No. 2009/63 UN ANCIEN RESIDENT DU CONNECTICUT ACCUSE D'AVOIR ABUSE SEXUELLEMENT DES ENFANTS EN HAÏTI M. Douglas Perlitz 39 ans, résident du Colorado a été accusé d'avoir abusé sexuellement de plusieurs garçons en Haïti depuis environ une décennie. Il a été inculpé par le Département américain de la Justice de sept chefs d'accusations pour voyage à l'extérieur des États-Unis avec l'intention d'avoir des relations sexuelles avec des personnes âgées de moins de 18 ans, et trois chefs d'accusation pour avoir eu des relations sexuelles à l'étranger avec des mineurs. M. Perlitz a été le fondateur et directeur du projet Pierre Toussaint, une école de garçons au Cap-Haïtien, Haïti. M. Perlitz a été arrêté par des agents du Service américain d'Immigration et du Contrôle des Douanes (US Immigration and Customs Enforcement (ICE), à son domicile à Eagle, Colorado, dans la matinée du mercredi 16 Septembre 2009. Après son arrestation, il a comparu devant le Juge de Première Instance, Boyd N. Boland, à Denver et a été placé en garde à vue en attendant une audition qui est prévue pour le 18 Septembre prochain à Denver. "Cet accusé est soupçonné de s'être servi de sa position de chef pour manipuler et à abuser sexuellement des garçons vulnérables pendant près d'une décennie," a indiqué l'avocat américain Dannehy. "Son arrestation a été rendue possible grâce au travail diligent de la ICE, des agents du Service de Sécurité Diplomatique du Département d'Etat des Etats-Unis affectés à notre ambassade en Haiti. Cette affaire n'aurait pas été possible sans les efforts coordonnés, les ressources qu'ils ont consacrées, et leur engagement à s'assurer que justice soit rendue. "Les victimes de tourisme sexuel sont particulièrement vulnérables aux prédateurs qui les attirent avec des promesses les plus élémentaires en besoins humains, puis les dépouillent de leur innocence", a déclaré le Secrétaire adjoint à la Sécurité intérieure de l'ICE, M. Morton. "Il n'y aura aucun refuge pour les enfants des prédateurs sexuels qui croient qu'ils peuvent abuser des enfants en dehors des États-Unis. Aucun endroit n'est trop éloigné ou inaccessible à l'extérieur pour échapper à l'attention des instances policières américaines. " L'Ambassade américaine à Port-au-Prince, a mis en place une ligne téléphonique en permanence pour permettre à des personnes en Haiti disposant d'informations pertinentes pour l'avancement de l'enquête, d'appeler. Le numéro est le: 3923-2534. (Fin du texte) LEASE WITH SEXUALLY ABUSING CHILDREN IN HAITI Mr. Douglas Perlitz 39, resident of Colorado, has been accused of sexually abusing several boys in Haiti for approximately a decade. He has been charged by the U.S. Department of Justice with seven counts of traveling outside of the United States with the intent to engage in sexual conduct with individuals under the age of 18, and three counts of engaging in sexual conduct in foreign places with persons under the age of 18. PERLITZ was the founder and director of Project Pierre Toussaint, a boys school in Cap-Haitien, Haiti. PERLITZ was arrested by U.S. Immigration and Customs Enforcement (ICE) agents at his home in Eagle, Colorado on the morning of September 16. Following his arrest, he appeared before United States Magistrate Judge Boyd N. Boland in Denver and has been detained pending a detention hearing that is scheduled for September 18 in Denver. "This defendant is alleged to have used his position of power to manipulate and sexually abuse vulnerable boys for nearly a decade," U.S. Attorney Dannehy stated. "His arrest was made possible due to the diligent work of ICE, the agents involved in the investigation, and agents of the U.S. State Department Diplomatic Security Service assigned to our Embassy in Haiti. This case would not have been brought without their coordinated efforts, the resources they have devoted, and their commitment to seeing that justice is done." "Sex tourism victims are particularly vulnerable to predators who lure them with promises of the most basic of human needs then rob them of their innocence," said Homeland Security Assistant Secretary for ICE Morton. "There will be no refuge for child sexual predators who believe that they may victimize children outside the United States. No place is too distant or too remote to escape the attention of U.S. law enforcement." The United States Embassy in Port-au-Prince, has established a telephone hotline for individuals in Haiti to call with information relevant to the investigation. The number is: 3923-2534. (End of text) |
vendredi 18 septembre 2009
UN ANCIEN RESIDENT DU CONNECTICUT ACCUSE D’AVOIR ABUSE SEXUELLEMENT DES ENFANTS EN HAÏTI.
Cyrus Sibert To Ezili Danto with love \ Haiti: Enfants Et Abus Sexuels
EZILI, I was really touched by your message. I hope you realise that we have more in commun than petty issues that keep us apart. Child abuse is basically an egregious human right violation. More than ever we should unite around our comitment to uphold human values over just over some elusive political goals. It is comforting to notice that you have risen up to the occasion. This not a matter of black or white it is a human question. Peace and love. Sibert Cyrus Cap-Haitien, Haiti _____________________________ Recevez automatiquement nos articles en envoyant un email à : reseaucitadelle-subscribe@yahoogroupes.fr Lisez nos articles ou inscrivez-vous à partir de notre Blog : www.reseaucitadelle.blogspot.com Contactez-nous à : 509-3686-9669 / 509-3449-5707. emails : reseaucitadelle@yahoo.fr, reseaucitadelle@google.fr, souvenirfm@yahoo.fr. ''DEPI GUEN PATRIOT, AYTI PAKA PERI'' --- En date de : Sam 19.9.09, zili danto <erzilidanto@yahoo.com> a écrit :
|
PROTOCOLE DES FUNERAILLES OFFICIELLES DU MAESTRO HULRIC PIERRE-LOUIS.
République d'Haïti Délégation du Nord
PROTOCOLE DES FUNERAILLES OFFICIELLES DU MAESTRO HULRIC PIERRE-LOUIS FONDATEUR DE L'ORCHESTRE SEPTEMTRIONAL DECEDE LE 02 SEPTEMBRE 2009
***********************************
Cap-Haitien, les 18 et 19 septembre 2009
I. Jeudi 17 septembre 2009
Feu Vert Night Club
19 h 00 : Veillée Funèbre en mémoire du Maestro Hulric Pierre-Louis
- Salutations aux Familles du défunt
22 h 00 : Fin de la Veillée
II. Vendredi 18 Septembre 2009
Place de la Cathédrale
19 : 00 Veillée culturelle en l'honneur du Maestro Hulric Pierre-Louis
III. Samedi 19 septembre 2009
Mairie du Cap-Haïtien
7 h 00 A.M. : La Fanfare prend place au devant la Mairie
- Exposition de la dépouille mortelle du Maestro Hulric Pierre-Louis
- Le cercueil est recouvert du Drapeau National
- Arrivée des Représentants de la Presse 7h 10 : Arrivée à la Mairie du Cap-Haïtien : De la Famille Pierre-Louis Des Parents du défunt Des Membres du Groupe Septentrional
7 h 20 : Arrivée à la Mairie du Cap-Haïtien : Des Amis du défunt Des Officiels du département du Nord Des Représentants du Pouvoir Judiciaire Des Parlementaires du Nord Des Députés du Bloc Parlementaire du Nord Des Sénateurs du Nord Du Délégué Départemental du Nord Du Ministre de la Culture et de la Communication
8 h 00 : Arrivée du Représentant du Président de la République
· Salutations Funèbres
8 h 20 : Cérémonie Civile Discours du Représentant de la plus ancienne Association du Nord - Association Sportive Capoise Discours d'un Représentant de l'Orchestre Septentrional Discours du Maire du Cap-Haïtien au nom de la Municipalité
8 h 40 : Discours du Ministre de la Culture et de la Communication au nom de l'Exécutif
8 h 45 : Fin de la cérémonie civile Salutations du Représentant du Président de la République à la Famille du Défunt puis il se dirige vers la Cathédrale
· Les Officiels laissent la Mairie pour aller prendre place à la Cathédrale du Cap-Haitien
8 h 55 : Fermeture du cercueil et Levée du Corps La Levée du Corps est assurée par des Policiers de la PNH Les Membres de la Famille Pierre-Louis suivent le cercueil pour recevoir les Honneurs à la sortie de la Mairie du Cap-Haïtien.
· Sonnerie aux Morts
9 h 00 : Arrivée du convoi funèbre La dépouille est accueillie à l'entrée de la Cathédrale par le Curé
: Cérémonie Religieuse
10 h15 : Fin de la cérémonie Religieuse A l'issue de la Cérémonie Religieuse, les honneurs funèbres sont rendus à la dépouille à la sortie de la Cathédrale
· Départ des Officiels pour le Parc du Repos · Tournée du convoi dans la Cité Capoise
13 h 00 : Arrivée des Officiels au Parc du Repos · Arrivée du convoi funèbre · Formation du cortège funèbre : - Le Cercueil, les Parents, les Officiels, les Amis · Sonnerie aux Morts à l'entrée du Cimetière (le cercueil porté par des Policiers de la PNH) · Retrait du Drapeau National au devant de la tombe · Remise du Drapeau replié à la famille Pierre-Louis · Inhumation
· Salutations d'Usage
13 h 30 : Départ du Parc du Repos
Fin des Funérailles Officielles du Maestro Hulric Pierre-Louis, Fondateur de l'Orchestre Septentrional
Tenue de Ville Sombre
Protocole de la Délégation Départementale du Nord |
Bilten Meteyo Vandredi 18 Sektanm 09
SITIYASYON SINOPTIK NAN KARAYIB LA AK SOU ATLANTIK LA
Lè frèt epi yon zòn move tan kontinye ap enfliyanse meteyo Karayib Santral la . Sitiyasyon sa kapab bay lapli ak kout loraj pasipala sou Ayiti aswè a.
- Gen solèy maten an .
- Ap gen nyaj tanzantan aprè midi a ak nan aswè;
- Tanperati a ap bon nan aswè;
- Lapli modere nan kèk zòn ak kout loraj pasipala ap toujou kenbe sou depatman tankou Nòdès, Sant, Lwès, Sidès, Sid, Nip ak Grandans.
PREVIZYON POU PÒTOPRENS AK LÒT ZÒN KI BÒ KOTE'L YO
- Gen solèy maten an
- Ap gen nyaj k'ap pase nan syèl la aprè midi a ak nan kòmansman lannwit lan;
- Pi wo tanperati a ap rive pou jodia se 34°C , pi ba l'ap desan'n se 23°C;
- Gen chans pou gen lapli ak kout loraj pasipala aprè midi a ak nan aswè.
Leve ak kouche solèy pou pòtoprens:
Jodia 18 Sektanm leve : 05 è 38 mn kouche: 17 è 49 mn
Samdi 19 Sektanm leve : 05 è 38 mn kouche : 17 è 48 mn
Dimanch 20 Sektanm leve : 05 è 38 mn kouche : 17 è 47 mn
Previzyon pou Lanmè a
Vandredi 18 Sektanm 09 pou rive 19 Sektanm 09
Zòn kotyè Nò:
Vandredi & Samdi
* Van an ap soufle nan sektè Lès:10 - 15 ne;
* Vag yo ap monte 3 – 5 pye;
* Lanmè a yon ti jan ajite;
Gòlf Lagonav:
Vandredi & Samdi
* Van an ap soufle nan sektè Lès-Sidès:10- 15 ne ;
* Vag yo ap monte : 3 - 6 pye;
* Lanmè a yon ti jan ajite;
Zòn kotyè Sid:
Vandredi & Samdi
* Van an ap soufle nan sektè Lès-Sidès:10- 15 ne ;
* Vag yo ap monte : 3 - 6 pye;
* Lapli ak kout loraj pasipala se sa yo prevwa.
* Lanmè a yon ti jan ajite;
Haiti: Enfants Et Abus Sexuels (Par Stanley Lucas.)
Arretons les abus sexuels des enfants Haitiens par des etrangers par Stanley Lucas www.solutionshaiti.blogspot.com
Lettre de Stanley Lucas au Ministre des Affaires Sociales et au Directeur General du Bien Etre Social (IBESR)
Il existe un reseau mondial de predateurs sexuels qui abusent les enfants a travers le monde.
Des pedophiles traques par le systeme judiciaire et les institutions etatiques de leurs pays voyagent vers des pays du Sud dont les structures etatiques sociales et judiciaires sont faibles pour abuser de leurs enfants.
Haiti est dans la liste des destinations privilegiees de ces criminels.
Les enfants Haitiens sont abuses par eux. Douglas Perlitz, un americain, age de 39 ans a abuse sexuellement des enfants Haitiens pendant dix ans, particulierement dans le Nord d'Haiti.
Ce dernier operait une ecole denommee Pierre Toussaint en Haiti.
Voir ci-joint sa photo et celle de son ecole.
Douglas Perlitz Ecole Pierre Toussaint de Douglas Perlitz Haiti compte un nombre incalcule de ces predateurs sexuels.
Certains sont des pretres defroques.
Je vous ecris pour vous demander de prendre les mesures urgentes suivantes:
1.
Aux Etats Unis les noms de ces predateurs sexuels sont disponibles.
Leurs noms sont publies par les officiels de chaque etat. A travers le ministre des affaires etrangeres faites collecter les noms de ces criminels par nos ambassades.
Une fois obtenue, communiquez cette liste a la Direction Generale de l'Immigration et demandez qu'on interdise l'entree de ces criminels sur le territoire Haitien
2.
Travaillez avec le ministere de la justice en vue de creer une section specialisee contre les abus sexuels perpetres contre les enfants
3.
Renforcer la capacite de la section du service social de l'Institut du Bien Etre Social.
La revision immediate des normes et autorisations legales pour ouvrir un orphelinat, une ecole d'enfant (de concert avec l'education nationale), les adoptions et autres institutions similaires.
4.
Un systeme de supervision rigide de ces institutions devra etre rapidement mis en place.
5.
L'Institut du Bien etre Social devrait creer un telephone rouge pour signaler aux autorites les cas de suspicions.
La television et la radio nationale devrait informer le public de l'existence de cette ligne telephonique
6.
Travailler avec le ministere des affaires etrangeres pour mettre en place a travers les ambassades un systeme de supervision des enfants adoptes sur une periode de dix ans. cette clause devrait faire partie des formulaires d'adoptions.
7.
Demandez a nos ambassades d'obtenir les background des citoyens etrangers dans leur pays d'origine pour determiner a l'avance s'ils n'ont pas de casier judiciaire avant d'accepter leurs demarches d'adoption d'un enfant Haitien.
8.
Travailler avec des organisations de la societe civile pour les aider a trouver des fonds disponibles au sein de la communaute internationale pour arreter ces abus.
9.
Travailler avec le parlement pour l'augmentation des ressources de l'Institut du Bien Etre Social
10.
Propositions au parlement par le ministere des affaires sociales de nouvelles loi sur l'adoption et le fonctionnement des institutions sociales en Haiti.
Le pays doit un remerciement special au journaliste Cyrus Sibert.
C'est grace a lui et sa perseverance que les enfants du Cap peuvent parler de justice aujourd'hui.
C'est lui qui a attire l'attention du public sur ce dossier.
Suite a ses articles l'Ambassade americaine a Port-au-Prince avait immediatement declaenche une enquete et fait le suivi.
La Chambre de Commerce du Nord et les citoyens responsables devraient le remercier et l'honorer.
Merci Cyrus.
Je suis d'accord avec Cyrus, les enfants Haitiens meritent mieux des autorites.
Posted by Stanley Lucas on 9/17/09 11:14 PM
Haiti’s Changing Tide: A Sustainable Security Case Study.
SOURCE: AP/Lynne Sladky
The United States should use the brief "dual window" in Haiti to initiate a virtuous circle of development.
By Reuben Brigety, Natalie Ondiak September 1, 2009
Print
.">Email
-->Text-size: A A A
Share: Read the full report (pdf) Download the executive summary (pdf) Video: Experts in the Field: Haiti Video: Natalie Ondiak on a sustainable security approach to Haiti More about the Sustainable Security Program
Haiti is a country that simultaneously has a rich history and a troubled past. As the first free black republic, it stood as a symbol of hope for those fighting against slavery and colonial oppression in the 19th and 20th centuries. Many of its artists and musicians are world renowned.
The indigenous adaptation of Creole and the religion of voodoo underlie a culture that is vibrant, layered, and powerful. It is a country of stark topography and resilient people. Citizens live in a diaspora spread across the globe, but remain continually connected to events at home. Haiti has also been continually plagued by a variety of intractable problems. Cycles of political upheaval, economic collapse, endemic poverty, rampant criminality, and natural disasters have ravaged the nation since its inception. Pessimistic observers consider it a lost cause with challenges that are too great for the global community to tackle. Yet its proximity to the United States—600 miles south of Florida—makes it impossible to ignore. And developments in the first half of 2009 suggest that Haiti is once again on the agenda of American and international policy makers. Haiti is currently experiencing one of the best combinations of open political space and physical security that the country has seen in decades. The stability is due in large part to the United Nations peacekeeping force, which has helped maintain order since 2004. Haiti's President René Préval, elected in 2006, is also well regarded by the international community. And the democratically elected government is defined neither by corruption nor predatory behavior, unlike in many previous administrations. U.S. President Barack Obama has committed the United States to improving its development assistance to fragile states such as Haiti, and Secretary of State Hillary Clinton is personally interested in helping the country.
The United Nations recently named former U.S. President Bill Clinton as its new special envoy for Haiti. And a major international donors conference hosted by the Inter-American Development Bank was held in Washington in April 2009, during which countries pledged over $300 million in foreign aid to Haiti. All of these factors make the current situation in Haiti more promising than it has been in a long time.
But Haiti has failed before, and it could fail again without the right kind of intervention. As President Preval said when he visited Washington in early 2009, "I believe we are at a very serious turning point. We can either win or lose." The sustainable security paradigm developed by the Center for American Progress provides a useful framework for examining developments in Haiti and rethinking U.S. policy toward the country. Sustainable security is a view of foreign policy that combines national security, collective security, and human security. It argues that the challenges arising from poor development outcomes can present very real threats to American security. As such, the best way to meet such national security threats is to address the core development problems from which they arise, and to do so in a cooperative manner with the host government and the international community. The core of the sustainable security approach is to use the nexus between development and security as both a means of identifying threats to our interests and a method for dealing with them. The complexity of Haiti's development challenges makes it a highly appropriate candidate for the sustainable security model.
The United States and the donor community must seize the rare opportunity to help Haiti onto the path of sustainable development and political stability. Haiti is a country where the links between development and security are profound. CAP therefore conducted a field-based research mission to analyze U.S. policy toward Haiti using the sustainable security paradigm. The intent was to determine new defense, diplomatic, and development interventions that the United States, Haiti, and the international donor community could take to support long-term stability and economic growth in the country. CAP researchers conducted extensive pre-mission research in the late spring of 2009 to review relevant policy documents and interview Haiti experts in Washington. The researchers received briefings from the U.S. Southern Command in Miami on June 8, 2009, and then they traveled to Haiti from June 9-17. They met in Haiti with senior members of the U.N. Stabilization Mission in Haiti, or MINUSTAH, as well as members of the diplomatic community, non-governmental organizations, and the Haitian government. They visited sites throughout Port-au-Prince, including Cité Soleil, and the Central Plateau. This report is not intended to be an exhaustive examination of Haiti's history and relationship with the United States and international community. It aims to examine current conditions in Haiti through the sustainable security lens as a means of searching for fresh policy approaches to the country. Analysis of the field research suggests that Haiti is experiencing a rare "dual-window" of opportunity in which conditions in Haiti and the United States make substantial change possible. These conditions will not last forever, however, and time is of the essence to take advantage of this rare opportunity. CAP's research confirmed two vital points. The first is that the creation of large numbers of jobs in the near term is absolutely essential for preserving security in Haiti long enough to start a cycle of sustainable development. The second is that the Haitian government needs substantial help to improve its capacity to perform essential services that would stimulate economic growth and improve access to basic services for the population. To this end, CAP recommends that the United
States and international community take the following steps:
Establish a governance capacity partnership program to strengthen the functioning of the Haitian government bureaucracy in the near term and train the Haitian civil service in the medium and long term.
Invite the U.N. Office of the Coordinator for Humanitarian Assistance, in cooperation with the Haitian government, to register NGOs operating in Haiti to coordinate and regulate the provision of essential services.
Expand MINUSTAH's mandate to promote economic development through repositioning forces to protect commercial infrastructure.
Encourage the Haitian government to revise laws relating to the Haitian diaspora in a manner that facilitates their involvement in the Haitian economy and government.
Direct the Department of Defense to reauthorize the Haiti Stabilization Initiative.
Hold a Review Donors Conference not later than June 2010 to increase donor pledges in support of the Poverty Reduction Strategy Paper and New Paradigm. The United States and the donor community must seize the rare opportunity to help Haiti onto the path of sustainable development and political stability. Doing so would reflect American values, promote American interests, and prove America's capacity to achieve real results through smart development interventions. The people of Haiti are ready for the partnership.
http://www.americanprogress.org/issues/2009/09/haiti_report.html
Les efforts des renards affames pour saboter la reflexion patriotique de la republique dominicaine
par Stanley Lucas
Les petits renards pataugeants dans la mediocrite ont peur d'une prise en main des dossiers nationaux par des hommes competents. Preuve? Aucune reaction sur les dossiers traites a Santo Domingo, aucune contre proposition, pourtant j'ai lu http://www.haitipolicy.org/ des propositions de solutions economiques geniales, j'ai aussi lu une analyse et des propositions serieuses sur la reforme des partis politiques, sur l'amendement de la constitution, sur la gouvernance, sur l'occupation et la reconquete de notre souverainete, l'aide internationale, l'education superieure, les concepts existants et comment en profiter sans reinventer la roue. Ou sont les contre propositions des petits renards affames?
Je suis etonne que des gens serieux se laissent entrainer par des dindons ki pa kampe sou anyen dans un debat sur le lieu de la rencontre qui n'a rien avoir avec la substance pour le changement qui est pour moi la priorite du peuple Haitien. Nou dwe sispann kite ti vagabonds, chimeres rale nou ak tout peyi a nan labou. Ils font ca depuis lplus de vingt ans et nous connaissons les resultats. Nous n'avons qu'a lire le rapport sur les indicateurs de developpement humain et vous comprendrez ces farceurs.
Cette apporche vagabonde et torpilleuse leur a permis d'eviter le debat, le echanges sur les dossiers nationaux importants et se concentrer sur des rans pour eviter d'etre responsabilise. Ne nous laissons pas faire. S'il veulent parler de Santo Domingo comme lieu de la rencontre, laissez-les faire mais ne perdez pas votre temps a repondre a des insnites.
Nous continuerons a preparer les dossiers importants pour les citoyens, pour la nation: La creation d'emplois, une strategie de securite nationale, l'augmentation de la production agricole, la lutte contre le kidnapping, la cocaine et la corruption. On les prendra au serieux quand ils prendront le temps de preparer, d'elaborer des contre-propositions pour nous sortir Haiti du petrin, petrin qu'ils ont d'ailleurs cree. A partir d'aujourd'hui laissez-les parler de Santo Domingo. Les gens serieux interesses a aller de l'avant je vous propose de traiter les themes suivants:
1. Mounting Demographic Pressures
Pressures deriving from high population density relative to food supply and other life-sustaining resources
Pressures deriving from group settlement patterns that affect the freedom to participate in common forms of human and physical activity, including economic productivity, travel, social interaction, religious worship
Pressures deriving from group settlement patterns and physical settings, including border disputes, ownership or occupancy of land, access to transportation outlets, control of religious or historical sites, and proximity to environmental hazards
Pressures from skewed population distributions, such as a "youth or age bulge," or from divergent rates of population growth among competing communal groups
2. Massive Movement of Refugees or Internally Displaced Persons creating Complex Humanitarian Emergencies
.Forced uprooting of large communities as a result of random or targeted violence and/or repression, causing food shortages, disease, lack of clean water, land competition, and turmoil that can spiral into larger humanitarian and security problems, both within and between countries.
3. Legacy of Vengeance-Seeking Group Grievance or Group Paranoia
History of aggrieved communal groups based on recent or past injustices, which could date back centuries
Patterns of atrocities committed with impunity against communal groups
Specific groups singled out by state authorities, or by dominant groups, for persecution or repression
Institutionalized political exclusion
Public scapegoating of groups believed to have acquired wealth, status or power as evidenced in the emergence of "hate" radio, pamphleteering and stereotypical or nationalistic political rhetoric 4. Chronic and Sustained Human Flight "Brain drain" of professionals, intellectuals and political dissidents fearing persecution or repressionVoluntary emigration of "the middle class," particularly economically productive segments of the population, such as entrepreneurs, business people, artisans and traders, due to economic deterioration Growth of exile communities
Economic Indicators
5. Uneven Economic Development along Group LinesGroup-based inequality, or perceived inequality, in education, jobs, and economic statusGroup-based impoverishment as measured by poverty levels, infant mortality rates, education levels Rise of communal nationalism based on real or perceived group inequalities.
6. Sharp and/or Severe Economic Decline
A pattern of progressive economic decline of the society as a whole as measured by per capita income, GNP, debt, child mortality rates, poverty levels, business failures, and other economic measures
Sudden drop in commodity prices, trade revenue, foreign investment or debt payments
Collapse or devaluation of the national currency
Extreme social hardship imposed by economic austerity programs
Growth of hidden economies, including the drug trade, smuggling, and capital flight
Increase in levels of corruption and illicit transactions among the general populace
Failure of the state to pay salaries of government employees and armed forces or to meet other financial obligations to its citizens, such as pension payments
Political Indicators
I-7. Criminalization and/or Delegitimization of the State
Massive and endemic corruption or profiteering by ruling elites
Resistance of ruling elites to transparency, accountability and political representation
Widespread loss of popular confidence in state institutions and processes, e.g., widely boycotted or contested elections, mass public demonstrations, sustained civil disobedience, inability of the state to collect taxes, resistance to military conscription, rise of armed insurgencies
Growth of crime syndicates linked to ruling elites
8. Progressive Deterioration of Public Services Disappearance of basic state functions that serve the people, including failure to protect citizens from terrorism and violence and to provide essential services, such as health, education, sanitation, public transportation State apparatus narrows to those agencies that serve the ruling elites, such as the security forces, presidential staff, central bank, diplomatic service, customs and collection agencies .
9. Suspension or Arbitrary Application of the Rule of Law and Widespread Violation of Human Rights
Emergence of authoritarian, dictatorial or military rule in which constitutional and democratic institutions and processes are suspended or manipulated
Outbreak of politically inspired (as opposed to criminal) violence against innocent civilians
Rising number of political prisoners or dissidents who are denied due process consistent with international norms and practices
Widespread abuse of legal, political and social rights, including those of individuals, groups or cultural institutions (e.g., harassment of the press, politicization of the judiciary, internal use of military for political ends, public repression of political opponents, religious or cultural persecution)
10. Security Apparatus Operates as a "State Within a State"
Emergence of elite or praetorian guards that operate with impunity
Emergence of state-sponsored or state-supported private militias that terrorize political opponents, suspected "enemies," or civilians seen to be sympathetic to the opposition
Emergence of an "army within an army" that serves the interests of the dominant military or political clique
Emergence of rival militias, guerilla forces or private armies in an armed struggle or protracted violent campaigns against state security forces
11. Rise of Factionalized Elites
Fragmentation of ruling elites and state institutions along group lines
Use of nationalistic political rhetoric by ruling elites, often in terms of communal irredentism, (e.g., a "greater Serbia") or of communal solidarity (e.g., "ethnic cleansing" or "defending the faith")
12. Intervention of Other States or External Political Actors
Military or Para-military engagement in the internal affairs of the state at risk by outside armies, states, identity groups or entities that affect the internal balance of power or resolution of the conflict
Intervention by donors, especially if there is a tendency towards over-dependence on foreign aid or peacekeeping missions
Le courage de déplaire...penser les formes concrètes de la rupture.
La chronique hebdomadaire de l'écrivain Lyonel Trouillot mardi 15 septembre 2009, Radio Kiskeya En publiant ma chronique intitulée "Une vieille gauche avilie" dans les colonnes du quotidien Le Matin, je n'imaginais pas qu'elle provoquerait autant de réactions. Réponses, opinions, articles, émissions de radio. Au-delà de ce que les uns et les autres pensent de mes écrits, je suis heureux d'avoir pu contribuer au débat sur la seule question qui me semble d'une véritable importance. Comment transformer la société haïtienne dans le sens des intérêts de la majorité de la population ? Comment combattre l'injustice sociale, l'indécent partage inégal des richesses, le mépris du populaire qui caractérisent la formation sociale haïtienne ? Dans les années qui ont suivi la chute de Jean-Claude Duvalier, on a assisté à deux choses : une volonté de continuation de la part de certains pouvoirs (rien n'étant fait du lieu de l'Etat pour réorganiser les rapports sociaux dans le sens des intérêts de la majorité de la population) ; une volonté d'instrumentaliser le mécontentement populaire au profit des intérêts individuels des personnes au pouvoir ou aspirant au pouvoir. Soit la répression dans laquelle les militaires excellaient. Soit la mascarade populiste qui elle aussi a eu recours à des formes de répression et qui a utilisé le banditisme comme une arme politique. Les conditions de production de la richesse comme de la pauvreté n'ont pas changé ; la hiérarchie sociale n'a pas changé ; la dépendance vis-à-vis de la « communauté internationale » s'est renforcée. Au début des années 2000, il y avait un semblant de prise de conscience de la nécessité d'au moins une réforme radicale du fonctionnement de l'Etat et d'une nouvelle orientation de l'organisation sociale. Aujourd'hui, cela semble oublié. L'on est de plus en plus ouvertement réactionnaire. On en veut aux pauvres de vouloir plus. On réclame le droit d'être riche en regardant crever les autres. On réclame le droit de bénéficier des richesses du pays tout en tournant le dos aux autres haïtiens. Qu'importe que la scolarité universelle n'existe pas, j'envoie mes enfants à l'école. Qu'importe que le système scolaire haïtien soit en difficulté, j'envoie mes enfants dans une école étrangère… Les individus affichent ouvertement leurs préjugés, les riches se battent férocement pour le maintien de leurs privilèges. Du lieu de l'Etat, Aristide avait adopté une posture populiste qui l'obligeait à dénoncer l'injustice sociale. L'actuel gouvernement n'est même pas populiste. Il est incapable de fixer une des priorités, d'affirmer une idéologie politique qui guiderait son action. La « classe politique » - pour employer une expression que je n'aime pas – ne propose rien qui montre une volonté de rompre avec l'inacceptable exploitation – exclusion – de la majorité qui est une des marques de la formation sociale haïtienne. C'est ce nouveau discours qu'il est aujourd'hui important de produire. C'est à cette tâche qu'on doit s'atteler. Qui va faire quoi pour que cette société produise moins d'injustice sociale et progresse en offrant à chacun de ses membres de se considérer comme citoyen haïtien ? Je vois mal comment cela peut se faire sans déplaire à quelques uns dont les intérêts s'opposent à ceux de la majorité, sans déplaire aussi à la « communauté internationale » ou tout au moins à quelques uns de ses représentants et membres qui aiment bien dicter les ordres et auxquels, hélas, nos dirigeants ont pris l'habitude d'obéir. C'est ce courage de déplaire qu'il faut aujourd'hui. Les rapports entre les classes sociales, les rapports entre l'Etat et la nation sont tels qu'on ne produira pas de bien pour la majorité de la population en les perpétuant. L'urgence est de penser les formes concrètes de la rupture. Lyonel Trouillot |
Haiti Lettre de Stanley Lucas aux présidents des deux chambres: Les propositions d’amendent votées le 14 septembre 2009 sont irrecevables.
Wednesday, September 9, 2009Haiti Lettre de Stanley Lucas aux présidents des deux chambres: Les propositions d'amendent votées le 14 septembre 2009 sont irrecevables. Messieurs: Je ne m'attarderai pas sur le fait que depuis le 4 septembre 2009, suite à la fameuse séance -sans quorum, de validation, le sénat de la république fonctionne dans l'inconstitutionnalité et l'illégalité la plus flagrante. L'objet de ma missive est la séance séparée des deux chambres organisée le 14 septembre 2009 en vue de proposer des amendements de la constitution 1987. Ces deux séances ont été, tant sur le fond que dans la forme, entachées d'irrégularités graves. Pour amender la constitution, la procédure suivante doit être religieusement suivie par les deux chambres: 1. Voter le principe de l'amendement, ce qui n'a pas été fait ; 2. Considérer les articles à amender, les réviser un à un par un vote séparé pour chaque article modifié. A la fin, un vote sur l'ensemble des articles amendés doit obligatoirement avoir lieu. Ceci n'a pas, non plus, été fait. Dans votre empressement coupable, vous avez violé les règles de base gouvernant les deux chambres. Qui plus est : chaque chambre a voté un texte complètement différent ! Celui voté par le sénat n'est pas conforme à celui voté par la chambre des députés. Ce fait a été constaté par vos collègues parlementaires et par les membres de la presse, présents sur place. Pour plus de détails cliquez ici: http://radiokiskeya.com/ Il faudrait donc une réunion de travail des deux bureaux des deux chambres et des commissions appropriées, aidées d'experts, pour la réconciliation des deux textes. Une fois ce processus complété, les deux chambres de la 48ème devraient ensuite voter sur cette réconciliation. A ce niveau, deux problèmes se posent : 1. La constitution est claire, aucune des deux chambres ne peut se prononcer sur ce sujet après la fin de la deuxième session ordinaire. Hier, 14 septembre 2009, marquait la fin de la deuxième session ordinaire du parlement. Ceux qui préparaient ce mauvais coup à la nation n'avaient nullement prévu cette réalité. 2. Même un prolongement du mandat de la chambre des députés, qui serait une décision purement politique, ne peut corriger cette anomalie. Ce prolongement, à caractère politique, n'aurait aucune implication légale sur le processus d'amendement. La chambre des députés, depuis hier 14 septembre, est à la fin de son mandat et n'a aucune autorité légale et constitutionnelle pour revenir sur cet amendement qui est, à nos yeux, irrecevable. Pour amender légalement la constitution, il faudra attendre quatre ans. Les décisions d'hier sont illégales et inconstitutionnelles et ne peuvent, en aucun cas, servir pour changer la constitution de mon pays. Je vous saurais gré de bien vouloir prendre les mesures nécessaires pour garantir la préséance de la loi. Je suggère que vous preniez acte du fait que le mache prese d'hier n'a aucun aspect pas légal. Toujours dans ma lutte constante pour la démocratie et le respect de la loi, je vous prie, messieurs, mesdames les parlementaires, de recevoir mes patriotiques salutations. Preval a l'ecole de Chavez, reussi la premiere etape de son coup contre la constitution Sans aucune consultation citoyenne, sans interroger les organisations de leurs circonscriptions, sans mise en place d'une commission parlementaire nationale de réflexion sur la constitution de 1987, sans l'aide d'aucun expert, 71 députés ont ratifié, les yeux fermés et toute fierté bue, le document d'amendement préparé par René Préval et ses chiourmes le lundi 14 septembre au cours d'une séance qui a duré trois heures. Cette séance marathon s'est tenue dans la foulée d'une réunion de quatre heures au palais national menée tambour battant par les députés Nelson, Laurore, Lumerant, Guiloge, Macardieu, Hyacinthe et les sénateurs Beauzile, Latortue et Anacassis. Préval a donc, avec brio, réussi la première partie de son coup grâce à l'aide de députés vendus et de partis politiques crasseux et médiocres. Si cette fenêtre ouverte par la Chambre Basse est confirmée par le sénat : le pays, pour la première fois depuis 1986, ouvrira grand l'espace à l'implantation d'un régime politique totalitaire. Jusque la, Préval n'a fait qu'imiter minutieusement le coup de Chavez. Il a expliqué aux députés sa volonté de respecter les amendements passés. Aux prochaines élections, le CEP de Frantz Verret nommera deux tiers des députés qui seront, tout comme ces nouveaux sénateurs de pacotille issus des élections du 19 avril et du 21 juin, des marionnettes de Lespwa que Préval fera danser à son rythme. Détenant déjà la majorité relative au sénat, il lui suffira simplement d'écarter quatre sénateurs pour avoir la majorité absolue. Dès la rentrée de la 49ème législature, Préval contrôlera donc les deux Chambres. Cette nouvelle législature approuvera le document Moise-Hector, écrit sous la dictée du Groupe de Bourdon et d'un français apatride, et mettra tranquillement de coté les amendements votés par la 48ème. Ceux qui ne se retiennent pas les enseignements de l'histoire sont condamnés à refaire les erreurs du passé ! Pour ceux qui l'auraient oublié, la 45ème législature a déjà vécu cette réalité. Les députés d'alors avaient voté une loi électorale. A leur départ, l'Exécutif avait tout simplement écarté leur œuvre et publié son propre texte de loi. Qu'on se le dise : les amendements constitutionnels qui seront ratifiés par la 49ème législature ne seront certainement pas ceux votés ce soir par la 48ème. Et personne n'aura droit de citer car Préval contrôlera les deux Chambres. C'est ce qui arrive quand le choix se porte sur des médiocres, des satrapes, des vendus, des Conzé pour occuper des postes de sénateurs ou de députés. Comme je le mentionnais récemment, la bataille pour la démocratie commence ce soir, lundi 14 septembre 2009 ! Ces couillons de la 48ème législature, acoquinés avec quelques leaders sans le sou de partis politiques, viennent de jeter à la poubelle vingt-cinq années de lutte âpre pour la démocratie. Que le peuple et l'histoire retienne bien les noms de ces députés renégats.traitres à la patrie ! |
Rudy Boulos : Remerciement pour bourses d'Etudes Universitaires.
|