dimanche 9 août 2015

Haiti-Coup d’Etat : Pierre-Louis Opont vient d’innover.-

Pierre-Louis Opont
La situation chaotique que nous observons, ce 9 aout 2015, vise à renverser le Président Constitutionnel d’Haiti.

Les membres de ce CEP ont mis sur pied un complot contre la sûreté de l’Etat d’Haiti consistant à faire échouer le processus électoral, à créer le chaos et à rendre le départ du Président Martelly un élément indispensable pour l’avenir de la démocratie dans ce pays de la caraïbe.

La décision de la Fusion de quitter le gouvernement de consensus moins d'une semaine avant le jour du scrutin était un signe avant coureur. Le Président Martelly se retrouve au devant de la scène comme le principal élément de blocage du processus politique.

C’est ce qui arrive quant on se laisser manipuler par des ennemis jurés ou par des collaborateurs verreux sans expérience politique au point de vous pousser à écarter les serviteurs les plus fidèles.

La crise politique en Haiti s’est empirée. Le Président Michel Martelly sera présenté à l'opinion publique mondiale comme l'élément de blocage, un bouc émissaire. Son renversement tant recherché depuis 4 ans, sera enfin justifié.

Les dirigeants de ce Conseil Electoral devraient être traduits devant un Tribunal pour complot contre la sûreté intérieure de l’Etat.

Les grands gagnants de ce désordre est 1- le Parti Fanmi Lavalas, qui affichait une position catastrophique dans les sondages et laisse entrevoir son impopularité malgré l’utilisation de l’effigie de l’ancien Président Jean-Bertrand Aristide dans les affiches publicitaires et 2- Le Premier Ministre defacto Evans Paul qui se voit déjà Président provisoire d’Haiti, poste attendu après son bain de chance (rituel vodou) dans le bassin Saint-Jacques de la Plaine du Nord, le 25 juillet dernier.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti.-
@reseaucitadelle

reseaucitadelle@yahoo.fr

samedi 8 août 2015

RéseauCitadelle Supporte Jean-Renel SENATUS alyas ZOKIKI.-

Pou ranfòsman batay kont pedofil ak kriminèl kap vyole timoun, Vote Jean Renel SENATUS alyas ZOKIKI depi premye Tou. 

Nou bezwen palmantè konpetan pou ranfòse lajistis ak leta pou sekirite blayi pou tout timoun. Epi lague koukouwouj dèyè pedofil aysyen tankou etranje.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr

vendredi 7 août 2015

Un autre sondage place Jude Célestin et Moise Jean-Charles en tête.-

Après celui du BRIDES, un autre sondage place Jude Célestin (LAPEH) en tête suivi de Jean Charles Moïse (Pitit Dessalines) et de Henry Céant (Renmen Ayiti). Toujours selon ce sondage d'opinion, Steven Benoit (Konviksyon) 4e, Maryse Narcisse (Fanmi Lavalas) 5e, Steeve KWALY (Bouclier) 6e, Jovenel Moise (PHTK) 7e, Chavanne Jeune (Canaan) 8e, Chavanne Jean-Baptiste (KontraPepLa) 9e, Dieuseul Simon Desras (Palmis) 10e.

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Haïti-Élections : « Un désastre électoral » et « une crise post-électorale » se dessinent, avertit le Rnddh.-


vendredi 7 août 2015
 
P-au-P, 06 août 2015 [AlterPresse] --- Haiti pourrait faire face à un désastre électoral lors du scrutin du 9 août 2015 et, ultérieurement, à une crise post-électorale, prévient le Réseau national de défense des droits humains (Rnddh), dans un rapport en date du 5 août 2015.

Le Rnddh estime qu’il est du devoir du Conseil électoral provisoire (Cep) « d’intervenir en vue de rappeler aux candidats ce à quoi ils s’exposent quand ils font usage de la violence ».

5 cas d’assassinats, 26 personnes blessées, 10 cas de bastonnade, 2 tentatives d’assassinat et 9 affrontements armés ont été répertoriés par le Rnddh depuis le début de la campagne électorale le 9 juillet dernier.

Le réseau tire la sonnette d’alarme sur la campagne électorale qui se fait, selon lui, sur fond de violences dans différents départements géographiques du pays, en raison d’un manque de fair-play des candidats aux élections législatives.

Dans la nuit du mercredi 5 août 2015, le Bureau électoral communale (Bec) de la ville de Marmelade (département de l’Artibonite) a été incendié.

Dans le Sud-Est, le Rnddh énumère un ensemble de cas de violence dont celui d’un responsable d’une église apostolique, le pasteur Roger Lubin, attaqué le 12 juillet 2015, à coups de pierres, lancées par des partisans des candidats du « Pati ayisyen tèt kale (Phtk) » en l’occurrence Joseph Lambert, Wencesclas Lambert, candidats au sénat et Pierre Jacques Junior Khawly, candidat à la députation.

Le fils du pasteur, Isneth Lubin, a été giflé à plusieurs reprises et sa nièce, Patricia Benoit, a été battue à coups de lame de machettes pour avoir protesté contre des individus qui collaient des affiches et des photos sur les murs de l’église, rapporte-t-il.

Âgé de cinquante et un (51) ans, Samson Simon, habitant de Bodouin, dans la commune de Jacmel, est décédé après avoir reçu une balle le 23 juillet 2015 alors qu’il se trouvait devant sa maison.

Simon aurait empêché, le 12 juillet, à des individus non identifiés, partisans des candidats au Sénat Joseph Lambert, Wencesclas Lambert et du candidat à la députation Pierre Jacques Junior Khawly de coller des affiches sur le portail de sa maison.

Dans la nuit du 22 juillet 2015, trois (3) individus encagoulés, circulant à bord d’une motocyclette Cross de couleur rouge ont ouvert le feu sur un groupe de personnes à la rue Christophe Channel dans la commune de Carrefour (ouest), non loin d’une marchande connue dans la zone sous le nom de « Madan Blan ».

Bilan : 3 morts par balles et 4 autres blessés.

Les individus ont été blessés et tués alors qu’ils attendaient une heure tardive pour commencer à afficher les photos des candidats de la Plateforme Vérité, selon les témoignages recueillis par le Rnddh.

Une altercation ponctuée de jets de pierres et de tessons de bouteilles entre les partisans de Germain Fils Alexandre, candidat à la députation pour la Plateforme Vérité et de l’ex-député Jacques Stevenson Timoléon a fait 12 blessés au total dans les deux (2) camps, le 1er août 2015, dans la 10è section communale des Palmes (Petit-Goâve/ouest).

Le mercredi 5 août, les deux candidats se sont engagés solennellement devant les membres du Cep, à travailler pour l’instauration d’un climat de paix à Petit-Goâve au cours de la période électorale.

Le Rnddh appelle les autorités du pays à accorder une attention particulière au climat de terreur qui n’augure, dit-il, rien de bon dans le pays.

Depuis l’ouverture officielle de la campagne électorale le 9 juillet 2015 et qui doit prendre fin le 7 août, une intensification des violences a été observée entre candidats et partisans de candidats aux législatives du 9 août dans plusieurs régions du pays. [emb kft gp apr 06/08/2015 14:05]

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samedi 1 août 2015

RéseauCitadelle en Rép.-Dominicaine : Daniel Supplice aurait pu faire mieux ! (Texte de Cyrus Sibert)

Cyrus Sibert, RéseauCitadelle

Dans le cadre de mes activités de journaliste enquêtant sur la pédophilie et apportant un encadrement à des jeunes victimes d’abus sexuels, au cours du weekend écoulé, j’ai séjourné en République Dominicaine.

De l’autre côté de la frontière, la question haïtiano-dominicaine domine l’actualité. Le dominicain n’hésite pas à vous aborder en vue de démentir les informations qui circulent les présentant comme des racistes qui pratiquent une politique d’apartheid contre les haïtiens.

J’ai ainsi rencontré un ami dominicain du nom d’Eduardo s’exprimant correctement en français qui m’a demandé si j’étais haïtien et si, je résidais en Haïti. Face à des réponses affirmatives, il a ajouté : “Nous devons vivre en paix sur l’ile comme des frères, c’est dommage que votre gouvernement ait révoqué son Ambassadeur pour avoir dit la vérité.”

Quelle vérité? Lui ai-je répliqué, sans hésitation. “C’est Haïti qui n’a pas fourni les papiers nécessaires pour permettre à ses ressortissants de bénéficier du programme de régularisation mis en place par le gouvernement dominicain,” a-t-il rétorqué.

Cette assertion reprise de la bouche de M. Daniel Supplice, Ambassadeur d’Haïti en République Dominicaine, a recadré le débat. J’avoue mon admiration pour l’intellectuel Daniel Supplice. Mais, franchement, aucune “Lettre ouverte” ne pourra effacer son erreur de fournir au peuple dominicain un argument contre Haïti surtout en cette période de crise entre les deux pays sur une question d’immigration. Monsieur Supplice ferait mieux de présenter des excuses au peuple haïtien. 

Confronté à cette réalité en république voisine, j’ai expliqué à mon interlocuteur que l’Ambassadeur est mal placé pour faire une telle déclaration. Aucun dominicain n’apprécierait que son Ambassadeur en Haïti dénonce les conditions des déportations faites par son pays, ni le niveau de corruption des soldats dominicains déployés le long de la frontière. Un Ambassadeur qui aura lâché un argument en défaveur de son pays, en conflit ouvert avec son pays hôte, au point que le pays hôte en fasse un argument pour combattre le pays dont il représente, trahira son pays, sa mission, son intellect, son aptitude, et le bon sens.

Aussi, lui ai-je dit, pour mieux l’appréhender et l’y apporter des solutions durables, le dossier haitiano-dominicain doit-être compartimenté en trois (3) sous dossiers à savoir : (1) la criminalité transfrontalière, (2) l’immigration, et (3) la nationalisation ou dénationalisation.

1- La criminalité transfrontalière:

Il existe en effet un problème de criminalité transfrontalière avantageux à des dominicains et à des haïtiens des deux côtés de la frontière. Des soldats dominicains et des officiers de l’Armée font fortune sur la frontière haitiano-domincaine. Les mesures de déportation arrangent ces criminels et/ou corrompus qui en profitent pour dépouiller les pauvres expulsés et font grimper les prix du passage clandestin. La drogue, la contrebande, le trafic humain, le trafic de biens volés et le trafic d’armes est une réalité qui intéresse des criminels des deux côtés de la frontière qui s’entendent parfaitement. C’est la mafia transfrontalière. Ainsi, le gouvernement haïtien et le gouvernement dominicain doivent faire un faisceau  contre ce fléau. C’est une question de police, de justice, et de lutte contre la corruption que les deux pays doivent résoudre de façon conjointe. 

2- L’immigration:

Le problème de l’immigration auquel fait face la république voisine découle aussi de cette criminalité transfrontalière. Car, les passeurs et les criminels qui travaillent avec la complicité des autorités frontalières ont des démarcheurs en Haïti qui incitent des jeunes à traverser la frontière illégalement. A ce niveau se pose le problème du trafic d’enfants, des femmes et de l’esclavage moderne. C’est une réalité pourrie qui pose même un problème de sécurité publique transnationale. 

Nous ne disons pas que la majeure partie des immigrants n’ont pas fait le déplacement volontairement à la recherche d’un bien-être économique. Mais, une part importante des émigrés paie de fortes sommes d’argent pour traverser la frontière. L’erreur de l’Ambassadeur Supplice est d’oublier que le clandestin fonctionne mieux sans papiers. Un anonymat qui offre un grand avantage parce qu’il empêche aux autorités de retracer les illégaux. L’existence d’immigrants sans papier n’implique pas automatiquement qu’Haïti ait totalement échoué dans la provision de ce service. D’ailleurs, ce sont des travailleurs qui envoient de l’argent en Haïti pour nourrir des membres de leur famille ; et si la détention d’un papier était obligatoire pour travailler en terre voisine, beaucoup d’entre eux en auraient déjà fait la démarche sans attendre le PIDIH.

3- La nationalisation ou dénationalisation:

Haïti n’est pas obligée de fournir des papiers à des dominicains, ni d’accueillir sur son sol des dominicains sans papiers. La République Dominicaine doit comprendre que les descendants d’Haïtiens font partie de son histoire socioéconomique. De même que les Etats-Unis ne pouvaient pas expulser les anciens esclaves après l’abolition de l’esclavage, la République Dominicaine ne peut pas expulser les enfants des travailleurs qui se sont sacrifiés durant  des décennies dans les champs de canne ou “bateys” pour son développement économique. Le gouvernement dominicain doit plutôt adopter un plan d’intégration sociale de ces dominicains d’origine haïtienne. Haïti n’a rien à voir dans ce dossier qui est un problème dominicain. Président Fidel Castro n’avait pas expulsé les coupeurs de canne haïtiens ni leur descendants après sa révolution socialiste.

Mon pote dominicain est d’accord qu’on ne peut pas exiler vers Haïti des gens n’ayant aucun attachement avec ce pays, et qui ne parlent même pas le créole. Il a même renchéri en affirmant que dans sa région, il y a des descendants d’haïtiens qui y résident durant des décennies, même avant sa naissance (la quarantaine) et ses parents ont connu ces gens depuis leur enfance. 

Sur le racisme, je lui ai dit que ce n’est pas normal que la couleur de la peau puisse définir la citoyenneté d’un dominicain. Je reconnais qu’au sein de la police et de l’armée dominicaine il y a beaucoup de noirs ; mais, quand un dominicain voit un noir, il pense qu’il est haïtien. Il faut une éducation à ce niveau en République Dominicaine. La société dominicaine ne doit pas se laisser intoxiquer par les coloristes de l’extrême droite.

C’était des échanges cordiaux durant lesquels mon interlocuteur à soulever le caractère social du programme de régularisation. Car, dit-il, les sans-papiers sont exploités par des grands patrons capitalistes qui les traitent comme des esclaves. Dans un langage gauchisant, il a posé le problème d’exploitation des travailleurs sur l’Ile entière où les patrons payent moins de 2 dollars US l’heure. Il pense que les deux peuples doivent discuter, échanger et ne pas abandonner ces sujets à des gouvernements obsédés par les intérêts des patrons, ou des dirigeants corrompus. Il en a profité pour soulever des problèmes plus sérieux, entre autres, l’eau, la santé, le choléra introduit par les Nations Unies, et les désastres naturels.

La dure réalité qui devrait sensibiliser les politiques d’Haiti:

En fin de journée, nous avons fait la connaissance d’une famille haïtiano-américaine à la retraite, venue des Etats-Unis pour s’installer en République Dominicaine où , selon elle, il est plus facile d’ouvrir un business, de le faire fonctionner sans trop de souci en terme de sécurité, de respect des droits de propriété et d’accès au crédit. Cette famille a pu bénéficier d’une banque dominicaine, un financement pour acheter une maison dans un quartier chic pour la somme de 160,000 dollars US, avec obligation de verser, seulement, 6,000 dollars l’an. Une bonne affaire, car la maison est en bon état. Elle compte ouvrir un business en République Dominicaine, un restaurant et m’invite à venir, l’un de ces jours, passer du bon temps dans un resto haïtien à Puerto Plata. Des fonds de pension venus des USA, un business et des investissements dans l’immobilier, cette famille qui aime tant Haïti et l’orchestre Tropicana a préféré s’installer juste à côté pour se guérir de la nostalgie de la terre natale et du dégout la vie “Busy” et “Bills” américaine. Aussi, se dit-elle découragée par les rivalités politiques et les tensions sociales qui sont monnaie courante en Haïti.

Ceux qui organisent ou supportent les agitations et la violence politiques en Haiti, sont les vrais alliés de la République Dominicaine.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
01 Aout 2015
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr
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jeudi 30 juillet 2015

Haiti/Élections : Plus de precision autour de l'arrestation du candidat Alfredo Antoine.-

Alfredo Antoine
30 juillet 2015 -- 1:00 p.m.

Plus de precision autour de l'arrestation du candidat Alfredo Antoine.

Le candidat a la deputation a ete arrete par des agents de la brigade de recherche et d'intervention (BRI) accompagnes de ceux de la DCPJ ,avont nous appris a la redaction de Vant bef info (VBI)

Le candidat à la députation pour la circonscription de Kenscoff, Alfredo Antoine, arrêté ce matin alors qu'il revenait d'une émission, se trouve actuellement (1:00 p.m) par-devant le cabinet d'instruction, avons-nous appris à la rédaction de Vant bèf info (VBI).

Selon des informations recueillies d'une source proche du tribunal de 1e instance de Port-au-Prince, l'accusé répond aux questions du juge Etzer Aristide.

"Les motifs de l'arrestation du candidat sont clairement concignés dans un mandat décerné à l'encontre de Alfredo Antoine", a précisé notre source.

Selon cette dernière, spoliation (conflit terrien), faux et usages de faux sont les faits reprochés à l'accusé.

Vant bèf info (VBI) 
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Flash!!! Haiti/Élections : Un candidat, arrêté par le Brigade Anti-Drogue de la PNH (BLTS).-

10:30 a.m.

Le candidat à la députation de la circonscription de Kenscof, Alfredo Antoine a été arrêté ce matin par des agents de la Brigade de lutte contre le trafic de stupéfiants (BLTS) et ceux de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), avons-nous appris à la rédaction de Vant bèf info (VBI).

Selon des informations parvenues à notre rédaction, le candidat venait de participer à la rubrique invité du jour diffusée sur Radio vision 2000.

À rappeler que Alfredo Antoine est candidat à la députation de la circonscription susmentionnée sous la bannière de la "Konvansyon inite demokratik" (KID).

Vant bèf info (VBI)
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mercredi 29 juillet 2015

Haiti - Homosexualité ou Pédophilie : Michael Geilenfeld se vante d’être gay et accuse les haïtiens d’homophobie.-

"Mais toute puissance sur terre Meurt quand l'abus en est trop grand..." Alfred de Musset

Michael Geilenfeld en compagnie des enfants de Saint-Joseph, le 29 avril 2015
Le Directeur de l’Orphelinat Saint-Joseph fait des accusations d’abus sexuels sur mineurs portées contre lui une arme puissante pour faire avancer la cause des homosexuels en Haïti.

Les accusations multiples d’agressions sexuelles sur mineurs dont fait l’objet Mr. Geilenfeld depuis 1985, ont été récemment transformées en lutte pour le droit d’un homosexuel américain en Haïti. 

Après trois (3) semaines de confusion et manipulation d’un jury composé entièrement de blancs, Mr. Geilenfeld présentait Haïti comme un pays insolite caractérisé par l’homophobie, et où les juges décident sous la base de la discrimination sexuelle. Il fanfaronnait son homosexualité, et est à présent de retour en Haïti dans le but de forcer l’Etat haïtien à l’accepter comme responsable d’orphelinat pour garçons démunies. 

Tout en reconnaissant qu’il a été accusé d’exploitation sexuelle par 17 mineurs, en différentes occasions, tel qu’en 1987, 1990, 1995, 2004, 2006, 2007 et 2011, l’ancien frère catholique, directeur de l’orphelinat Saint Joseph de Delmas 91, cherche à profiter de l’évolution des droits des homosexuels dans le monde et associe les accusations dont il fait l’objet à son orientation sexuelle. Piteusement, les  mensonges délibérés de Mr. Geilenfeld vis-à-vis des victimes et d’Haïti ont été relayés. 
 
Mr. Geilenfeld et son ONG « Hearts With Haiti » en sont sortis renforcés au détriment de 7 jeunes qui se disent victimes d’abus sexuels lorsqu’ils résidaient à l’Orphelinat Saint Joseph de Delmas 91. Le dossier est définitivement orienté sur les droits des homosexuels de diriger un orphelinat pour petits garçons en Haïti. Aujourd’hui, les groupes de pédophiles homosexuels influents et spécialement l’organisation pédophile NAMBLA reconnue comme sponsor de l’Orphelinat Saint-Joseph travaillent à créer un précédent en Haïti en portant la Cour d’appel de Port-au-Prince à maintenir le jugement secret adopté en l’absence des victimes le 29 avril 2015. 

Un mauvais précédent qui risque d’être très avantageux pour les prédateurs d’enfants. Admettons que si tous les homosexuels ne sont pas des pédophiles, en l’occurrence, les pédophiles qui abusent les petits garçons sont nécessairement des homosexuels. Dans l’avenir n’importe quel pédophile (homo) pourra utiliser ce précédant en Haïti pour discréditer les victimes et les autorités haïtiennes, comme vient de le faire Mr. Geilenfeld à Portland, Maine. 

La stratégie de Mr. Geilenfeld et de l’ONG « Heart With Haiti » a toujours été l’utilisation de la corruption dans l’administration publique et dans la justice pour se procurer les papiers et décisions nécessaires afin de prouver aux Etats-Unis qu’ils n’ont aucun problème en Haïti et pousser des instances américaines à  décider en leur faveur. Aussi, utiliseront-ils la décision obtenue aux Etats-Unis pour renforcer leur position en Haïti. 

Page d'accueil de l'ONG HeartswithHaiti.org
Fort du soutien de son ONG « Hearts With Haiti » basée en Caroline du Nord, Mr. Geilenfeld, accusé multiple d’abus sexuels sur enfants démunis de sexe masculin se trouvant à son orphelinat est de retour en Haïti. Il se dit homosexuel, accuse les haïtiens d’homophobie, réclame le droit de continuer à être responsable d’une maison d’accueil pour petits garçons démunis et continue d’avoir accès aux enfants en violation des décisions de l’IBESR. Plusieurs jeunes se disant victimes de Geilenfeld continuent de réclamer justice; l’Etat haïtien réclame le “tribunal criminel pour agression sexuelle, viol, atteinte à la pudeur et traite d’êtres humains conformément aux articles 278, 279, 280, 281, 282, 283 et l’article 3 du décret de l’assemblée Nationale en date du 12 janvier 2004 ratifiant le protocole additionnel à la convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée”. 

L’affaire est devant la Cour d’Appel de Port-au-Prince. La justice haïtienne devra assumer ses responsabilités et se prononcer sur ce dossier.

Leurs mensonges éhontés et leurs manœuvres déloyales ont donné au dossier Geilenfeld/HeartWithHaiti une dimension internationale. L’Etat haïtien et son peuple ont été accusés d’homophobie. La justice haïtienne a le devoir de rétablir les limites entre homosexualité et pédophilie.

Faut-il rappeler qu’Haïti n’est sur la liste des 79 pays homophobes du monde où l’homosexualité est illégale. Etre homosexuel n’est pas un crime en Haïti. Cependant, il serait illégal pour un homosexuel accusé de pédophilie de diriger une maison d’accueil pour garçons démunis.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
28 juillet 2015 (100 ans de l'occupation américaine)
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lundi 27 juillet 2015

Les décisions du CEP peuvent être annulées par la Cour Supérieure des Comptes ou la Cassation, selon un prof Guadeloupéen.-

Précisions de juristes Guadeloupéens : Le CEP est un service public, ses décisions administratives sont susceptibles de recours.
En réalité, le CEP est un établissement public national chargé de la gestion du service public des élections qui un service central dans le système démocratique. Ses décisions qui sont des décisions administratives peuvent depuis la constitution de 1987 être annulées par le tribunal administratif en première instance, la cour supérieure des comptes et la cour de cassation en cas de pourvoi ses décisions étant en dernier ressort. Les BCED et le BCEN ne sont pas des tribunaux mais des cellulles techniques au service des administrateurs du CEP. Leurs décisions ne sont pas des jugements mais des avis, la décision étant de la compétence des dirigeants du CEP. Rappellons à cet effet la constitution, article 173.1, « les contestations qui ont pour objet les droits civils sont exclusivement du ressort des tribunaux. Article 173.2: Nul tribunal, nulle juridiction contentieuse ne peut être établie qu'en vertu de la loi. Il ne peut être créé de tribunal extraordinaire sous quelque dénomination que ce soit». Les décisions du CEP doivent respectées la légalité. Le principe de légalité est le fondement de l'action administrative en Haiti.