mardi 18 mars 2014
The Connecticut Law Tribune's Editorial: Stricter Child Abuse Reporting Laws Are Needed.-
lundi 17 mars 2014
"Gouvènman an Lakay ou" à Jérémie : Développement Province TET-KALE.
Cette 6e édition aura lieu à Jérémie, ce samedi 22 mars 2014, en présence des ministres du Gouvernement, des élus locaux et des représentants d'organisations communautaires.
Ce sera l'occasion pour le Premier ministre Lamothe de recueillir les doléances des jérémiens et des populations avoisinantes et de passer en revue les différents projets réalisés dans la région par son gouvernement dans les secteurs de l'Éducation et de la Santé, de la protection de l'Environnement, de l'Agriculture et de la rénovation urbaine et de la protection sociale.
Le programme « Gouvènman an lakay ou » est un espace de dialogue permanent qui favorise des rapports harmonieux entre le gouvernement et les citoyens en vue d'une meilleure articulation des politiques publiques au profit de la population.
Le Programme « Gouvènman an lakay ou » sera retransmis en direct par plusieurs médias de la capitale, des villes de province ainsi que ceux de la diaspora.
Bureau de communication de la Primature
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Ces rhétoriques qui détruisent toute initiative en faveur des villes de Province ? (Texte de Cyrus Sibert)
Le plus grand mal d'Haïti a toujours été cette monstruosité qu'on appelle « La République de Port-au-Prince » qui concentre 70% des ressources humaines et financières d'Haïti. L'exclusion des villes de provinces a ainsi créé deux Républiques dans un seul Etat. Les intellectuels et/ou les gens des villes ayant toujours construit toute une série de rhétoriques pour justifier de telle situation, l'apartheid CITADINS/PAYSANS s'est pérennisé.
"Gouvènman an Lakay ou " fera escale à Jérémie
Le Bureau de communication de la Primature informe le public en général et la presse en particulier que le Premier ministre, S.E.M. Laurent Lamothe, se rendra, ce vendredi 21 mars dans le département de la Grand-Anse, pour s'entretenir avec la population dans le cadre de la 6e sortie du programme « Gouvènman an lakay ou ».
Cette 6e édition aura lieu à Jérémie, ce samedi 22 mars 2014, en présence des ministres du Gouvernement, des élus locaux et des représentants d’organisations communautaires.
Ce sera l’occasion pour le Premier ministre Lamothe de recueillir les doléances des jérémiens et des populations avoisinantes et de passer en revue les différents projets réalisés dans la région par son gouvernement dans les secteurs de l’Éducation et de la Santé, de la protection de l’Environnement, de l'Agriculture et de la rénovation urbaine et de la protection sociale.
Le programme « Gouvènman an lakay ou » est un espace de dialogue permanent qui favorise des rapports harmonieux entre le gouvernement et les citoyens en vue d’une meilleure articulation des politiques publiques au profit de la population.
Le Programme « Gouvènman an lakay ou » sera retransmis en direct par plusieurs médias de la capitale, des villes de province ainsi que ceux de la diaspora.
Bureau de communication de la Primature
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samedi 15 mars 2014
Si seulement Jean-Claude Duvalier demandait pardon au peuple haïtien… ! Et ses avocats étaient moins arrogants… !
Les élections fixées au 26 octobre 2014.--
Emotion, satisfaction,… Après plus d'un mois de dialogue et de tergiversations, Haïti se réveille ce samedi avec un accord politique. L'accord de El Rancho. A cet hôtel de Pétion-Ville vendredi après-midi, il n'y a eu ni feux d'artifice ni champagne. Cependant, dans le calme et la sérénité, les responsables de partis politiques, le chef de l'Etat, le sénateur Steven Benoît et le cardinal Chibly Langlois ont célébré la victoire du dialogue et du compromis.
Le document ne fait pas l'unanimité. C'est un fait. Des réserves ont été formulées. Ce qui n'empêche pas pour autant que son importance fasse l'unanimité chez les acteurs politiques. Ils ont tous apposé leur signature au bas de l'accord. A l'exception, bien sûr, des organisations politiques qui ont, soit boudé ou abandonné le processus du dialogue. C'est le cas de Fanmi Lavalas, Fusion, Kontrapèpla, MOPOD, entre autres.
L'accord final conserve les points clés de l'entente trouvée entre les partis politiques et l'exécutif. Le Collègue transitoire du Conseil électoral permanent (CTCEP) devient le Conseil électoral provisoire. A partir du vendredi 14 mars, les pouvoirs judiciaire, exécutif et législatif ont 10 jours francs pour changer un de leurs trois représentants dans le CTCEP ou pour confirmer la totalité. Ensuite, les acteurs politiques se mettent d'accord sur la réalisation des élections pour renouveler deux tiers du Sénat, la Chambre des députés et les collectivités territoriales. Cela doit se faire au plus tard le 26 octobre 2014, a souligné au Nouvelliste Evans Paul, leader de la KID.
Pour l'amendement de la loi électorale, une précaution particulière a été prise par les signataires de l'accord. « Si pour une raison ou une autre le Parlement ne vote pas la modification de la loi électorale, elle sera appliquée parce que c'est une décision politique et une clause dans l'accord montre comment cela va être fait. L'accord liste l'ensemble des articles qui seront amendés », a expliqué Evans Paul au Nouvelliste.
Cependant, l'homme politique s'est empressé de souligner que cela ne veut pas dire qu'ils n'ont pas besoin du Parlement pour avancer dans l'application de l'accord. « C'est une entente politique pour contourner si le Sénat ou la Chambre des députés ne peuvent tenir séance pour modifier la loi électorale », a-t-il précisé, soulignant qu'il ne maîtrise pas encore la totalité du document.
Ensuite, la formation d'un gouvernement d'ouverture est maintenue et lors des assises de dialogue, des responsables d'organisations politiques ont clairement manifesté leur volonté d'en faire partie.
Dans l'accord de El Rancho, a souligné M. Paul, l'exécutif a pris l'engagement de publier toutes les lois votées au Parlement en souffrance et dépassant les 10 jours francs dont dispose le chef de l'Etat pour produire une objection. Ce point répond en partie aux préalables du groupe des six sénateurs. S'agissant des résolutions adoptées par le Sénat, Michel Martelly garde une marge de manœuvre sur leur publication puisqu'elles ne sont pas contraignantes.
Selon la méthodologie fixée par la médiatrice avant la signature de l'accord, un représentant de chaque acteur politique avait à prendre la parole sur le processus du dialogue. Aujourd'hui c'est une grande famille politique qui est là, laissant de côté leurs intérêts personnels au bénéfice du pays, a déclaré le président Michel Martelly. Il a souligné qu'il a fait beaucoup de sacrifices en acceptant 45.5 sur 47 points proposés à l'exécutif. Tout en félicitant l'implication de la médiatrice, le Parlement, les partis politiques et les observateurs de la société civile, le chef de l'Etat a indiqué que le processus du dialogue reste ouvert aux organisations politiques absentes. « Cap sur les élections », a-t-il ajouté, soulignant que le travail n'est pas encore terminé.
Le sénateur Steven Benoît avait été officiellement mandaté par le président du Sénat, Dieuseul Simon Desras, qui devait voyager, pour signer le document final tout en formulant des réserves sur certains points. Le parlementaire a dit participer aux assises de dialogue avec le cœur en paix et beaucoup de contentement. L'élu du département de l'Ouest a formulé le vœu de voir se tenir le 26 octobre 2014 dans le pays des élections libres, honnêtes, inclusives et démocratiques…
La voie remplie d'émotion, Evans Paul a pris la parole au nom de tous les partis politiques. Selon lui, le pays est parvenu à cet accord avec beaucoup de douleur et aussi beaucoup de bonheur. L'accord de El Rancho est la manifestation d'une volonté de donner espoir, a-t-il dit. Il a reconnu que le document n'est pas parfait, mais c'est un grand pas vers une entente et la recherche de solutions pour le bien du pays, a-t-il ajouté. « C'est un acte de responsabilité politique, de manifestation de conscience patriotique et d'engagement citoyen », a renchéri le leader politique.
« Le dialogue nous a permis de grandir », a déclaré Son Eminence le cardinal Chibly Langlois. Il a permis de travailler pour la paix et « nous en sommes sortis renforcés ». Le premier des évêques haïtiens a estimé que nous devons cultiver le dialogue. Puisque l'objectif fixé a été atteint, le prélat croit que cela permet de poser la base de dialogue national. « Il n'y a pas de perdant dans le dialogue », a-t-il fait remarquer, soulignant qu'il n'y a que des gagnants.
L'évêque des Cayes a souligné que tous les articles du document ont été passés en revue au cours de cette dernière journée de travail et tout le monde s'est exprimé librement même s'il y en a qui ont eu des réserves sur certains points.
Le grand flop de la journée
Le grand flop de cette dernière journée de travail a été les déclarations contradictoires du président de la Chambre des députés. Si devant le chef de l'Etat, le cardinal et les autres acteurs politiques Jacques Stevenson Timoléon a donné la garantie qu'il signera l'accord de toute façon, dehors, au micro des journalistes, le député a fait savoir qu'il doit examiner le document en assemblée d'abord avant de savoir quel comportement adopter.
« Nous étions là pour signifier à l'initiateur des assises que la Chambre des députés a été traitée sans égard », a-t-il dit, soulignant qu'ils ont été mis au courant très tard de la rencontre. « Nous n'allons pas signer un document ''tèt bese'' sans savoir son contenu. Nous allons analyser le document avec l'assemblée des députés et après nous saurons si on devra signer ou pas », a-t-il dit en laissant l'hôtel El Rancho.
Parallèlement, selon le cardinal Langlois, le président de la Chambre des députés est passé à l'hôtel s'excuser du fait qu'il ne pouvait pas suivre la séance de travail, mais a promis de signer le document une fois de retour à la table du dialogue.
Jusqu'à vendredi soir, la presse ne disposait pas encore du document signé par les acteurs politiques. Après sa signature, la médiatrice, la Conférence épiscopale d'Haïti(CEH,) l'a fait authentifier par un notaire public. Ce n'est qu'après ce processus qu'il sera distribué aux acteurs politiques et à la presse. Ensuite, un comité de suivi a été mis sur pied pour assurer le respect de l'accord et sa réalisation. Cette structure travaillera sous la supervision de la CEH.
vendredi 14 mars 2014
Haïti-Chili-coopération: Laurent Lamothe se confie à CNN.--
Dans une interview accordée à CNN Chile, M. Lamothe a fait remarquer qu'Haïti disposait d'un Président élu très populaire et que la lettre du président du Sénat de la République, Dieuseul Simon Desras, l'année dernière, demandant à l'armée chilienne d'intervenir pour défendre la population en cas de trouble politique, au président du Sénat chilien, intervenait dans un contexte très particulier. il répondait alors la question d'un journaliste sur cette fameuse lettre.
Aujourd'hui, poursuit M. Lamothe, le pays est engagé dans un dialogue politique en vue de dégager un consensus pour réaliser des élections honnêtes, crédibles et démocratiques dans le pays avant la fin de l'année, une manière de supporter l'alternance politique et de faciliter le progrès démocratique.
Le chef du gouvernement a également mis en exergue, les efforts de l'équipe au pouvoir pour redresser la barque du pays. Aussi a-t-il insisté qu'Haïti connait des moments difficiles, mais fait de grands efforts afin de se relancer. En exemple, Laurent Lamothe agite le taux d'inflation qui est à son niveau le plus bas depuis plusieurs années.
Il a entre autres présenté les nombreux programmes sociaux de son gouvernement pour améliorer rapidement les conditions de vie de la population et répondre aux besoins pressants des groupes sociaux les plus vulnérables. Le PSUGO, "Kredi pou fanm lakay" etc. répondent à ces préoccupations, martèle-t-il.
M. Lamothe a aussi fait remarquer au journaliste de CNN Chile que le pays doit plus s'investir dans la production pour réduire la dépendance vis à vis de l'international. Ainsi, il a expliqué que l'assistance internationale était importante dans le premiers instants qui ont suivi le séisme, "maintenant nous sommes dans la phase de reconstruction", soutient-il, avant de soutenir que Haïti comptait sur les fonds internationaux pour avancer.
En ce qui a trait aux rapports entre Haïti et le Chili, le chef du gouvernement a une fois de plus profité du podium offert par CNN pour saluer la victoire de Mme Michelle Bachelet qui, dit-il, est une grande amie d'Haïti, tout en rappelant que les relations entre les deux pays étaient très bonnes.
"Aujourd'hui Haïti est l'un des pays les plus sécuritaires de l'Amérique latine", les résultats obtenus dans le domaine de la sécurité sont surtout dus, explique M. Lamothe, aux actions de la Minustah et de la Police nationale d'Haïti qui se professionnalise de plus en plus et qui dispose d'un effectif assez important aujourd'hui grâce aux efforts du pouvoir en place.
Cette entrevue fut aussi l'occasion pour M. Lamothe d'envoyer un message d'unité à tous les fils du pays afin de faire front commun pour affronter les grands défis qui attendent Haïti tant au niveau national qu'international.
LE/HPN
Envoyé spécial
Photo: Pierre
http://www.hpnhaiti.com/site/index.php/politique/12039-haiti-chili-cooperation-laurent-lamothe-se-confie-a-cnn
Ile-à-Vache (Haiti), comme Sochi (Russie).--
http://en.wikipedia.org/wiki/Sochi
Se week-end, anpil moun ki pa vle pwojè Ile-a-Vache yo, ale Punta Cana.--
Anpil jenn ap tan "Ile-a-Vache" (Haiti), pou sispann al pran imilyasyon "Punta Cana" (Saint-Domingue).
http://www.youtube.com/watch?v=VfF-gv9IK5c
http://www.youtube.com/watch?v=S0YaqX8ieB4
http://www.youtube.com/watch?v=SlRJXExbB1w