Un nouveau Conseil est installé ce mardi 7 octobre 2008 à la tête de
Dr Gesner Nelson, Me Philomé FENELON et de Me Fédé Calixte sont les membres de ce Conseil. Nous publierons un article complet sur cette situation.
Un nouveau Conseil est installé ce mardi 7 octobre 2008 à la tête de
Dr Gesner Nelson, Me Philomé FENELON et de Me Fédé Calixte sont les membres de ce Conseil. Nous publierons un article complet sur cette situation.
Un groupe de 10 sénateurs, qui se sont gardés de révéler leur identité, ont écrit au président du Sénat, Kelly C. Bastien, pour lui demander d'organiser une séance spéciale sur le dossier de Roudolph Boulos. L'ancien vice-président du Sénat a été contraint d'abandonner son poste le 18 mars 2008 à la suite d'un rapport sénatorial sur la double nationalité. Niant détenir une nationalité étrangère, Roudolph Boulos avait pourtant annoncé sa démission avant le vote d'une résolution constatant qu'il n'a pas les qualités requises pour siéger au Sénat de
« L'Assemblée constate sur la base des faits établis que les sieurs Ultimo Decena Compère, également connu sous le nom de Ultimo Compère, et Rudolph Henri Boulos sont de nationalité étrangère », avait fait remarquer la résolution adoptée le 18 mars dernier. Ajoutant : « Les sieurs Ultimo Decena Compère et Rudolph Henri Boulos n'ont pas la qualité pour siéger au Sénat de
Sur 20 sénateurs présents, 17 avaient voté en faveur de la résolution. Les sénateurs Edmonde Supplice Beauzile et Judnel Jean ont toujours dénoncé la résolution constatant que le premier sénateur du Nord-Est n'a pas les qualités pour siéger au Grand Corps. La commission présidée par le premier sénateur de l'Artibonite, Youri Latortue, avait mis en avant un passeport américain qu'aurait détenu M. Boulos pour le forcer à laisser le Parlement la tête baissée. Son nom a été rayé de la liste des sénateurs en fonction. Et des élections anticipées ont été organisées pour le remplacer à la vice-présidence.
Le président du Sénat, Kély C. Bastien, qui considérait le dossier de Boulos comme une affaire classée se dit prêt à donner suite à la demande de ses collègues. Seulement, le sénateur Bastien invite les dix sénateurs à formaliser leur demande en révélant leur identité.
Une source proche du bureau du Sénat révèle que ces signatures s'identifient aux sénateurs suivants:
Carlos Lebon
Andris Riché
Youri Latortue
Eddy Bastien
Judnel Jean
Edmonde Supplice Beauzile
Jean-Joseph Pierre-Louis
Laurent Féquière Mathurin
Roudy Hériveaux.
Par Jean Monard Metellus InfoHaiti.net -
C'est décidément l'information de la journée: le sénateur Rudolphe Boulos qui avait perdu son poste de parlementaire à cause de sa nationalité étrangère (américaine) après la décision prise par l'assemblée des sénateurs suite à un rapport d'une commission présidée par le sénateur Youri Latortue au mois de Juin de l'année dernière pourrait faire son retour au grand corps, a t-on appris au près de ses proches. De l'avis même du président de l'Assemblée Nationale, le sénateur Kelly C. Bastien, les sénateurs pourraient revenir sur ce vote qui avait soulevé pas mal d'interrogations à l'époque à cause « du caractère illégal de la mesure ». Il était en effet dit que l'Assemblée des sénateurs n'avait pas les prérogatives légales et constitutionnelles pour invalider le pouvoir d'aucun membre du grand corps. Un tribunal du Nord-est avait d'ailleurs relevé le caractère illégal et inconstitutionnel de la mesure sénatoriale.
Des sources proches de l'intéressé font état des contacts qui auraient déjà été établis en prévision du retour très imminent du sénateur Boulos dans le pays, lui qui était tour à tour à St Domingue et à Washington dans une situation qu'il avait lui-même décrite comme celle d'un parlementaire en exil.
Rudolphe Boulos, grand entrepreneur et industriel, frère ainé du Dr Réginald Boulos avait été élu premier sénateur du département du Nord-est avec une large majorité sous la bannière de
Note de presse
Suite aux actes barbares perpétrés contre la conteuse et comédienne Natacha Jeune Saintil en sa résidence privée à carrefour (Impasse vainqueur, canne à sucre) le mercredi 24 septembre par des policiers du commissariat de Carrefour dit Oméga, la Fondation Prod’Arts proteste et condamne les terribles brutalités qu’a subit la comédienne qui venait tout juste de rentrée chez elle vers 9h 30 PM, après une séance de répétition.
En signe de support et de sympathie à la comédienne qui avait donné un très beau extrait du spectacle « Defile » lors de la dernière sortie de notre activité culturelle dénommée « Vibrations » (le vendredi 19 septembre), organisée chaque deux vendredi du mois à la Direction Nationale du Livre (DNL), la Fondation Prod’Arts a annulé la seizième sortie de cette activité qui aurait dû lieu ce vendredi 3 octobre 2008.
La comédienne devrait participer à la prochaine édition du mois créole de Montréal, le 11 octobre 2008, avec la pièce « Defile » de Gary Victor et mise en scène par Ralph Civil de la compagnie KTK (Konpayi Teyat Kreyòl).
Injustement, Natacha Jeune Saintil, une autre personnalité haïtienne est victime des mains des brigands policiers cantonnés au Commissariat de carrefour dit Oméga, réputé par ses arrestations illégales, violations des droits humains, sabotages et tant d’autres. Par conséquent, la Fondation Prod’Arts exige à la première ministre Michèle Duvivier Pierre Louis également ministre de la justice et au directeur général de la police nationale d’Haïti (PNH), Mario Andrésol de prendre les dispositions que de droit pour que ces brigands policiers soient jugés et condamnés. La conteuse s’est vite référée à l’un des centres hospitalier de la capitale, elle souffrait de lésion internes (perforations intestinales) et des fractures au bassin.
Natacha Jeune Saintil est une comédienne de renommée internationale, elle a déjà participé à des représentations à l’étranger. Elle est membre des troupes du Petit conservatoire, konpayi Teyat Kreyol, Théâtre Nationale d’Haïti…
La Fondation Prod’Arts invite tous les victimes d’actes de brutalités policières quelconques à venir nous rejoindre pour signer cette pétition afin que cessent ces actes de barbaries policière dans le pays.
Port-au-Prince, Haïti, le 29 septembre 2008
Fortestson ‘Lokandya’ Fénelon
Poète, comédien, journaliste culturel
Vladimir Delva
Comédien, animateur culturel
Raoul Saint Cyr Junior
Scénographe, éclairagiste
Farid Sauvignon
Comédien
Georges Nesly
Troupe de théâtre Ayizan
Faubert Bolivar
Ecrivain
Bien Cher Louis Pierre
Journaliste culturel
James Noel
Poète
Makenzy Orcel
Poète
Jean Max Beauchamp
Poète
Senal Yve Marie
Animateur culturel
Gary Victor
Ecrivain
Loudnard Esther Clergé
Poétesse
Numa Thomas
Comédien
Sherly Philidor
Etudiante
Ralph Civil
Metteur en scène
Francesseca Mérentier
Comédienne
Serge Junior Fécu
Poète
Daniel Marcelin
Metteur en scène
Ricardo Lefèvre
Acteur, Comédien
Toussaint François
Poète, Journaliste culturel
France Medeley Guilloux
Comédienne
Pierre Richard Jean Pierre
Professeur, Philosophe
Albert Moléon
Comédien
Chénald Augustin
Poète, Journaliste culturel
Jean Venèl Casséus
Groupe COMPAS, Journaliste culturel
Billy Elucien
Metteur en scène
Wooly Saint Louis Jean
Chanteur, Parolier
Jean Emmanuel Jacquet
Comédien, Journaliste culturel
…
C.C : Ministre à la condition féminine et aux droits de la femme, Bureau de la première ministre, Direction Générale de la PNH, Ministre de la justice, Bureau des droits humains aux Nations Unies …
Par Cyrus SIBERT
Cap-Haïtien, le 30 septembre 2008 ; (Ré.Cit.).-
Ce lundi 29 septembre 2008, sous demande des parents et du PAM (Programme Alimentaire Mondial), le cadavre de Daniel Bastien est exhumé. Dans le cimetière de la ville, il a été enterré en dehors de toute procédure judiciaire, la semaine écoulée.
Daniel Bastien, cadre du PAM, fut porté disparu le lundi 22 septembre 2008. Endetté, il avait tenté plusieurs démarches, à la recherche de prêts pour payer un créancier qui se faisait de plus en plus menaçant. Le jour de sa disparition, il devait se rendre au local de la SOGESOL. D ’après les informations recueillies, il ne s’était pas rendu à son rendez-vous. Un témoin l’aurait aperçu longeant la rue 12, de la Rue A à la rue Espagnol. Un autre témoin affirme l’avoir vu dans la matinée du coté de Carmélite, route menant au cimetière des religieux Catholiques de la ville du Cap-Haïtien, derrière l’Eglise Sacré Coeur de la rue 3 L .
Le Mardi 23, au soir, déjà, des informations circulaient faisant état de sa mort. Il aurait une main mutilée et son enterrement clandestin fut fait au cimetière de la ville.
Le jeudi 25 septembre 2008 dernier, à cause de l’odeur que dégageait son cadavre mal enfoui, des religieux de la zone auraient demandé au responsable du Cimetière de vérifier s’il y a fuite dans une cave. Le fossoyeur aurait fait tout son possible, pour satisfaire ses voisins, vu que l’Eglise catholique se situe dans le voisinage.
Jusqu’au dimanche 28 septembre 2008, il était impossible de confirmer les informations qui circulaient sur le sort de ce jeune père de famille âgé de 29 ans et employé du PAM. La police était dans l’expectative, sa famille aussi. Pour preuve, une source au sein de la police capoise nous révélait que le père de Daniel Bastien venait juste de déposer une plainte le vendredi 26 septembre 2008.
Pourtant, toute la semaine, des informations circulaient sur son ensevelissement au cimetière de la rue 2. Comme d’habitude, au Cap-Haïtien, la Police est la dernière instance à avoir des informations. Même quand des informations sur un meurtre sont sur toutes les lèvres, la police se dit toujours n’être pas au courant.
C’est dans ces conditions que le Bureau Régional du PAM basé au Cap-Haïtien a exigé l’exhumation du cadavre autour duquel circulaient tant de rumeurs. A la surprise de tout le monde, les pièces d’identité sur l’homme enfoui révèlent le nom suivant : Daniel Bastien.
Une situation qui révolte la conscience des jeunes et de la population en général. C’est la énième fois que l’on vit l’indifférence de la PNH face à des crimes crapuleux dans la ville du Cap-Haïtien. Aucun effort n’a été déployé pour vérifier et retrouver Daniel Bastien, alors que depuis mardi 23 septembre 2008 des rumeurs circulaient sur sa mort. Comment a-t-on pu enterrer un cadavre sans un procès-verbal de constat dressé par un juge de paix ? Il est bruit que le Maire Michel Saint-Croix avait autorisé son ensevelissement. Quel intérêt aurait le Maire de la Ville , pour refuser le suivi légal des procédures relatives aux cadavres retrouvés ? Y- a-t-il des traces de balles sur le corps de Daniel Bastien ? Qui sont ces créanciers qui le menaçaient ?
Durant toute la semaine, on faisait courir le bruit du suicide. Daniel Bastien, étant un homme très endetté, on croyait ou on faisait croire au suicide. Même des gens proches de sa famille n’avaient pas écarté cette hypothèse. Mais nous venons d’apprendre que son père qui vit aux Etats-Unis, paie régulièrement ses dettes. En 2007, le père aimant avait supporté son fils. Qui a intérêt à propulser l’hypothèse plausible du suicide, alors que depuis mardi 23 septembre 2008 le cadavre de Daniel Bastien est enterré au cimetière de la ville ?
On se souvient de ces multiples cas d’assassinats restés sans explications. En effet, plusieurs personnalités de la ville ont trouvé la mort dans de drôles conditions. Plus d’une vingtaine de meurtres sont classés sans suite, parce que, de près ou de loin, la police y est impliquée, souvent les criminels sont les patrons de policiers responsables de l’enquête. Aujourd’hui, dans les trois enquêtes judicaires pour kidnapping, 21 mandats sont restés sans suite ; la police dans le Nord semble se rebeller contre l’Instruction criminelle et refuse d’exécuter les mandats d’amener lancés par le Juge Heidi Fortuné, de peur que l’enquête ne remonte à des BOSS de plusieurs Haut gradés de l’institution dans le Nord.
Faut-il signaler le rôle du PAM (Programme Alimentaire Mondial) dans la politique dans le Nord, surtout en période électorale. Dans le temps et jusqu’à présent, cette agence de l’ONU est contrôlée par des hommes proches du mouvement Lavalas qui utilisaient les rations alimentaires pour renforcer leur leadership et financer leurs gangs dans le Nord. Le PAM est dominé par des hommes de ce secteur qui détournent l’Aide Internationale à des fins politiques. Alors que des écoles n’ont pas de cantine même quand elles font la demande, des leaders comme Moise Jean- Charles, obtiennent quand ils désirent de gros stock de produits du PAM pour supporter leur projet politique. Autant de questions, autant d’hypothèses, autant de pistes, qui infirment les prétextes de la PNH pour ne pas agir.
Le moment est venu de questionner le fonctionnement de la police dans le Nord. Il nous faut établir le niveau de son implication dans le crime organisé qui entoure le trafic de la drogue, le kidnapping, les élections à venir…
RESEAU CITADELLE (Ré.Cit.), le 30 septembre 2008, 13 heures 42.
UN SENAT A GENOUX AUX PIEDS DE L’EXECUTIF
HAITI OBSERVATEUR. SEMAINE DU 24 sep.08.
Dr Gérard Etienne.
Je me sens dans un tel état de colère que je risque d’exploser aux yeux de Nataniya .A moins que je trouve en moi les forces nécessaires à l’approvisionnement de tous les mauvais esprit qui allument sous mes pieds ce boucan de campêche pour m’empêcher de dire le fond de ma caboche aux propagateurs des plaies d’un certain président. Mon problème, encore le même mal ventre, la même hémorragie cérébrale, le même maudit diabète qui ébranlent mon corps à l’écoute d’une nouvelle dramatique : des Sénateurs, après mout circonlocution, ont réussi par montrer au peuple la vraie fonction d'un parlementarisme, s’agenouiller aux pieds du roi Préval en ratifiant la politique général de son PM. Alors quoi dire aux féodaux de la chambre haute? Que malgré les félicitations delà Minustah, de l’Ambassade américaine, de la diplomatie canadienne, ils montrent de manière convaincante leur saleté, leur absence d’identité, leur vassalisation, par rapport à leurs maîtres blancs et face aux brasseurs de millions du Palais National qui gonflent leurs comptes de banque de l’étranger pour de sales besognes. Mais là où les Sénateurs me font mouvoir dans un sentiment d’impuissance et d’horreur, c’est que hors de leur territoire maudit des parlementaires étrangers confirment la conception positive de la liberté, ce qui fait d’eux non pas des esclaves du PM, mais des gens appelés à défendre les intérêts du peuple. Tel n’est pas le cas chez nous. Au contraire la ratification d’un document émanant de
XX
La ratification de la politique générale de
XX
Et c’est sur ce terrain que
XX
Qu’oie qu’il en soit
XX
Par-delà toutes ces réserves, Madame Michèle Olivier Pierre Louis à la pp. 16, 17, 18 23,
Dr Gérard Etienne.
Cap-Haïtien, le 24 septembre 2008 ; (Ré.Cit.).-
Aujourd’hui 24 Septembre 2008 ramène l’anniversaire de l’assassinat par balles le 24 Septembre 1994 de huit membres des Forces Armées d’Haïti, et de deux civils, au local du Quartier Général de
En hommage à ces soldats haïtiens, tombés en activité de service et dans l’indifférence totale de la société et des classes politiques haïtiennes, je soumets à la conscience de tous les fils de ce pays déchiré par la haine, le vibrant message de ces martyrs, message écrit de leur sang et transmis lors de l’oraison funèbre prononcée par le chef administratif du personnel militaire (G-1), le 5 Octobre 1994.
Les Forces Armées d’Haïti sont une institution nationale, un affront à cette Institution est un affront à
Quatorze ans déjà depuis la perpétration de cet acte odieux. Aujourd’hui, n’est-il pas venu le temps d’accueillir ces dix soldats dans la salle d’honneur réservée à nos héros ?
RESEAU CITADELLE (Ré.Cit.), le 24 septembre 2008, 12 heures 03.
" On peut donner le no qu’on veut à cette force publique", dit-il faisant valoir qu’une armée est une institution constituée pour le combat. Selon M. Elie, une armée avec des régiments de combat ne répondrait pas aux besoins de la nation.
Une gendarmerie est une force militaire insiste t-il estimant que les FAD’H ont une connotation négative pour une partie de la population. Toutefois, M. Elie n’a pas de préjugé contre les anciens militaires qui, s’ils remplissent les conditions requises, pourront faire partie de cette nouvelle institution.
La surveillance des frontières et des cotes haïtiennes fera partie des taches de cette nouvelle force publique, selon M. Elie qui met l’accent sur la nécessité de réaliser des études pour déterminer les différents aspects de cette force publique. " La formule de déploiement doit être analysée ", dit-il faisant remarquer que le renforcement de
En réaction, le colonel Himmler Rébu rétorque qu’il n’existe pas d’entité intermédiaire entre la police et l’armée. " Toute formation militaire vise le combat", lance t-il rappelant qu’il y a eu une propagande contre l’armée.
De plus, M. Rébu ne croit pas opportun de transférer des agents du Swat et de CAT au sein de la nouvelle force publique.
Par ailleurs, l’ambassadeur du Brésil à Port-au-Prince, Igor Kickman, a indiqué qu’une nouvelle force publique n’est pas nécessaire pour Haïti. Au cours d’une visite de courtoisie aux sénateurs, le diplomate brésilien a déclaré que la police haïtienne peut assurer la sécurité des vies et des biens. Toutefois l’ambassadeur brésilien a admis qu’il revient aux autorités haïtiennes de prendre les décisions nécessaires.
Cap-Haïtien, le 24 septembre 2008 ; (Ré.Cit.).-
Le 22 septembre 2008 No. 2008/ 74
A date, les hélicoptères et la barge de débarquement de « l'USS Kearsarge » ont procédé à la livraison de plus de 980 tonnes métriques d'approvisionnements de secours, y compris
L'article joint ci-dessous émane de
http://www.navy.mil/search/display.asp?story_id=39862
Beaucoup plus de photos d’opérations militaires humanitaires en Haiti sont disponibles sur internet. Pour avoir accès à ces photos, veuillez consulter le site suivant http://www.southcom.mil/AppsSC/photoGallery.php?gallery=Relief%20in%20Ha.
Puis, en dessous de "choose a Gallery" vous sélectionnez l' option "Relief to Haiti 2008". L' objectif de ce site est de fournir au public en général des informations et des actualités au sujet des militaires américains. Tous les renseignements contenus dans ce site sont publics et peuvent-être distribués ou copiés à moins que ce soit spécifié différemment. Prière d'utiliser les photos, images, titres et crédits appropriés.
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L’équipe médicale du « Kearsarge »
évalue les besoins d’Haiti en matière de santé
Par Joshusa A. Nuzzo,
Spécialiste en Communication de Masse et en Affaires Publiques (Continuing Promise)
MAROSE, Haïti (NNS) – Le 17 septembre 2008, le personnel médical attaché au « USS Kearsarge (LHD 3) » a conduit une opération d’évaluation des besoins en matière de santé en vue de mieux soigner les citoyens haïtiens vivant dans les régions récemment dévastées par une série de tempêtes tropicales comme seconde phase de l’assistance humanitaire/secours en cas de catastrophe qui poursuit son cours.
Les équipes médicales du « USS Kearsarge » étaient parmi les premiers à arriver au petit village haïtien dénommé Marose et ont rapidement mis en place des opérations pour déterminer quels services étaient les plus nécessaires pour la population.
« Aujourd'hui est un grand jour parce que nous avons pu constater avec la partie médicale de la mission comment vit la population et évaluer ses besoins », a déclaré le Commandant Angelica Almonte, Responsable du Corps des Infirmières de la Marine.
Avec de pluies diluviennes et de sérieuses inondations ayant détruit une grande partie des récoltes et entraînant une hausse du prix des denrées alimentaires alors que les villageois ne peuvent s’en procurer, le personnel médical est préoccupé par les cas de malnutrition et a commencé à prendre le poids-contre-taille et les mesures mi-supérieures de circonférence du bras pour investiguer et déterminer les besoins alimentaires actuels du village.
« Nous essayons d'obtenir une évaluation alimentaire des enfants » a indiqué le capitaine Tim Shope, pédiatre de
L’équipe médicale du « USS Kearsarge » a l’impression qu’à ce moment la santé des populations du village n’était pas menacée. Cependant, il y avait une certaine préoccupation quant aux difficultés d’acheminer la nourriture en quantité suffisante aux zones inondées à cause des routes et des ponts qui ont été endommagés. Pour le moment, il y a des risques pour que la population puisse être frappée par de sévères cas de malnutrition qui pourraient détériorer leur système d’immunisation, rendant les enfants plus susceptibles à attraper des maladies telles que la diarrhée, la rougeole et la tuberculose.
En plus, un approvisionnement inadéquat en eau douce pourrait provoquer des maladies telles que le choléra, la typhoïde et l'hépatite A.
« De l'évaluation initiale, il paraît que la population est généralement en bonne santé », affirme le Lieutenant Candace D'Aurora, Dirigeant du Corps des Infirmières de
Jusqu'ici, les hélicoptères et la barge de débarquement embarquée à bord du « Kearsarge » ont fourni plus de 980 tonnes métriques d'approvisionnements de secours, y compris
A date, les hélicoptères et la barge de débarquement de « l'USS Kearsarge » ont procédé à la livraison de plus de 980 tonnes métriques d'approvisionnements de secours, y compris
Les secteurs ayant besoin d’assistance immédiate ont été priorisés par l’Agence Américaine pour le Développement International (USAID) le Bureau d’Assistance aux Désastres à l’étranger (OFDA).
Les équipes médicales du « Kearsarge » continueront de tenir des rencontres avec d'autres agences non gouvernementales travaillant dans le pays telles que les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), Médecins Sans Frontières et l'Organisation Panaméricaine de
Toute aide militaire des États-Unis à une nation étrangère doit être requise par l'ambassadeur américain du pays d'accueil. Puis, en tant qu’agent fédéral principal, le Bureau d’Assistance aux Désastres à l’étranger de l’USAID fait le suivi et contacte le Département de
Le « Kearsarge » est présente dans
Pour de plus amples informations a propos du « USS Kearsarge », visitez www.navy.mil/local/lhd3.
(Fin de texte)
RESEAU CITADELLE (Ré.Cit.), le 24 septembre 2008, 11 heures 46.
vendredi 19 septembre 2008
Par Jean-Claude Bajeux
Soumis à AlterPresse le 18 septembre 2008
Les jours de “Haïti chérie” semblent bien révolus et bien des refrains du romantisme haïtien, même « Choucoune » font mal à entendre ou à chantonner, après les trois ouragans qui ont frappé le pays, tout le pays. Il semblerait que ce qui est arrivé à Gonaïves, il y a quatre ans, exactement, n’était qu’un avertissement, comme une répétition générale de désastres à suivre. Cette fois-ci, c’est littéralement le ciel qui nous tombait sur la tête aux quatre coins du pays, coupant les routes, emportant des ponts et rendant quasi impossible, pendant des jours, d’aider ceux qui étaient pris par les eaux, les victimes, les prisonniers de l’eau.
Dans les journaux, les radios, les écrans de télévision, ce que nous percevons, c’est beaucoup plus qu’une catastrophe nationale. C’est la catastrophe de la nation. C’est un verdict apocalyptique, concernant les responsables irresponsables, les farceurs pontifiants, les corrompus endurcis, les casseurs, nous tous sans exception. Que répondra-t-on dans trois, quatre ans quand le morne l’Hôpital se sera effondré sur Port-au-Prince ?
Pourtant, l’eau de plus en plus est classée comme une richesse qui se vend cher, qui s’évalue cher et qui a fait la fortune de grandes compagnies mondiales inscrites à la bourse. L’eau, sous toutes ses formes, salée, douce, tiède, glace ou neige est célébrée comme une bénédiction, eau lustrale dans des rites sacrés immémoriaux. Le tiers d’ile que nous occupons, avec plus d’un millier de kilomètres de côtes reçoit, de cette mer, du soleil et du vent, plus d’eau que nous ne pourrions utiliser. Et chacun de nous conserve, idéalisées, le souvenir d’heures de grâce en compagnie de cette amie de toujours, une eau, quelque part, source de bonheur.
Mais aussi, inconscients comme nous avons l’air de l’être, ignorants des secrets de cette mère du monde, l’eau, indifférente, claire ou boueuse, insidieuse ou violente est capable, nous le voyons, nous l’avons vu, nous le verrons, les larmes aux yeux, de déployer, sur nous, devant nous et tout autour de nous, une puissance de caprice et de destruction, au lieu d’être une source de bien-être. Car pour révéler ses bienfaits, elle demande un traitement spécial, d’être reçue de fa¬çon spéciale sinon elle revient au tohu-bohu originel, chaudron de désordre et d’infécondité, faisant éclater de partout les arbres, la terre, les roches, les ponts, les routes et les habitations, en route pour un rendez-vous avec la mer.
La leçon après ces passages cycloniques, tumultueux, de la violence aquatique est claire. Il nous faut répondre à ce message, pour ne pas dire cet ultimatum. Pour que l’eau soit richesse et non malédiction, il nous faut, de la source à la mer, créer les chemins de l’eau et prévoir, entre ces deux points, tous les usages possibles de l’eau pour en tirer le maximum de bénéfices, apprivoisant sa turbulence pour utiliser la variété vitale de ses services. C’est donc tout un pays qu’il nous faut aménager. Pour survivre, nous sommes acculés à accepter le défi faustien de réaliser la séparation de l’eau et de la terre, préparer les circuits qui permettent à l’eau qui tombe de retrouver les chemins de l’eau qui dort. C’est pourquoi dans un pays comme le nôtre, la première filière pour un futur libéré de nos tragédies récentes est la filière de l’eau, elle qui conduit à toutes les transformations qui répondraient aux multiples besoins de l’exister humain. Nous n’avons pas d’autre choix.
Eau qui lave, qui nourrit et alimente la vie, eau qui nettoie, eau qui ruisselle là où l’on veut qu’elle ruisselle et pas ailleurs, eau qui cuisine, l’eau, source d’énergie, l’eau qui s’allie à la terre, l’eau est une invitée qui récompense de mille façons ceux qui savent préparer sa venue. En fait un pays qui marche mal est un pays ou l’eau n’est pas où elle devrait être et ne peut faire ce qu’elle est supposée faire. Cette leçon est primordiale, que ce soit pour les pays plein de montagnes, ou pour les pays plats comme la main. Pour faire exister notre terre, il faut sur tout le parcours, de l’amont à l’aval, avoir dessiné les chemins de l’eau pour les buts précis définis par un projet national. C’est une condition sine qua non de la vie des communautés humaines. Sinon au bout du compte, on se retrouve à brasser les sables du désert ou à barboter dans les boues des marécages. Nous n’avons pas le choix. L’eau et la terre définissent pour de longues années encore le destin national, sa faillite ou sa réussite.
Voici donc que nous sommes le dos au mur, aujourd’hui, contemplant le drame. Les photos, les témoignages nous renvoient à l’image d’un échec collectif qui est bien notre échec. La solidarité à quoi personne ne peut dire non nous mènera-t-elle à de grandes déterminations ? Verrons-nous s’entrouvrir la porte pour qu’une nation se refonde, pour qu’un pays renaisse ? L’eau serait alors la filière primordiale qui ne supporte pas les petits projets, ni les dons qui n’en finissent pas, ni l’indolence calculée d’une bureaucratie, ni les contrats secrets ni les dessous de table. La terre et l’eau seraient le tissu, la matière de ce grand projet national et comme la matrice d’une nation qui surgirait hors de la honte, hors de la misère, hors de mendicité, « hors d’eau ».
Pour cela doivent fonctionner deux autres filières dont il faudra reparler qui, elles aussi, sont nécessairement convoquées, la filière du savoir, des savoir-faire, de la compétence et cette autre, la gestion, l’organisation séquentielle des actions, la volonté de gérer et de faire fonctionner l’entreprise nationale de production et de services.
A ce compte, l’eau, aurait trouvé sa finalité : une terre fertile et un peuple au travail.
17 septembre 2008
Cap-Haïtien, le 20 septembre 2008 ; (Ré.Cit.).-
Un communiqué du Barreau du Cap-Haïtien, daté du 11 septembre 2008 et numéroté OAV-365-EXE06-08 dans le registre des correspondances de l’association professionnelle, annonce que le Bâtonnier de l’Ordre des Avocats du Barreau du Cap-Haïtien et les membres de son Conseil ont décidé en ces termes : ‘‘Michelet FELIX, candidat à la prestation de serment à titre d’Avocat est actuellement sous le coup d’une enquête administrative interne. En attendant les résultats de la démarche entreprise, il a été décidé de rayer momentanément le nom de Monsieur Michelet FELIX sur la liste soumise pour la cérémonie qui sera tenue au Tribunal de Premier Instance du Cap-Haïtien, le vendredi 12 septembre 2008 à 10 heures précises du matin.’’
En effet, les familles de la ville du Cap-Haitien et ce qui reste de personnes de moralité sont secouées par un incident : Michelet FELIX, professeur de mathématiques au Collège Notre Dame du Perpétuel Secours, a abusé sexuellement d’un enfant de 12 ans. Il s’agit d’abus de confiance sur mineur. Le professeur, autour de la quarantaine, devait comparaître devant le tribunal correctionnel de la ville. L’affaire a même été entendue au Tribunal des référés. La fille a tout avoué. Elle a eu des relations sexuelles avec ce professeur. Ce dernier a profité des heures de leçons particulières, pour initier l’enfant à des pratiques sexuelles. Elle a innocemment compté le nombre de fois que le professeur l’a entraîné dans ces dérives : « 8 fois ».
La famille faisait pourtant confiance à ce prof. En plus du collège Notre dame, il enseignait dans d’autres établissements de la ville. C’était un frère d’Eglise.
Cité à comparaitre par devant le Tribunal correctionnel pour répondre de ses actes, il a été prévenu par ses collègues de la profession du droit. Comme d’habitude, on prend la poudre d’escampette ; il se réfugie aux Etats-Unis.
Dans la cité capoise, c’est un scandale. On est consterné et renversé par cette situation de détournement de mineure. On se fait de la peine pour cette famille victime comme tant d’autres. Les parents sont crédibles. Ils forment un couple exemplaire de rudes travailleurs qui ose encore espérer un avenir meilleur pour leurs enfants, à la sueur de leur front, sur la terre de Dessalines. Ils sont des entrepreneurs capois membres de ce qui constitue la minorité saine, non inféodée à l’argent sale.
Jusqu’où iront ces abus ?
Il faut des lois sévères pour combattre les prédateurs sexuels qui exploitent l’innocence des enfants. Les personnes qui tolèrent sous leur toit ce genre d’abus doivent-être poursuivies, celles qui protègent les prédateurs aussi, celles qui exercent des pressions sur les enfants au profit des prédateurs, toutes doivent être poursuivies et jugées.
Il y a aussi le laxisme des juges, face aux prédateurs sexuels. Souvent ils se montrent complaisants envers eux.
L’Etat doit protéger les familles et combattre le détournement des mineurs. La Brigarde de la Protection des Mineurs (BPM) doit avoir plus de moyens pour agir. Les comportements déplacés d’un adulte, face à un mineur doivent être poursuivis et combattus sans relâche.
Nous ne pouvons plus tolérer cet état de fait. Nous sommes trop complaisants envers les prédateurs sexuels. Nous avons tendance à banaliser des comportements barbares. Il y a toujours un petit groupe qui à travers toutes sortes d’explications, cherche à protéger les prédateurs sexuels. Pour des intérêts cachés et inavouables, il trouve toujours une explication en faveur du bourreau.
C’est révoltant de voir une famille qui se défonce pour l’avenir de ses petits être abusée par des malins. La société doit exiger plus de répression contre ces comportements.
Nous sommes touchés de plusieurs cas d’exploitation sexuelle sur mineurs : A Ouanaminthe, un père viole sa fille à neuf ans et depuis trois ans la contraint à avoir des relations sexuelles quotidiennes avec lui. Après avoir passé les examens d’études primaires, en vacances au Cap-Haitien où sa mère vie, la fille n’a pas voulu retourner chez elle. Pourquoi ? Elle a tout avoué à un cousin. Piégé pas un speakerphone, la mère a entendu le père demander à sa fille de venir. Il ne peut plus attendre…. Aujourd’hui, cette mère stupéfaite qui a porté l’affaire au tribunal subit les pressions de toutes parts. Les bénéficiaires de la largesse du père délinquant réclament sa libération. Des parents font pression, l’accusé est prêt à payer, il en a les moyens. Et comme d’habitude, on parle de complot. Si on accuse le père, c’est parce qu’il est trop rigide avec sa fille. La victime devient coupable.
Le citoyen américain Douglas Perlitz accusé d’abus sur des enfants de rue de la ville du Cap-Haïtien, est encore en liberté. Il s’est réfugié dans son pays aux Etats-Unis d’Amérique. De plus, il continue de voir les enfants à partir de Dajabon. Les vendredis et les dimanches, il profite de l’ouverture de la frontière aux commerçants, pour faire venir des enfants…Tandis qu’au Cap-Haïtien, un petit groupe sème le doute pour tenter de laver ses méfaits. Ignorant les rapports d’enquêtes, dont un de
Comme partout dans le pays, la justice fait peu de cas des abus contre les mineurs. Les prédateurs n’ont qu’à se refugier aux Etats-Unis, le temps que les juges se débarrassent de ces dossiers jugés futiles.
C’est dans ces conditions que l’ADEC (Agence de Développement et d’Education Communautaire) représentée par Marnel Louis et le RESEAU CITADELLE projettent de créer un Observatoire des Droits des Enfants du Nord et du Nord-est d’Haïti (ODEN).
On ne peut plus continuer à subir ces genres de comportement dans la société haïtienne.
RESEAU CITADELLE (Ré.Cit.), le 20 septembre 2008, 17 heures 00.
Par Hans MARS
hansymars@gmail.com
Cap-Haïtien, le 20 septembre 2008 ; (Ré.Cit.).-
A l'occasion de la journée internationale de
Plusieurs personnalités ont pris part à cette activité. Pour le maire de la ville du Cap-Haïtien, Michel St Croix, parler de paix ne renvoie pas toujours aux violences physiques mais ça entraîne aussi toute une façon de vivre : ‘‘ Il ne peut y avoir de paix sérieuse, vu l'état lamentable du pays : pas d'électricité, pas de travail, beaucoup d'hypocrisies et beaucoup de discours sans fond’’. Il poursuit dans le même sens, en dévoilant son pessimisme: ‘‘La journée internationale de la paix n'est pas pour aujourd'hui, parce qu'on ne peut pas avoir de paix dans ce pays où trop de gens souffrent surtout après ces dernières intempéries qui ont fait des milliers de victimes’’.
D'un autre côté, le représentant du ministère à
Des jeunes du VDH – FOSREF, d'autres organisations de la place telles que COHFEL et le Centre Multi Media de
Les navires et les hélicoptères américains continuent de venir en aide à Haiti alors que le « US Kearsage » s’approvisionne en articles de secours
L’équipage des hélicoptères et des barges de débarquement à bord du « USS Kearseage » continueront d’apporter le support logistique en vue de procéder à la livraison de l’assistance de l’Agence Américaine pour le Développement (USAID) au profit des populations victimes des tempêtes en Haïti. Le 18 septembre prochain, le navire envisage de se rendre à la base navale de Guantanamo Bay à Cuba en vue de renouveler le stock en provisions de secours.
Une fois arrivé à destination, le navire s’approvisionnera jusqu’au 20 septembre en essence et autres matériels nécessaires en vue de poursuivre l’assistance des Etats-Unis dans le cadre des opérations de secours aux désastres à Hispaniola.
A date, les hélicoptères et les barges de débarquement transportés à bord du « USS Kearsage » ont livré plus de 870 tonnes métriques de matériels de secours, y compris 24.800 gallons d’eau potable aux communautés dévastées et isolées à cause des ponts et des routes qui ont été sévèrement endommagés.
Trois grands hélicoptères CH-53 chargés de transporter les matériels lourds et trois barges de débarquement resteront en Haïti afin de soutenir l’USAID et d’autres organisations dans la livraison de l’assistance cruciale fournie aux victimes qui nécessitent une attention immédiate à travers le pays.
Depuis notre arrivée le 8 septembre dernier, le navire « USS Kearsage » fonctionne à plein rendement en vue de distribuer des articles de secours vitaux aux personnes affectées par les tempêtes, indique le capitaine de la Marine américaine, Fernandez « Franck » Ponds, commandant des militaires américains opérant dans le cadre des efforts déployés en vue de venir en aide aux sinistrés en Haïti. Le bateau « USS Kerseage » sera de retour en Haïti aussitôt que l’opération d’embarquement des matériels et d’approvisionnement en essence sera complétée.
« Etant donné que nous travaillons en étroite coopération avec le gouvernement haïtien et d’autres Organisations Non-Gouvernementales, nous accomplirons cette importante mission sans faille et jusqu’au bout », a ajouté Ponds.
Des informations additionnelles à propos de l’assistance que fournit le navire « US Kearsage » au peuple haïtien sont disponibles à travers le site suivant : www.southcom.mil.
(Fin de Texte)