattu le colonialisme et l’esclavagisme franco-espagnols. Les peuples indigènes de l’Ile, indiens et nègres, ont toujours combattu en faveur de la liberté et de l’indépendance. Après la défaite de l’armée de Napoléon, suivie de l’indépendance d’Haïti, d’autres mouvements d’indépendance et de liberté ont vu le jour sur cette terre. Gregorio Luperon, Santiago Rodriguez, Charlemagne Péralte ont continué dans cette culture de lutte pour la liberté et l’indépendance.

Les haïtiens et les dominicains ne peuvent pas être des ennemis. Nous sommes deux peuples frères et ensemble nous formons une nation indigène qui a subi les pires atrocités de l’histoire de l’humanité. L’armée indigène fut notre réponse militaire à cette réalité inhumaine. Aujourd’hui, nous luttons ensemble pour le développement durable et le progrès.

Contrairement aux mensonges des colonialistes et des racistes, ces descendants de Nicolas Ovando ou de Rochambeau qui continuent de présenter l’occupation haïtienne comme un désastre pour le peuple dominicain, en 1821, l’armée haïtienne de Jean-Pierre Boyer fut accueillie par des dominicains qui avaient peur pour leur liberté face à des esclavagistes. Car, en 1821, indépendance n’était pas synonyme d’abolition de l’esclavage. Malgré l’indépendance aux Etats-Unis, des noirs et des créoles étaient maintenus en esclavage. Durant, les 22 années d’occupation haïtienne, l’esclavage fut aboli dans la partie Est de l’Ile.

En 1861, soit 17 ans après le départ de l’armée haïtienne de la République Dominicaine, 17 ans après l’indépendance de la République Dominicaine, les colonialistes ont permis le retour de l’Espagne dans la partie Est de l’Ile et menacèrent de rétablir l’esclavage ou de déporter les créoles et les noirs dominicains vers Cuba et Porto Rico. Pour libérer la République Dominicaine de l’Espagne, en 1863, lors de la guerre “Restauration” contre l'Espagne, Haïti supporta la guérilla indépendantiste de Gregorio Luperon et Santiago Rodriguez qui lança ses actions militaires à partir du territoire haïtien, Ouanaminthe.

Haiti a toujours été présente dans l’histoire de la République Dominicaine; Nous avions aboli l’esclavage en République Dominicaine; Nous avions contribué à la destruction des forces colonialistes dans la partie Est de l’Ile; Nous avions supporté les forces indépendantistes au détriment des forces colonialistes pro-espagnoles qui souhaitaient l’annexion du territoire Dominicain par l’Espagne ou par les Etats-Unis; Le drapeau Dominicain fut créé et cousu en Haiti.

Haïtiens et dominicains sont frères et sœurs. Ensemble nous avons combattu pour la liberté et l’indépendance. Aujourd’hui, nous travaillons ensemble pour le développement économique et social. Nous sommes solidaires face aux désastres naturels. Ne vous laissez pas manipuler par les hispanophiles nostalgiques.

Vive la solidarité haitiano-dominicaine !

Texte de Cyrus Sibert, Journaliste
https://www.facebook.com/groups/alliancehaitianodominicaine/
Photo: El Caribe

mardi 24 mars 2015

Mirlande Manigat du MOPOD et du RDNP sur Radio Caraïbe : Des politiciens et des partis en coma artificiel

Metro-Québec

3119, rue Saint-Joseph Est,

Québec, QC G1K 8E2

Email: newsdesk.fr@gmail.com

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 Mirlande Manigat du MOPOD et du RDNP sur Radio Caraïbe :

Des politiciens et des partis en coma artificiel

 

Dirigeante de l'agonisant MOPOD et secrétaire générale du Rassemblement des Démocrates nationaux progressistes, Mirlande Manigat traine de média en média, en quête d'une visibilité que ses mauvais choix politiques décident de ne plus lui accorder malheureusement.

 

Aujourd'hui, l'ancienne candidate à la présidence, Mirlande Manigat, qui avait été mise à nue par le candidat Tèt Kale, l'actuel Président Michel Joseph Martelly, dans un débat entre candidats lors de l'élection présidentielle de 2010, n'a plus la côte. D'aucuns pensent qu'il lui serait mieux de prendre sa retraite politique et se consacrer uniquement à l'enseignement le temps qu'il lui reste à vivre. Mais pour elle, la politique c'est un virus qui ne l'abandonne pas, au risque d'aller de déconvenues en déconfitures.

 

Invitée ce matin dans le journal Première Occasion de Radio Caraïbes, Mirlande Manigat faisait pitié. Elle, autrefois si superbe, n'a même pas pu donner de réponses approximatives aux questions judicieuses du journaliste de la radio. Aux interrogations concernant le MOPOD, elle a maladroitement tenté de cacher la vérité alors que tout le monde sait que cette coalition de politiciens jusqu'auboutistes de tout acabit vole en éclat. Du vieux verre brisé, il ne reste que les tessons ! Entre Mirlande Manigat et André Michel, c'est une relation de je t'aime moi non plus. En effet, la poule et le coq de la même basse-cour veulent être candidats à la présidence pour le compte du MOPOD. Furieuse, Mirlande Manigat a qualifié André Michel de présomptueux. Et le petit ambitieux s'est empressé de rejoindre son compère ténébreux Newton Saint-Juste autrefois à la solde d'Yves Christalin, dans une plateforme dite Justice axée sur l'injustice puisque les deux scélérats n'ont aucun respect pour le fonctionnement régulier de  la justice de leur pays. Selon un sondage réalisé sur la côte de popularité d'André Michel, seulement 0.07% de la population du pays se dit prêt à voter en sa faveur. Une honte et une déculottée nationales ! Chez les autres membres du MOPOD, c'est la débandade. Adieu manifestations et grèves ! La population est désabusée.

 

On comprend finalement que le MOPOD n'avait pas pour objectif de contribuer au développement démocratique et économique du pays. La seule obsession des fous furieux du MOPOD, selon le citoyen Henri Jean-Jacques, ancien sympathisant de la coalition, interrogé par un journaliste à Port-au-Prince, c'était d'empêcher le Président Michel Martelly de réaliser beaucoup plus de projets de développement au bénéfice du peuple haïtien. Pour sa part, Nicole Jean-Baptiste, une dame de 40 ans qui travaille au Parc industriel SONAPI, a déclaré que Dunoix Erick Cantave, Turneb Delpé, Lydie Parent et Newton saint-Juste sont des professionnels de la violence. Tandis qu'André Michel a été pourchassé du parti politique KID pour menées subversives contre les dirigeants de cette formation politique.   

 

A l'intérieur du RDNP devenu aujourd'hui Rassemblement des Démagogues Nuls et Pitoyables, c'est la grogne contre Mirlande Manigat. Les observateur avisés doivent sûrement se poser des questions sur la longue absence de Patrice Dumont qui, dit-on, a abandonné le RDNP. Il est, dit-on, en conflit ouvert avec Mirlande Manigat qui avait soutiré de l'argent du sénateur Félix Bautista à l'insu des autres membres de l'état major du parti.

 

Aux abois et dans un élan de repentance peut-être, Mirlande Manigat qui, naguère avec une certaine insolence, se plaisait vilainement à appeler le Chef de l'Etat par son patronyme s'est résolue à répéter le Président Michel Martelly aujourd'hui. Et il était triste de constater que le journaliste interviewer de Radio Caraïbes, intelligent, n'avait pas manqué de lui faire le rappel. Dès lors, l'éminente professeure avait perdu toute sa superbe pour se draper dans une pièce de honte qu'elle s'est elle-même confectionnée durant quatre années d'opposition méchante, irréductible et insensée.

 

Mirlande Manigat, le MOPOD et consorts doivent définitivement savoir que la vengeance du peuple, le jour du vote, sera constituée d'un plat qui se mangera froid.


-- 
Rachelle DESROULEAUX
Correspondante spéciale
Métro-Québec, Haïti
Spécialiste Enquêtes Politiques

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
 
But you can't fool all the people all the time."
 
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Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
 
) dixit Abraham Lincoln.

Qui donnera décharge au Président du CEP, Pierre-Louis Opont.- (Texte de Cyrus Sibert)

[Si les institutions étatiques placées pour exécuter ce prescrit constitutionnel sur la production du ‘‘Certificat de décharge’’ sont dysfonctionnelles et/ou dans l’incapacité de le faire, le PEUPLE-ELECTEUR, fondement de tout système démocratique, le fera à leur place par un vote libre aux urnes.]
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Rien n’a été plus démagogique ce Mardi 24 Mars 2015 que d’écouter sur Radio Caraïbe FM, Madame Mirlande Manigat brandir la Constitution pour justifier l’écartement de plusieurs dizaines de cadres ayant occupé la fonction de comptable de derniers publics de la course électorale. Haïti, un pays qui n’a pas assez de ressources humaines qualifiées pour faire fonctionner ses institutions doit-il payer les conséquences de la stratégie anti-démocratique de ses acteurs politiques? N’est-il pas contre-productif que des gens qui ont servi l’Etat, donc qui comprennent bien le fonctionnement des institutions et l’administration publique soient condamnés à ne pas participer au fonctionnement des pouvoirs d’Etat et à faire place à des novices parce qu’ils n’ont pas le droit de se présenter à des élections?

Démagogie!!!

Depuis l’application de l’accord de la Commission Présidentielle en Décembre 2014, Haïti est sortie du Cadre Constitutionnel. Evans Paul, le premier Ministre actuel, gère le pays sans aucune forme de légitimité. Il l’a d’ailleurs reconnu dans son discours de prise de fonction: “ Ma seule légitimité est mon passé de militant politique ayant combattu pour la démocratie.”

Madame Manigat, qui au début de son intervention critiquait l’ingérence étrangère dans les affaires d’Haïti, a raté une occasion de se montrer une Grande Personnalité étatique, une femme d’Etat. Car, n’ayant pas compris que ce problème de décharge représente une difficulté que nous autres haïtiens devons résoudre par consensus, elle expose au grand jour l’absence de maturité nécessaire afin d’éviter un dictat de la Communauté internationale, plus spécifiquement de l’OEA.

Madame Manigat aime brandir son expertise dans le domaine Constitutionnel pour justifier ses approches politiciennes. Sans ambages et sans respect pour l’opinion publique, elle se livre à ce qu’on pourrait appeler “sophisme Constitutionnel”, prenant tout le monde pour des imbéciles.

Il suffit de se référer à Montesquieu pour comprendre la mauvaise foi de ces intellectuels haïtiens qui sont plus motivés par les profits qu’ils peuvent tirer de nos difficultés que par la résolution du problème.

“ Montesquieu définit les lois comme des relations qui gouvernent de manière suprême. Afin de comprendre les lois humaines, il faut comparer les lois à la justice car c’est bien la justice qui surplombe les lois ; il existerait donc une justice naturelle, au-dessus des lois.” http://www.lemondepolitique.fr/cours/philosophie_politique/declin/montesquieu.html

« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. » (Article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, inspiré de Montesquieu)

Ainsi, aucune loi ne peut être au-dessus de la morale universelle de justice, donc des droits de la personne humaine. On ne saurait utiliser une loi injuste pour justifier une décision ou une pratique qui viole les droits fondamentaux du citoyen, ses libertés civiles et politiques.

François Duvalier n’a-t-il pas commis tous ses crimes, toutes ses violations, au nom de la loi ? Il faut cesser cette pratique qui consiste à utiliser la Constitution haïtienne contre des opposants politiques : Article 291 contre les duvaliéristes, la ‘‘Double Nationalité’’ pour écarter la diaspora et cette fameuse ‘‘Décharge’’ pour exclure des candidats redoutables. 

On ne peut pas condamner le gouvernement de la République Dominicaine du fait d’avoir voilé le ‘‘Droit à la Nationalité’’ de descendants haïtiens en se basant sur une décision injuste de la Cour Suprême Dominicaine et en même temps demander aux dirigeants haïtiens - CEP ou Gouvernement - de violer les droits civils et politiques de citoyens haïtiens qui ont servi l’Etat.

Il est à signaler que le secteur privé haïtien vient de blanchir Pierre-Louis Opont, sans aucun rapport sur les 450 lap-tops (ordinateurs et valises) disparus de l’enceinte de l’institution électorale lorsqu’il occupait le poste de Directeur Général sous la Présidence de Gaillot Dorsainvil. Les hommes d’affaire d’Haïti regroupés au sein de l’organisation FORUM ECONOMIQUE, dans leur traditionnelle arrogance et mépris vis-à-vis de la population, ont imposé Monsieur Opont à la tête de l’actuel (Conseil Electoral Provisoire) CEP, sans aucun rapport d’audit. Aussi, peut-on observer qu’aucune remarque n’a été faite sur la gestion de la Mairie de Port-au-Prince par M. Evans Paul avant son installation à la Primature.

Alors de quel droit et au nom de quelle moralité, ces dirigeants de facto du CEP et du Gouvernement actuel pourront-ils écarter des candidats au nom du ‘‘Certificat de décharge’’. Le dénouement de cette situation dira bien si Haïti est une République démocratique ou si elle est redevenue un Etat aristocratique.

La situation est claire. Si les institutions étatiques placées pour exécuter ce prescrit constitutionnel sur la production du ‘‘Certificat de décharge’’ sont dysfonctionnelles et/ou dans l’incapacité de le faire, le PEUPLE-ELECTEUR, fondement de tout système démocratique, le fera à leur place par un vote libre aux urnes.

Cessons de nous comporter en ridicules ! Que le meilleur gagne!

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haïti
24 mars 2015
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr
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La présidence salue la sagesse de l’opposition radicale

192 organisations politiques inscrites au CEP

La présidence salue la sagesse de l'opposition radicale




Le Nouvelliste | Publié le : 23 mars 2015


MOPOD, Fanmi Lavalas et Pitit Dessalines, les trois partis et regroupements politiques les plus hostiles au pouvoir en place sont parmi les 192 structures politiques qui se sont fait inscrire au CEP en vue de prendre part aux prochaines élections. « C'est une attitude de sagesse politique et démocratique », a estimé la présidence. Le Conseil électoral provisoire a annoncé pour cette semaine la liste définitive des partis et regroupements politiques habilités à prendre part aux prochaines élections. 

« Dans un Etat démocratique, la prise du pouvoir ne peut être conçue autrement que par les urnes », a indiqué au Nouvelliste le porte­parole du chef de l'Etat comme une satisfaction après l'inscription des organisations politiques hostiles au pouvoir et qui réclamaient la démission du président Martelly. « Peut­être que beaucoup de nos compatriotes ne l'ont pas toujours compris de cette façon. Ils ont fini par se rendre à l'évidence qu'il n'est jamais trop tard pour se ressaisir et c'est tant mieux pour la démocratie et l'Etat de droit », a ajouté Lucien Jura. 

Selon M. Jura, son patron salue l'engouement des partis politiques à prendre part aux élections. Pour lui, cela prouve que les élections sont les bienvenues dans le pays. Il a dit espérer maintenant que les acteurs politiques vont tout mettre en œuvre afin de permettre l'aboutissement du processus dans les meilleures conditions. Il a promis que le gouvernement ne va pas interférer dans le travail du CEP. 

Parallèlement, l'ex­sénateur Moïse Jean­Charles a dit dévier le plan de Michel Martelly visant à isoler l'opposition radicale. Réagissant au moment de l'inscription de la plateforme Pitit Dessalines au CEP vendredi dernier, l'opposant farouche au pouvoir s'est félicité d'avoir contraint le chef de l'Etat à former un CEP selon l'esprit de l'article 289 de la Constitution. En revanche, l'exparlementaire continue de dénoncer le calendrier électoral. 

Alors que Moïse Jean­Charles avait toujours dit qu'il n'irait pas aux élections avec Michel Martelly à la tête du pays, il se voit déjà vainqueur des prochaines compétitions électorales. Il a annoncé qu'après les élections quels que soient les résultats lui et ses partisans seront dans les rues. 

Le Conseil électoral provisoire a confirmé que 192 partis et regroupements politiques se sont inscrits du 16 au 20 mars au Conseil électoral provisoire. Cette étape du processus électoral sera suivie de la publication de la liste des partis et groupements habilités à participer aux prochaines élections, ce en conformité avec l'article 102 du décret électoral, a fait savoir le CEP dans un communiqué. 

La prochaine activité inscrite au calendrier électoral sera le dépôt de candidature pour les législatives qui se fera du 6 au 19 avril, de 8 h a.m. à 4 h p.m., au niveau des différents BED du pays, a souligné le communiqué du Conseil électoral provisoire, rappelant que la période de contestation des candidatures s'étendra du 22 au 25 avril inclusivement. La liste des candidats agréés sera affichée à partir du 1er mai dans tous les BED. 

Intervenant lundi sur les ondes de Radio Magik 9, le conseiller électoral Ricardo Augustin a estimé que c'est « une bonne chose » que tous ces partis se soient inscrits pour les prochaines élections. Surpris de la quantité des inscrits, le trésorier du CEP a expliqué que cela signifie que tous ont compris que « les élections sont importantes pour le pays » et acceptent d'y participer en vue de légitimer le processus. 

Le conseiller électoral a indiqué que ces chiffres vont les aider désormais à avoir une idée beaucoup plus claire en ce qui a trait au budget pour le processus qui se fait encore attendre. Confirmant que c'est le service juridique du CEP qui se charge de l'analyse du dossier des partis politiques et non les conseillers, Ricardo Augustin a annoncé pour cette semaine la publication de la liste définitive des partis politiques retenus pour les prochaines joutes. 

Il a aussi annoncé pour cette semaine la publication du rapport des conseillers concernant l'évaluation des Bureaux électoraux départementaux (BED) et des Bureaux électoraux communaux (BEC). Parallèlement au processus d'inscription des partis politiques, les conseillers électoraux se trouvaient dans plusieurs régions du pays en vue d'évaluer les BED et BEC, très contestés par les partis politiques. « Les conseillers sont déjà de retour, a­t­il dit. On a une réunion mardi en vue de traiter au cas par cas les contestations. Chaque conseiller va soumettre son rapport avec des recommandations. » 

Pour le moment, aucune hypothèse n'est à écarter sur l'avenir des membres des BED et des BEC, a­t­il dit. « En vue de remplacer les membres des BED et BEC contestés, nous avons la possibilité de choisir sur la liste des inscrits dans le cadre du concours ceux qui sont les mieux placés. Nous allons analyser également la possibilité de reprendre tout le processus dans les zones pour lesquelles il y a eu des contestations », a souligné le conseiller Ricardo Augustin, qui ne sous­estime pas les conséquences que le deuxième choix pourrait avoir sur le processus électoral.

Le conseiller en a profité pour justifier le calendrier très critiqué par de nombreux responsables de partis politiques. « Nous avons été contraints d'organiser toutes les élections en 2015, c'est la raison pour laquelle le calendrier est aussi rigide », a expliqué Ricardo Augustin appelant les acteurs politiques à laisser le CEP faire son travail, qui est technique et non politique. 


Robenson Geffrard et Danio Darius 

Source : le nouvelliste.

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lundi 23 mars 2015

Flash!!! Arrestation de l'un des assassins de Oriel Jean.-

Haiti/Opération policière suivie de l'arrestation de l'un des présumés assassins de l'ancien chef de sécurité du Palais national, Oriel Jean.-

9:15 p.m.

Des agents de la Police nationale d'Haiti (PNH) ont mené en fin de soirée une opération à l'intérieur d'un night club situé à Delmas 33, avons-nous appris à la rédaction de Vant Bèf Info.

Selon des informations recueillies d'une source policière, les agents concernés par cette opération ont procédé à l'arrestation de Ronald Saint-Cyr, l'un des présumés assassins de l'ancien chef de sécurité du Palais national (Oriel Jean).

À rappeler que Oriel Jean a été assassiné de plusieurs projectiles, le 2 mars 2015, dans la commune de Delmas.

Vant Bèf info

dimanche 22 mars 2015

Flash-Back!! Haiti. Le Venezuela satisfait de la coopération sur le dossier Petro Caribe

 

Pedro Antonio Canino Gonzalez, Ambassadeur du Venezuela en Haïti© DR

Port-au-Prince. Jeudi 18 décembre 2014. CCN/le Nouvelliste. Le Venezuela n'a rien à reprocher au gouvernement haïtien dans la gestion du programme PetroCaribe. C'est l'ambassadeur de la République bolivarienne accrédité à Port-au-Prince qui l'affirme. Dans une interview exclusive accordée mercredi au Nouvelliste, le diplomate Pedro Antonio Canino Gonzalez considère que les autorités haïtiennes font une utilisation « transparente » des fonds du programme contrairement à ce qu'a déclaré l'envoyée spéciale de la Banque mondiale récemment.

M. l'ambassadeur, quelles sont vos réactions à la suite des déclarations faites par l'envoyée spéciale de la Banque mondiale sur la gestion du gouvernement haïtien des fonds PetroCaribe ?
Pedro Antonio Canino Gonzalez
 : Je dois vous dire d'abord que je n'ai pas lu ses déclarations. Ce que je peux confirmer, l'Etat révolutionnaire bolivarien, le gouvernement vénézuélien, ne sont pas assujettis aux règlements de la Banque mondiale, ni à ceux du Fonds monétaire international (FMI), ni à ceux de la Banque interaméricaine de développement (BID). La coopération que nous avons avec le monde entier est basée sur notre souveraineté.

Elle n'est ni ordonnée ni supervisée par les organismes internationaux. C'est le président Nicolas Maduro qui exécute cette coopération de façon bilatérale et souveraine. Elle est faite avec le respect de la souveraineté d'Haïti. Nous n'avons pas sollicité l'autorisation de la Banque mondiale ni du Fonds monétaire international (FMI), ni celle de la Banque interaméricaine de développement (BID) pour coopérer avec le gouvernement haïtien, même si le Venezuela a son représentant au niveau de la Banque mondiale.

Le Venezuela n'est subordonné à aucun organisme international pour exécuter sa coopération internationale. Dans le cas précis d'Haïti, cette coopération est menée par le gouvernement haïtien et celui du Venezuela. Nous n'avons besoin d'aucune autorisation. Cette coopération est basée sur le respect de la souveraineté de chacun des deux Etats.

Je ne sais pas pourquoi il y a des préoccupations. Le Venezuela est un pays libre. Cela fait 15 ans que le Venezuela est libre après la révolution que nous avons eue.

L'envoyée spéciale de la Banque mondiale estime que l'utilisation des fonds PetroCaribe devrait être sage et transparente. Comment comprenez-vous cela ?
PACG. : C'est une accusation faite à qui ? Si c'est au gouvernement haïtien, l'ambassade n'a rien à dire. Je peux vous dire que nous respectons ce gouvernement comme il respecte notre gouvernement. Je peux dire que c'est une accusation très grave et comme on n'a pas accusé le gouvernement vénézuélien, c'est au gouvernement haïtien de répondre.

Nous pouvons témoigner que les fonds PetroCaribe sont investis de façon saine en Haïti. Quelqu'un qui fait une telle accusation doit présenter des preuves concrètes. Si vraiment la Banque mondiale a fait une telle déclaration, ce n'est pas à nous de répondre.

Le Venezuela est-il satisfait de sa coopération avec Haïti dans le cadre de PetroCaribe?
PACG. : Le Venezuela est tellement satisfait qu'il a eu cette coopération avec le gouvernement d'avant et maintenant il l'a encore avec ce gouvernement et elle augmente. Parce que ce sont des projets qui sont exécutés dans la transparence. Les citoyens haïtiens ont le droit de demander des informations nécessaires.

Quels sont les mécanismes d'approbation de projets dans le cadre de PetroCaribe ?
PACG : Il s'agit d'une question technique et juridique. Ce sont les deux gouvernements qui les approuvent et cela marche très bien.

Mais avez-vous un mécanisme d'évaluation de ces projets ?
PACG :
 Les représentants du gouvernement vénézuélien et haïtien ont ce mécanisme. On ne peut pas signer des accords si les mécanismes ne sont pas clairs. Ils sont clairs et transparents.

Le Venezuela approuve-t-il chaque projet et leur coût global ?
PACG :
 C'est une affaire qui est réglée par les techniciens des deux gouvernements.

Trouvez-vous que les dépenses engagées par Haïti sont sages et le processus d'attribution des fonds PetroCaribe transparent ?
PACG : Rien ne prouve le contraire. Les projets sont approuvés de façon bilatérale. Les Haïtiens les voient : 500 kilomètres de routes ont été construits, on a réparé des places, ont est en train de construire des maisons, de distribuer 3 200 maisons, 4 400 autres sont en construction. Il y a les trois centrales électriques à Carrefour, aux Gonaïves et au Cap-Haïtien. On est en train de restaurer Jacmel, c'est visible. Il y a un projet qu'on a déjà commencé à l'Ile-à-Vache, il y a des projets de santé dans les dix départements du pays, 23 centres de santé avec des équipements technologiques de première classe ont été construits, on paye les salaires des médecins, ce sont des projets exécutés avec le gouvernement et les médecins cubains.

Ce qui signifie qu'il y a beaucoup de projets en exécution qu'on peut toucher et vérifier. Nous devons dire la vérité, nous autres.

Le sénateur Steven Benoît a dénoncé dans la presse des cas d'attribution de projets sans passer par des appels d'offres, est-ce que c'est prévu dans le cadre de PetroCaribe d'avoir des projets sans appel d'offres ?
PACG :
 Je ne peux pas répondre à cette question. Cela revient à la politique interne d'Haïti. Il s'agit de l'opinion d'une personne qui représente une partie de la population haïtienne. Nous respectons la souveraineté du pays. Ce sont les Haïtiens qui doivent répondre à cette question. Je ne sais s'il y a des gens qui émettent des opinions à la légère, nous autres, nous respectons la souveraineté du pays.

Ce qui signifie que moi je ne vais pas donner des opinions politiques, je ne vais pas intervenir dans les affaires internes du pays.

Monsieur l'ambassadeur, prenons un cas précis, celui de Smartmatic. Un montant d'environ 50 millions de dollars a été attribué sans appel d'offres à cette institution, selon le sénateur. Est-ce normal ?
PACG. :
 Si c'est ainsi, il faut poser cette question au gouvernement haïtien. Cela fait partie de la loi haïtienne. Ce qui intéresse le gouvernement vénézuélien, ce sont les documents d'identité du peuple haïtien. Parce que cela élève le niveau de vie des Haïtiens. Dans tous les pays du monde, les citoyens émettent des opinions sur la gestion des gouvernements. Par exemple, au Venezuela, n'importe quel Vénézuélien a son opinion sur la gestion du gouvernement. S'il y a un problème au Venezuela, c'est le gouvernement vénézuélien qui doit le résoudre. Aux opinions des Haïtiens, c'est le gouvernement haïtien qui doit y répondre.

Récemment le gouvernement haïtien avait annoncé sa volonté de demander à votre gouvernement d'augmenter l'importation des produits pétroliers en Haïti, où est-ce que nous en sommes ?
PACG : Ce sont les hauts représentants des deux pays qui le savent. Ils vont faire ce qui convient le mieux. Ce qui est certain, la coopération entre les deux augmente chaque jour et nous nous sentons très heureux. Ceci est possible parce qu'au Venezuela, il y a un gouvernement révolutionnaire, anti-impérialiste.

Le premier drapeau de notre République est sorti d'Haïti. Un drapeau que Francisco de Miranda avait rapporté de Jacmel au Venezuela. Deux expéditions en 1816 sont sorties de Jacmel pour arriver au Venezuela. 300 Haïtiens ont combattu au Venezuela pour notre indépendance. Ils ont tué 3 000 impérialistes espagnols en deux ans. Nous sommes en train de rendre hommage au libérateur Simon Bolivar, celui qui a dit qu'Haïti est la mère et le père de l'indépendance de notre pays.

Le Venezuela avait proposé sa médiation dans la crise haïtiano-dominicaine sur la dénationalisation des Dominicains d'origine haïtienne. Quelle est la prochaine étape après le refus de la République dominicaine de poursuivre les réunions avec Haïti ?
PACG : C'est un problème très délicat. Ce que nous aimerions, c'est que le problème soit géré de façon pacifique, légale et démocratique entre frères. Nous restons attachés aux pensées de Bolivar. Nous souhaitons du succès au peuple et au gouvernement dominicain. Nous faisons les mêmes souhaits au gouvernement haïtien. Nous avons les mêmes relations avec les deux pays.

Source : le nouvelliste.

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

mercredi 18 mars 2015

Photos: Le premier viaduc construit en Haïti sera bientôt une réalité. (Photos: Daniel Joseph)

Le premier viaduc construit en Haïti sera bientôt une réalité.











Photos: Daniel Joseph


Pourquoi le Parquet de Port-au-Prince fait-il trainer le dossier de Mr. Michael Geilenfeld?

Le juge d'instruction Al Daniel Dimanche a rendu son ordonnance depuis le mois de décembre 2014. Les avocats du missionnaire accusé de pédophilie en Haïti, Mr. Geilenfeld, ont fait valoir devant un tribunal américain que "cette partie du processus [l'instruction] est terminée".

L'accusé et ses victimes ont été entendus. Il y a donc eu validations et vérifications croisées des accusations. Le directeur de l'orphelinat Saint-Joseph aurait fait des aveux sur certains aspects de ses comportements sexuels. 

Des victimes résidant actuellement aux Etats-Unis ont fait le voyage en Haïti pour témoigner sous serment qu'ils avaient fait l'objet d'abus sexuels lorsqu'ils étaient sous la protection de Mr. Michael Geilenfeld à l'orphelinat Saint-Joseph de Delmas 91. Les témoignages portaient surtout sur les menaces physiques proférées contre leur personne, les violences sexuelles et les pratiques criminelles qui prédominaient dans l'enceinte de l'orphelinat.

Les preuves démontrant que des membres de l'organisation pédophile américaine NAMBLA (North American Man/Boy Love Association) séjournaient à l'intérieur de l'orphelinat Saint-Joseph, et que de célèbres pédophiles collectaient des fonds au bénéfice de l'orphelinat Saint-Joseph ont été établies. Fort de ces faits, l'avocat des victimes se prépare afin d'obtenir justice auprès d'un tribunal haïtien.

Alors que le juge a rendu son ordonnance, Mr. Geilenfeld est toujours incarcéré. A notre connaissance, le juge n'a pas réalisé une perquisition. On peut facilement déduire qu'il a eu assez d'éléments de preuve pour former sa conviction de l'implication de Mr. Geilenfeld dans les faits lui étant attribués. La défense est donc en difficulté.
 
Alors, pourquoi le Parquet de Port-au-Prince prend tout ce temps avant de réagir?

D'expérience, nous savons que les pédophiles ont peur des audiences publiques. Ils sont prêts à tout pour éviter un jugement. Car, il est toujours difficile d'expliquer à un tribunal leurs comportements sexuels, criminels, face à des enfants sans défense. De plus, dans le cas de l'orphelinat Saint-Joseph de Delmas 91, Mr Geilenfeld aura tout le mal pour répondre aux questions suivantes : " Quels liens possibles peut-il exister entre un orphelinat et une organisation pédophile? Comment des membres pervers de la NAMBLA peuvent-ils séjourner à l'intérieur d'un orphelinat pour petits garçons démunis en Haïti? Pourquoi a-t-on recommandé que des fonds soient collectés  au bénéfice de l'orphelinat Saint-Joseph de Delmas 91, Haïti, lors des funérailles de Mr. Tom Reeves, le fondateur de la NAMBLA?"

Les victimes, les militants des droits humains, les défenseurs haïtiens et américains des droits des enfants et la presse qui suivent de près, ce dossier sont très septiques face à cette lenteur du Parquet de Port-au-Prince qui pourrait signifier beaucoup pour l'avenir de ce dossier et le désir des victimes d'obtenir justice.

Que les membres de la NAMBLA puissent se tromper en ce sens : « On peut être arrêté à l'étranger…[m]ais les conséquences judiciaires … seront moins bien sévères… ». ( Rapport d'enquête de la Police de New York sur le professeur Peter Melzer et la NAMBLA, page 15)

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
18 mars 2015
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr 

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"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
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Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.