(Posté à RESEAU CITADELLE le 14 Août 2008)
Nos informations en provenance de diverses sources dignes de foi nous confirment qu’une compagnie routière opérant dans le Nord d’Haiti, se livre à des actes de brigandage et de déprédation des terrains privés d’où sont extraits à longueur de journée du sable, du gravier, des pierres et autres matériaux destinés à la construction de la route Cap-Ouanaminthe.
Violant les droits de propriété, la Compagnie Ghella extrait des remblais sur des terrains cultivés, entrainant la perte de centaines d’arbres frutiers et d’autres cultures vivrières sur les propriétés envahies.
Des témoignages dignes de foi confirment qu’une flotte de plus de quarante camions de 16 mètres cubes sont à pied d’oeuvre de sept heures du matin à cinq heures du soir.
Il semble même qu’une grande propriété sur laquelle devait etre édifié un vaste complexe hotelier ait été complètement endommagé par la Ghella, anéantissant du même coup ce projet de développement touristique.
Faut-il signaler que l’exploitation sauvage de cette propriété affecte considérablement l’écologie de la zone. L’environnement en est sorti dégradé. Une lettre de la DDAN (Direction Départementale Agricole Nord) en date de 7 juillet 2008, adressée à Monsieur Elio RISO, a mis en garde la compagnie GHELLA sur les conséquences de ses méfaits.
Nous lisons :
‘‘.., les activités d’exploitation lorsqu’elles ne s’exécutent pas dans un espace plus ou moins fermé et d’une façon controlée, peuvent déclencher des catastrophes imprévisibles incluant des pertes en vie humaine et animale, de récoltes et d’immeubles.
Eu égard, poursuit-elle, à toutes les vibrations du sol que pourrait provoquer l’imposante flotte des véhicules lourds travaillant pour le compte de votre firme, la DDAN s’attend à une destruction imminente et totale dans les prochains jours.’’
On se demande si la Ghella aurait pu se permettre de violer avec une telle imprudence le droit de propriété dans un pays où les responsables de l’ordre public font respecter le droit et la morale.
Ces actes de déprédation et de vandalisme perpétrés par une Compagnie étrangère, constituent un véritable scandale, une atteinte à la Souveraineté Nationale et aux droits des gens.
Le propriétaire victime exige dédommagements et réparations. Il souhaite que justice soit rendue.
Cap-Haitien, Haiti
Nos informations en provenance de diverses sources dignes de foi nous confirment qu’une compagnie routière opérant dans le Nord d’Haiti, se livre à des actes de brigandage et de déprédation des terrains privés d’où sont extraits à longueur de journée du sable, du gravier, des pierres et autres matériaux destinés à la construction de la route Cap-Ouanaminthe.
Violant les droits de propriété, la Compagnie Ghella extrait des remblais sur des terrains cultivés, entrainant la perte de centaines d’arbres frutiers et d’autres cultures vivrières sur les propriétés envahies.
Des témoignages dignes de foi confirment qu’une flotte de plus de quarante camions de 16 mètres cubes sont à pied d’oeuvre de sept heures du matin à cinq heures du soir.
Il semble même qu’une grande propriété sur laquelle devait etre édifié un vaste complexe hotelier ait été complètement endommagé par la Ghella, anéantissant du même coup ce projet de développement touristique.
Faut-il signaler que l’exploitation sauvage de cette propriété affecte considérablement l’écologie de la zone. L’environnement en est sorti dégradé. Une lettre de la DDAN (Direction Départementale Agricole Nord) en date de 7 juillet 2008, adressée à Monsieur Elio RISO, a mis en garde la compagnie GHELLA sur les conséquences de ses méfaits.
Nous lisons :
‘‘.., les activités d’exploitation lorsqu’elles ne s’exécutent pas dans un espace plus ou moins fermé et d’une façon controlée, peuvent déclencher des catastrophes imprévisibles incluant des pertes en vie humaine et animale, de récoltes et d’immeubles.
Eu égard, poursuit-elle, à toutes les vibrations du sol que pourrait provoquer l’imposante flotte des véhicules lourds travaillant pour le compte de votre firme, la DDAN s’attend à une destruction imminente et totale dans les prochains jours.’’
On se demande si la Ghella aurait pu se permettre de violer avec une telle imprudence le droit de propriété dans un pays où les responsables de l’ordre public font respecter le droit et la morale.
Ces actes de déprédation et de vandalisme perpétrés par une Compagnie étrangère, constituent un véritable scandale, une atteinte à la Souveraineté Nationale et aux droits des gens.
Le propriétaire victime exige dédommagements et réparations. Il souhaite que justice soit rendue.
Cap-Haitien, Haiti
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