lundi 7 mars 2011
Dimanche 06-03 / Haiti + Martelly CONASPEH + Choléra + Police Canada + amputés
| Haïti - Médecine : La mobilité, l'espoir d'une nouvelle vie
06/03/2011 14:49:44 |
Plus d'un an après le séisme de janvier 2010, des enfants amputés vont retrouver l'espoir grâce aux efforts conjoints du projet Medishare, des Chevaliers de Colomb, d'Össur International et.... | |
http://www.haitilibre.com/article-2476-haiti-medecine-la-mobilite-l-espoir-d-une-nouvelle-vie.html | |
| Haïti - Police : À quoi joue le Canada ?
06/03/2011 12:46:03 |
Le 8 avril 2010 Beverley J. Oda, Ministre de la Coopération internationale, avait annoncé l'octroi d'un financement pour l'Académie Nationale de Police, qui devait être située dans la ville de Ganthier... | |
http://www.haitilibre.com/article-2475-haiti-police-a-quoi-joue-le-canada.html | |
| Haïti - Épidémie : La France envoie 150 lits adaptés au traitement du choléra
06/03/2011 09:02:32 |
...Dans le cadre de la lutte contre l'épidémie de choléra, l'Ambassadeur de France en Haïti, M. Didier Le Bret, a remis cette semaine 150 lits adaptés au traitement du choléra... | |
http://www.haitilibre.com/article-2474-haiti-epidemie-la-france-envoie-150-lits-adaptes-au-traitement-du-cholera.html | |
| Haïti - Élections : Le Conseil National Spirituel des Églises d'Haïti soutient Martelly
06/03/2011 08:34:19 |
Dans un communiqué publié sur la page Facebook du candidat Martelly, daté du 4 mars 2011, signé par l'Evêque Patrick Villier, Président du Conseil National Spirituel des Église d'Haïti (CONASPEH) on apprend que le Conseil, au nom de ses 8,000 églises... | |
http://www.haitilibre.com/article-2473-haiti-elections-le-conseil-national-spirituel-des-eglises-d-haiti-soutient-martelly.html |
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Présidentielle haïtienne: Manigat veut que les USA stoppent les expulsions
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)
Présidentielle haïtienne: Manigat veut que les USA stoppent les expulsions
samedi 05 mars 2011 à 00:25
Si elle est élue présidente d'Haïti, Mirlande Manigat compte «négocier» avec Washington la fin des expulsions d'Haïtiens condamnés par la justice américaine, a-t-elle dit vendredi, estimant que ce processus réinstauré en janvier ajoutait au «fardeau» du pays caribéen.
L'administration de Barack Obama avait mis en place un moratoire sur les expulsions d'Haïtiens avec un casier judiciaire après le tremblement de terre du 12 janvier 2010 mais a annoncé en décembre que les expulsions allaient reprendre. 27 personnes ont ainsi été reconduites dans l'île francophone à la mi-janvier.
«Même ceux qui ont pris la nationalité américaine, ils sont expulsés!», a déploré l'ex-Première dame qui doit affronter Michel Martelly lors du second tour prévu le 20 mars.
Les Américains «ont un problème carcéral, ils n'arrivent pas à réhabiliter ceux qui sont en prison et c'est une solution de facilité de les expédier dans leur pays d'origine», a dit Mme Manigat à l'AFP, en marge d'une conférence de presse à Montréal.
Il y a un mois, la commission des droits de l'homme de l'Organisation des États américains (OEA) avait demandé aux Etats-Unis de suspendre les expulsions, affirmant qu'un des individus expulsés en janvier «est mort dans une prison haïtienne pour une raison non encore établie, avec des symptômes de choléra».
«Non seulement il n'y a pas de mécanisme d'accueil de ces Haïtiens, ces jeunes expulsés, mais (en plus) il n'y a pas de moyens de les accueillir: nous aussi en Haïti nous avons une surpopulation carcérale qui est épouvantable», a souligné la candidate.
«Il faudra négocier avec les États-Unis, leur faire comprendre que cela augmente le taux de criminalité en Haïti. Ca peut leur permettre peut-être d'alléger leur responsabilité, mais ils nous refilent allègrement un fardeau», a-t-elle insisté.
AFP
Voir aussi: http://radiovision2000haiti.net/home/?p=7082#more-7082--
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DIA INTERNACIONAL DE LA MUJER (ESP/ENG/FR): La prensa : coto de cazaprivado de los hombres, zona peligrosa para las mujeres
Reporteros sin Fronteras
Comunicado de prensa / Informe (FR, ENG)
7 de marzo de 2011
Día Internacional de la Mujer
La prensa : coto de caza privado de los hombres, zona peligrosa para las mujeres
Con motivo del 8 de marzo, Día Internacional de la Mujer, Reporteros sin Fronteras hace el balance de las condiciones de trabajo de las mujeres presentes en el periodismo. Este balance reafirma varios principios importantes. Tiene la ventaja de recordar los hechos y reunir testimonios de mujeres a través del mundo, desde la discriminación diaria hasta las más trágicas violencias.
Descargar el informe (en inglés):
http://fr.rsf.org/IMG/pdf/international_women_s_day_2011.pdf
"El lugar de las mujeres en las redacciones y su protección es una apuesta esencial para reforzar la libertad de prensa y el pluralismo de opiniones. Si en algunos países, se aparta a las mujeres del sector mediático, en otros, los progresos son visibles. Pero aún se tienen que hacer muchos esfuerzos para que se garantice realmente la paridad en una profesión que todavía sigue siendo en mayor parte masculina. El lugar de las mujeres en los medios de comunicación siempre es el reflejo del lugar que ocupan en la sociedad donde viven, declara Jean-François Julliard, secretario general de Reporteros sin Fronteras. Corren a veces más peligros que los hombres y deben afrontar muchos prejuicios. Algunas zonas en el mundo deben ser objeto de una atención particular en cuanto a la protección de las mujeres en el ejercicio del periodismo."
A lo largo de los últimos veinte años, el número de mujeres en la profesión de periodista ha aumentado. Aún así, siguen ocupando los puestos más precarios, pues los de dirección y edición siguen siendo el dominio reservado de los hombres. Esto tiene efectos sobre la visión del mundo dada por la prensa. Se trata de un mundo muy masculino todavía, del que se excluye a las mujeres: un mundo de hombres hecho para los hombres.
En muchos países, las mujeres periodistas y defensoras de los derechos humanos son víctimas de violencias, encarcelamientos, intimidaciones y de censura al igual que los hombres. En algunos de ellos, llegan a ser un blanco privilegiado. La vulnerabilidad de las mujeres periodistas varía mucho según las zonas geográficas. Resulta difícil no comentar la agresión espantosa sufrida por Lara Logan (CBS News) en Egipto en febrero de 2011 cuando fue derrocado el presidente Hosni Mubarak. Reporteros sin Fronteras desea expresarle su apoyo. Aunque un incidente de este tipo sea excepcional, es sintomático de los riesgos que corren las mujeres en la profesión.
_______________International Women's Day
News media: a men's preserve that is dangerous for women
To mark International Women's Day today, Reporters Without Borders is releasing a report on the problems of women who work as journalists. It reaffirms several important principles, contains interviews with women journalists throughout the world and describes all the different problems they encounter, ranging from everyday discrimination to the most tragic forms of violence.
Download the report: http://fr.rsf.org/IMG/pdf/international_women_s_day_2011.pdf
« The role of women in the media and the protection of women journalists are key issues for reinforcing media freedom and diversity of opinions. In some countries, women are excluded from the media but in others they have made significant progress. A great deal of effort is nonetheless needed to ensure real equality in a profession still largely dominated by men. The place of women in the media is still a reflection of their place in society," Reporters Without Borders secretary-general Jean-François Julliard said. "They often run greater risks than men and have to deal with a great deal of prejudice. Certain regions of the world need particular attention as regards the protection of women who work as journalists."
More and more women have been joining the ranks of journalists in the past 20 years but they still tend to occupy the lowliest jobs within the profession, with executive and editorial positions usually continuing to be the preserve of men. This clearly has an effect on the vision of the world reflected by the media. It is still a largely male world, one from which women are excluded, a world of men made by men.
In many countries, women journalists and human rights activists are the victims of violence, imprisonment, intimidation and censorship, just as men are. Some of them may be preferred targets. The vulnerability of women journalists varies considerably from one geographic region to another.
It is hard not to mention last month's appalling assault on Lara Logan of CBS News in Egypt, at the time of President Hosni Mubarak's fall from power. Reporters Without Borders offers her its entire sympathy. Even if such an incident is exceptional, it is symptomatic of the risks that women run when they work as journalists.
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Journée internationale de la femme
La presse : chasse gardée des hommes, zone dangereuse pour les femmes
A l'occasion du 8 mars, Journée internationale de la femme, Reporters sans frontières dresse un état des lieux sur les conditions de travail des femmes qui embrassent la carrière de journaliste. Ce bilan réaffirme plusieurs principes importants. Il a le grand avantage de rappeler des faits et de rassembler des témoignages de femmes à travers le monde, allant de la discrimination quotidienne aux violences les plus tragiques.
Télécharger le rapport : http://fr.rsf.org/IMG/pdf/journee_internationale_de_la_femme_2011.pdf
« La place des femmes dans les rédactions et leur protection est un enjeu essentiel pour le renforcement de la liberté de la presse et le pluralisme des opinions. Si dans certains pays, les femmes sont mises à l'écart du secteur médiatique, dans d'autres, les avancées sont visibles. Mais beaucoup d'efforts restent à faire pour assurer véritablement la parité dans une profession qui demeure encore largement masculine. La place des femmes dans les médias est toujours le reflet de leur place dans leur société, a déclaré Jean-François Julliard, secrétaire général de Reporters sans frontières. Elles encourent parfois plus de risques que les hommes et doivent affronter de nombreux préjugés. Un certain nombre de régions dans le monde doivent faire l'objet d'une attention particulière pour la protection des femmes dans l'exercice du journalisme. »
La profession de journaliste s'est féminisée au cours des vingt dernières années mais les femmes occupent encore et toujours les fonctions les plus précaires, les postes de direction et d'édition restant le pré carré de ces messieurs. Cela n'est pas sans effet sur la vision du monde que donne la presse. Il s'agit d'un monde encore largement masculin, d'où les femmes sont exclues, un monde d'hommes fait pour les hommes.
Dans de nombreux pays, les femmes journalistes et défenseurs des droits de l'homme sont victimes de violences, d'emprisonnements, d'intimidations et de la censure au même titre que les hommes. Dans certains d'entre eux, elles peuvent être des cibles privilégiées. La vulnérabilité des femmes journalistes varie fortement selon les zones géographiques.
Il est difficile de ne pas dire un mot de l'agression effrayante subie par Lara Logan (CBS News) en Egypte en février 2011 lors de la chute du président Hosni Moubarak. Reporters sans frontières lui adresse toute sa sympathie. Même si un tel incident s'avère exceptionnel, il est symptomatique des risques encourus par les femmes dans la profession.
Gilles Lordet
Reporters sans frontières
47, rue Vivienne
75002 Paris
+33 1 44 83 84 58