Les dernières intempéries et les dégâts causés dans les grandes villes mettent à nu le dilemme du développement en Haiti. A quelques jours du lancement de la caravane de développement du Président Jovenel Moise, plusieurs grandes villes sont touchées par des inondations créant ainsi l’obligation de démobiliser certains matériels pré-positionnés dans la plaine de l’Artibonite en attendant le 1er mai, dans l’objectif de relancer la réhabilitation des infrastructures agricoles.
Il est donc impératif d’éviter une approche linéaire de l’action gouvernementale. Si sur le plan politique, le Président Jovenel a choisi les parlementaires en demandant au militants d’attendre, ce serait suicidaire d’abandonner les grandes villes au profit du milieu rural. De plus, on ne peut pas abandonner les chômeurs au profit des travailleurs, ni les familles appauvries des bidonvilles pour se concentrer sur les industriels créateurs d’emplois.
Car, en plus des intempéries continues avant l’arrivée même de la saison cyclonique, il y a les masses des quartiers populaires qui ne peuvent plus attendre. Le Ministère des affaires sociales, le Ministère de l’intérieur et le Fonds d’Assistance Economique Sociale (FAES) ont le devoir d’intensifier leurs interventions dans l’espace urbain afin d’éviter un éclatement social. On ne peut pas demander aux pauvres des villes d’attendre le résultat des interventions en milieu rural.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 30 Avril 2017 reseaucitadelle@yahoo.fr @reseaucitadelle WhatsApp: 509-3686-9669
https://www.facebook.com/LeRecitHaiti/posts/10156189828434478
Il est donc impératif d’éviter une approche linéaire de l’action gouvernementale. Si sur le plan politique, le Président Jovenel a choisi les parlementaires en demandant au militants d’attendre, ce serait suicidaire d’abandonner les grandes villes au profit du milieu rural. De plus, on ne peut pas abandonner les chômeurs au profit des travailleurs, ni les familles appauvries des bidonvilles pour se concentrer sur les industriels créateurs d’emplois.
Car, en plus des intempéries continues avant l’arrivée même de la saison cyclonique, il y a les masses des quartiers populaires qui ne peuvent plus attendre. Le Ministère des affaires sociales, le Ministère de l’intérieur et le Fonds d’Assistance Economique Sociale (FAES) ont le devoir d’intensifier leurs interventions dans l’espace urbain afin d’éviter un éclatement social. On ne peut pas demander aux pauvres des villes d’attendre le résultat des interventions en milieu rural.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 30 Avril 2017 reseaucitadelle@yahoo.fr @reseaucitadelle WhatsApp: 509-3686-9669
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