Michel Joseph Martelly contre toute attente des fossoyeurs d'opinions
Cette rencontre ce samedi 2 juillet 2011, en son appartement privé au Palais national, avec les patrons de médias met en déroute tous ceux-là qui ont cru et proclamé, à la veille du deuxième tour des élections présidentielles, que Michel Joseph Martelly, alors candidat à la Présidence de la République d'Haïti, serait une menace pour la presse. En effet, tous ces patrons et directeurs d'opinion ont vu en ce geste du Chef de l'Etat la preuve d'un président ouvert et conscient de la nécessité de resserrer les liens avec la presse et ainsi lui permettre d'exercer librement ses fonctions.
Alors, comment un président qui, dans sa vision et ses préoccupations, met les intérêts de la population en premier lieu, et qui, pour ce faire, croit que la presse reste l'outil indispensable pour asseoir sa politique fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique, peut-il être traité d'antipopulaire et/ou d'ennemi de la presse ?
Un président qui demande aux médias de monter des projets qui leur permettront de mieux faire leur travail et qui leur promet toute son assistance, ne peut pas constituer une menace pour la presse. Ce débat est démodé. D'ailleurs, aujourd'hui, et même bien avant son arrivée sur la scène politique, alors qu'il était musicien, le Chef de l'Etat, par son attitude face aux nombreux commentaires et critiques houleuses de la presse, prouve, et a toujours montré, que ses relations avec la presse doivent rester cordiales.
Regardons ses prises de parole et ses plaisanteries, samedi dans son appartement privé au Palais national, avec le directeur de la Radio Caraïbes, M. Patrick Moussignac, l'un des patrons de média zélés, qui a beaucoup travaillé contre la candidature de M. Martelly ! Il aurait pu se baser sur toutes les machinations politiques de ce dernier visant à dégrader son image pour ne plus l'inviter. Mais, non, le Chef de l'Etat a préféré encourager ses patrons de médias à continuer de faire librement leur travail, moyennant que les résultats ne servent pas à offrir une mauvaise image du pays à l'étranger.
Alors, soyons plus rationnels, moins pessimistes. Ce n'est qu'un premier pas. Les jours à venir s'annoncent encore plus fructueux, en ce qui attrait aux relations cordiales de M. Martelly avec la presse. Il ne cesse d'ailleurs de le claironner : c'est avec le soutien de cette dernière qu'il arrivera à favoriser le développement intégral du peuple haïtien et l'accès à l'éducation pour tous.
Alors, comment un président qui, dans sa vision et ses préoccupations, met les intérêts de la population en premier lieu, et qui, pour ce faire, croit que la presse reste l'outil indispensable pour asseoir sa politique fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique, peut-il être traité d'antipopulaire et/ou d'ennemi de la presse ?
Un président qui demande aux médias de monter des projets qui leur permettront de mieux faire leur travail et qui leur promet toute son assistance, ne peut pas constituer une menace pour la presse. Ce débat est démodé. D'ailleurs, aujourd'hui, et même bien avant son arrivée sur la scène politique, alors qu'il était musicien, le Chef de l'Etat, par son attitude face aux nombreux commentaires et critiques houleuses de la presse, prouve, et a toujours montré, que ses relations avec la presse doivent rester cordiales.
Regardons ses prises de parole et ses plaisanteries, samedi dans son appartement privé au Palais national, avec le directeur de la Radio Caraïbes, M. Patrick Moussignac, l'un des patrons de média zélés, qui a beaucoup travaillé contre la candidature de M. Martelly ! Il aurait pu se baser sur toutes les machinations politiques de ce dernier visant à dégrader son image pour ne plus l'inviter. Mais, non, le Chef de l'Etat a préféré encourager ses patrons de médias à continuer de faire librement leur travail, moyennant que les résultats ne servent pas à offrir une mauvaise image du pays à l'étranger.
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