samedi 28 mars 2015
Haiti-Elections : Nouveau scandale à la Cour des Comptes...Récusation.-
vendredi 27 mars 2015
ALLIANCE HAITIANO-DOMINICAINE: Message à nos frères et sœurs dominicains.- (Texte de Cyrus Sibert)
La République Dominicaine est une nation sœur de la République d'Haïti. Les deux républiques sont fondées par des indigènes qui se sont solidarisés durant 3 siècles d'esclavage, d'oppression colonialiste et raciste.
Du Cacique Henry à Jean Jacques Dessalines, ensemble, les peuples de l’Ile Kiskeya ont combattu le colonialisme et l’esclavagisme franco-espagnols. Les peuples indigènes de l’Ile, indiens et nègres, ont toujours combattu en faveur de la liberté et de l’indépendance. Après la défaite de l’armée de Napoléon, suivie de l’indépendance d’Haïti, d’autres mouvements d’indépendance et de liberté ont vu le jour sur cette terre. Gregorio Luperon, Santiago Rodriguez, Charlemagne Péralte ont continué dans cette culture de lutte pour la liberté et l’indépendance.
Les haïtiens et les dominicains ne peuvent pas être des ennemis. Nous sommes deux peuples frères et ensemble nous formons une nation indigène qui a subi les pires atrocités de l’histoire de l’humanité. L’armée indigène fut notre réponse militaire à cette réalité inhumaine. Aujourd’hui, nous luttons ensemble pour le développement durable et le progrès.
Contrairement aux mensonges des colonialistes et des racistes, ces descendants de Nicolas Ovando ou de Rochambeau qui continuent de présenter l’occupation haïtienne comme un désastre pour le peuple dominicain, en 1821, l’armée haïtienne de Jean-Pierre Boyer fut accueillie par des dominicains qui avaient peur pour leur liberté face à des esclavagistes. Car, en 1821, indépendance n’était pas synonyme d’abolition de l’esclavage. Malgré l’indépendance aux Etats-Unis, des noirs et des créoles étaient maintenus en esclavage. Durant, les 22 années d’occupation haïtienne, l’esclavage fut aboli dans la partie Est de l’Ile.
En 1861, soit 17 ans après le départ de l’armée haïtienne de la République Dominicaine, 17 ans après l’indépendance de la République Dominicaine, les colonialistes ont permis le retour de l’Espagne dans la partie Est de l’Ile et menacèrent de rétablir l’esclavage ou de déporter les créoles et les noirs dominicains vers Cuba et Porto Rico. Pour libérer la République Dominicaine de l’Espagne, en 1863, lors de la guerre “Restauration” contre l'Espagne, Haïti supporta la guérilla indépendantiste de Gregorio Luperon et Santiago Rodriguez qui lança ses actions militaires à partir du territoire haïtien, Ouanaminthe.
Haiti a toujours été présente dans l’histoire de la République Dominicaine; Nous avions aboli l’esclavage en République Dominicaine; Nous avions contribué à la destruction des forces colonialistes dans la partie Est de l’Ile; Nous avions supporté les forces indépendantistes au détriment des forces colonialistes pro-espagnoles qui souhaitaient l’annexion du territoire Dominicain par l’Espagne ou par les Etats-Unis; Le drapeau Dominicain fut créé et cousu en Haiti.
Haïtiens et dominicains sont frères et sœurs. Ensemble nous avons combattu pour la liberté et l’indépendance. Aujourd’hui, nous travaillons ensemble pour le développement économique et social. Nous sommes solidaires face aux désastres naturels. Ne vous laissez pas manipuler par les hispanophiles nostalgiques.
Vive la solidarité haitiano-dominicaine !
Texte de Cyrus Sibert, Journaliste
https://www.facebook.com/groups/alliancehaitianodominicaine/
Photo: El Caribe
mardi 24 mars 2015
Mirlande Manigat du MOPOD et du RDNP sur Radio Caraïbe : Des politiciens et des partis en coma artificiel
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Mirlande Manigat du MOPOD et du RDNP sur Radio Caraïbe :
Des politiciens et des partis en coma artificiel
Dirigeante de l'agonisant MOPOD et secrétaire générale du Rassemblement des Démocrates nationaux progressistes, Mirlande Manigat traine de média en média, en quête d'une visibilité que ses mauvais choix politiques décident de ne plus lui accorder malheureusement.
Aujourd'hui, l'ancienne candidate à la présidence, Mirlande Manigat, qui avait été mise à nue par le candidat Tèt Kale, l'actuel Président Michel Joseph Martelly, dans un débat entre candidats lors de l'élection présidentielle de 2010, n'a plus la côte. D'aucuns pensent qu'il lui serait mieux de prendre sa retraite politique et se consacrer uniquement à l'enseignement le temps qu'il lui reste à vivre. Mais pour elle, la politique c'est un virus qui ne l'abandonne pas, au risque d'aller de déconvenues en déconfitures.
Invitée ce matin dans le journal Première Occasion de Radio Caraïbes, Mirlande Manigat faisait pitié. Elle, autrefois si superbe, n'a même pas pu donner de réponses approximatives aux questions judicieuses du journaliste de la radio. Aux interrogations concernant le MOPOD, elle a maladroitement tenté de cacher la vérité alors que tout le monde sait que cette coalition de politiciens jusqu'auboutistes de tout acabit vole en éclat. Du vieux verre brisé, il ne reste que les tessons ! Entre Mirlande Manigat et André Michel, c'est une relation de je t'aime moi non plus. En effet, la poule et le coq de la même basse-cour veulent être candidats à la présidence pour le compte du MOPOD. Furieuse, Mirlande Manigat a qualifié André Michel de présomptueux. Et le petit ambitieux s'est empressé de rejoindre son compère ténébreux Newton Saint-Juste autrefois à la solde d'Yves Christalin, dans une plateforme dite Justice axée sur l'injustice puisque les deux scélérats n'ont aucun respect pour le fonctionnement régulier de la justice de leur pays. Selon un sondage réalisé sur la côte de popularité d'André Michel, seulement 0.07% de la population du pays se dit prêt à voter en sa faveur. Une honte et une déculottée nationales ! Chez les autres membres du MOPOD, c'est la débandade. Adieu manifestations et grèves ! La population est désabusée.
On comprend finalement que le MOPOD n'avait pas pour objectif de contribuer au développement démocratique et économique du pays. La seule obsession des fous furieux du MOPOD, selon le citoyen Henri Jean-Jacques, ancien sympathisant de la coalition, interrogé par un journaliste à Port-au-Prince, c'était d'empêcher le Président Michel Martelly de réaliser beaucoup plus de projets de développement au bénéfice du peuple haïtien. Pour sa part, Nicole Jean-Baptiste, une dame de 40 ans qui travaille au Parc industriel SONAPI, a déclaré que Dunoix Erick Cantave, Turneb Delpé, Lydie Parent et Newton saint-Juste sont des professionnels de la violence. Tandis qu'André Michel a été pourchassé du parti politique KID pour menées subversives contre les dirigeants de cette formation politique.
A l'intérieur du RDNP devenu aujourd'hui Rassemblement des Démagogues Nuls et Pitoyables, c'est la grogne contre Mirlande Manigat. Les observateur avisés doivent sûrement se poser des questions sur la longue absence de Patrice Dumont qui, dit-on, a abandonné le RDNP. Il est, dit-on, en conflit ouvert avec Mirlande Manigat qui avait soutiré de l'argent du sénateur Félix Bautista à l'insu des autres membres de l'état major du parti.
Aux abois et dans un élan de repentance peut-être, Mirlande Manigat qui, naguère avec une certaine insolence, se plaisait vilainement à appeler le Chef de l'Etat par son patronyme s'est résolue à répéter le Président Michel Martelly aujourd'hui. Et il était triste de constater que le journaliste interviewer de Radio Caraïbes, intelligent, n'avait pas manqué de lui faire le rappel. Dès lors, l'éminente professeure avait perdu toute sa superbe pour se draper dans une pièce de honte qu'elle s'est elle-même confectionnée durant quatre années d'opposition méchante, irréductible et insensée.
Mirlande Manigat, le MOPOD et consorts doivent définitivement savoir que la vengeance du peuple, le jour du vote, sera constituée d'un plat qui se mangera froid.
Qui donnera décharge au Président du CEP, Pierre-Louis Opont.- (Texte de Cyrus Sibert)
La présidence salue la sagesse de l’opposition radicale
192 organisations politiques inscrites au CEP
La présidence salue la sagesse de l'opposition radicale
Le Nouvelliste | Publié le : 23 mars 2015
Source : le nouvelliste.
lundi 23 mars 2015
Flash!!! Arrestation de l'un des assassins de Oriel Jean.-
9:15 p.m.
Des agents de la Police nationale d'Haiti (PNH) ont mené en fin de soirée une opération à l'intérieur d'un night club situé à Delmas 33, avons-nous appris à la rédaction de Vant Bèf Info.
Selon des informations recueillies d'une source policière, les agents concernés par cette opération ont procédé à l'arrestation de Ronald Saint-Cyr, l'un des présumés assassins de l'ancien chef de sécurité du Palais national (Oriel Jean).
À rappeler que Oriel Jean a été assassiné de plusieurs projectiles, le 2 mars 2015, dans la commune de Delmas.
Vant Bèf info
dimanche 22 mars 2015
Flash-Back!! Haiti. Le Venezuela satisfait de la coopération sur le dossier Petro Caribe
Port-au-Prince. Jeudi 18 décembre 2014. CCN/le Nouvelliste. Le Venezuela n'a rien à reprocher au gouvernement haïtien dans la gestion du programme PetroCaribe. C'est l'ambassadeur de la République bolivarienne accrédité à Port-au-Prince qui l'affirme. Dans une interview exclusive accordée mercredi au Nouvelliste, le diplomate Pedro Antonio Canino Gonzalez considère que les autorités haïtiennes font une utilisation « transparente » des fonds du programme contrairement à ce qu'a déclaré l'envoyée spéciale de la Banque mondiale récemment.
M. l'ambassadeur, quelles sont vos réactions à la suite des déclarations faites par l'envoyée spéciale de la Banque mondiale sur la gestion du gouvernement haïtien des fonds PetroCaribe ?
Pedro Antonio Canino Gonzalez : Je dois vous dire d'abord que je n'ai pas lu ses déclarations. Ce que je peux confirmer, l'Etat révolutionnaire bolivarien, le gouvernement vénézuélien, ne sont pas assujettis aux règlements de la Banque mondiale, ni à ceux du Fonds monétaire international (FMI), ni à ceux de la Banque interaméricaine de développement (BID). La coopération que nous avons avec le monde entier est basée sur notre souveraineté.
Elle n'est ni ordonnée ni supervisée par les organismes internationaux. C'est le président Nicolas Maduro qui exécute cette coopération de façon bilatérale et souveraine. Elle est faite avec le respect de la souveraineté d'Haïti. Nous n'avons pas sollicité l'autorisation de la Banque mondiale ni du Fonds monétaire international (FMI), ni celle de la Banque interaméricaine de développement (BID) pour coopérer avec le gouvernement haïtien, même si le Venezuela a son représentant au niveau de la Banque mondiale.
Le Venezuela n'est subordonné à aucun organisme international pour exécuter sa coopération internationale. Dans le cas précis d'Haïti, cette coopération est menée par le gouvernement haïtien et celui du Venezuela. Nous n'avons besoin d'aucune autorisation. Cette coopération est basée sur le respect de la souveraineté de chacun des deux Etats.
Je ne sais pas pourquoi il y a des préoccupations. Le Venezuela est un pays libre. Cela fait 15 ans que le Venezuela est libre après la révolution que nous avons eue.
L'envoyée spéciale de la Banque mondiale estime que l'utilisation des fonds PetroCaribe devrait être sage et transparente. Comment comprenez-vous cela ?
PACG. : C'est une accusation faite à qui ? Si c'est au gouvernement haïtien, l'ambassade n'a rien à dire. Je peux vous dire que nous respectons ce gouvernement comme il respecte notre gouvernement. Je peux dire que c'est une accusation très grave et comme on n'a pas accusé le gouvernement vénézuélien, c'est au gouvernement haïtien de répondre.
Nous pouvons témoigner que les fonds PetroCaribe sont investis de façon saine en Haïti. Quelqu'un qui fait une telle accusation doit présenter des preuves concrètes. Si vraiment la Banque mondiale a fait une telle déclaration, ce n'est pas à nous de répondre.
Le Venezuela est-il satisfait de sa coopération avec Haïti dans le cadre de PetroCaribe?
PACG. : Le Venezuela est tellement satisfait qu'il a eu cette coopération avec le gouvernement d'avant et maintenant il l'a encore avec ce gouvernement et elle augmente. Parce que ce sont des projets qui sont exécutés dans la transparence. Les citoyens haïtiens ont le droit de demander des informations nécessaires.
Quels sont les mécanismes d'approbation de projets dans le cadre de PetroCaribe ?
PACG : Il s'agit d'une question technique et juridique. Ce sont les deux gouvernements qui les approuvent et cela marche très bien.
Mais avez-vous un mécanisme d'évaluation de ces projets ?
PACG : Les représentants du gouvernement vénézuélien et haïtien ont ce mécanisme. On ne peut pas signer des accords si les mécanismes ne sont pas clairs. Ils sont clairs et transparents.
Le Venezuela approuve-t-il chaque projet et leur coût global ?
PACG : C'est une affaire qui est réglée par les techniciens des deux gouvernements.
Trouvez-vous que les dépenses engagées par Haïti sont sages et le processus d'attribution des fonds PetroCaribe transparent ?
PACG : Rien ne prouve le contraire. Les projets sont approuvés de façon bilatérale. Les Haïtiens les voient : 500 kilomètres de routes ont été construits, on a réparé des places, ont est en train de construire des maisons, de distribuer 3 200 maisons, 4 400 autres sont en construction. Il y a les trois centrales électriques à Carrefour, aux Gonaïves et au Cap-Haïtien. On est en train de restaurer Jacmel, c'est visible. Il y a un projet qu'on a déjà commencé à l'Ile-à-Vache, il y a des projets de santé dans les dix départements du pays, 23 centres de santé avec des équipements technologiques de première classe ont été construits, on paye les salaires des médecins, ce sont des projets exécutés avec le gouvernement et les médecins cubains.
Ce qui signifie qu'il y a beaucoup de projets en exécution qu'on peut toucher et vérifier. Nous devons dire la vérité, nous autres.
Le sénateur Steven Benoît a dénoncé dans la presse des cas d'attribution de projets sans passer par des appels d'offres, est-ce que c'est prévu dans le cadre de PetroCaribe d'avoir des projets sans appel d'offres ?
PACG : Je ne peux pas répondre à cette question. Cela revient à la politique interne d'Haïti. Il s'agit de l'opinion d'une personne qui représente une partie de la population haïtienne. Nous respectons la souveraineté du pays. Ce sont les Haïtiens qui doivent répondre à cette question. Je ne sais s'il y a des gens qui émettent des opinions à la légère, nous autres, nous respectons la souveraineté du pays.
Ce qui signifie que moi je ne vais pas donner des opinions politiques, je ne vais pas intervenir dans les affaires internes du pays.
Monsieur l'ambassadeur, prenons un cas précis, celui de Smartmatic. Un montant d'environ 50 millions de dollars a été attribué sans appel d'offres à cette institution, selon le sénateur. Est-ce normal ?
PACG. : Si c'est ainsi, il faut poser cette question au gouvernement haïtien. Cela fait partie de la loi haïtienne. Ce qui intéresse le gouvernement vénézuélien, ce sont les documents d'identité du peuple haïtien. Parce que cela élève le niveau de vie des Haïtiens. Dans tous les pays du monde, les citoyens émettent des opinions sur la gestion des gouvernements. Par exemple, au Venezuela, n'importe quel Vénézuélien a son opinion sur la gestion du gouvernement. S'il y a un problème au Venezuela, c'est le gouvernement vénézuélien qui doit le résoudre. Aux opinions des Haïtiens, c'est le gouvernement haïtien qui doit y répondre.
Récemment le gouvernement haïtien avait annoncé sa volonté de demander à votre gouvernement d'augmenter l'importation des produits pétroliers en Haïti, où est-ce que nous en sommes ?
PACG : Ce sont les hauts représentants des deux pays qui le savent. Ils vont faire ce qui convient le mieux. Ce qui est certain, la coopération entre les deux augmente chaque jour et nous nous sentons très heureux. Ceci est possible parce qu'au Venezuela, il y a un gouvernement révolutionnaire, anti-impérialiste.
Le premier drapeau de notre République est sorti d'Haïti. Un drapeau que Francisco de Miranda avait rapporté de Jacmel au Venezuela. Deux expéditions en 1816 sont sorties de Jacmel pour arriver au Venezuela. 300 Haïtiens ont combattu au Venezuela pour notre indépendance. Ils ont tué 3 000 impérialistes espagnols en deux ans. Nous sommes en train de rendre hommage au libérateur Simon Bolivar, celui qui a dit qu'Haïti est la mère et le père de l'indépendance de notre pays.
Le Venezuela avait proposé sa médiation dans la crise haïtiano-dominicaine sur la dénationalisation des Dominicains d'origine haïtienne. Quelle est la prochaine étape après le refus de la République dominicaine de poursuivre les réunions avec Haïti ?
PACG : C'est un problème très délicat. Ce que nous aimerions, c'est que le problème soit géré de façon pacifique, légale et démocratique entre frères. Nous restons attachés aux pensées de Bolivar. Nous souhaitons du succès au peuple et au gouvernement dominicain. Nous faisons les mêmes souhaits au gouvernement haïtien. Nous avons les mêmes relations avec les deux pays.
Source : le nouvelliste.
mercredi 18 mars 2015
Photos: Le premier viaduc construit en Haïti sera bientôt une réalité. (Photos: Daniel Joseph)
Pourquoi le Parquet de Port-au-Prince fait-il trainer le dossier de Mr. Michael Geilenfeld?
Le Ré.Cit. - Réseau Citadelle: L'américain Paul Kendrick... [« On [pédophile] peut être arrêté à l'étranger…[m]ais les conséquences judiciaires … seront moins bien sévères… » Conseil de l'organisation pédophile NAMBLA à ses ... | |||||||
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