#LeReCit considère le Rapport final de la Cour des comptes comme une bonne base pour faire la lumière sur la gestion des fonds #Petrocaribe.
Après correction des erreurs et non-vérité, il pourra servir à faire avancer l’enquête sur les firmes et la traçabilité des fonds reçus.
Contrairement aux Sénateurs qui accusaient sans preuve, un groupe de citoyens bien déterminé, considéré comme leurs concurrents politiques, la Cour des Comptes présente un tableau général de dysfonctionnement, d’irrégularités et d’incompétence au niveau supérieur de l’État.
Elle recommande des enquêtes internes au sein des institutions afin de récupérer des fonds et de diminuer notre dette envers le Venezuela. La Cour fait preuve de prudence et évite d’accuser sans preuves.
Alors, pourquoi n’a t-elle pas enquêter au-delà de septembre 2016?
Si la Cour avait consulté les institutions, les personnalités, les firmes d’exécution et de supervision concernées par les projets, elle aurait publié moins d’erreurs et de contre-vérités dans son rapport.
Après trois années, on peut la suspecter de manipulation politique.
Toutefois, nous pouvons conclure que grâce aux combats des citoyens vigilants contre la propagande politicienne des sénateurs-manipulateurs, la stratégie « boucs émissaires » pour masquer la corruption des firmes privées, des parlementaires corrompus et autres, a échoué.
Restons vigilants!
- L’enquête sur #Petrocaribe doit-être globale, au-delà de Septembre 2016.
- La Cour des Comptes doit corriger les erreurs factuelles manifestes dans son rapport.
Cela aurait été trop facile de lapider quelques ex ministres, en vue de protéger le système.