Si l’écharpe présidentielle symbolise la passation de pouvoir en Haiti, son essence dépend uniquement de l’Assemblée Nationale. A l’expiration du mandat, ce morceau de tissu destiné au MUPANAH, n’a plus de valeur: Un corps sans vie. Privert ayant reconnu la fin de son mandat, le Parlement n’a qu’à se procurer une nouvelle écharpe. Aristide n’a jamais remis l’écharpe reçue en 2001. Est-il toujours Chef d’Etat? Le pouvoir d’Etat ne peut pas dépendre des caprices d’un individu.
mercredi 29 juin 2016
lundi 27 juin 2016
#Haïti - Elections 2016 : Préparez-vous à un remaniement du CEP.-
#Haïti - Calendrier électoral 2016 : Pourquoi le CEP de Berlanger propose t-il 3 mois d’écart avant d’organiser le 2nd tour des élections présidentielles??? (1er tour 9 octobre 2016/ 2nd tour 8 janvier 2017)
Réponse : Parce que Privert et ses hommes prévoient de remanier le Conseil Electoral Provisoire avant le résultat final des élections. Tous les membres du CEP doivent valider le résultat que le Palais entend imposer.
De la lettre historique des Sénateurs haïtiens au gouvernement du Panama.-
La lettre des Sénateurs contre le voyage de Privert au Panama marque un tournant historique dans le processus démocratique haitien. Des naifs peuvent s’en plaindre, mais la stratégie de Privert étant d’opérer à l’ancienne “ Un pouvoir de facto basé sur la force, la violence et le mépris des autres pouvoirs”, il fallait prouver à ces dinosaures qu’au 21e siècle, le respect d’un Chef d’Etat sur la scène internationale dépend aussi du Parlement. Attendons les manoeuvres allant de le sens de sa dissolution.
#Haiti : Henry Céant anticipe un coup d’Etat électoral de Privert en faveur de Maryse Narcisse/Lavalas.-
Lettre de Me @JeanHenryCeant à la Chambre des Députés— Le Notaire-Candidat se voit en plein coup d’Etat Electoral au profit de Maryse Narcisse. Un nouveau Groupe de candidats risque de voir le jour, cette fois pour exiger un gouvernement neutre capable de rassurer tout le monde avant octobre 2016. Privert risque de devenir un élément de blocage.-
Port-au-Prince, le 24 Juin 2016
Aux Honorables Députés de la République d’Haïti
Via le Président de la Chambre des Députés
L’Honorable Député Cholzer Chancy
Messieurs les Honorables Députés,
Permettez-moi tout d’abord de vous témoigner mes sympathies à l’occasion de l’agression que vous avez subie en cette journée particulière du Mardi 21 Juin 2016.
Ces actes barbares établissent clairement l’urgence que vous avez de doter le pays d’un nouveau Président Provisoire ayant pour mission de ramener les esprits à la sérénité et de réaliser les élections à venir dans un climat de paix et de neutralité. La mise en place des jalons pour une famille politique réalisée par l’Ex-Président Provisoire Jocelerme Privert augure déjà de la qualité des élections qu’il voulait nous offrir.
Monsieur Jocelerme Privert a martelé dans son adresse du 15 Juin, soit un jour après l’expiration de son mandat, que son sort était entre les mains du Parlement. Je voudrais, à ce compte, vous rappeler, s’il en était besoin, que l’Assemblée Nationale ne peut en aucun cas ni prolonger, ni renouveler le mandat de l’Ex-Président Privert pour les raisons suivantes :
1) L’accord du 5 Février 2016 qui lui a permis d’accéder au pouvoir, dans les conditions que l’on sait, a prévu une durée fatale, un délai maximum de 120 jours.
2) L’Article 149.1 de la Constitution dispose que le Président Provisoire est réputé avoir fait un mandat présidentiel. La combinaison de cet article avec le 134.3 le rend inéligible à la fonction de président de la république pendant au moins les cinq années qui suivent sa présidence.
3) L’Article 98.3 prévoit limitativement les attributions de l’Assemblée Nationale qui n’a aucune qualité pour étendre, ni prolonger ou renouveler le mandat d’un président provisoire.
De plus, j’attire votre attention sur le fait que la Commission nommée par l’Ex-Président Privert a recommandé, entre autre, la reprise des élections présidentielles et la réévaluation du dossier de trente-neuf (39) Députés et trois Sénateurs. Un renouvellement de son mandat, pour illégal et inconstitutionnel qu’il soit, entrainera immanquablement la mise à l’écart de quarante-deux (42) parlementaires et, par voie de conséquence, le dysfonctionnement ou le renvoi du parlement, provoquant illico la caducité du calendrier électoral.
Messieurs les Parlementaires, je vous mets en présence de la gravite de la situation que vous pouvez créer dans l’éventualité du maintien de Monsieur Jocelerme Privert au pouvoir. La Nation attend de vous la décision de droit et de raison. Il est temps que nous retournions à la normalité des choses et à la tradition positivement indiquée de remettre la charge présidentielle à la Cour de Cassation appelée dans les moments les plus critiques de notre histoire à rétablir les conditions de stabilité et d’objectivité à travers l’organisation d’un scrutin régulier et transparent, à l’abri de toute interférence dans un climat d’ordre, d’apaisement et de réconciliation.
En prenant les dispositions urgentes pour doter le pays d’une présidence provisoire au-dessus de toute coterie ou position partisane, vous aurez mérité ainsi de la Nation et permis au pays de réaliser des élections libres, honnêtes et démocratiques.
Salutations patriotiques.
Me. Jean-Henry CEANT
Candidat à la Présidence
de la République d’Haïti
vendredi 24 juin 2016
Plus personne ne prend Privert au sérieux : La CIDH/OEA parle d’ “absence d’un pouvoir exécutif” en #Haiti.-
Plus personne ne prend @JoclermePrivert au sérieux : La CIDH (Commission Interaméricaine des Droits Humains) parle d’ “absence d’un pouvoir exécutif” en #Haiti et exprime sa profonde préoccupation devant le vide institutionnel que connaît le pays. En s’alignant totalement sur la position de l’ex-Président Provisoire, le Premier Ministre Enex Jean-Charles laisse planer sur la scène internationale l’idée d’absence d’un pouvoir Exécutif en Haiti.-
Washington, D.C. – La Commission exprime sa profonde préoccupation devant le vide institutionnel que connaît Haïti en l’absence d’un pouvoir exécutif, après l’expiration du mandat du Président par intérim, Jocelerme Privert, au détriment de l’état de droit.
Le 15 juin, l’Assemblée nationale a décidé de mettre fin au mandat présidentiel attribué provisoirement et temporairement au Président Jocelerme Privert, pour une durée de 120 jours, en vertu de l’accord en date du 5 février 2016. Dans une déclaration officielle, l’Assemblée nationale a dit qu’étant consciente des responsabilités qui lui incombent en qualité de co-gardien de la souveraineté nationale, elle est déterminée à travailler avec les pouvoirs publics pour trouver une solution concertée, mais sans adopter de mesures propres à éviter un vide institutionnel.
Dans le même temps, le Conseil électoral provisoire a décidé le 9 juin d’annuler les résultats de l’élection présidentielle pour cause de fraude et de conduire de nouvelles élections. Le premier tour doit avoir lieu le 9 octobre 2016, avec un second tour prévu le 8 janvier 2017.
Dans ce contexte, la Commission est préoccupée par le vide qui apparaît dans l’exercice du pouvoir exécutif et l’absence actuelle en Haïti d’un gouvernement démocratiquement élu, ce qui va à l’encontre de la Charte démocratique américaine. La Commission rappelle que les peuples des Amériques ont un droit à la démocratie et leurs gouvernements une obligation de la promouvoir et de la défendre. Le véritable exercice de la démocratie représentative est la base de l’état de droit et des régimes constitutionnels des États membres de l’Organisation des États Américains (OAS).
La Commission a exprimé dans le passé sa préoccupation devant la faiblesse des institutions d’état en Haïti et considère que l’absence actuelle de continuité institutionnelle compromet la jouissance effective des droits de la personne et en particulier, des droits politiques énoncés à l’article 23 de la Convention américaine relative aux droits de l’homme. La Commission exhorte l’Assemblée nationale à adopter d’urgence des mesures pour assurer l’équilibre des pouvoirs, le respect de l’état de droit et la continuité démocratique en Haïti.
La Commission est l’un des organes principaux de l’Organisation des États américains (OEA) et agit de manière indépendante. Son mandat est fondé sur la Charte de l’OEA et la Convention américaine relative aux droits de l’homme. La Commission a le mandat de promouvoir le respect des droits humains dans les Amériques et agit comme organe consultatif auprès de l’OEA en la matière. La Commission est composée de sept membres indépendants élus par l’Assemblée générale de l’OEA, à titre personnel et non en représentation de leur pays d’origine ou de résidence.
No. 084/16
La CIDH exprime sa profonde préoccupation devant le vide institutionnel que connaît Haïti en l’absence d’un pouvoir exécutif
Washington, D.C. – La Commission exprime sa profonde préoccupation devant le vide institutionnel que connaît Haïti en l’absence d’un pouvoir exécutif, après l’expiration du mandat du Président par intérim, Jocelerme Privert, au détriment de l’état de droit.
Le 15 juin, l’Assemblée nationale a décidé de mettre fin au mandat présidentiel attribué provisoirement et temporairement au Président Jocelerme Privert, pour une durée de 120 jours, en vertu de l’accord en date du 5 février 2016. Dans une déclaration officielle, l’Assemblée nationale a dit qu’étant consciente des responsabilités qui lui incombent en qualité de co-gardien de la souveraineté nationale, elle est déterminée à travailler avec les pouvoirs publics pour trouver une solution concertée, mais sans adopter de mesures propres à éviter un vide institutionnel.
Dans le même temps, le Conseil électoral provisoire a décidé le 9 juin d’annuler les résultats de l’élection présidentielle pour cause de fraude et de conduire de nouvelles élections. Le premier tour doit avoir lieu le 9 octobre 2016, avec un second tour prévu le 8 janvier 2017.
Dans ce contexte, la Commission est préoccupée par le vide qui apparaît dans l’exercice du pouvoir exécutif et l’absence actuelle en Haïti d’un gouvernement démocratiquement élu, ce qui va à l’encontre de la Charte démocratique américaine. La Commission rappelle que les peuples des Amériques ont un droit à la démocratie et leurs gouvernements une obligation de la promouvoir et de la défendre. Le véritable exercice de la démocratie représentative est la base de l’état de droit et des régimes constitutionnels des États membres de l’Organisation des États Américains (OAS).
La Commission a exprimé dans le passé sa préoccupation devant la faiblesse des institutions d’état en Haïti et considère que l’absence actuelle de continuité institutionnelle compromet la jouissance effective des droits de la personne et en particulier, des droits politiques énoncés à l’article 23 de la Convention américaine relative aux droits de l’homme. La Commission exhorte l’Assemblée nationale à adopter d’urgence des mesures pour assurer l’équilibre des pouvoirs, le respect de l’état de droit et la continuité démocratique en Haïti.
La Commission est l’un des organes principaux de l’Organisation des États américains (OEA) et agit de manière indépendante. Son mandat est fondé sur la Charte de l’OEA et la Convention américaine relative aux droits de l’homme. La Commission a le mandat de promouvoir le respect des droits humains dans les Amériques et agit comme organe consultatif auprès de l’OEA en la matière. La Commission est composée de sept membres indépendants élus par l’Assemblée générale de l’OEA, à titre personnel et non en représentation de leur pays d’origine ou de résidence.
No. 084/16
La CIDH exprime sa profonde préoccupation devant le vide institutionnel que connaît Haïti en l’absence d’un pouvoir exécutif
#Haiti : Tirs contre les locaux de NATCOM, MARRIOTT, DIGICEL, BERMAN MOTORS, SOGEBANK, AUTOMECA…
Ce 24 juin 2016, vers 3 heures du matin, on rapporte que plusieurs entreprises importantes du secteur privé haitien ont essuyé des tires d’armes à feu, venus de motocyclistes. Au nombre des victimes il y aurait la NATCON, l’hotel MARRIOTT, DIGICEL, BERMAN MOTORS, SOGEBANK, AUTOMECA … Des impacts de balles visibles ont causé des dégâts matériels. Aucun blessé n’a été rapporté. Une attaque non-encore revendiquée et dont les motifs restent inconnus.
Marten Boute, le PDG de la DIGICEL, vient de le confirmer 13 impacts de balles sur Natcom, 6 sur la Digicel et 5 sur l’Hotel Mariott. Il a aussi annonce que les cameras de la digicel ont pu filmer et identifier les bandits à moto tirant de gros calibres vers 3 heures du matin.
S’agit-il d’actes d’intimidation liés au financement de la campagne électorale pour les élections d’octobre 2016? Selon notre analyse, il peut s’agir, d’une opération visant à dissuader ces entreprises de ne pas financer un secteur ou de les contraindre à supporter un secteur qui démontre déjà sa capacité de nuisance.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
24 juin 2016
reseaucitadelle@yahoo.fr
@Reseaucitadelle
jeudi 23 juin 2016
#Haiti : Privert, cité au Tribunal Correctionnel pour usurpation de titre.-
#Haiti : Deux citoyens haïtiens ont intenté une action en justice contre l’ex-Président Jocelerme Privert pour usurpation de titre.-
Citation directe en tribunal correctionnel à l’endroit de l'ex Président Provisoire Jocelerme Privert pour usurpation de titre ou de position.
Ayant constaté
→ l'élément légal [ ARTICLE. 217.- Quiconquee, sans titre, se sera immiscé dans des fonctions publiques civiles ou militaires, ou aura fait les actes d’une de ces fonctions, sera puni d'un emprisonnement d'un an à trois ans sans préjudice de la peine de faux, si l'acte porte le caractère de ce crime.]
→ l’élément moral [ Il agit comme président de la république de manière intentionnelle ]
→ l'élément matériel [ Il est un fait qu'il est au palais national et engage l'État haïtien au titre de président ]
réunis;
→ et la procédure respectée on peut conclure qu'il y a lieu de donner suite légale à cette action.
#Haiti-Parlement :La Présidence condamne la violence annoncée par un Conseiller du Président.-
Le Palais National condamne la violence contre le Parlement, annoncée par un Conseiller du Président de facto Jocelerme Privert sur Radio Signal FM, samedi dernier. Plusieurs citoyens rapportent les déclarations du Colonel Himmler Rébu prédisant le déchainement des hordes partisanes au cas où l’on chercherait à remplacer son patron.
mercredi 22 juin 2016
#Haiti : Offensive diplomatique des parlementaires contre @JocelermePrivert —PANAMA.-
Lettre de Présidents de Commissions du Sénat informant les l'Etat du Panama du statut usurpateur de Privert.-
Monsieur Roberto Zuniga BRID
Directeur Général du Protocole du Ministère des Affaires Etrangère du Panama
En ses bureaux,
Monsieur le Directeur,
Les Présidents des Commissions Permanentes du Sénat Haitien signataires de la présente vous adressent leurs compliments et profitent de l'occasion pour vous informer que Monsieur Jocelerme PRIVERT, invité à l'inauguration des travaux de restauration de canal du Panama n'a plus le titre et la qualité de Président Provisoire d'Haiti depuis le 14 juin 2016. Il n'a plus la compétence nécessaire pour engager l'Etat Haitien. Par conséquent, sa participation à cette prestigieuse cérémonie relève de l'usurpation.
Ainsi donc, les Présidents des Commissions signataires vous sauraient gré d'informer les Présidents de l'Assemblée Nationale et de la République de votre pays à l'effet de surseoir à cette invitation au nom de la constitution et des lois haitiennes.
Dans l'espoir que vous comprendrez la portée légale de cette démarche, les Présidents des Commissions vous prient, monsieur le Directeur de Protocole, d'agréer l'expression de leur parfaite considération.
Sénateur Carl Murat CANTAVE
Sénateur Riché ANDRIS
Sénateur Onondieu LOUIS
Sénateur Hervé Richard L. FOURCAND
Sénateur Youri LATORTUE
Sénateur Edwin Daniel ZENNY
Sénateur Jacques Sauveur JEAN
Texte retrouvé — La guerre totale contre Martelly ne pouvait que ressusciter la violence Aristide/Lavalas.-
Échanges sur la politique haïtienne, ma position en faveur de @MichelJMartelly, au regard d'un l'éditorial de Miami Herald.- (Texte de Cyrus Sibert)
Échanges entre @CyrusSibert et un bon ami sur la politique haïtienne, sa position en faveur de @MichelJMartelly @PHTKHaiti au regard d'un l'éditorial du Journal Miami Herald.-
Position de Cyrus Sibert:
Cher ami,
Miami Herald est manipulé par les amis d'Aristide au Black Caucus. Son travail en Haiti semble être intéressé. Le travail de ce journal en Haiti parait être pro-Lavalas. On dirait qu'il est manipulé par le même groupe d'intérêt qui a contribué au retour d'Aristide en Haiti en 1994 et en 2011: Les lobbyistes qui ont accumulé des millions de la caisse publique du pays dit le plus pauvre de l'Amérique. Ecrire un éditorial sans rappeler les efforts du Président Michel Martelly de mettre en place un Conseil Electoral Permanent pour organiser les élections, n'est pas une preuve de neutralité. De plus, les leaders de l'opposition n'ont jamais caché leur intention de faire échouer le processus électoral et d'entrainer le pays dans un situation chaotique d'ingouvernabilité. Moise Jean-Charles a toujours répété sur les ondes des médias que leur mouvement vise à créer un KATCHOUBOUMBE (le chaos) dans le pays. Le 22 janvier dernier, le CEP a décidé de suspendre les opérations électorales pour cause de VIOLENCE. Des centres de vote ont été incendiés. N'est-il pas indécent que Miami Herald et d'autres personnalités de la société civile haïtienne ignorent ces faits et rendent le Chef de l'Etat responsable de la situation actuelle? Je sais que parce que certaines personnes de la société n'aiment pas Martelly, elles sont prêtes à accepter n'importe quoi. Aujourd'hui, Moise Jean-Charles et Maryse Narcisse sont les leaders des anciens membres de la Convergence Démocratique (l'opposition à Aristide) ou du mouvement GNB. Ce n'est pas ma position. Je n'accepterai pas, en silence, le retour de Lavalas au pouvoir. Je serai toujours là pour les dénoncer. Et, dans le future, quand ils auront à reproduire ce qu'ils savent faire le mieux - détruire des vies et des biens -, je serai toujours là pour vous rappeler vos erreurs fatales.
La société haïtienne devrait pouvoir penser à autre chose qu'au retour de Lavalas. Elle n'a rien fait et s'est contentée de détruire Martelly. Un comportement traditionnel de politiciens jaloux.
Appeler ma position de la propagande ne me dérange pas. Car, je sais que dans un avenir proche, je serai témoin des désillusions de tous ceux qui pensent corriger la situation actuelle avec Lavalas. Comme exemple, en 2014, la propagande anti-gouvernementale présentait Laurent Lamothe comme le problème d'Haiti. Aujourd'hui, cette même presse garde le silence devant la gouvernance désastreuse d'Evans Paul que je respecte pour sa militance politique en faveur de la démocratie mais qui n'est pas mieux que Lamothe. Les indicateurs sont là: Le gouvernement de consensus dirigé par Evans Paul est un désastre. Mais, le Miami Herald qui offrait aux manifs une large publicité internationale, ne le dit pas.
Sur ce point, la société civile haïtienne a déjà commis l'erreur de vouloir remplacer Lamothe par Evans Paul (K-Plim); elle remplacera sans doute Michel Martelly par Moise Jean-Charles ou par Maryse Narcisse, le zombie d'Aristide. Ne parlons pas de Jude Célestin qui est déjà écarté au profit de Me Samuel Madistin, le nouveau leader de l'opposition sur tous les médias. Après le départ de l'inoffensif Martelly qui ne pouvait pas paralyser ses opposants par la violence et les actes d'intimidation, Aristide et ses hommes rentreront en scène ouvertement et feront le grand ménage. Les épouvantails qui se croient leaders de l'opposition seront exterminés. Et, fort de son lobby Nord-Américain, Titid se vengera comme d'habitude et personne ne réagira. Les exemples sont là : on ne parle plus de Jean Dominique, d'Oriel Jean ni de Venel Joseph. Ceux qui ont incendié les maisons des leaders politiques, les locaux des partis et tué leurs partisans le 17 décembre 2001 sont aujourd'hui des invités vedettes des médias haïtiens.
Vous allez sans doute continuer dans cette voie anti-Martelly qui risque de créer un vacuum au profit des anarchistes les plus violents... Moi, j'aurai toujours la conscience tranquille d'avoir été cohérent, d'avoir toujours combattu les criminels anarcho-populistes, ceux qui ont tué des centaines de militaires parce qu'ils étaient seulement membres des FAD'H, ceux qui ont assassiné des journalistes comme Brignol Lindor, Jean Dominique et massacré des civiles innocents à La Syrie (Saint-Marc), à l'Université d'Etat d'Haiti le 5 décembre 2003, pour ne citer quelques exemples.
Pour moi, Martelly a toujours été une stratégie pour sortie Haiti de la domination politique Lavalas. En effet, le chef d'orchestre a surpris tout le monde quand à son comportement et à ses réalisations, vu qu'on n'attendait pas de lui une gouvernance extraordinaire. Si aujourd'hui, l'esprit de jalousie pousse des gens à se liguer contre lui sans tenir compte de l'Etat dans lequel se trouvait Haiti quand il a pris fonction, UN JOUR, on comprendra qu'il avait fait de son mieux et que Cyrus Sibert avait raison de le supporter.
Martelly devait-être pour l'opposition un pont vers un ère post-Lavalas, post-Aristide, vers un Etat de Droit. Malheureusement, cette opposition a préféré le combattre, le laisser à la merci d'amis de mauvaise réputation au lieu de l'encadrer. Elle n'était pas à la hauteur de cette réalité historique et souffre d'infantilisme politique.
Comme la mer se retire, pour revenir en force lors d'un tsunami, Martelly quittera le pouvoir à la fin de son mandat, mais attention à la force populaire qui risque de voir en son mouvement TET KALE l'unique possibilité réaliste de finir avec le traditionnel nihiliste et de sortie Haiti du sous développement.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
1 février 2016
reseaucitadelle@yahoo.fr
@reseaucitadelle
_______________________
Message reçu de mon ami : Mr Sibert, Editorials (Miami Herald) rarely get any more brutal, nasty and on-target than this. Just take it for what it is worth. Blind propaganda can't be a substitute for the plain truth and reason. In the name of human decency stop defending the irrational.
____________________
RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes,
(
But you can't fool all the people all the time."
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois,
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.
Cyrus Sibert te toujou di Lavalas pa chanje. Vyolans ki komanse devan palman pral kontinye.-
Si gen yon moun ki pa sezi pou vyolans Lavalas sou palman jou 21 jen, li rele CYRUS SIBERT. Nou te toujou di Lavalas pa chanje. Lavalas pa demokrat li pa gen okenn lòt teyori pouvwa ke vyolans. Evènman sa yo enpòtan paske yo demontre vrè vizaj yon seri lidè ak jounalis. Makout ak Lavalas se diktati, vyolans politik, parazit leta, kòripsyon ak demagoji “noiriste”. Moun kap aplodi jodi mèt tann tou pa yo. Jean Dominique te kontan lè Lavalas tap boule makout, Kolonèl Jean Lamy te gwo konseye Aristide.
lundi 20 juin 2016
Judge dismisses defamation case, $14.5 million verdict against Freeport man.-
Judge dismisses defamation case, $14.5 million verdict against Freeport man
Monday’s ruling on the issue of jurisdiction favors Paul Kendrick and comes nearly a year after he lost in the federal lawsuit brought against him by the American founder of a Haitian orphanage.
In a sharp turn of events, a federal judge dismissed a complex defamation case against Paul Kendrick of Freeport on Monday, nearly a year after a jury awarded a $14.5 million verdict against him.
Kendrick lost at trial in U.S. District Court in Portland last summer, but an appellate court in Boston issued a ruling in February that put the entire case in question by asking whether the case ever belonged in federal court.
Paul Kendrick, left, and Michael Geilenfeld
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U.S. District Judge John Woodcock Jr. answered that question by backtracking through more than three years of litigation to rule that the plaintiff in the defamation lawsuit, Michael Geilenfeld, wasn’t living in the United States when he filed his claim against Kendrick and therefore the case had no grounds to be heard in a U.S. court.
The ruling dismissing the case doesn’t mean that either side necessarily wins, but more likely that the case will continue on through appeal, further arguments and possibly another trial.
Kendrick was accused of defamation after he began a widely disseminated email campaign in January 2011 accusing Geilenfeld, the American founder of an orphanage in Haiti, of sexually abusing the boys in his care. Kendrick later widened the campaign to include Hearts with Haiti, the North Carolina charity that raised donations to fund the orphanage. Kendrick declined to comment Monday other than to point out that authorities in Haiti have closed Geilenfeld’s orphanage and brought new child abuse allegations against him based on statements by more former orphans.
Kendrick’s attorney, F. David Walker IV, said that Woodcock’s ruling “essentially nullifies the jury verdict.”
“As to whether the whole case can be refiled,” he said, “I’m not sure.”
Walker said Geilenfeld and Hearts with Haiti could appeal Woodcock’s dismissal of the case.
In the trial verdict in July 2015, the Portland jury showed it did not believe seven former orphanage residents in Haiti who testified about sexual abuse, and found that Kendrick was reckless and negligent in making the accusations. It awarded actual damages of $7.5 million to Hearts with Haiti, and $7 million to Geilenfeld.
Although Hearts with Haiti is in the United States, Walker said it is his understanding that it still did not have grounds to sue Kendrick in federal court because it did so jointly with Geilenfeld, who was living at the orphanage in Port-au-Prince, Haiti, when the case was filed in 2013.
In March, Woodcock foreshadowed the legal quagmire that the jurisdiction issue could create by calling all parties before him in a courtroom to encourage them to settle the case.
At that hearing, Woodcock warned the parties to “take a hard look at themselves,” because his ruling on the jurisdiction question or the appellate court’s eventual ruling on the verdict could change the outcome entirely.
Attorney Russell B. Pierce of Norman, Hanson and DeTroy, the Portland law firm that represented Geilenfeld, expressed disappointment in the ruling.
“Although this technical ruling on jurisdiction takes the judgment away for the meantime, the verdict that was returned last July by 10 unanimous jurors remains the truth in our perspective – Mr. Kendrick spread malignant and harmful lies about Mr. Geilenfeld,” Pierce said. “No ruling on federal court jurisdiction changes the vindication that came from that unanimous verdict.”
Pierce said Geilenfeld and his attorneys are weighing the likelihood of a successful appeal. Geilenfeld’s lead attorney, Peter DeTroy III, died of a heart attack while riding his bike in Portland on May 28.
In his ruling dismissing the case, Woodcock acknowledged the complex legal path the case took before bringing him to the decision.
“In an extraordinary turn of events, while this case was on appeal to the Court of Appeals for the First Circuit, the Defendant fell upon a plausible argument that this Court never had proper jurisdiction in the first place. The argument is based on an arcane exception to diversity jurisdiction that deems American citizens domiciled abroad ‘stateless’ and renders them unable to access the federal courts on the basis of diversity jurisdiction. Here, the narrow issue is whether Mr. Geilenfeld was domiciled in Iowa or Haiti at the time he filed suit on February 6, 2013,” Woodcock wrote in his 53-page decision. “To say that the Defendant raised this issue late is an understatement, but unlike virtually any other legal issue, a court’s jurisdiction cannot be waived and may be raised at any time, even after verdict and on appeal, because jurisdiction goes to whether the court can legally hear the case.”
Though Geilenfeld had returned to Haiti after last year’s trial, his attorneys have said he is now living in the United States.
Scott Dolan can be contacted at 791-6304 or at:
L’Association Nationale des Magistrats Haitiens (ANAMAH) constate la fin du mandat de Jocelerme Privert.-
L’Association Nationale des Magistrats Haitiens (ANAMAH) constate la fin du mandat de Jocelerme Privert et supporte la position du CSPJ (Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire).-
Note de Presse
L'Association Nationale des Magistrats Haitiens (ANAMAH) prend acte de la correspondance du Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire (CSPJ) en date du 15 juin 2016 adressée au parlement et au Premier Ministre, constatant la fin du mandat de 120 jours du Président provisoire issu de l'accord du 6 février 2016.
En effet, conformément à la tradition, le Pouvoir Judiciaire (administré de nos jours par le CSPJ), doit jouer un rôle capital dans le dénouement de la crise politique actuelle en tant que co-dépositaire de la souveraineté nationale.
L'ANAMAH estime qu'en cette période d'agitation politique et d'effervescence sociale, il est prudemment recommandé de privilégier les intérêts supérieurs de la nation tout en faisant appel à la sérénité pour sortir la barque nationale des eaux tumultueuses et dangereuses pour notre souveraineté.
Aussi, l'ANAMAH est-elle favorable à toute participation des représentants du pouvoir judiciaire, symbole de neutralité, au plus haut niveau (Cour de Cassation de la République) au dénouement de la crise, car, en ces moments difficiles, le pays doit compter sur ses filles et ses fils les plus dignes.
Magistrat Durin Junior DURET
Président
Association Nationale des Magistrats Haitiens
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