dimanche 30 septembre 2012

Une opposition hétéroclite sans lendemain

Une opposition hétéroclite sans lendemain

L'opinion nationale et internationale est témoin  du fiasco de cette opposition  politique mort-née. Appuyée par un certain nombre de stations de radio dont leur fond de commerce est le « Zin politique », cette opposition de ripous n'a pas pu empêcher la réouverture des classes  du premier octobre, elle n'a pas la crédibilité suffisante pour convoquer le peuple sur ses vraies  revendications. Ces hommes et femmes de cette contestation sans fondement ont été de tous les régimes politiques des 30 dernières années et de surcroit des consommateurs  politiques c'est-à-dire ils vivent de la politique pour des raisons souvent inavouées. Paul Denis dans son intervention dans Ranmase de Radio Caraïbe a annoncé les couleurs en disant qu'il ne va pas abandonner la déstabilisation. Ces hommes et femmes doivent accepter la démocratie procédurale c'est-à-dire la périodicité des élections pour accéder au pouvoir politique. Ces politiciens du dimanche n'ont aucun choix d'aller aux élections pour une fois de plus être désavoués et humilies par le peuple haïtien.

Le peuple haïtien n'est pas la propriété de quelques profiteurs, cette manifestation du dimanche en est l'expression. Il est mature et attaché aux règles démocratiques. Au nom de la sagesse politique, nous demandons à cette opposition d'arrêter de compromettre  les jours de classes des filles et fils des gens du peuple. Nous saluons la lucidité des gens des quartiers populaires qui ne veulent plus être des manipulés. Nous savons qu'ils sont fatigués et épuisés. Le président Martelly est a l'écoute de cette masse méprisée et souffrante. Il travaille pour les 100% haïtiens en mal de vivre dans leur pays mais il porte une attention particulière sur les 77% vivant avec moins d'un dollar US par jour.Messieurs les déstabilisateurs, le temps politique évolue avec les méthodes. 2012 n'es pas 2004.

Bâtissons une Haïti de paix. Acceptons le jeu démocratique. N'ayez pas peur des élections.

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