jeudi 24 janvier 2013

La presse infallible d'Haiti persecutée par Université de Connecticut?? (Lolll) ---- Les journalistes de Tout Haiti persécutés par le régime Martelly Lamothe

La représentation médiatique d'Haïti est problématique, selon un chercheur de l'UConn
Le Nouvelliste | Publié le : 2013-01-17
 

Tom Breen Université de Connecticut Traduit de l'anglais par Cyprien L. Gary
Pour bon nombre de citoyens américains, le mot «Haïti» renvoie à une multitude d'associations négatives : «pauvre», «peuplée», «surpeuplée», «dépendante de l'aide».De gauche à droite: Marissa Mack, Craemer Thomas,Omar Green,  Parker Sorenson, Caty Wagner, et Patrick Turek leur de leur séjour en Haïti
De gauche à droite: Marissa Mack, Craemer Thomas,Omar Green, Parker Sorenson, Caty Wagner, et Patrick Turek leur de leur séjour en Haïti
Les médias jouent un rôle de premier plan dans la formation de l'opinion publique des pays étrangers, et ces stéréotypes d'Haïti peuvent souvent être trouvés à travers le spectre des médias américains, selon Craemer Thomas,  professeur de politique publique à l'Université de Connecticut (UConn). C'est un problème, dit-il, non seulement parce que ces épithètes peuvent décrire  une image trompeuse, mais parce qu'elles peuvent aussi influer sur la façon dont les citoyens américains et le gouvernement agissent.
«Je pense qu'il y a une chance que ces stéréotypes puissent  affecter l'aide et la politique étrangère», dit Craemer.
L'an dernier, Craemer  s'est rendu en Haïti en compagnie de cinq étudiants grâce à une bourse de voyage de la Fondation Ford à travers l'Institut d'enseignement international. Leur objectif était de travailler avec le groupe  Partenaires pour le développement du logement dans la  région  de Blanchard, non loin de  Port-au-Prince, plus de deux ans après le séisme dévastateur qui a frappé Haïti. Mais il s'agissait aussi de jeter les bases d'une étude sur les attitudes envers cette nation des Caraïbes dans les grands médias américains.
«On parle constamment sur le risque de dépendance à l'aide, à propos de la corruption et d'autres dysfonctionnements qui sont considérés comme des failles de caractère chez le peuple haïtien lui-même», a-t-il dit. «Il est probablement juste de dire que les médias internationaux présentent une peinture exagérée de la réalité haïtienne.»
Le professeur Craemer et cinq étudiants de l'UConn, en l'occurrence Omar Green, Marissa Mack, Parker Sorenson, Patrick Turek et Caty Wagner ont construit un cadre d'échantillonnage des reportages des médias sur le tremblement de terre, basé sur des sources d'information américaines énumérées dans le  Pew Research Center's de l'Enquête biennale sur la consommation des médias. Les points de vente vont des réseaux de diffusion pour le New York Times à l'émission de radio Rush Limbaugh. Un petit échantillon aléatoire de 100 reportages sur le tremblement de terre en Haïti a ensuite été choisi, avec des phrases dans les histoires codées comme contenant stéréotype renforçant l'information ou  contredisant les stéréotypes dominants.
Craemer a été surpris de constater que l'image présentant Haïti comme un état dysfonctionnel défaillant en phase terminale ravagé par la violence et la corruption endémique était plus ou moins systématiquement signalée à travers les organes d'information: environ 67% des phrases codées dans la couverture du New York Times ont renforcé des stéréotypes par exemple, tout comme 77% de phrases dans la programmation de la radio conservatrice Limbaugh. Le professeur Craemer avertit que la taille réduite de l'échantillon ne permet pas de comparaisons statistiques entre les différents médias. Cependant, en dépit de la taille réduite de l'échantillon un biais statistiquement significatif a émergé pour l'échantillon dans son ensemble. Dans les versions futures du projet, il espère élargir l'échantillon afin que la comparaison source par source puisse être obtenue.
Le biais dans l'échantillon global des reportages est un problème parce que les médias jouent un rôle de premier plan dans la formation de l'opinion publique des pays étrangers, dit Craemer, et les stéréotypes à propos d'Haïti présentent  un portrait biaisé du pays. 
Haïti est un pays pauvre, sans aucun doute, mais il a des caractéristiques uniques qui permettent d'atténuer la pauvreté, qui s'y trouve. Par exemple, alors que la pauvreté dans la plupart des autres pays pauvres, c'est le manque de terres, beaucoup de pauvres d'Haïti sont des propriétaires fonciers. Cette caractéristique unique remonte au début des années 1800, lorsque les plantations d'anciens esclaves ont été redistribuées entre d'anciens esclaves insurgés. La terre est une source de fierté, et fournit la subsistance des familles élargies, malgré leur pauvreté. 
Elle leur permet également de participer à ce qu'on appelle le «secteur informel» de l'économie - qui est la partie de l'économie qui n'est pas taxée, réglementée, ou mesurée par le gouvernement. Le classement d'Haïti comme le pays le plus pauvre de l'hémisphère occidental est basé sur son produit intérieur brut, une mesure qui exclut le «secteur informel» de l' économie.
L'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE) estime que le marché de l'emploi informel en Haïti compte pour environ 90% du marché total de l'emploi du pays - en d'autres termes, la plupart de l'activité économique dans le pays n'est  pas prise en compte dans les calculs les plus fréquemment utilisés quand il s'agit de qualifier Haïti le pays le plus pauvre de l'hémisphère.
Une autre caractéristique de la couverture médiatique d'Haïti - une tendance à se concentrer sur des histoires de crime et de violence – l'a rendu  inquiet pour sa sécurité alors qu'il se préparait pour son premier voyage en Haïti. «J'avais vraiment peur de ce qui pourrait arriver, et nous avons le même problème ici aux États-Unis quand on parle de quartiers dits« bons »et« mauvais », a-t-il  indiqué.
«Oui, il y a un danger et il est élevé par rapport à la ligne de base normale, mais ça veut dire quoi? Combien de nous avions eu peur ? » Selon l'étude, pas autant que le suggère l'image médiatique.
Craemer soutient que l'image médiatique négative contre Haïti peut être enracinée dans les rapports contemporains de la révolution haïtienne (1791-1804) qui, dans le temps, avait donné des sueurs froides aux propriétaires  d'esclaves aux Etats-Unis. Ces craintes, par la suite, peuvent être incorporées dans la culture dominante américaine comme les stéréotypes raciaux anti-noirs dont les gens aujourd'hui, bien souvent, ne sont même pas conscients.
Craemer a rédigé un document présentant les conclusions de l'étude, qui comprend une section offrant des suggestions pour les journalistes qui couvrent le pays à l'avenir. Les journalistes, dit-il, doivent surtout chercher à expérimenter la vie quotidienne en Haïti à l'instar des Haïtiens, une expérience qui a été particulièrement précieuse pour les étudiants de Craemer. L'un d'entre eux, Marissa Mack, a écrit: « Oui, on pourrait dire qu'Haïti est pauvre, comparée aux normes américaines. Mais vivre parmi les Haïtiens, ayant un aperçu de leur vie pendant quelques jours, parlant avec les habitants, travaillant à côté d'eux, explorant des domaines pas forcément recommandés aux touristes, a dissipé la plupart des idées que j'ai personnellement eues du pays. »
Tom Breen Université de Connecticut Traduit de l'anglais par Cyprien L. Gary



































































































































































































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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

----- Mail transféré -----
De : Henry Dupiton <henrydupiton@gmail.com>
À : Haiti Connexion <HaitiConnexion@yahoogroups.com>
Envoyé le : Mercredi 23 janvier 2013 16h04
Objet : [HaitiConnexion] Les journalistes de Tout Haiti persécutés par le régime Martelly Lamothe

 

Le gouvernement Martelly Lamothe utilise des employés de l'état pour persécuter les journalistes de Tout Haiti


Tout Haïti Site d'information d'Haïti et de la diaspora
Pour lire la suite :  http://t.co/KOq4BO7b
Le gouvernement Martelly Lamothe utilisent des employés de l'état pour persécuter les journalistes de Tout Haiti

Tout-Haïti: Le forum web Haïti-Connexion parle de « Torchon qui brûle » entre Tout-Haïti et Réseau-Citadelle, quelles sont vos réactions ?

Sibert ne vit que par ça. J'ai l'impression quand ils (les Sibert et co) rencontrent le Président Michel Joseph Martelly et le PM Laurent Lamothe, la meilleure façon de justifier leur dynamique médiocrité de la stratégie de Communication du « régime tèt kale », ils gargarisent à leurs chefs que « tout est rose »……..

Tout-Haïti : Que vous révèlent vos recherches sur les Cyrus Sibert et co?

En faisant des recherches par les outils de TIC, j'ai découvert que Thierry Théodore est un employé de la Primature. Ce dernier s'amuse à diffamer au nom du gouvernement tout en détenant un email de la Primature de la République d'Haïti.
La Primature utilise deux domaines …….

Pour lire la suite :  http://t.co/KOq4BO7b
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"Quand les bandits sont au pouvoir, la place d'un honnête homme est en prison
Michel Chartrand



BRÉSIL rapport d'enquête (FR/PORT/ENG): Le pays aux trente Berlusconi : les déséquilibres médiatiques du géant sud-américain

UN RAPPORT D'ENQUETE SUR LA DEPENDANCE DE LA PRESSE BRESILIENNE PAR RAPPORT AUX ORGANISMES PUBLICS. RESEAU CITADELLE VOUS INVITE A REFLECHIR SUR LA DEPENDANCE DE LA PRESSE HAITIENNE PAR RAPPORT A LA BOURGEOISIE NEO-FEODALE, MONOPOLISTE & RETROGRADE. 

Français/Português/English
Reporters sans frontières
Rapport d'enquête
24 janvier 2013

Brésil
 
 
Reporters sans frontières publie, ce 24 janvier 2013, un rapport intitulé "Brésil, le pays aux trente Berlusconi", qui explore les importants déséquilibres et entraves caractérisant le paysage médiatique du géant sud-américain. Ce document s'appuie sur une enquête menée en trois étapes – Rio de Janeiro, São Paulo et Brasilia – et effectuée au cours du mois de novembre 2012.
 
L'hôte de la Coupe du monde 2014 et des Jeux Olympiques de 2016 offre un panorama médiatique à peine modifié trente ans après la dictature militaire (1964-1985). En dehors d'une dizaines de groupes se partageant la communication de masse et basés pour l'essentiel à Rio de Janeiro et São Paulo, le pays compte une multitude de médias régionaux, fragilisés par leur extrême dépendance à l'égard des centres de pouvoir au sein des États. Tant écrite qu'audiovisuelle, la presse brésilienne se maintient sous la tutelle financière des institutions ou organismes publics. Une tutelle qui mine directement son indépendance.
 
Cette situation est aussi vecteur d'insécurité. Cette même année 2012 aura fortement endeuillé les rangs de la profession avec cinq journalistes et blogueurs assassinés, plaçant le Brésil au cinquième rang mondial des pays les plus meurtriers. Deux journalistes réputés pour leur connaissance des questions sécuritaires ont également dû prendre le chemin de l'exil. La campagne des élections municipales d'octobre 2012 aura exacerbé les cas d'agressions et d'attaques commis contre des médias assimilés aux "vitrines" des hommes politiques qui les détiennent.
 
Le rapport s'attache aussi à rendre compte d'un autre obstacle à la liberté de l'information : l'inflation des procédures judiciaires assorties d'ordres de censure contre certains médias. Le cas du grand quotidien O Estado de São Paulo, dont les publications contrariaient les intérêts de la famille de l'ancien président José Sarney, est à cet égard le plus connu. Mais le couperet judiciaire touche de plus en plus la Toile et la blogosphère brésilienne, alors que les net-citoyens attendent avec impatience l'adoption d'une nouvelle régulation (Marco Civil) garantissant la neutralité du Net.
 
Au plan législatif toujours, l'enjeu d'une nouvelle loi sur la presse mobilise autant qu'il divise depuis la révocation de la loi du 9 février 1967, héritée du régime militaire, qui punissait de prison les journalistes récalcitrants et imposait aux contenus édités ou diffusés un contrôle préalable. Cet héritage a trop longtemps survécu à l'adoption de la Constitution démocratique de 1988. Un code électoral obsolète bride encore l'information à caractère politique. Un système de régulation des fréquences inadapté laisse dans l'illégalité nombre de radios communautaires, miroirs d'une société civile encore trop peu écoutée. Pour changer de cadre, il reste à obtenir l'assentiment d'une classe politique très présente dans la sphère médiatique et jalouse de ses intérêts.
 
Ces nouvelles règles, attendues des acteurs de l'information au Brésil, font partie des recommandations avancées par Reporters sans frontières en conclusion du rapport. Le pays ne manque pas d'atouts. Sa diversité peut devenir un modèle.
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Brasil
 
 
Repórteres sem Fronteiras publica, a 24 de janeiro de 2013, um relatório intitulado "Brasil, o país dos trinta Berlusconi", que aborda os importantes desequilíbrios e obstáculos que caracterizam o horizonte mediático do gigante sul-americano. O documento se baseia em uma investigação realizada em três etapas – Rio de Janeiro, São Paulo e Brasília – no decorrer do mês de novembro de 2012.
 
O anfitrião da Copa do Mundo de 2014 e das Olimpíadas de 2016 apresenta um panorama mediático que pouco evoluiu nas últimas três décadas, desde o fim da ditadura militar (1964-1985). Para além de uma dezena de grupos, sediados principalmente no Rio de Janeiro e em São Paulo, que repartem entre si a comunicação de massas, o país conta com uma profusão de meios de comunicação regionais, fragilizados devido à sua extrema dependência para com os centros de poder dos distintos estados. Quer a imprensa escrita quer a mídia audiovisual se mantêm sob a tutela financeira das instituições ou organismos públicos. Uma tutela que mina diretamente sua independência.
 
Essa situação traz consigo insegurança. O ano de 2012 deixou a profissão de luto, com cinco jornalistas e blogueiros assassinados, colocando o Brasil no quinto lugar dos países mais mortíferos. Dois jornalistas reputados por seus conhecimentos sobre questões de segurança pública também tiveram que se exilar. A campanha das eleições municipais de outubro de 2012 multiplicou os casos de agressões e de ataques cometidos contra os meios acusados de estar ao serviço de seus proprietários, políticos locais.
 
O relatório também indaga sobre um outro obstáculo à liberdade de informação: a proliferação de ações judiciais acompanhadas por ordens de censura contra certos meios. O caso do grande diário O Estado de São Paulo, cujas reportagens incomodam os interesses da família do ex-presidente José Sarney, é nesse âmbito o mais conhecido. Mas a mordaça judicial afeta cada vez mais a Web e a blogosfera brasileira, enquanto os net-cidadãos aguardam com impaciência a adoção de um novo quadro regulatório (Marco Civil) que garanta a neutralidade da internet.
 
Ainda no plano legislativo, a questão de uma nova lei de imprensa mobiliza tanto como divide, desde a revogação da lei de 9 de fevereiro de 1967, herdada do regime militar, que castigava com a cadeia os jornalistas recalcitrantes e impunha aos conteúdos editados ou difundidos um controle prévio. Essa herança sobreviveu à adoção da Constituição democrática de 1988, até aos dias de hoje. Um código eleitoral obsoleto continua reprimindo a informação de caráter político. Um sistema inadaptado de regulação das frequências condena à ilegalidade numerosas rádios comunitárias, espelho de uma sociedade civil ainda pouco escutada. Um novo enquadramento legal precisa do consentimento de uma classe política muito presente na esfera mediática e ciosa de seus interesses.
 
Essas novas regras, ansiadas pelos atores da informação no Brasil, estão incluídas nas recomendações propostas por Repórteres sem Fronteiras na conclusão do relatório. Em um país que não carece de trunfos, a sua diversidade pode se tornar um modelo.
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Brazil
 
 
Reporters Without Borders is today releasing a report entitled "Brazil, the country of 30 Berlusconis" that examines all of the shortcomings of this South American giant's media landscape It is based on fact-finding visits to Rio de Janeiro, São Paulo and Brasilia in November 2012.
 
The media topography of the country that is hosting the 2014 World Cup and 2016 Olympics has barely changed in the three decades since the end of the 1964-85 military dictatorship.
 
As well as the ten or so major companies that dominate the national media and are mainly based in Rio de Janeiro and São Paulo, Brazil has many regional media that are weakened by their subordination to the centres of power in the country's individual states.
 
The editorial independence of both print and broadcast media is above all undermined by their heavy financial reliance on advertising by state governments and agencies.
 
The media's fragility encourages violence. Five Brazilian journalists and bloggers were murdered in connection with their work in 2012, making Brazil the world's fifth deadliest country for media personnel.
 
Two journalists who specialize in police and public security issues also had to flee abroad last year, while the campaign for the October 2012 municipal elections saw an increase in threats and physical attacks on media regarded as showcases of the politicians who own them.
 
This report also examines another obstacle to freedom of information – the increase in judicial proceedings accompanied by censorship orders targeting individual news outlets. The best-known is the leading daily O Estado de São Paulo, the subject of a censorship order for threatening the interests of former President José Sarney's family.
 
But the Brazilian Internet and blogosphere are also increasingly being targeted by court-ordered censorship, while netizens impatiently await the adoption of a new Internet law called the Marco Civil, which would guarantee Net neutrality.
 
A new media law has proved to be a divisive challenge ever since the press law introduced by the former military government in 1967– under which recalcitrant journalists were jailed and both print and broadcast media were subject to prior censorship – was belatedly repealed in 2009, more than two decades after the adoption of the democratic constitution.
 
An obsolete electoral law still limits political news and information, while ill-suited broadcast frequency regulation makes many community radio stations illegal, all to often leaving them to be ignored, like the grass-roots civil society organizations to which they are linked.
 
Changing the legislation would require the consent of the many politicians with media interests they jealously protect.
 
The new laws awaited by Brazil's news providers are among the recommendations that Reporters Without Borders makes at the end of its report. The country has many strengths. Its diversity could become a model for other countries.

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REPORTERS SANS FRONTIÈRES
Benoît Hervieu
Despacho Américas / Americas Desk, Reporteros sin Fronteras
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47 rue Vivienne, 75002 Paris - France
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.


Pourquoi veut-on faire croire par exemple que Kingston est plus sécurisée que Port-au-Prince?

Brandford Marsalis a découvert cette volonté qui existe tant au niveau du pays que dans l'international à déstabiliser le pays. Son constat est contraire à ce qu'on veut faire croire au niveau des médias. Il s'est posé la question: "Pourquoi veut-on faire croire par exemple que Kingston est plus sécurisée que Port-au-Prince?" Il a assuré ses amis, qui étaient sceptiques sur la situation en Haiti,  de sa sécurité et son sentiment de bien-être: "Je me sens bien!"

Le saxophoniste américain constate le niveau de démagogie contre Haiti. Les détracteurs déstabilisateurs haitiens doivent se poser beaucoup de questions.  Brandford Marsalis découvre la mauvaise perception dont on fait subir Haiti. Il ne sait pas pourquoi!

La conclusion du musicien coïncide avec les études qui ont classé Haiti parmi les destinations les plus sûres des Amériques. Il n'arrive à comprendre pourquoi cette mauvaise presse, cette mauvaise perception contre Haiti. Chaque pays dans le monde a eu ses moments difficiles. 

Pou gade klike la: http://www.youtube.com/watch?v=ZB14X85mmtE 
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) dixit Abraham Lincoln.

Le Tourisme pour Haiti est un pari payant. Les efforts du gouvernement dans le secteur touristique a contribué à la prévision de la banque mondiale favorable à Haiti. Pour les années 2014-2015, Haïti compte se faire une place dans la catégorie des pays à forte croissance dans la région, en affichant des taux de croissance de l’ordre de 4.2%

Le Tourisme pour Haiti est un pari payant. Les efforts du gouvernement dans le secteur touristique a contribué à la prévision de la banque mondiale favorable à Haiti. Pour les années 2014-2015, Haïti compte se faire une place dans la catégorie des pays à forte croissance dans la région, en affichant des taux de croissance de l'ordre de 4.2%
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mercredi 23 janvier 2013

Les grandes realisations de Martelly/Lamothe

Haïti: des organisations de femmes applaudissent l'arrivée de nouvelles femmes au gouvernement

Haïti: des organisations de femmes applaudissent l'arrivée de nouvelles femmes au gouvernement


Quatre femmes viennent d'être nommées ministres dans le cadre du remaniement du cabinet ministériel effectué mardi. Ces nouvelles têtes portent à dix, le nombre de femmes qui détiennent un poste ministériel, sans compter celles nommées secrétaire d'État et à la tête des directions générales. Les organisations de femmes haïtiennes prennent acte et applaudissent.



Parmi les 7 nouveaux ministres on compte quatre femmes. Il s'agit de Mme Régine Gaudefroy chargée du ministère de la communication ; Mme Josette Darguste, ministre de la Culture ; Mme Magalie Racine, ministre à la Jeunesse, aux Sports et de l'Action civique et Mme Bernice Phidélia, ministre des Haïtiens vivant à l'étranger.

Elles rejoignent au gouvernement Marie-Carmelle Jean-Marie (Economie et des Finances); Stéphanie Balmir Vildrouin (Tourisme); Florence Duperval Guillaume (Santé Publique et Population); Yannick Mézile (Condition féminine et Droits des femmes); Marie Carmelle Rose Anne Auguste (droits de l'homme et lutte contre la pauvreté extrême) et Marie Mimose Félix (promotion de la paysannerie).

De nombreux organismes féminins saluent et applaudissent avec ferveur l'intégration de plus en plus de femmes dans des postes de décision au gouvernement Martelly/Lamothe.


La directrice générale d'IDEA International, Mme Marie-Laurence Jocelyn Lassègue dit avoir estimé l'intégration de plus en plus de femmes au pouvoir comme une chose positive pour la démocratie et l'équité de genre. Elle pense que les femmes ont fait leur preuve dans la société pour être jaugées au timon des affaires de l'État. 


« Je les encourage à avoir comme boussole, les besoins spécifiques des femmes dans leur secteur respectif », a-t-elle souligné, rappelant qu' avait souhaité au moins une femme au Collège de gestion transitoire du CEP permanent.

Pour sa part, Danielle Magloire dit avoir pris acte du remaniement ministériel et salué cette forte présence féminine au gouvernement qui, à son avis, reflète la diversité de la société. 

Cependant, pour la sociologue qui parlait au nom de l'organisme « Kay Fanm », cela ne signifie pas pour autant un changement systématique en ce qui a trait au dossier des droits des femmes dans la société.

« Pour nous autres organismes féministes, ce n'est pas parce qu'une femme ait été nommée ministre qui fait avancer la cause des femmes. Si la personne n'a pas la conscience de cette problématique, si elle n'a pas une sensibilité sociale ou n'a pas des positions à la cause des femmes, cela ne changera rien », a-t-elle jugé, avant de plaider contre l'exclusion à tous les niveaux dans la société.

Pour Lisa François, directrice exécutive du Collectif féminin pour la participation  politique des femmes (Fanm yo la) qui dit avoir applaudi les efforts du président et du Premier ministre en ce sens, il était temps à ce que les postes traditionnellement réservés aux hommes soient ouvert aux femmes.

« Que les femmes au pouvoir accomplissent dignement leur mission ! Je souhaite qu'elles jettent un coup d'œil très méticuleux sur les femmes évoluant particulièrement dans leur secteur respectif. On attend la représentation des femmes au sein du Collège de gestion transitoire du CEP », a déclaré la responsable de Fanm yo la.

Rachelle Fondechaine, représentante de l'organisation « Femmes combattantes avisées pour le développement d'Haïti » (FEMCADH), a indiqué à Haiti Press Network avoir fait ce souhait pour l'année 2013. Celui de voir plus de femmes intégrées les espaces de décision. Pour elle, c'est un signe de récompense de la lutte des femmes pour le respect de leurs droits dans la société.

« Je pense que les femmes doivent continuer à briguer des postes de décision dans le pays, parce qu'elles ont été à l'école comme les hommes », a-t-elle soutenu, avant de conseiller celles qui sont actuellement au pouvoir de faire preuve de compétence et d'honnêteté, afin de faire l'honneur des 52 % de femmes qu'elles représentent dans la société.


Alix Laroche

allalematin@yahoo.fr

Source: AL/HPN

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But you can't fool all the people all the time."
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) dixit Abraham Lincoln.

« Kantin Mobil » nourrit la population haïtienne à la frontière.

« Kantin Mobil » nourrit la population haïtienne à la frontière

Depuis la mi-janvier, dans le cadre du Programme « Ede Pep » du Gouvernement, le programme « Kantin Mobil » nourrit des centaines de femmes, hommes et enfants vulnérables sur la frontière de Dajabon et à Ouanaminthe.
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Rapport des dépenses pendant l’état d’urgence

Rapport des dépenses pendant l'état d'urgence

Le gouvernement a rendu son rapport [tant réclamé par l'opposition] sur le détail des dépenses effectuées dans diverses communes, pendant la période d'urgence, décrétée après le passage de Sandy.
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Début du «vetting» des juges en février Le Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire (CSPJ) débutera en février 2013, un « vetting » des juges du système judiciaire haïtien, afin de déterminer leur niveau de corruption.

Début du «vetting» des juges en février

Le Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire (CSPJ) débutera en février 2013, un « vetting » des juges du système judiciaire haïtien, afin de déterminer leur niveau de corruption.
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) dixit Abraham Lincoln.