mercredi 20 mars 2019

Trump va rencontrer Jovenel Moïse et 4 autres dirigeants des Caraïbes

Le bureau de la Porte-Parole de la Maison blanche annonce, dans un communiqué en date du mardi 19 mars 2019, une rencontre entre le Président américain, Donald Trump et 5 dirigeants des Caraïbes, parmi eux, Jovenel Moïse. Sécurité et commerce, seront au menu des discussions, qui se dérouleront le vendredi 22 mars prochain.

“Donald Trump a hâte de travailler avec les pays de la région pour renforcer la coopération des États-Unis en matière de sécurité et lutter contre les pratiques économiques prédatrices de la Chine”, lit-on dans ce communiqué du bureau de la Porte-Parole de Maison blanche.

A cette rencontre, le 45e président des Etats-Unis discutera de sa vision pour des relations diversifiées dans les Caraïbes et des opportunités potentielles d'investissement dans l'énergie. Cette réunion, selon la Porte-Parole de la Maison blanche, Sarah Sanders, vise également à réaffirmer la profonde amitié et l’engagement du président Trump envers les pays de la Caraïbes.

Donald Trump profitera de cette réunion pour aussi remercier les dirigeants du soutien qu’ils ont apporté au processus de paix et de démocratie au Venezuela, plongé dans une grave crise politique et économique.

« Les États-Unis restent un bon ami des Caraïbes et cherchent à s’appuyer sur un fier héritage en tant que partenaire privilégié de la région », a souligné Mme Sanders.

La rencontre se déroulera à Mar-a-Lago, la station balnéaire du président américain en Floride, et réunira les dirigeants des Bahamas, de la République dominicaine, d’Haïti, de la Jamaïque et de Sainte-Lucie.

Source : LoopHaiti

"Le Premier Ministre est l'émanation du parlement!”…frappé d’un vote de censure, il est démissionnaire. - Analyse!

"Le Premier Ministre est l'émanation du parlement!”…frappé d’un vote de censure, il est démissionnaire. 

Les manoeuvres de Youri Latortue prouvent comment son parti Ayiti An Aksyon (AAA) peut représenter une menace pour le Parlement haitien — qui a toujours subi les assauts de l’Exécutif à travers l’histoire — et, la démocratie en général.

Car, le “temps politique” est différent du “temps de l’horloge”. En affaiblissant les principes pour une question d’intérêts conjoncturels, on crée de mauvais précédents au risque d’ouvrir la boite de pandore.

En ce sens, si les Sénateurs se laissent entrainer dans les combines du Sénateur Latortue, le leader du parti AAA, demain, un Chef de gouvernement pourra ignorer le Parlement, ses Parlementaires et faire valoir son droit de rester au pouvoir malgré leur vote de censure.

La Constitution fait du Président de la République le garant de la bonne marche des institutions. C’est la raison pour laquelle #LeReCit avait demandé au Président Jovenel Moise d’entériner rapidement la décision de la Chambre des députés en désignant, lors d'un Conseil des Ministres, un Premier Ministre a.i.

Malheureusement, jusqu’ici, le Palais National adopte des positions passives comme “prendre acte”, “informer le Sénat du vote de la Chambre basse”…

De telle lenteur risque d’affaiblir les principes, la règle de droit et de renforcer l’audace des magouilleurs qui savent pertinemment qu’ils défendent une cause perdue.

Faut-il rappeler que cette pratique d’incertitude, de lenteur et même de faiblesse, de la part de #TetKale, depuis Michel Martelly, fait croire aux adversaires qu’ils peuvent toujours changer l’ordre des choses par la propagande mensongère, la subversion et la violence. De plus, elle déconseille à des citoyens de la société civile de supporter le régime.

En situation de crise, quand on traine les pieds, on perd le momentum et permet à l’adversaire de prendre l’avantage…

En passant, Céant et ses hommes devraient avoir honte de ce vote de censure écrasant au Parlement.. 93 pour, 6 contre, 3 abstention.

Comment expliquer qu’un Premier Ministre en exercice, qui a dépensé tout ce argent dans le budget national, n’ait pu obtenir 40 votes favorables, pas même 20, pas même 10.

Et, c’est cet homme déchu qui souhaite rester à la Primature…, en demandant aux Sénateurs d’anéantir le droit constitutionnel du Parlement haitien de renvoyer les gouvernements? #AlaPay!


Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
#LeReCit @ReseauCitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr
www.reseaucitadelle.blogspot.com
20 mars 2019

mardi 19 mars 2019

L’État haitien pratique la Traite de la diaspora.- #LeReCit

Dans son livre “#Haiti, Rép. Dom. et Cuba”, p.42, Sauveur Pierre Etienne explique comment le CAPITALISME et la TRAITE DES NOIRS ont renforcé les États européens au 16e siècle.

#LeReCit pense qu’aujourd’hui, La TRAITE DE LA DIASPORA et la MENDICITÉ INTLE supportent l’État haitien.

Au lieu d’applaudir l’augmentation des transferts, il faut les dénoncer et exiger de véritable politique économique capable de créer la richesse. Car, plus de transferts signifie appauvrissement de la diaspora, baisse de son niveau de vie ou compétitivité, retraite misérable.


https://twitter.com/reseaucitadelle/status/1108091900718919681?s=21

https://www.facebook.com/LeRecitHaiti/photos/a.10156249085249478/10158462090054478

lundi 18 mars 2019

Haïti/Politique : Jovenel Moïse a eu gain de cause de son bras de fer avec son Premier ministre.-

Le Premier ministre Jean-Henry Céant a essuyé une cinglante défaite ce lundi 18 mars 2019 à la Chambre des Députés. 93 contre, 6 pour et 3 abstentions, tel a été en effet le vote qui lui a été réservé au terme d’une séance d’interpellation réalisée à la chambre basse à son absence.

Alors qu’il se trouvait très tôt au Sénat pour attendre l’ouverture d’une autre «séance d’interpellation» qui n’aura pas lieu faute de quorum, une majorité écrasante de députés ont poussé vers la sortie le désormais ancien chef de Gouvernement qui était en conflit ouvert avec le président Jovenel Moïse. Jean-Henry Céant qui a écourté son voyage officiel au Maroc pour se rendre à la séance «auto-interpellation» au Sénat afin d’échapper à la fureur des députés n’a pas réussi à mobiliser un nombre acceptable de pères conscrits pour exécuter son scénario.

Accusé d’implication dans les récentes violences politiques enregistrées dans le pays à l’occasion de l’opération «pays lock», le premier ministre Jean-Henry Céant s’est mis ouvertement en face du chef de l’Etat dont il rêvait de remplacer au Palais national. Son obsession pour le pouvoir lui aura donc valu d’être l’un des premiers ministres les plus improductifs de l’histoire récente d’Haïti. Son parcours a été marqué par une insécurité jamais vue depuis le départ d’Aristide en 2004, une inflation galopante qui dépasse le taux de 15 %, une dévaluation accélérée de la gourde, et une pagaille totale au sein du gouvernement.

Avec ce vide à la Primature, le président Jovenel Moïse s’offre une nouvelle chance de pouvoir reprendre le contrôle de la barque nationale afin d’adresser les vrais problèmes du peuple haïtien qui a déjà exprimé son impatience de voir ses conditions sociales d’existence améliorées.


Source : Haiti24


Deux (2) expressions de non confiance contre le Premier Ministre Jean-Henry Céant.-

Deux (2) expressions de non confiance contre le Premier Ministre Jean-Henry Céant.-

Ce lundi 18 mars 2019, quatre vingt treize (93) députés ont voté en faveur de la révocation du Premier Ministre Jean-Henry Céant, tandis qu’au Sénat, ce dernier s’est fait humilier par l’absence de la majorité des Sénateurs.

En effet, l’absence de quorum au Sénat de la République, ce lundi 18 mars est, en fait, un "vote" ou du moins une "manifestation de volonté" contre le Premier Ministre Jean-Henry Céant. Du jamais vu dans l’histoire de la politique qui retiendra que l’ancien candidat malheureux à la présidence (0,75%) a obtenu deux (2) votes de censure ou de non-confiance le même jour.

Record Guiness !!!

Toutefois, il faut signaler que l’homme est honnête avec lui-même. Car, si au Palais National ou dans les salons de Pétion-ville qui influencent la politique de ce pays on joue avec le pouvoir et avec les attentes de la population, en sa qualité de membre de l’opposition anti-Jovenel, le monsieur Céant s’est comporté comme tel, durant les six (6) mois qu’il a passé à la Primature. On retiendra aussi qu’il a comploté ouvertement contre le Chef de l’État, jusqu’à pousser l’Ambassade des États à signaler son caractère “irresponsable et opaque”.

Dans cette succession de décisions politiques naïves et folles du pouvoir #TETKALE, nous attendons la suite….la nouvelle nomination insensée, allant dans le sens du gaspillage total du mandat de 5 ans de Jovenel Moise. Le notaire Céant ayant, à lui seul, gaspillé huit (8) mois.

Faut-il signaler que #LeReCit avait répété publiquement à l’intention du Premier Ministre sortant, durant son passage à la tête du gouvernement, que son succès passe par "...la fin de son complot permanent contre le Président constitutionnel d’#Haiti”;
qu’ "lieu de polémiquer, de guerroyer avec la présidence avec laquelle il n’était pas toujours d’accord, il a préféré remplir sa fonction historique de Chef du gouvernement, d’agir avec le sens de responsabilité en vue de marquer son temps comme un Grand Premier Ministre”;
s’il se laisse influencer par ses conseillers anti-Jovenel ou pro-Youri Latortue au point de continuer à “...perdre son temps dans des complots visant à accéder prématurément au Palais National, il risque de sortir par la petite porte; la communauté internationale étant au courant de tous ses agissements."


Nous vous invitons à relire :

Le succès du Premier Ministre Céant passe par la fin de son complot permanent contre le Président constitutionnel d’#Haiti.-

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
#LeReCit @ReseauCitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr
www.reseaucitadelle.blogspot.com
18 mars 2019

Haïti-Politique : La chambre des députés renvoie le premier ministre Jean Henry Céant et son gouvernement

Haïti-Politique : La chambre des députés renvoie le premier ministre Jean Henry Céant et son gouvernement 


lundi 18 mars 2019


P-au-P, 18 mars 2019 [AlterPresse]--- En devançant le sénat, la chambre des députés a voté, ce lundi 18 mars 2019, en faveur du renvoi du premier ministre, Jean Henry Céant, et de son gouvernement, au terme d’une séance d’interpellation, qui était très attendue, observe l’agence en ligne AlterPresse.

Par un vote de 93 députés pour, 6 contre et 3 abstentions, la chambre basse a censuré le premier ministre, lors de cette séance spéciale, déroulée en l’absence de Jean Henry Céant.

Préalablement, un groupe de 15 députés avait dénoncé des vices de forme, qui auraient été enregistrés dans la manière, par laquelle la séance d’interpellation du premier ministre et de son gouvernement a été décidée par le président de la chambre basse, Gary Bodeau.

Le sénat, qui avait précédemment interpellé Jean Henry Céant, pour ce lundi 18 mars 2019, n’a pas pu réaliser sa séance, faute de quorum.

Le premier ministre a été convoqué par le sénat pour fournir des explications sur divers dossiers, notamment la libération et le transfert, vers les Etats-Unis d’Amérique, le mercredi 20 février 2019, de 8 personnes, dont 7 étrangers, arrêtés, le dimanche 17 février 2019, en possession d’armes lourdes et illégales.

Le sénat avait avancé la date de sa séance d’interpellation, pour ce lundi 18 mars 2019, au lieu du mercredi 20 mars 2019, dans l’idée de devancer la chambre des députés, qui avait aussi convoqué Céant pour le 18 mars. 
[emb rc apr 18/03/2019 14:55]

#LeReCit

dimanche 17 mars 2019

Nancy Roc, preuve du journalisme démagogique, partisan qui contribue au péril d’#Haiti.-

Nancy Roc, preuve du journalisme démagogique, partisan qui contribue au péril d’#Haiti.-

Sur la barbarie des gangs, madame Roc dit :
« Du cannibalisme politique, on en arrive à de vrais scènes de cannibalisme en #Haiti. Voilà ce qui arrive ds un pays où les politiciens utilisent des chefs de gangs qui oeuvrent en toute impunité. Société anthropophage non gouvernable. La descente aux enfers se poursuit. »

@TheNancyRoc qui bloque tous ceux qui ne partagent pas ses opinions, ne savait pas si le 7 janvier 1991, des partisans de son leader Aristide avaient pratiqué le cannibalisme contre les macoutes, suite à la tentative de coup d’État de Roger Lafontant.

Le cannibalisme est introduit en #Haiti par #Lavalas contre des duvalieristes partisans de Roger Lafontant. Ce 7 janvier 1991, madame @TheNancyRoc était membre du cabinet d’#Aristide. La société était scandalisée devant ce niveau de violence jusque là incroyable en Haiti.

Aujourd’hui, sous couvert de journalisme, Madame Nancy Roc devenue canadienne, pratique un révisionnisme historique visant à faire oublier le rôle de son mouvement #Lavalas et son leader #Aristide dans la violence politique en #Haiti. Mais, tout le monde n’est pas dupe!

@TheNancyRoc est donc obligée de fuire les idées contraires et les débats, en bloquant systématiquement tous ceux qui peuvent démonter ses #FakeNews sur le web.
En ce sens, #LeReCit fera son devoir de défendre et de protéger l’opinion publique en rappelant les faits, la vérité!

https://twitter.com/reseaucitadelle/status/1106670629284126721?s=21

vendredi 15 mars 2019

With single gene insertion, blind mice regain sight.-

With single gene insertion, blind mice regain sight

With single gene insertion, blind mice regain sight
It was surprisingly simple. University of California, Berkeley, scientists inserted a gene for a green-light receptor into the eyes of blind mice and, a month later, they were navigating around obstacles as easily as mice with no vision problems. They were able to see motion, brightness changes over a thousandfold range and fine detail on an iPad sufficient to distinguish letters.
The researchers say that, within as little as three years, the gene therapy—delivered via an inactivated virus—could be tried in humans who've lost sight because of retinal degeneration, ideally giving them enough vision to move around and potentially restoring their ability to read or watch video.
"You would inject this virus into a person's eye and, a couple months later, they'd be seeing something," said Ehud Isacoff, a UC Berkeley professor of molecular and  and director of the Helen Wills Neuroscience Institute. "With neurodegenerative diseases of the retina, often all people try to do is halt or slow further degeneration. But something that restores an image in a few months—it is an amazing thing to think about."
About 170 million people worldwide live with , which strikes one in 10 people over the age of 55, while 1.7 million people worldwide have the most common form of inherited blindness, retinitis pigmentosa, which typically leaves people blind by the age of 40.
"I have friends with no , and their lifestyle is heart-wrenching," said John Flannery, a UC Berkeley professor of molecular and cell biology who is on the School of Optometry faculty. "They have to consider what sighted people take for granted. For example, every time they go to a hotel, each room layout is a little different, and they need somebody to walk them around the room while they build a 3-D map in their head. Everyday objects, like a low coffee table, can be a falling hazard. The burden of disease is enormous among people with severe, disabling vision loss, and they may be the first candidates for this kind of therapy."
Currently, options for such patients are limited to an electronic eye implant hooked to a video camera that sits on a pair of glasses—an awkward, invasive and expensive setup that produces an image on the retina that is equivalent, currently, to a few hundred pixels. Normal, sharp vision involves millions of pixels.
Correcting the genetic defect responsible for retinal degeneration is not straightforward, either, because there are more than 250 different genetic mutations responsible for retinitis pigmentosa alone. About 90 percent of these kill the retina's —the rods, sensitive to dim , and the cones, for daylight color perception. But typically spares other layers of retinal , including the bipolar and the retinal ganglion cells, which can remain healthy, though insensitive to light, for decades after people become totally blind.
In their trials in mice, the UC Berkeley team succeeded in making 90 percent of ganglion cells light sensitive.
Isacoff, Flannery and their UC Berkeley colleagues will report their success in an article appearing online March 15 in Nature Communications.
With single gene insertion, blind mice regain sight
'You could have done this 20 years ago'
To reverse blindness in these mice, the researchers designed a virus targeted to retinal ganglion cells and loaded it with the gene for a light-sensitive receptor, the green (medium-wavelength) cone . Normally, this opsin is expressed only by cone photoreceptor cells and makes them sensitive to green-yellow light. When injected into the eye, the virus carried the gene into ganglion cells, which normally are insensitive to light, and made them light-sensitive and able to send signals to the brain that were interpreted as sight.
"To the limits that we can test the mice, you can't tell the optogenetically-treated mice's behavior from the normal mice without special equipment," Flannery said. "It remains to be seen what that translates to in a patient."
In mice, the researchers were able to deliver the opsins to most of the ganglion cells in the retina. To treat humans, they would need to inject many more virus particles because the human eye contains thousands of times more ganglion cells than the mouse eye. But the UC Berkeley team has developed the means to enhance viral delivery and hopes to insert the new light sensor into a similarly high percentage of ganglion cells, an amount equivalent to the very high pixel numbers in a camera.
Isacoff and Flannery came upon the simple fix after more than a decade of trying more complicated schemes, including inserting into surviving retinal cells combinations of genetically engineered neurotransmitter receptors and light-sensitive chemical switches. These worked, but did not achieve the sensitivity of normal vision. Opsins from microbes tested elsewhere also had lower sensitivity, requiring the use of light-amplifying goggles.
To capture the high sensitivity of natural vision, Isacoff and Flannery turned to the light receptor opsins of photoreceptor cells. Using an adeno-associated virus (AAV) that naturally infects ganglion cells, Flannery and Isacoff successfully delivered the gene for a retinal opsin into the genome of the ganglion cells. The previously blind mice acquired vision that lasted a lifetime.
"That this system works is really, really satisfying, in part because it's also very simple," Isacoff said. "Ironically, you could have done this 20 years ago."
Isacoff and Flannery are raising funds to take the gene therapy into a human trial within three years. Similar AAV delivery systems have been approved by the FDA for eye diseases in people with degenerative retinal conditions and who have no medical alternative.
With single gene insertion, blind mice regain sight
It can't possibly work
According to Flannery and Isacoff, most people in the vision field would question whether opsins could work outside their specialized rod and cone photoreceptor cells. The surface of a photoreceptor is decorated with opsins—rhodopsin in rods and red, green and blue opsins in cones—that are embedded in a complicated molecular machine. A molecular relay—the G-protein coupled receptor signaling cascade—amplifies the signal so effectively that we are able to detect single photons of light. An enzyme system recharges the opsin once it has detected the photon and becomes "bleached." Feedback regulation adapts the system to very different background brightnesses. And a specialized ion channel generates a potent voltage signal. Without transplanting this entire system, it was reasonable to suspect that the opsin would not work.
But Isacoff, who specializes in G protein-coupled receptors in the nervous system, knew that many of these parts exist in all cells. He suspected that an opsin would automatically connect to the signaling system of the . Together, he and Flannery initially tried rhodopsin, which is more sensitive to light than cone opsins.
To their delight, when rhodopsin was introduced into the ganglion cells of mice whose rods and cones had completely degenerated, and who were consequently blind, the animals regained the ability to tell dark from light—even faint room light. But rhodopsin turned out to be too slow and failed in image and object recognition.
They then tried the green cone opsin, which responded 10 times faster than rhodopsin. Remarkably, the mice were able to distinguish parallel from horizontal lines, lines closely spaced versus widely spaced (a standard human acuity task), moving lines versus stationary lines. The restored vision was so sensitive that iPads could be used for the visual displays instead of much brighter LEDs.
"This powerfully brought the message home," Isacoff said. "After all, how wonderful it would be for blind people to regain the ability to read a standard computer monitor, communicate by video, watch a movie."
These successes made Isacoff and Flannery want to go a step farther and find out whether animals could navigate in the world with restored vision. Strikingly, here, too, the green cone opsin was a success. Mice that had been blind regained their ability to perform one of their most natural behaviors: recognizing and exploring three-dimensional objects.
They then asked the question, "What would happen if a person with restored vision went outdoors into brighter light? Would they be blinded by the light?" Here, another striking feature of the system emerged, Isacoff said: The green cone opsin signaling pathway adapts. Animals that were previously blind adjusted to the brightness change and could perform the task just as well as sighted animals. This adaptation worked over a range of about a thousandfold—the difference, essentially, between average indoor and outdoor lighting.
"When everyone says it will never work and that you're crazy, usually that means you are onto something," Flannery said. Indeed, that something amounts to the first successful restoration of patterned vision using an LCD computer screen, the first to adapt to changes in ambient light and the first to restore natural object vision.
The UC Berkeley team is now at work testing variations on the theme that could restore color vision and further increase acuity and adaptation.

Laurent Lamothe intervient ce samedi, lors d'une session sur la "Transformation digitale - La clef de l’émergence Africaine”.- Dakhla Maroc

L’ancien Premier Ministre haitien a publié sur son compte Facebook l’annonce suivante :

« @LaurentLamothe Demain j'interviendrai lors de la session: "Relever le défi de la transformation digitale - La clef de l’émergence Africaine" à 3:30pm - Dakhla Maroc »



via @LeReCitHaiti @reseaucitadelle #LeReCit

#Haiti : La Cour des Comptes réclame des rapports et pièces justificatives pour des projets #Petrocaribe exécutés directement par le Sénat.-


#Haiti : La Cour des Comptes réclame des rapports et pièces justificatives pour des projets #Petrocaribe exécutés directement par le Sénat.-

Dans une lettre datée du 14 mars 2019, adressée au Sénateur Carl Murat CANTAVE, Président du Sénat, nous lisons : 


" la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSCCA), dans le cadre de la production du deuxième rapport d’audit des Fonds Petrocaribe pour la période allant de 2008 à 2016, constate que le Sénat de la République gérait des projets financés par ce fonds....
A cet egard, la Cour sollicite du Sénat de la République les rapports financiers et tous autres documents tant administratifs que techniques et financiers afférents à ces projets. Elle requiert donc que lui soit transmise pour chaque projet la documentation relative aux fiches techniques, aux contrats, aux déboursés, aux rapports de fin de travaux et aux divers autres documents.”
Fin de citation.

Cette lettre de la Cour des comptes réclamant au Sénat #Haiti des pièces justificatives pour 30 millions de gourdes, explique le comportement précipité de plainte, fuite en avant des Sénateurs et @JeanHenryCeant dans le dossier #Petrocaribe : #StratégieBoucsEmissaires!
#LeReCit

Cette lettre de la Cour (constitutionnelle) Supérieure des Comptes d'#Haiti, prouve qu'elle continue son travail technique sans se laisser manipuler par le PM @JeanHenryCeant ni le Sénat qui ont porté plainte sur la base d'un rapport partiel et incomplet… fuite en avant...

@ReseauCitadelle #LeReCit a toujours dénoncé cette stratégie qui consiste à faire avorter toute enquête sérieuse sur l’administration des fonds #Petrocaribe en accusant prématurément un groupe de citoyens, dans le but de protéger les vrais coupables de la mafia d’État (Bourgeois corrompus, Fonctionnaires corrompus, Parlementaires corrompus, Propriétaires ou Responsables de firmes voleuses, Hommes d’influence de la Primature ou du Palais National.)

Faut-il signaler que la Cour réclame des pièces justificatives allant de 2008 à 2016. Ce qui signifie, des anciens parlementaires du Groupe CPP (Concertation des Parlementaires Progressistes) de #Préval — comme Hugues Célestin qui aime vociférer à l’Émission Ramase — devraient être concernés. @BastienKely, @LatortueYouri @SenateurMoise


#LeReCit a toujours réclamé de vraie enquête technique sur le dossier #Petrocaribe.

Exemples:

1- Liste de comptes ayant reçu des fonds #Petrocaribe.-
https://reseaucitadelle.blogspot.com/2018/12/liste-de-comptes-ayant-recu-des-fonds.html


2- Le succès de Céant passe par la fin de son complot permanent contre @MoiseJovenel.-
http://reseaucitadelle.blogspot.com/2019/02/le-succes-du-premier-ministre-ceant_20.html

3- #DERMALOG, monnaie d’échange de Youri Latortue pour la défense de sa firme #REPSA.-
https://reseaucitadelle.blogspot.com/2018/12/le-dossier-dermalog-monnaie-dechange-de.html

4- Youri Latortue alias (#YouriBigio) protège la firme #REPSA.-
https://reseaucitadelle.blogspot.com/2018/12/preuve-que-youri-latortue-alias.html

5- #Haiti : L’erreur capitale des #Petrochallengers.- https://reseaucitadelle.blogspot.com/2018/11/lerreur-capitale-des-petrochallengers.html


Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
#LeReCit @ReseauCitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr
http://reseaucitadelle.blogspot.com
15 Mars 2019

jeudi 14 mars 2019

Global Voice Group (GVG) s'apprête à s'agrandir avec un nouveau siège européen.-

Global Voice Group (GVG) s'apprête à s'agrandir avec un nouveau siège européen.-

Global Voice Group (GVG) (www.GlobalVoiceGroup.com) – un fournisseur de solutions TI destinées aux gouvernements et aux autorités réglementaires, a annoncé cette semaine le l’inauguration de son nouveau siège à Madrid, en Espagne. Ce développement soutient la stratégie globale de GVG pour mieux répondre aux attentes de sa clientèle africaine existante, tout en renforçant sa position pour explorer de nouveaux marchés en tant que chef de file des technologies de pointe dans les secteurs des télécoms, de la conformité et de la fintech.

Pour James Claude, PDG de GVG, la création d’un siège social en Europe vise à optimiser les opérations internationales, ce qui permet à la société de se concentrer sur la prestation de services en Afrique. « Nous sommes présents en Afrique depuis longtemps, après être entrés sur ce marché il y a plus de 20 ans en tant qu’une des premières sociétés TCI (technologies de l’information et de la communication) à orienter la majorité de ses activités vers le continent africain.

« C’est ce qui a toujours différencié GVG des autres grands acteurs mondiaux dans le secteur des TCI, qui démarrent habituellement en Europe ou en Amérique du Nord avant de s’étendre aux marchés émergents, comme l’Afrique. À l’inverse, GVG a développé des technologies éprouvées en Afrique, qui peuvent aujourd’hui être exportées vers une multitude de pays en Europe de l’Est et dans la Communauté des États indépendants (CEI) », explique M. Claude.

Et d’ajouter que l’ouverture du siège européen ne signifie en rien le retrait de GVG du continent. « L’Afrique a toujours été un marché clef pour GVG, et le restera. Nous avons évolué avec l’Afrique et continuons fièrement à évoluer avec l’Afrique, via un important bureau administratif au Cap, ainsi que des activités en pleine expansion et de nouveaux partenariats sur l’ensemble du continent africain. »

« La relocalisation de notre siège permet tout simplement de regrouper les divisions technique, juridique, marketing et R&D de GVG sous un même toit, dans le but d’assurer une coordination parfaitement fluide. Cette approche d’optimisation couvre également la nouvelle identité et la vision de la marque, qui s’attelle à créer une synergie accrue entre toutes les gammes de produits de GVG. »

M. Claude note par ailleurs que le choix spécifique de l’Espagne offre divers avantages géographiques. « Madrid est la meilleure destination pour établir notre siège, tout d’abord car nos installations de recherche et de développement se trouvent en Espagne, mais aussi car cela permet une expansion plus aisée vers de nouveaux marchés internationaux, tout en continuant de renforcer notre présence en Afrique. »

GVG se consacrera ensuite à son expansion en Asie, en Europe de l’Est et en Amérique latine, pour concrétiser sa vision globale d’un monde meilleur grâce aux TCI. « Nous utiliserons tout ce que nous avons appris et accompli en Afrique pour devenir le leader du marché des TCI dans de nouveaux marchés prometteurs de la scène internationale. La République kirghize, l’Azerbaïdjan, la Macédoine du Nord, l’Albanie, le Kosovo et l’Argentine font partie des pays prioritaires de GVG », conclut M. Claude.


Distribué par APO Group pour Global Voice Group.

Contact du Presse :

Pour plus d’informations :
Margot Gutteridge
Phone : +27 (0)84 296 2689
Email : margot.gutteridge@mslgroup.com

À propos de Global Voice Group (GVG) :

Fondé en 1998, présent dans plus de 20 pays et avec ses principaux bureaux en Espagne et en Afrique du Sud, Global Voice Group (GVG) (www.GlobalVoiceGroup.com) a connu une croissance rapide pour devenir un fournisseur incontournable de solutions TI de pointe aux gouvernements et aux autorités réglementaires.

https://fr.africanews.com/2019/03/07/global-voice-group-gvg-s-apprete-a-s-agrandir-avec-un-nouveau-siege-europeen/

mercredi 13 mars 2019

Le pape François : après six ans, de l’espoir au doute.-

Analyse

Le pape François : après six ans, de l’espoir au doute

Le pape François salue la foule à Dublin en Irlande le 26 août 2018.
Le pape François lors de sa visite à Dublin, en Irlande, le 26 août 2018. Photo: The Associated Press / Joe Giddens
Alain Crevier
En six ans, nous sommes passés de l'espoir démesuré engendré par ce pape hors norme au doute. Ce pape peut-il vraiment changer l'Église catholique?
Après six ans à la tête de la plus grande institution religieuse de la planète, le pape François se trouve aujourd’hui au cœur de la bataille. Lui qui, de son propre aveu, imaginait que son pontificat n’allait durer que deux ou trois ans et hop, « de retour à la maison du Père »… il doit bien se rendre à l’évidence : réformer l’Église s’avère beaucoup plus ardu que prévu. Impossible?
Certains disent même que le pape François ne verra jamais de son vivant les réformes qu’il tente d’instiguer. Conséquemment, son objectif serait maintenant plus modeste : rendre irréversibles les processus de réforme qu’il met en place. Et encore là, peut-il y parvenir?

La soirée de Bergoglio

Je me souviens très bien de son élection. Nous étions, Céline Galipeau et moi, en direct depuis place Saint-Pierre. Après la fumée blanche (qui est toujours grise, me semble-t-il), le cardinal Tauran, un diplomate de carrière, respecté de tous, est arrivé au balcon : Habemus papam, a-t-il lancé à la foule qui n’attendait que ça! Dans ma tête, tout va très vite. Oui, habemus, mais qui? Qui a été élu?
C’est qu’en mars 2013, parmi les pressentis pour le poste de pape, il y avait des personnages impressionnants. Et même le cardinal Ouellet! Des personnalités qui, si elles étaient élues, pouvaient changer ou radicaliser la trajectoire de l’Église. Se refermer sur elle-même, prendre un virage encore plus à droite ou se ressaisir et changer.
Habemus papam, nous avons un pape! Et puis… Jorge Mario cardinal Bergoglio. D’où sort-il celui-là? Je n’avais aucune certitude quant à celui qui allait être élu pour remplacer Benoît XVI. Mais j’étais convaincu d’une chose : il était temps que l’Église universelle, si vraiment elle mérite son titre, vote pour un homme (à défaut de vouloir élire une femme) qui vienne du Sud. D’Amérique du Sud. Là où se trouve le vrai cœur de cette Église.
Et Jorge Mario Bergoglio vient de loin. De très loin. Buenos Aires, en Argentine. C’est à quelques années-lumière de Rome, ça. D’une lointaine périphérie. Et c’est précisément de ça qu’avait besoin cette Église qui traversait à nouveau des rumeurs affolantes typiquement vaticanesques. Comment sortir l’Église de ses chicanes de clochers européennes?
L’arrivée de ce pape a été non pas une bouffée d’air frais, mais une tempête d’espoir. Et comme on le sait tous, une tempête, par définition, ça dérange. Et, l’histoire l’a démontré maintes fois, les tempêtes qui finissent dans un verre d’eau (même de l’eau bénite) peuvent décevoir. Serait-ce le cas de ce pape pas comme les autres?

Il y a soixante ans, l’autre révolution

Il y a 60 ans, cette année, un pape d’une autre époque a aussi compris que son Église avait besoin d’air. De beaucoup d’air.
En 1959, Jean XXIII lançait une idée folle. Tenir un concile (Vatican II) pour dépoussiérer cette institution qui allait bientôt avoir 2000 ans.
« Il faut ouvrir les fenêtres », aurait-il dit à son secrétaire. Un concile, c’est un moment grave! L’Église n’en a pas tenu tant que ça au fil des siècles. Mais au moment d’un concile, on peut figer des idées qui se transforment en dogme.
Un exemple : en 1870, le concile Vatican I consacre l’infaillibilité du pape. Il n’y a plus beaucoup de gens qui croient à ça aujourd’hui, mais c’est néanmoins un dogme avec lequel l’Église doit vivre 149 ans après l’avoir solennellement proclamé.
À l’annonce du concile Vatican II, le secrétaire particulier de Jean XXIII a donc été pris de peur. C’est lui qui me l’a raconté il y a quelques années. Mgr Capovilla savait que convoquer un concile comportait des risques. Faire venir à Rome tous les évêques et les cardinaux pour dépoussiérer l’institution, c’est énorme! Et si au terme de cet exercice il n’y avait pas de consensus ni de programme pour l’avenir? Est-ce que ce n’était pas précipiter l’Église dans le doute et la division?
Mgr Capovilla avait bien raison. Capovilla savait qu’on ne dépoussière pas facilement une telle entreprise.
La preuve? Certains évêques ont cru que ce concile très protocolaire, très officiel, n’allait durer que quelques jours. Quelques semaines tout au plus. Bon, allez… disons quelques mois. Le concile va s’éterniser sur… quatre ans.
Après quatre ans de discussions, l’Église catholique et ses évêques, ses cardinaux et tous ses fonctionnaires sont-ils arrivés à un consensus? Oui, mais à un schisme aussi. Et des querelles. Et des interprétations qui alimentent encore les chicanes et les polémiques au sein de l’Église. Depuis… 60 ans.
Le pape de dos devant la foule sur la place Saint-Pierre.Le pape François apparaît au balcon donnant sur la place Saint-Pierre au Vatican. Photo : Reuters / Osservatore Romano

Grandes résistances

Des années plus tard, le pape François a posé un geste qui pour moi en dit long sur ce qu’il pense du concile Vatican II. Il a fait de Jean XXIII un saint, même s’il manquait un miracle à son dossier. Et il a même fait de Mgr Capovilla un cardinal. À 98 ans, on peut dire que c’est à titre de reconnaissance.
Je crois que François a tiré les leçons du concile Vatican II. Puisqu’un concile peut engendrer la division, vaut mieux faire la révolution plutôt que de l’annoncer.
Mais la réalité, c’est que la révolution de François s’avère pénible, difficile à concrétiser. Les résistances viennent de partout.
« Je suis déçu de voir que les réformes de fond se font toujours attendre », a dit récemment Mgr Gaillot, celui qu’on a longtemps considéré comme le mouton noir de l’Église, un homme de gauche qui préconisait la reconnaissance des personnes homosexuelles dans l’Église. Assurément un apôtre de François. Mgr Gaillot fait certainement écho aux préoccupations de ceux qui croient ou croyaient en François.
Mais quelles réformes? Administrative? Pastorale? Constitutionnelle? On dit que dans l’année qui vient, ce pape hors norme présentera une nouvelle constitution qui aurait le mérite de clarifier la mission de l’Église en ce troisième millénaire de l’histoire chrétienne. « Prêchez l’Évangile » en serait le titre.
On imagine les objectifs. Mettre de côté les tribunaux, accueillir peu importe qui, donner plutôt que de recevoir. Sacré programme.
Gianluigi Nuzzi, auteur italien de plusieurs essais-chocs sur les scandales au Vatican, m’a dit un jour : « Le plus gros défi de François, ce n’est pas la banque [du Vatican]. Ce n’est pas les réformes administratives. Son plus gros défi, ce sont les mentalités ».
Les scandales de prêtres pédophiles et des agressions des religieuses en sont la triste démonstration. Malgré les discours, même le pape François a mis bien du temps à comprendre l’ampleur et la profondeur de ces drames.
Nuzzi a bien raison : le défi du pontificat de François, ce sont les mentalités. Même celle du pape.