Après trois (3) ans de conspiration et de tapage, l'opposition haïtienne n'a rien à proposer qu'une opération nommée « BOUKINA FASO ».
En classant Haïti, la 1ère République Noire, au même rang que le Boukina Faso, un pays sorti de dictature 28 ans après la chute de Jean-Claude Duvalier, ces extrémistes de l'opposition sont devenus de plus en plus ridicules aux yeux de la population haïtienne qui n'oubliera jamais les actes terroristes et les crimes commis lors de l' "Opération Bagdad". Un nom choisi par les extrémistes haïtiens de Gauche et des partisans d'Aristide (Lavalas), dans un contexte où la guérilla iraquienne et Al Qaida organisaient des attentats à Bagdad, assassinaient des soldats américains et égorgeaient des civiles occidentaux à Bagdad.
Ce mouvement de guérilla urbaine, lancé en 2005 par ces mêmes extrémistes corrompus par la bourgeoisie traditionnelle et la mafia locale d'Haïti qui sont engagées dans une lutte sous couvert démocratique contre la modernisation de l'Etat haïtien, avait causé la mort de plusieurs centaines de civiles innocents et de policiers haïtiens sans compter les enlèvements.
Malgré le silence inexplicable des organisations de Droits humains sur ces atrocités de l'extrême gauche d'Haïti, il s'agissait du pur terrorisme, comparable à celui de l'Etat islamique (E.I.) qui sacrifie des innocents dans le but d'imposer sa vision du monde et de l'Etat.
Le gouvernement Martelly-Lamothe doit prendre au sérieux ces menaces et adopter les dispositions qui s'imposent pour assurer la paix et l'ordre public en Haïti.
De plus, ces extrémistes doivent au moins donner des éclaircissements sur leurs sources de financement. Car, après 3 ans d'activités de déstabilisation couteuses, on ne saurait parler d'action citoyenne légitime et bénévole.
Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haïti
18 novembre 2014
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