samedi 18 juillet 2015

HAITI-TRAITE & PEDOPHILIE : LE COMPORTEMENT DISCRININATOIRE DES ONGs NORD-AMERICAINES.-



Le combat pour la justice en faveur des enfants haïtiens abusés sexuellement par des responsables d'ONGs permet d'identifier un comportement qui peut être qualifié d'apartheid et de discriminatoire.
 
En fait, le cas de M. Douglas Perlitz à Cap-Haitien ainsi que celui de M. Michael Geilenfeld à Delmas illustre un comportement d'apartheid des membres des Conseils d'Administration des ONGs « Haiti Fund » et « Hearts with Haiti » qui, malheureusement, aboutit au mépris de l'humain.
 
Au cours des décennies écoulées, ces ONGs, sous couvert de la philanthropie, collectent des fonds pour voler au secours des démunis alors qu'elles restent insensibles aux calamités des jeunes victimes de la violence sexuelle, acte perpétré par certains de leurs membres influents. Les dirigeants de ces ONGs sont restés solidaires des abuseurs sexuels de mineurs. Ils n'ont jamais estimé judicieux et/ou justifier de dénoncer, condamner, et d'arrêter les sévices sexuels infligés aux enfants victimes qu'ils devaient protéger. Ils préfèrent apprécier la forme des révélations sur la situation abominable ayant eue lieu au sein de leur institution que d'en apprécier le fond.
 
Stratégiquement, le directoire de ces deux ONGs s'évertue à  briser la résistance des victimes en leur présentant comme des menteurs et des ingrats qui osent protester ou contester les abus dont ils faisaient l'objet.
 
Les supporteurs des présumés victimes qui réclament un traitement équitable du dossier selon une approche qui respecte le droit des dits victimes font l'objet permanent d'une campagne d'intimidation et de dénigrement visant à les discréditer.
 
On se souvient si bien de cette intervention de l'avocat de M. Perlitz, qui, à l'audience, scanda qu'Haïti est pays pauvre, souillé de bactéries, et que l'ignorance de son peuple entrave la maîtrise des connaissances et des principes d'hygiène de base. Il présenta les victimes comme prédisposées à l'acte sexuel et quelqu'un d'autre aurait perpétré les faits reprochés à M. Perlitz qui, en quelque sorte, s'est rabaissé d'avoir eu des rapports sexuels avec ces enfants démunis.
 
Ce 21 décembre 2010, la juge de siège de la Cour Fédérale de Connecticut eut à rappeler à l'homme de loi qu'il pouvait défendre son client sans insulter Haïti et les haïtiens. Plus d'un versa des larmes à entendre un étranger présenter Haïti comme une paria, espace pourri, dépourvue de vie, de dignité et de fierté.
 
Aujourd'hui voilà, dans cette nouvelle lutte qui nous oppose à l'ONG « Hearts with Haiti », nous nous demandons pourquoi est-il si difficile pour des responsables d'une ONG de rappeler l'un de leurs représentants accusé de pédophilie ? Pourquoi est-il si difficile pour une ONG de procéder à une révision interne pour aboutir à la vérité, de coopérer avec la justice, et de se racheter?
 
Michael Geilenfeld, le 30 avril 2015.
Pourquoi l'ONG « Hearts with Haiti » préfère-t-elle supporter un délinquant sexuel, auteur d'agressions sexuelles multiples sur des enfants placés sous sa garde ? Pourquoi cette ONG s'efforce-t-elle à imposer à la société haïtienne un missionnaire accusé de pédophilie alors qu'aux États-Unis l'accusé serait interdit des espaces fréquentés par des enfants ? Pourquoi depuis 30 ans les accusations ciblent toujours M. Geilenfeld?
 
En 1987, 1990, 1991, 1995, 1998, 1999, 2003 et en 2010, des jeunes haïtiens ont rompu leur silence pour dénoncer les abus sexuels, la traite et les crimes de pédophilie qui prévalaient à l'intérieur de l'orphelinat Saint-Joseph de Delmas 91. Toujours dans leur logique du mépris de l'humain ou des pauvres d'Haïti, l'ONG de la Caroline du Nord a scrupuleusement ignoré le cri des victimes et s'est évertué, par tous les moyens, à imposer la présence de l'accusé à la tête de l'orphelinat tout en exploitant et les enfants et leurs positions privilégiées pour corrompre d'avantage des éléments de l'administration publique et de la justice d'Haïti.
 
Ces responsables d'ONGs qui vantent, à cor et à cri, leur amour pour les démunis d'Haïti accepteraient-ils que leurs enfants fréquentent une école ou un club sportif dirigé par un accusé d'agressions sexuelles multiples, spécialement sur des enfants? Ces gens de «Hearts with Haiti» qui se plaignent de l'activisme de Cyrus Sibert et de Paul Kendrick au profit des victimes n'ont-ils pas dépensé près d'un demi-million de dollars pour fournir à l'accusé tout un dispositif de défense légale et d'autres conseillers pour soigner son image? Les victimes n'ont-elles pas droit à aucune forme de support ?
 
Quelle leçon veulent-ils faire passer en Haïti? Sont-ils en train de signaler que si l'un de leurs missionnaires est accusé d'abus sexuels sur des enfants pauvres, inconditionnellement, ce missionnaire sera protégé, défendu, supporté jusqu'à ce qu'il ait gain de cause ?
 
La réponse est qu'ils ont certainement considéré les enfants haïtiens comme des êtres inférieurs dépouillés d'humanité.
 
Peut-on accepter avec impuissance une telle situation de mépris des enfants d'Haïti ?
 
Des documents relatifs au fonctionnement de l'orphelinat Saint-Joseph de Delmas 91 révèlent qu'un prêtre du nom de John Duarte, codirigeant dudit orphelinat, a été arrêté puis condamné au Canada pour actes de pédophilie perpétrés en Haïti. D'autres étrangers ayant séjourné à cet orphelinat tel que M. Michael Brower et M. Philip Norris sont connus ou poursuivis pour abus sexuels sur des mineurs. Récemment, il a été révélé que l'Association pédophile NAMBLA (North American Boy and Man Love Association) entretenait de bonne relation avec l'orphelinat Saint-Joseph et collectait des fonds à son profit.
 
Comment faire comprendre aux responsables de l'ONG « Hearts with Haiti » que quelque chose cloche à Saint-Joseph et que le comportement responsable serait de rappeler leur représentant, M. Geilenfeld; et d'ordonner une enquête approfondie, rendre public les résultats de cette enquête, et enfin de collaborer avec la justice tout supportant les jeunes qui se disent victimes.
 
Puis qu'il est scientifiquement prouvé que les victimes de traite et d'agression sexuelle en portent les séquelles toute leur vie  et que les pédophiles ont tendance à récidiver, un tel dossier reste une priorité constante qui ne saurait disparaître avec le temps.  En ce sens, il faut accompagner les victimes et protéger les enfants, membres à part entière de la société.   
 
L'arrestation de M. Geilenfeld survenue le 5 septembre dernier est un signal positif envoyé par l'Etat haïtien à l'endroit de ces ONGs qui veulent imposer au peuple haïtien l'inacceptable. A ces gens qui considèrent les enfants haïtiens comme des objets et esclaves sexuels dépouillés d'humanité, l'Etat haïtien vient de montrer qu'il peut fixer les règles du jeu. Les ministères de la Planification et de l'Intérieur doivent évaluer le niveau de responsabilité de ces ONGs avant de renouveler leur autorisation de fonctionnement. Les responsables d'ONGs utilisant l'humanitaire comme cheval de Troie et n'ayant aucun respect pour notre peuple doivent être reconduits à la frontière.
 
L'aide humanitaire ne peut pas se faire dans une ambiance semblable à l'esclavage et au mépris des bénéficiaires. Même pauvres, les enfants d'Haïti méritent d'être traités comme des enfants dotés de droits inhérents et de dignité humaine sans préjuger ni décimation de couleur ni de race.
Nous saluons le courage du gouvernement en place et, plus spécifiquement la justice haïtienne qui, par une action décisive, vient de prouver qu'Haïti peut se relever et exiger des explications à quiconque.
 
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haïti
19 septembre 2014
@reseaucitadelle
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LISEZ: CINQ (5) VICTIMES DE L'ORPHELINAT SAINT-JOSEPH DE DELMAS 91 SAISISSENT LE CABINET D'INSTRUCTION DE LA JUSTICE HAITIENNE.-
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.
 

jeudi 16 juillet 2015

Associated Press / Man who lived in Haiti orphanage says in defamation trial that founder molested him.-

"A second time, he said, Geilenfeld touched him and put his mouth on his penis and later beat him because he rejected the man’s advances. He said Geilenfeld told him he’d have to make 'a sacrifice' if he wanted help in pursuing his dream of living in the U.S."

Daniel Madrigal testifies in the trial of Paul Kendrick of Freeport, who was sued for accusing Michael Geilenfeld of sexually abusing kids.
BY DAVID SHARP

An orphan who grew up on the streets of Haiti, Daniel Madrigal testified Thursday that he was grateful to find food, clean clothes and shelter at St. Joseph’s Home for Boys in Port-au-Prince. But he said the orphanage founder who took in street kids sexually abused him.

Madrigal said his arrival at the orphanage as a teenager was “the most beautiful day of my life,” but he was later kicked out after rejecting the founder’s sexual advances.

His testimony in U.S. District Court in Portland, and that of other former orphans, is key in a defamation lawsuit filed by the orphanage founder, Michael Geilenfeld, and a U.S. charity, Hearts with Haiti. They sued a Freeport man who advocates for child sexual abuse victims and sought to publicize the molestation allegations against Geilenfeld through a campaign starting late in 2011. Geilenfeld has denied sexually abusing children.

The Associated Press does not typically identify people who say they were sexually assaulted, but Madrigal has consented to being identified, saying he wanted to tell his story.

The federal jury’s decision could come down to whether they believe Madrigal and six other accusers, five of whom are testifying via videotape.

Madrigal, now an adult who lives in the Boston area, told jurors he was warned when he arrived at St. Joseph’s that “the blanc guy” – the white guy – will “touch you.”

He said he’d been at the orphanage for eight or nine months when he was invited to Geilenfeld’s room, where Geilenfeld gave him a Walkman and two cassettes before touching his genitals through his pants. After that, he said, a friend joked, “He likes you!”

A second time, he said, Geilenfeld touched him and put his mouth on his penis and later beat him because he rejected the man’s advances. He said Geilenfeld told him he’d have to make “a sacrifice” if he wanted help in pursuing his dream of living in the U.S.

Madrigal told jurors that he was sent to another home for orphans and then told to stay away from St. Joseph’s and from Geilenfeld. He said he and a friend told a Haitian child welfare agency what had happened but were told to keep quiet.

“He said: ‘You’re not in this family any more. You talk too much. You don’t want to sacrifice,” Madrigal said of Geilenfeld. He was given money and told not to return.

U.S. District Judge John Woodcock said jurors will likely be asked to focus on whether activist Paul Kendrick’s molestation allegations were false and whether they were made negligently.

Geilenfeld and his attorneys blame Kendrick, who helped form the lay group Voice of the Faithful at the height of the clergy sex-abuse crisis, for Geilenfeld’s arrest in Haiti last fall on child molestation charges. He was released after 237 days when a judge dismissed charges. Attorneys for the accusers have petitioned to have the case re-examined.

Geilenfeld and Hearts with Haiti, a Raleigh, North Carolina-based charity that raises money for his orphanage, contend the accusations cost the orphanage more than $2 million in donations.

His lawyers hinted at their strategy of discrediting the accusers in questions about a civil lawsuit and the potential for a big payday for victims of sexual abuse. They also pointed out that Madrigal seemed to be friendly to Geilenfeld in social media chats with a friend and former orphan after leaving Haiti.

Madrigal eventually made his way to the Dominican Republic, where he was adopted, took on his current name and met a woman from the U.S. He married her and became a U.S. citizen.

He said he has not interested in seeking money from Geilenfeld because he’s already financially successful. He said he has a six-figure salary and homes in the U.S. and the Caribbean.

“I’m not Michael’s victim,” he said. “I’m a survivor.”


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mardi 14 juillet 2015

Note de Cyrus Sibert, RéseauCitadelle, sur le faux Communiqué #40 expulsant Moise Jean-Charles.-


Concernant le faux Communiqué du week-end dernier annonçant l’expulsion du Candidat de la Plate-forme Pitit Dessalines par le Conseil Electoral Provisoire (CEP), Cyrus Sibert tient à informer le grand public qu’il n’approuve pas les pratiques d’utilisation de faux emails pour ses prises de positions, encore moins dans le discours politique. 

Je mets en défi Monsieur Edens Desbas et ses amis qui insinuent que le faux Communiqué publié le week-end dernier sur l’expulsion du Candidat de la Plate-Forme Pitit Dessalines est l’œuvre de Cyrus Sibert, ReseauCitadelle, de prouver le contraire. 

Cette action désespérée renverrait, de préférence, aux dirigeants de la Plate-forme Pitit Dessalines de Monsieur Moise qui veulent inciter leurs partisans à manifester pour intimider ce CEP parce qu’ils sont visiblement bouleversés par les informations crédibles publiées ces derniers jours sur la vraie nature de leur candidat.  

J’en profite pour signaler à mes détracteurs que  j’assume toujours mes idées et mes positions. Et en conséquence, mes publications sont toujours authentiques et portent obligatoirement ma signature.

Courageux, vaillant, résolu, fidèle combattant pour la promotion des plus faibles et toujours du coté des victimes, je suis apprécié ou détesté pour mes opinions et mes œuvres. J’assimile les critiques et j’apprécie les encouragements. D’ailleurs, je me fais une fierté d’affirmer ma position, de défendre mes points de vue et de déconstruire les idées infondées venues de travers.

Cyrus Sibert n’a pas besoin de faux emails pour détruire les faux arguments. Il aime la guerre des idées et s’amuse, comme dans une partie d’échec à confondre ses adversaires.

Alors, messieurs, vous perdez votre temps à insinuer que Cyrus Sibert de ReseauCitadelle est derrière cette manœuvre inutile et mal fagotée. Ce faux communiqué est une campagne publicitaire au profit de Monsieur Moise. Fabriquer un faux communiqué contre lui le fait passer pour victime. Exercice futile.

Je préfère analyser son passé afin de trouver des preuves solides démontrant qu’il ne répond pas aux critères établis pour briguer la Présidence. Pour preuve il existe un mandat du Juge d’instruction mettant en cause le Certificat de bonne vie et mœurs que Monsieur Moise a remis au CEP ; le Rapport de la Cour Supérieur de Compte sur la Commune de Cap-Haïtien, de 2007-2011, en sa page #10, indique que Monsieur Moise est impliqué dans le détournement de 3,7 millions de gourdes.

Ces deux éléments sont suffisants pour porter ce CEP à retirer le nom de Monsieur Moise de la liste des candidats agréés pour les élections Présidentielles. 

Avec ces deux munitions, point n’est besoin d’un faux Communiqué sans lendemain.

A ceux qui pensent que nous n’avons pas le droit de questionner la candidature de Moise Jean-Charles, nous rappelons que l’ex-Sénateur du Nord a construit toute sa réputation sur des accusations de corruption sans preuve contre le Président Michel Martelly. Il était le premier à exiger que ce CEP écarte Monsieur Laurent Lamothe faute de décharge. Il doit se souscrire à ses propres exigences.

J’en profite pour inviter le journaliste Daly Valet qui avait présenté Moise Jean-Charles comme un “homme intègre” sur Radio Vision 2000, à rectifier publiquement sa position. Récipient de plus de 3,7 millions de gourdes de la Mairie du Cap-Haïtien, par voie détournée et sans justifications, son leader, Moise Jean-Charles est souillé. Monsieur Valet doit fournir des explications sur la rubrique «Réceptions » justifiant le transvasement de cette somme faramineuse alors que la population capoise et les pauvres ont été dérobés des services de base. La nouvelle Haïti mérite mieux!

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
14 juillet 2015
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr

Lisez : Rapport complet de la Cour Supérieure des Comptes accusant Moise Jean-Charles, à sa page #10, de détournement de fonds publics.
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
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Multiaccused child molester of orphanage for boys confirmed he's homosexual, information he withheld from haitian authorities.-

Multi accused child molester of the orphanage home for boys in Haiti confirmed that he is homosexual, information which he withheld from haitian authorities of IBESR.-

Under cross-examination, Walker questioned Geilenfeld about numerous other allegations of child sex abuse that have been brought against him by former residents of his Haitian orphanage since he founded it in 1985.

Walker questioned Geilenfeld about sex abuse allegations in 1987, 1990,1995, 2004, 2006 and 2007. He named 17 young Haitian men who made those allegations.

“You agree it’s not Paul Kendrick’s fault before 2011 that these young men came forward and made these allegations?” Walker asked.

Geilenfeld agreed.

Geilenfeld described the charge against him in Haiti as sexual molestation, but he said the basis of the allegation was that he is a homosexual and was putting children at risk because of his sexual orientation.

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lundi 13 juillet 2015

Voir document : Moise Jean-Charles, impliqué dans le détournement de 3,7 millions de gourdes au Cap-Haïtian.-


Le nom de Moïse Jean-Charles, ancien Conseiller du Président René Préval, figure dans un rapport d'audit de la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSC/CA). 

Un chèque d'un montant de 3,675,000.00 gourdes a été débloqué, le 28 décembre 2007, au nom de Monsieur Moise Jean-Charles avec comme explications : "Frais de réceptions".

Cette somme est classée par les enquêteurs de la Cour des comptes dans la rubrique "Montants non justifiés."

Un arrêt de débet a été décidé contre l'Administration Communale de Cap-Haitien où un montant de 56,029,484.75 gourdes a été dépensé sans justification aucune pour la période de juin 2007 au 31 janvier 2011.

L'ancien Sénateur Moise Jean-Charles, actuellement candidat à agréé la Présidence par un Conseil Electoral autoritaire qui exclut toutes les personnalités classiques dont il considère incorrecte la gestion de deniers publics.


samedi 11 juillet 2015

FUNERAILLES DE MICHEL TASSY CEREMONIAL DU 11 JUILLET 2015.-

7h30: Exposition de la dépouille à la Mairie du
 Cap-Haïtien et les salutations d’usage.

 7h30: Arrivée des membres de la famille


 7h45: Arrivée des musiciens du Grand
 Orchestre Septentrional


 8h00: Arrivée des membres de la famille
 septentrionale


 8h15: Arrivée des officiels de l’Etat
 a- Le Maire du Cap-Haïtien
 b- La Ministre de la Culture
 c- Le Représentant du Premier Ministre
 d- Les autres officiels.


 8h30 : Les salutations d’usage


 8h30 - 9h00: Eloges funèbres à la Mairie
 1. Le Maire
 2. Le Délégué du Grand Orchestre Septentrional
 3. Un représentant de la presse culturelle
 4. le Représentant du gouvernement


9h30: Levée de la dépouille et cérémonie religieuse à la Cathédrale du Cap-Haïtien


11h30: Oraison funèbre par Ricot Pierre-Louis
 A la sortie de l’Eglise :
 - Marche funèbre
 - Exécutions de pièces musicales par
 d’autres artistes
 13h00: Parc du Repos : Oraison funèbre par …
 15h00: Réception au Feu-Vert.

vendredi 10 juillet 2015

Bastonnade de Kiko Saint-Rémy : Evans Paul met en doute la version des faits rapportée par le Ministre Fresner Dorcin.-

[« Si c’est vrai qu’il y a eu agression, je la condamne, mais il reste à établir ce qui était à la base de cette agression physique que le ministre déclare avoir subie » , « Je ne crois pas que M. Saint-Rémy soit quelqu’un de déraisonnable. Chacun à son tempérament... » dixit Evans Paul]
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C’est à Évans Paul que le ministre de l’Agriculture a porté plainte contre Ki Saint-Rémy. Dans une conversation verbale avec le Premier ministre, Fresner Dorcin lui a fait savoir qu’il a été agressé physiquement par le frère de la première dame, Sophia Saint-Rémy Martelly. « Je lui ai dit que si une chose aussi grave est arrivée, j’aimerais qu’il me saisisse formellement de la situation, c’est-à-dire par écrit », a répondu le chef du gouvernement à M. Dorcin. Dans une interview exclusive accordée au Nouvelliste sur le dossier, le chef de la Primature a déclaré que « toute puissance à ses limites ». 

Pour avoir été lui-même victime de brutalités dans le passé, Évans Paul a condamné, d’entrée de jeu, toute forme de violence. « En aucun cas, je n’accepterai l’agression a-t-il martelé depuis Milan où il est accompagné d'une importante délégation composée en partie de designers et de spécialistes haïtiens en art culinaire.

Evans Paul était sur le point de quitter le pays la semaine dernière pour Oslo où il allait participer au sommet mondial sur l’éducation pour le développement quand Fresner Dorcin lui a confié qu’il avait été agressé physiquement par Kiko Saint-Rémy, beau- frère du chef de l’État. « J’ai l’habitude de parler à M. Saint-Rémy, c’est quelqu’un que je connais. L’incident est arrivé juste avant mon départ », a indiqué Evans Paul, soulignant qu’il n'arrive pas encore à saisir ce qui s’est passé entre son ministre et le beau-frère de Michel Martelly, Kiko Saint-Rémy. 

Parce qu’il n’a entendu qu’une seule version des faits, le Premier ministre n’a pas voulu trop s’aventurer dans le dossier, du moins pour le moment. « J’ai beaucoup de responsabilités envers le ministre, un membre du gouvernement que je dirige. Je lui dois une certaine protection, tout comme je dois de la protection à la population. Mais, on doit avoir les deux sons de cloche », a-t-il dit. Avant de se positionner sur le dossier, le chef du gouvernement entend d’abord faire une évaluation de l’agression. 

« Si c’est vrai qu’il y a eu agression, je la condamne, mais il reste à établir ce qui était à la base de cette agression physique que le ministre déclare avoir subie », a-t-il ajouté. « Quelle que soit la personne qui pose un acte contraire à la loi, cela devient une affaire civile », a-t-il souligné comme une mise en garde. Le Premier ministre a laissé comprendre qu’il revient au ministre de saisir les autorités judiciaires compétentes... 

Interrogé sur Kiko Saint-Rémy qui, dit-on, est un élément très puissant au sein du pouvoir, Évans Paul a déclaré de façon spontanée que « la puissance a ses limites « Je ne crois pas que M. Saint-Rémy soit quelqu’un de déraisonnable. Chacun à son tempérament... », a-t-il dit, soulignant à nouveau qu’il ne souhaite pas en dire davantage puisqu’il n’a pas encore évalué la situation. 

En revanche, Évans Paul ne comprend pas comment quelqu’un peut frapper un autre encore moins un ministre, une autorité du gouvernement. « Maintenant, s’il se révèle que même un ministre n’est pas en sécurité, du point du vue de l’image que cela projette, ce serait une catastrophe pour le pays », a-t-il déclaré.

- See more at: Le Nouvelliste 

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