lundi 14 avril 2008

Pourquoi, la Droite, est-elle restée silencieuse ?


Sous le beau temps des charmants jours d'Haiti, nous avions une notion du bien et du mal. Les voleurs, les homosexuels, les assassins, les drug- dealers, les pédophiles, pratiquaient leurs vices criminels dans l'ombre de la cendre opaque. Maintenant, nous pouvons faire tout ce que nous voulons. D'ici quelques années faisant un peu plus de deux décennies, ces crimes odieux sont considérés comme des objets d'un luxe moral.
Nombreux sont les historiens, psychiatres et sociologues qui reconnaissent que Jean-Bertrand Aristide, René Garcia Préval, Jacques Edouard Alexis, Robert Manuel, Paul Denis, Evans Paul, Victor Benoit, Serge Giles, y compris certains prélats ... ont joué un role majeur dans les cruauté et déclin moral de la nation haitienne. Comme on le regrette à juste titre, la société est en train de perdre ses amarres culturelles. Les graines de corruption et d'assassinats semées il y a 20 ans par la " génération de makout pa ladan, Pè lebrun, ameriken se sida, pa neglige bayo so yo merite, .... ont produit une société avant tout soucieuse du sang humain et de culture de la tricherie. A ce compte, la Gauche haitienne est prête à tout pour obtenir ce qu'elle veut, quitte, le plus souvent, à employer la violence. Et ce constat vaut pour des simples citoyens, mais aussi pour la communauté internationale.
La vie des haitiens semble ne plus avoir de valeur. Les leaders de la Gauche-Socialisme éprouvent même du plaisir à faire souffrir. Ils jugent cela amusant, comme ces délinquants qui avouent s'en prendre aux autres uniquement parce que cela les excite. On dirait que la classe politique, les intellectuels, les hommes d'affaire se mettent au "garde à vous" devant l'extrême Gauche, sans culture et sans mémoire, sans perspective et sans honte. Chiens ou chats, qu'importe, puisqu'ils se roulent dans la même farine, et puisque les mêmes balles sifflent quand leurs chargeurs se vident, quand leurs paroles annoncent le pire, dans les urnes ou dans la rue... Car ils préparent ensemble le terrain à ce qui leur échappera, quand leur alliance sera devenue l'arme la plus destructrice. Les voilà déjà qui s'avancent, en file droite et chacun son tour, pour glisser une douille de plus dans le barillet de la haine. C'est comme une roulette russe avec, dans le barillet, une balle dans chaque trou...
Les menaces qui pèsent sur Haiti avec René Préval et les politiciens asservis, mais dont nous avons des signes avant-coureurs , nous font perdre le sommeil. " On ne s'en étonnera pas: il suffit de regarder ces images ci-dessous pour se sentir gagner par l'anxiété!
Qui sème la haine récolte le feu:
HAITI - recent pictures of riots

Levons bien haut nos yeux et observons pour comprendre: " Quand nous allons à l'encontre d'un immense danger, ne vaut-il pas mieux marcher en petit nombre sous le leadership d'un "Pauvre berger de la Droite" qui se soucie de nous, avec la pleine certitude de ne point être abandonné au moment de la lutte, que de traîner avec nous une foule de faux alliés.
D'où nous viendra ce dirigeant digne? Et, comment l'identifier?
Celui qui provoquera le changement en Haiti doit avoir la sensibilité d'une assistance sociale, la perspicacité d'un psychologue, la sagesse d'un enfant, la résistance d'un coureur de marathon, la ténacité d'un bouledogue,
l'autonomie d'un ermite et la patience d'un saint.

Reginald Pean

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