#Haiti - Massacre #LaSaline : Des organisations de droits humains qui contrôlent la justice parce qu’elles sont membres du pouvoir judiciaire #CSPJ, peuvent-elles crier à IMPUNITÉ? #LeReCit
1- Le procès du massacre de La Saline n’avance pas, à cause d’un recours légal en Cassation, intenté par l’une des personnes concernées par l’enquête.
2- La justice étant dysfonctionnelle, la Cour de Cassation prend un temps fou pour trancher sur le point litigieux.
3- Les organisations de Droits humains en profitent pour accuser l’Exécutif de bloquer la justice.
4- Or, cedit secteur des Droits humains contrôle la justice à partir du #CSPJ (Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire) dont il est membre. De plus, ces représentants des Droits humains au sein du Pouvoir judiciaire rencontrent les Juges de la Cour de Cassation, presque chaque jour, lors des séances de travail du #CSPJ.
5- Pourtant, c'est l’Exécutif que ce même secteur qui codirige le pouvoir judiciaire accuse de blocage du procès du Massacre de #LaSaline.
Ne voyez vous là une manœuvre politicienne visant à embarrasser injustement le président de la République Jovenel Moïse? N'est-ce pas honteux et cynique d'instrumentaliser les victimes de #LaSaline à des fins de propagande politique?
Huit (8) ans après la création du Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire (CSPJ), par le gouvernement Martelly-Lamothe qui voulait appliquer les recommandations Constitutionnelles sur l'indépendance du Pouvoir Judiciaire, séparé de l’Exécutif et du Législatif, tout le monde peut constater un chaos total au sein de la justice haïtienne :
* Augmentation du nombres de personnes en détention préventive prolongée, donc emprisonnées illégalement;
* Grèves incessantes des juges, des greffiers, des huissiers;
* La paralysie de la justice au Cap-Haitien à cause d’une grève des avocats;
* Corruption généralisée, dont la décision dans l’Affaire Dadou Jean-Bart est le scandale le plus médiatisé.
Au lieu de se consacrer à faire fonctionner la justice dont elles sont co-dirigeantes, les organisations des droits humains passent leur temps à indexer le président de la République dans le cadre d'une campagne politique sournoise visant à faire main basse sur le pouvoir Exécutif, comme au temps des militaires putschistes.
Telle est la réalité qu'on cherche à dissimuler.
Mais, on peut difficilement tromper un homme averti qui fait son travail de recherche et d’analyse.
Depuis le mois de juillet 2019, conformément à l’article 8 de la loi du 13 novembre 2007 sur l’organisation de la justice, Me Chenet Jean-Baptiste est le représentant des Droits humains au #CSPJ. Jusqu’à présent, le secteur des droits humains n’a jamais dénoncé le fonctionnement du Pouvoir judiciaire ni exigé la démission de son représentant.
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