lundi 25 août 2014

La fièvre de Chikungunya est en baisse en Haïti


La ministre de la santé Florence Duperval Guillaume annonce que le nombre de cas de chikungunya est actuellement en baisse, au niveau national. 

Dans le même temps Florence Duperval Guillaume déclare suivre attentivement le développement de l'épidémie d'Ebola en Afrique. 

Elle rappelle qu'un plan a été mis en place pour prévenir l'apparition de cette maladie en Haïti et que celui-ci est en cours de renforcement. 

Par ailleurs Le ministère de la santé vient d'émettre une note dans laquelle, il indique qu'il se réserve le droit d'interdire à certains partenaires intervenant de façon sporadique de donner des soins dans le pays. 

Selon Laurence Duperval Guillaume, il s'agit d'un avertissement, elle rappelle à tous les partenaires internationaux l'obligation qui leur est faites d'obtenir une autorisation de la direction départementale de la santé pour exercer en Haïti même pour une courte durée ainsi que celle de fournir un rapport de leur activité à l'issu de leur séjour. 

EJ/Radio Métropole Haïti 


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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
   
  
 
But you can't fool all the people all the time."
 (
   
  Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
   
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
   
  ) dixit Abraham Lincoln.

Youri Latortue recommande la mise en veilleuse de certains articles de la loi électorale


Le conseiller du chef de l'Etat, Youri Latortue, soutient que le Conseil Electoral Provisoire (CEP) peut légalement déterminer les postes à pourvoir lors des prochaines élections. L'ex sénateur révèle que l'article 19.1 de la loi électorale de 2013 octroi au CEP les prérogatives d'identifier les sièges vacants avant la tenue du scrutin. 

Pour M. Latortue l'article 240 de la loi électorale qui fait référence au CTCEP n'est plus en vigueur parce que cette entité a été transformée en CEP par l'accord d'El Rancho. " C'est l'article 19.1 le CEP pourvoit à tous les postes vacants, qui tient", argue t-il. 

Cet argumentaire permettrait au CEP de réaliser les élections avec la loi électorale de 2013 sans le vote des amendements. 

Pour M. Latortue l'article 19.1 de la loi électorale renforce l'article 12 de l'accord d'El Rancho. Lors du dialogue inter haïtien les acteurs avaient convenu que les parties peuvent autoriser le CEP à mettre en veilleuse certains articles si le Parlement échoue à amender la loi. 

Le chef de file du Parti Ayiti en Aksyon (AAA) rappelle que l'exécutif, le Parlement et les partis politiques avaient convenu d'adopter des dispositions en vue de la tenue des élections. 

En ce qui a trait aux réserves de plusieurs législateurs, M. Latortue fait remarquer que les deux branches du Parlement n'avaient pas adopté de résolution pour dénoncer l'accord. " Il y a eu des contestations orales mais aucune décision adoptée en séance plénière, donc l'accord et toujours fonctionnel ", insiste t-il. 

LLM / radio Métropole Haïti


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"You can fool some people sometimes, 
  
 
But you can't fool all the people all the time."
 (
  
 Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
  
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
  
 ) dixit Abraham Lincoln.

Haïti: clinique mobile et don d’ambulances à l’île de la Gonâve

Lors d'une visite à l'île de  la Gonâve où elle s'est rendue, notamment, dans les communes d'Anse-à-Galets et de Pointe-à-Raquette, Sophia Martelly a remis, vendredi, les clés d'une ambulance au Directeur Général de l'Hôpital Wesleyen d'Anse-à-Galets, Daniel Bertrand.  La Première Dame recommande le bon usage du matériel qui, insiste-t-elle, doit desservir toute la population sans exclusion.

La Première Dame a profité de sa troisième  visite à l'île de la Gonâve pour organiser une clinique mobile à Pointe-à-Raquette. 161 personnes, dont 108 adultes et 53 enfants, ont reçu gratuitement des soins et des médicaments, à l'occasion de la Saint Louis Roi de France. Certains patients dont les cas nécessitaient un suivi médical approfondi ont été pris en charge.


En outre, Sophia Martelly a fait don à cette communauté de deux  moto-ambulances afin de desservir les zones les plus reculées de Pointe-à-Raquette.

Sophia Martelly était accompagnée de la ministre de la Santé publique et de la population, Florence D. Guillaume.


Source: Signal FM

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"You can fool some people sometimes, 
 
But you can't fool all the people all the time."
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Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
 
) dixit Abraham Lincoln.

Ice bucket: Stanley Lucas challenge Prezidan Martelly, Nerilia Mondesir ...

Haïti - Justice : Le Juge Lamarre Bélizaire attend toujours l’arrestation de J-B Aristide


Haïti - Justice : Le Juge Lamarre Bélizaire attend toujours l'arrestation de J-B Aristide
Le juge d'instruction Me Lamarre Bélizaire, qui fait l'objet d'une requête de récusation pour « pour incompétence et partialité » par les avocats de l'ex Président Aristide, continu d'instruire son enquête contre l'ex-Président d'Haïti inculpé « [...] de trafic illicite de la drogue, soustraction de deniers publics, forfaiture et concussion, et blanchiment des avoirs » selon les termes du mandat à comparaître émis par le Juge Lamarre Bélizaire http://www.haitilibre.com/article-11805-haiti-justice-j-b-aristide-convoque-devant-la-justice.html . Devant l'absence de J-B Aristide à cette comparution, conformément à la loi (article 30/77 du Code d'instruction criminelle), le Juge d'instruction à émis un mandat d'amener contre l'ancien Président d'Haïti.http://www.haitilibre.com/article-11812-haiti-justice-mandat-d-amener-emis-contre-j-b-aristide.html

Alors que les avocats de l'ex-Président et certains juristes, affirme publiquement que leur la requête de récusation est suspensive et que le Juge de peut poursuivre son instruction, ils omettent bien de préciser que selon l'article 418 du code d'instruction criminelle, même s'il y avait récusation, le Juge ne pourrait arrêter son instruction sauf et seulement, si la Cour de Cassation prenait un arrêt à cet effet, qui serait signifié au Juge. En l'absence de cette éventuelle décision en autant que la Cour de Cassation soit saisie sur cette requête rappelons (la Cour de cassation, n'a aucun délai prévu pour rendre sa décision), la loi autorise le juge à poursuivre son enquête et le mandat émis contre J-B Aristide, reste en vigueur.

D'ailleurs, dans le cadre de son instruction, Me Bélizaire a auditionné vendredi dernier l'ancien Premier Ministre Yvon Neptune et 4 autres personnes citées à comparaître. En outre, Me Lamarre Bélizaire déplore et se montre critique devant la lenteur des services policiers d'arrêter et d'amener, de gré ou de force, a son Bureau l'ex Président Aristide.

Il faut dire qu'au delà du Droit, la situation autour de la résidence de l'ancien Président est très tendue et les risque d'explosion sociale sont bien réelle, sans oublier la dimension politique non négligeable dans ce dossier. Des partisans retranchés derrière des barricades, depuis l'émission du mandat d'amenerhttp://www.haitilibre.com/article-11822-haiti-social-vive-tension-devant-la-residence-de-j-b-aristide.htmlbloquent l'accès à la résidence et se disent déterminés à s'opposer aux forces de l'ordre, pour empêcher l'arrestation de leur leader. Jeudi dernier un regain de tension a été constaté, alors que des véhicules de polices on été aperçus à proximité de la résidence de J-B Aristide.


Source: SL/ HaïtiLibre 


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) dixit Abraham Lincoln.

dimanche 24 août 2014

Santo Domingo- Pedophile : For Nuncio Accused of Abuse, Dominicans Want Justice at Home, Not Abroad

For Nuncio Accused of Abuse, Dominicans Want Justice at Home, Not Abroad

Slide Show | A Familiar Figure on the Santo Domingo Waterfront The Vatican ambassador who serves as a personal envoy of the pope has been accused of sexually abusing minors in the Dominican Republic

By LAURIE GOODSTEIN
August 23, 2014
SANTO DOMINGO, Dominican Republic — He was a familiar figure to the skinny shoeshine boys who work along the oceanfront promenade here. Wearing black track pants and a baseball cap pulled low over his balding head, they say, he would stroll along in the late afternoon and bring one of them down to the rocky shoreline or to a deserted monument for a local Catholic hero.

The boys say he gave them money to perform sexual acts. They called him "the Italian" because he spoke Spanish with an Italian accent.

It was only after he was spirited out of the country, the boys say, his picture splashed all over the local news media, that they learned his real identity: Archbishop Jozef Wesolowski, the Vatican's ambassador to the Dominican Republic.

"He definitely seduced me with money," said Francis Aquino Aneury, who says he was 14 when the man he met shining shoes began offering him increasingly larger sums for sexual acts. "I felt very bad. I knew it wasn't the right thing to do, but I needed the money."

The case is the first time that a top Vatican ambassador, or nuncio — who serves as a personal envoy of the pope — has been accused of sexual abuse of minors. It has sent shock waves through the Vatican and two predominantly Catholic countries that have only begun to grapple with clergy sexual abuse: the Dominican Republic and Poland, where Mr. Wesolowski was ordained by the Polish prelate who later became Pope John Paul II.

It has also created a test for Pope Francis, who has called child sexual abuse "such an ugly crime" and pledged to move the Roman Catholic Church into an era of "zero tolerance." For priests and bishops who have violated children, he told reporters in May, "There are no privileges."

Mr. Wesolowski has already faced the harshest penalty possible under the church's canon law, short of excommunication: on June 27, he was defrocked by the Vatican, reducing him to the status of a layman. The Vatican, which as a city-state has its own judicial system, has also said it intends to try Mr. Wesolowski on criminal charges — the first time the Vatican has held a criminal trial for sexual abuse.

But far from settling the matter, the Vatican has stirred an outcry because it helped Mr. Wesolowski avoid criminal prosecution and a possible jail sentence in the Dominican Republic. Acting against its own guidelines for handling abuse cases, the church failed to inform the local authorities of the evidence against him, secretly recalled him to Rome last year before he could be investigated, and then invoked diplomatic immunity for Mr. Wesolowski so that he could not face trial in the Dominican Republic.

The Vatican's handling of the case shows both the changes the church has made in dealing with sexual abuse, and what many critics call its failures. When it comes to removing pedophiles from the priesthood, the Vatican is moving more assertively and swiftly than before. But as Mr. Wesolowski's case suggests, the church continues to be reluctant to report people suspected of abuse to the local authorities and allow them to face justice in secular courts.

The Vatican says that because Mr. Wesolowski was a member of its diplomatic corps and a citizen of the Holy See, the case would be handled in Rome. But even many faithful Catholics in this nation, home to the oldest Catholic cathedral in the Americas, say they are unsettled that a Vatican official could have been using children for sex, yet was not arrested and tried in their own country.

"From the pure standpoint of justice, he should be tried in the country where the acts took place because the conditions for trying him will not be the same elsewhere," said Antonio Medina Calcaño, dean of the faculty of law and political science of the Autonomous University of Santo Domingo. "But all we can do is hope that the courts in the Vatican will treat this with the severity that it really deserves."

The Vatican spokesman, the Rev. Federico Lombardi, did not say when the Wesolowski trial will start, who is representing the former nuncio, or whether he is at liberty while he awaits trial. Under Vatican law, sexual abuse charges can bring a maximum of 12 years in prison and a fine of nearly $200,000.

A Dominican bishop, Victor Masalles, visiting Rome in late June, said in a Twitter message that he was surprised to see Mr. Wesolowski "strolling the Via della Scrofa," in the city's picturesque ancient center. He added, "The silence of the Church has hurt the people of God."

A Man Known as 'The Italian'

The waterfront promenade in the Dominican capital is dominated by a 50-foot monument to the 16th-century Spanish friar Antonio de Montesinos, dressed in robes and preaching the fiery sermon that made him famous: denouncing the slavery and abuse of the indigenous people by their Spanish colonists.

It was at the heel of this colossus, on the deserted upper plaza in the shadow of the friar's robes, Mr. Aquino said, that he was often molested by the man he knew as "the Italian." The man always chose a bench that would allow him to see the rare visitor coming up the staircase, and would watch the boy masturbate, would touch him or would touch himself, said Mr. Aquino, now 17. Other times, they went to the rocky beach below the statue.

Mr. Aquino, whose family is originally from Haiti, left school in the eighth grade, earning $1.50 on a typical weekday by shining shoes. But he said that the man gave him more than $10 the first time they met, in 2010, to shine his shoes and to swim naked in the ocean while Mr. Wesolowski watched.

The man returned often over the next six weeks, Mr. Aquino said. But gradually the man wanted more, giving him from about $25 to as much as $135, as well as sneakers and a watch, for sexual acts. They met on and off over three years, Mr. Aquino said, but the man revealed little more than his first name, which he gave as "Josie."

There is a mix of shame and anger among the shoeshine boys who say they knew the man. Darwin Quervedo, who is 14, said haltingly, with eyes downcast, that when he was 11, the man gave him more than $25 to watch him masturbate down by the beach. He said he felt scared, and never did it again.

When he learned much later of the man's identity, Darwin said he thought to himself, "What kind of a man who is a priest does things like this?"

The promenade is a popular stretch for tourists and joggers. But it is also frequented by those seeking children and young men for sex. With all this activity, Mr. Wesolowski, in his track suit and running shoes, did not at first attract inordinate attention. He also chose his victims carefully, the shoe shiners said.

"He wasn't interested in me," said Robin Quello Cintrón, 23. "He said I was too old, that he liked the younger ones."

"I warned the younger kids, 'Don't go with him,' " said Mr. Cintrón, adding, "But the money tempted them."

Curbing child sexual exploitation is a pressing issue in the Dominican Republic and many countries, and the Catholic Church is among the many religious institutions that have taken up the cause.

In March, Pope Francis signed onto a campaign with other global religious leaders to fight all forms of human slavery, including child prostitution. This month, he sent a message for the opening of a refuge in Argentina for young victims of sexual exploitation.

Still, two United Nations panels in Geneva examining the church's record on child sexual abuse questioned the Vatican this year about its handling of the Wesolowski case.

Mr. Wesolowski, 66, was ordained at 23 in Krakow by Archbishop Karol Józef Wojtyla, who later became Pope John Paul II. In 1999, he was appointed papal nuncio to Bolivia, and in 2002, he was reassigned to Kazakhstan, Tajikistan, Kyrgyzstan and Uzbekistan.

In 2008, he was sent to the Dominican Republic. Mr. Wesolowski served as a ceremonial dean of the international diplomatic corps here, convening an annual party in honor of the country's president. The posting came with a stately residence and access to a beach house.

On the waterfront, Mr. Wesolowski attempted to disguise his rank, the boys say. He drove a small gray-green Suzuki sport utility vehicle with rosary beads hanging from the rearview mirror, they recalled, and parked it near the monument in the colonial zone, where several streets are named for archbishops.

One day last year, Nuria Piera, a prominent television journalist, received a tip that the papal nuncio drank beer many afternoons at a waterfront restaurant, then went off with young boys.

Ms. Piera sent a video crew to surreptitiously film the nuncio, she said in an interview at CDN, where she is general director. The crew shot some video of Mr. Wesolowski drinking alone and walking the promenade, Ms. Piera said, but he noticed their presence (though not the camera), walked over, smacked his hand against their car and asked why they were following him.

After that, Ms. Piera said, he disappeared from the waterfront. Her tipster never saw him there again.

"I suspected that there may have been a leak from our own office," Ms. Piera said.

Mr. Wesolowski began sending a young Dominican church deacon to procure children for him, law enforcement authorities in the Dominican Republic say.

The deacon, Francisco Javier Occi Reyes, was arrested by the police on June 24, 2013, accused of solicitation of minors and taken to jail. But no one came to bail him out, and the deacon sent an anguished letter dated July 2 to Mr. Wesolowski, to be delivered to him by hand at his office.

"We have offended God" and the church, the letter said, by sexually abusing children and adolescents "for crumbs of money." The deacon wrote that he had agreed to find child victims for the nuncio so that "your sexual appetite can be satiated," but that he was now asking God for forgiveness.

"Hopefully you will consider asking for God to help you to walk away from this evil disease of continuing to sexually abuse innocent children," the letter said, according to a copy obtained by The New York Times from a Dominican Justice Ministry official.

The deacon sent copies of the letter to Cardinal Nicolas de Jesus López Rodriguez, the head of the church in the Dominican Republic, and to a Dominican bishop, Gregorio Nicanor Peña Rodríguez. The cardinal then carried the evidence to the Vatican, where he met directly with Pope Francis, according to interviews with the Dominican authorities. On Aug. 21 last year, Mr. Wesolowski was secretly recalled to Rome.

Six days later, the cardinal called the papal nuncio "a great friend and promoter of peace."
Neither the cardinal, nor other church officials, reported the allegations to the local authorities, Dominican officials say. Vatican guidelines say that criminal sexual abuse accusations should be reported in countries where reporting is required.


Soon after, church officials here told local news media that Mr. Wesolowski had been recalled because of the allegations against him, prompting Cardinal Rodriguez to confirm that he had gone to the Vatican to address the matter. He and other church officials denied requests for an interview.

'The Most Terrible Case'

The district attorney, Ms. Reynoso, said her investigators had identified four children aged 12 to 17 with whom the nuncio had sexual contact, but that there were likely others.

The 17-year-old had epilepsy, and the nuncio gave him medicine for his condition in exchange for sexual acts, starting from when the boy was 13, the district attorney said. She said she had "no doubt" about the credibility of the youths' testimony, because it was corroborated by other evidence.

"This is the most terrible case that I have ever seen," said Ms. Reynoso. "He was abusing kids who were living in extreme poverty, in exchange for pills for a boy's illness. It's very perverse."
The Vatican sent someone to the Dominican Republic last October to look into the case, but they made no contact with the district attorney or anyone in her office, Ms. Reynoso said. She forwarded her report to the country's attorney general, who forwarded it to the Vatican.

Ms. Reynoso said the case should have been prosecuted in the Dominican Republic. "These children who were abused, and their families, and the Dominican society, have a legitimate right to see Jozef Wesolowski judged by a jury — not as a diplomat, but for what he really is," she said. "A child abuser."

Mr. Brito, the attorney general, said he trusted that the Vatican would apply the "appropriate discipline." He said he did not seek to have Mr. Wesolowski extradited because he has diplomatic immunity, and "the law would not allow it."

According to experts in international law, the Vatican could have waived diplomatic immunity. In Santo Domingo, there have been small protests and petitions signed by more than a thousand people calling on the Vatican to extradite Mr. Wesolowski to the Dominican Republic. Advocates have accused the government of acquiescing to the church. "We think there has been a lot of impunity in this case, and no transparency," said Sergia Galván, executive director of the Women and Health Collective, which represents abuse victims. "If he's no longer a diplomat, if he was stripped of that title, he no longer has immunity."

The case has reverberated in Poland, where prosecutors have sought to extradite Mr. Wesolowski, who holds both Vatican and Polish citizenship. Poland has indicted another Polish priest, the Rev. Wojciech Gil, who fled the Dominican Republic last year amid allegations that he abused altar boys in his rural parish. Prosecutors in the Dominican Republic say that Father Gil and Mr. Wesolowski spent time with young boys at the nuncio's beach house.

There are indications from Rome that the pope himself is concerned about the Wesolowski case. A Dominican bishop, Fausto Ramón Mejía, said in an interview that when he was part of a delegation visiting the Vatican late last year, Pope Francis' smile vanished on hearing what country he was from.

"He became very serious," said Bishop Mejía. "He stopped and he said to me, very sincerely, 'I feel as though my heart was crossed by a dagger from what took place in the Dominican Republic.' "
The case has shaken this stalwart Catholic nation, but the church has said little. In one group photograph released by the Dominican bishops, Mr. Wesolowski's face appeared to have been removed from the picture.

"The people used to say, 'I want my child to go to a Catholic church,' " said the Rev. Rogelio Cruz, a Catholic priest here. "Now they say, 'No child of mine is ever going to a Catholic church.' "
Ezra Fieser and Meridith Kohut contributed reporting from Santo Domingo, and Gaia Pianigiani from Rome.

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samedi 23 août 2014

Aristide et Duvalier, unis dans la recherche de l'impunité.

Haïti : Syndicat des dictateurs Duvalier-Aristide contre la justice haïtienne.-

Photo : Haïti : Syndicat des dictateurs Duvalier-Aristide contre la justice haïtienne.-  Rien n'est plus étonnant la semaine du 17-22 Aout 2014 que la conférence de presse des avocats Me Mario Joseph (Avocat de Jean-Bertrand Aristide) et Me Gervais Charles (Avocat de Jean-Claude Duvalier).   Me Gervais Charles et Mario Joseph se sont présentés devant la presse pour expliquer aux citoyens que la justice haïtienne n'est pas assez forte pour juger les anciens présidents.  Les avocats Mario Joseph et Gervais Charles veulent-ils par leur déclaration inviter des puissances étrangères et/ou des organisations internationales à s'immiscer dans le jugement des deux dictateurs ? Jean-Bertrand Aristide, une fois accusé de trafic de drogue   dans son pays, les Etats-Unis ne sont-ils pas tenus d'aider ce petit de la Caraïbe, incapable de juger un gros caïd de la drogue? Quels principes de droit devons-nous apprendre de ces déclarations de deux avocats professionnels?  Cyrus Sibert,  Cap-Haitien, Haïti 23 Aout 2014
Rien n'est plus étonnant la semaine du 17-22 Aout 2014 que la conférence de presse des avocats Me Mario Joseph (Avocat de Jean-Bertrand Aristide) et Me Gervais Charles (Avocat de Jean-Claude Duvalier).

Me Gervais Charles et Mario Joseph se sont présentés devant la presse pour expliquer aux citoyens que la justice haïtienne n'est pas assez forte pour juger les anciens présidents.

Les avocats Mario Joseph et Gervais Charles veulent-ils par leur déclaration inviter des puissances étrangères et/ou des organisations internationales à s'immiscer dans le jugement des deux dictateurs ? Jean-Bertrand Aristide, une fois accusé de trafic de drogue dans son pays, les Etats-Unis ne sont-ils pas tenus d'aider ce petit de la Caraïbe, incapable de juger un gros caïd de la drogue? Quels principes de droit devons-nous apprendre de ces déclarations de deux avocats professionnels?

Cyrus Sibert,
Cap-Haitien, Haïti
23 Aout 2014

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"You can fool some people sometimes, But you can't fool all the people all the time."
(Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.) dixit Abraham Lincoln.

ARISTIDE, L'INTOUCHABLE!

" ...il ne revient pas à des organisations de la société civile de décider de l'opportunité du timing des poursuites. C'est une décision qui revient, en toute indépendance, au pouvoir judiciaire.

... si Aristide est si puissant que son arrestation éventuelle peut plonger le pays dans le chaos, il peut aussi lâcher ses chiens et commanditer des fraudes massives aux prochaines élections, en toute impunité. Si c'en est le cas, il nous faut reconnaitre que ce pays a un ''problème Aristide'' qu'il faut d'autant plus résoudre avant les élections." dixit Frandley Denis Julien
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Aug 23
Par Frandley Denis Julien
frandleyjulien@gmail.com

Dans une déclaration conjointe faite dans la presse en début de semaine, l'Initiative de la Société Civile et le Conseil Haïtien des Acteurs non-Etatiques jugent les poursuites judiciaires engagées contre l'ex-président Aristide par le Juge Lamarre Bélizaire inopportunes, eu égard à la conjoncture actuelle qui fait déjà miroiter le spectre d'une crise pré-électorale. Je n'en reviens pas.

Cette déclaration est mal inspirée à bien des égards. D'abord, il faut que les acteurs de la société civile réalisent que la justice doit être indépendante non seulement des deux autres pouvoirs, mais aussi de toute interférence externe, d'où qu'elle vienne. En tant qu'éléments de la société civile, notre vigilance, dans ce cas précis, se borne à nous assurer que les poursuites enclenchées contre Aristide ne sont pas commanditées par le gouvernement Martelly/Lamothe, ce qui serait une triste façon de rater une opportunité unique de faire avancer la démocratie dans le pays. Aristide, contrairement à ses pratiques, a droit à un procès juste et équitable, si le juge Belizaire ou son successeur décide qu'il y a lieu de le juger. Cependant, nous savons tous que toute l'intervention gouvernementale qu'il fallait pour qu'Aristide aille en prison, il s'en était occupé lui-même, du temps de son règne.

Cela dit, il ne revient pas à des organisations de la société civile de décider de l'opportunité du timing des poursuites. C'est une décision qui revient, en toute indépendance, au pouvoir judiciaire. Si nous commençons à donner des prétextes aux juges quant à l'opportunité de faire avancer la justice, ils en trouveront à longueur d'année. Il ne sera pas opportun de poursuivre les ''grands'' de Novembre à Avril à cause des fêtes de fin d'année, des festivités carnavalesques, de Pâques et du Rara ; à partir de Mai jusqu'à Octobre, c'est le carnaval des fleurs, les fêtes champêtres et la réouverture des classes. Donc, il sera difficile de trouver un moment opportun pour qu'Aristide réponde de ses actes devant la justice.

En plus, il nous faut admettre  que si nous revenons à la normalité —et il faudra tôt ou tard y revenir— nous devrons réaliser des élections tous les deux ans. Sachant qu'il peut falloir plus d'un an pour achever l'affaire Aristide, de l'instruction au verdict, il y aura toujours un chevauchement entre cette affaire et la réalisation d'élections dans le pays.

Mais, attendez : il y a une kyrielle d'autres raisons, encore plus fondamentales, pour lesquelles la déclaration de ces deux organisations est malvenue. D'abord, si nous suivons leur logique, le petit voleur de banane doit répondre de ses actes devant la justice à tout moment, mais les délinquants en col blanc qui, de surcroît, sont tellement irrespectueux des institutions nationales qu'ils paient des casseurs pour mettre le pays à feu et à sang au lieu de faire face à la justice, il faut attendre le clair de lune pour les convoquer ? N'est-ce pas là une justice à deux vitesses que ces organisations sont en train de promouvoir ? Ne sont-elles pas en train d'appeler la justice à récompenser la délinquance, le banditisme et l'irrespect des lois de ce pays ?

Ensuite, si les organisations de la société civile ayant pignon sur rue peuvent donner leur opinion, à leur façon, sur l'opportunité ou non des poursuites contre Aristide, pourquoi les soi-disant supporters de ce dernier ne peuvent pas eux-aussi, donner la leur, à leur façon, en bloquant l'entrée de sa résidence ? Tout cela nous fait réaliser que dans la lutte pour l'émergence de la démocratie en Haïti, nous sommes moins matures que nous nous amusons à le croire, et qu'au plus haut niveau, nous avons des réflexes antidémocratiques.

Cela dit, aujourd'hui, certaines conclusions s'imposent. Premièrement, Aristide n'a plus aucune force politique. Les deux ou trois dizaines de casseurs qui s'activent devant sa maison sont des journaliers qui n'ignorent pas qu'en environ 20 ans de pouvoir, Aristide et Lavalas n'ont rien fait ni pour Cité Soleil, ni pour le Bel-Air. Si Aristide était populaire, dans toutes les autres villes du pays, des citoyens se seraient précipités aux barricades. Si ces individus s'opposent à l'action de la justice, ils doivent le faire à leur dépens ; deuxièmement, le gouvernement Martelly doit se garder d'intervenir dans ce dossier car c'est à ce prix que le pays fera un saut qualitatif vers l'avant ; mais le gouvernement doit aussi agir avec rigueur contre les casseurs ; troisièmement, si Aristide est si puissant que son arrestation éventuelle peut plonger le pays dans le chaos, il peut aussi lâcher ses chiens et commanditer des fraudes massives aux prochaines élections, en toute impunité. Si c'en est le cas, il nous faut reconnaitre que ce pays a un ''problème Aristide'' qu'il faut d'autant plus résoudre avant les élections.

Somme toute, la démocratie ne se construit pas sans casse. Tant qu'il y aura des citoyens que la justice ne pourra entendre qu'en temps ''opportun,'' nous ne serons pas sur la bonne voie. Une justice qui attend le moment opportun pour fonctionner est, par définition, une justice opportuniste. Ce n'est pas ce dont nous rêvons pour notre pays.

http://frandleyjulien.com/2014/08/23/aristide-lintouchable/
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Haïti - Justice : Démantèlement de réseaux de contournement de trafic téléphonique international


Haïti - Justice : Démantèlement de réseaux de contournement de trafic téléphonique international
Ces dernières semaines, le Conseil National des Télécommunications (CONATEL), avec l'aide de la Police Nationale d'Haïti (PNH) et le support technique des compagnies de téléphonie mobile, a procédé au démantèlement de plusieurs réseaux de malfaiteurs, qui pirataient les réseaux téléphoniques en terminant sur ces réseaux, le trafic téléphonique en provenance de l'étranger sans autorisation préalable. Précisons que ce procédé, connu sous le nom de « Bypass » met à profit les liaisons dédiées de l'Internet pour faire passer des appels internationaux pour des appels locaux.

Lors de différentes opérations menées à Pétion-Ville, Delmas et Carrefour, les policiers ont saisi des équipements pouvant terminer simultanément jusqu'à 400 appels téléphoniques et ont également procédé à plusieurs arrestations. 

Bien que le premier réseau a été démantelé au mois de mai, le CONATEL et la PNH sont restés discrets quant à l'identité des personnes incriminées, pour ne pas gêner les investigations en cours, sur ce qui apparait aujourd'hui comme un trafic de large envergure avec des ramifications à l'étranger. Les investigations qui ont suivi, ont permis de remonter à d'autres opérations et des recherches se poursuivent actuellement.

Le CONATEL rappelle que suite à ces piratages, l'État Haïtien a subi un manque à gagner estimé à près d'un million de dollars américains, ce qui représente une perte de recettes, tant pour l'État, que pour les opérateurs téléphoniques. 

Tout en se félicitant de la collaboration entre toutes les parties, y compris la PNH le Conseil met en garde tous ceux qui auraient l'intention de poursuivre ces activités.

Le CONATEL rappelle que ces activités illégales, sont punissables en vertu des lois qui régissent la matière en Haiti, notamment du fait que ces individus opèrent en Haïti sans licence, détournent des communications et entravent le bon fonctionnement des communications sur le territoire national, causant ainsi un grave préjudice financier au pays, d'autant plus que les revenus générés par ces activités frauduleuses, sont transférés à l'étranger.

Le Conseil National des Télécommunications, encourage toute personne qui détiendrait des informations portant sur tout individu s'adonnant à ce genre d'activités, à le contacter. Il assure que les informations reçues seront traités en toute confidentialité et qu'aucune action ne sera intentée contre les personnes qui auront apporté leur collaboration et contribué à l'avancement des enquêtes dans ces dossiers.

En savoir plus sur le Bypass :
Par exemple un appel via une route légitimes coûte normalement 0,80$ avec un frais de commencement (initiation fee) de 0,50$ dans les pays A et un frais de terminaison (termination fee) de 0,30$ dans un pays B. Dans le cas d'un bypass via VoIP (Voix sur IP) le frais de commencement (initiation fee) est de 0,15$ et le frais de terminaison (termination fee) est de 0,05$. L'opérateur téléphonique dans le pays B perd 0,25$ (0,30-0,05) en frais de terminaison (termination fee), ce qui résulte à une perte de 83%, donc l'État perd également en revenus (taxes). Il existe aussi des bypass via la technologie GSM (GSM Gateway), le bypass peut aussi être national, entrant ou sortant. Le bypass interconnecte les points via les routes les moins chers tels que l'Internet. 


Source: HL/ HaïtiLibre 


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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
    
   
  
But you can't fool all the people all the time."
 (
    
   Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
    
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
    
   ) dixit Abraham Lincoln.

Haïti-Justice : « J’ai répondu à l’invitation de la Justice sans contrainte », dixit Yvon Neptune,

RA/HPN

L'ancien Premier ministre (PM) du gouvernement Lavalas (2e version), Yvon Neptune, s'est présenté au cabinet d'instruction criminelle, ce vendredi 22 août, pour répondre à un mandat de comparution du juge Lamarre Bélizaire. Après plus de deux heures d'audition,  M. Neptune a confié  à la presse avoir répondu à l'invitation de la Justice sans contrainte.

 

L'air confiant et serein, l'ancien chef de la Primature, Yvon Neptune  a comparu devant le cabinet d'instruction sans aucun avocat à sa défense. Il a été accompagné d'un témoin Ronald Saint-Jean lors de son audition.

À sa sortie du cabinet du juge d'instruction,  M. Neptune a indiqué qu'il avait  pris toutes les mesures nécessaires afin de bannir  la corruption sous son administration.

L'ex-Premier ministre du gouvernement Lavalas s'est montré très prudent en évitant toute spéculation sur la portée de cette convocation survenue près de dix ans après la chute de ce régime au pouvoir. Il déclare sans ambages qu'il ne fait qu'assumer ses responsabilités.

Quant au conseil à prodiguer aux autres membres de l'Administration Lavalas, notamment l'ex-président Jean Bertrand Aristide, M. Neptune ne mâche pas ses mots: "je n'ai de  conseils à prodiguer à personne", a-t-il fait savoir, arguant que chacun devait prendre ses responsabilités.

Il a, par ailleurs, déclaré qu'il ne s'agit pas d'une question de confiance, lorsqu'il incombe à répondre à une convocation de la Justice. Les juges, soutient-il, sont là et espérons qu'ils prennent la loi pour leur boussole.

HPN

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But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

vendredi 22 août 2014

Six sénateurs, seul obstacle à la réalisation des élections.-

Les députes Abel Descolines de Mirebalais/Boucan Carré et Romain Musset de Maissade, affirment que la tenue des élections dans le pays à la fin de cette année est une nécessité absolue pour le peuple haïtien. 

Le seul obstacle à la réalisation des prochaines compétitions électorales reste et demeure, depuis quelques temps, le Sénat de la République, plus particulièrement les sénateurs faisant partie du groupe des 6. 

Ils demandent aux sénateurs récalcitrants de prendre conscience de la gravité de la situation et l'urgence de l'heure en vue de plancher le plus rapidement que possible sur les amendements à la loi électorale déjà entérinés à  la chambre basse.

En ce qui concerne l'article 12 de l'accord d'El Rancho qui continue de faire couler beaucoup d'encres aujourd'hui au sein de la société haïtienne, ces parlementaires se prononcent en faveur de son application stricte, au cas où les pères conscrits de la nation auraient refusé de voter les amendements à la loi électorale.  

#Haiti - #Elections2014
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Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
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