Partenaires: USAID, HI-FIVE, ATH/Nord, Caisse Populaire Fraternité et Fédération des marchands de Produits Artisanaux du site Labadee.Objectif: Faire de Labadee le plus grand marché artisanal de la Caraïbe.Grâce au support de HI-FIVE/USAID, plusieurs marchands ont été formés en gestion de commerce. La cooperative capoise "Caisse Populaire Fraternité" consent des prêts d'investissement aux artisants. Pour l'organisation de la dite foire, 2.500.000 goudes ont été débloquées en termes de prêts directs.Photos et reportage : Cyrus Sibert, Reseau Citadelle.Vendredi 27 mai 2011--------------- --------------- --------------- --------------- --------------- --------------- --------------- --------------- --------------- --------------- --------------- --------------- "Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978) ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
vendredi 27 mai 2011
Foire Artisanale #1, du 28 au 29 mai 2011, à Cormier Plage, Cap-Haitien.
US Embassy Haiti Tweet.
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Nap felisite fòs polis peyi Dayiti-a BLTS ki te arete kat prezime dwòg dilè epi sezi plis pase 500 kg marigwana prè vil Okap. @inlbureau
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)
La Première Dame d'Haïti Sophia Martelly visite la République Dominicaine
La Première Dame d'Haïti Sophia Martelly visite la République Dominicaine Espacinsular SANTO DOMINGO, République Dominicaine, le 26 mai 2011 .- Madame Martelly Sophia, l'épouse du Président d'Haïti, est en visite officielle en République dominicaine. Elle est l'invitée de la Première Dame de la République voisine Margarita Cedeno. galerie de photo Fernández.Ver dominicaine C'est son premier voyage à l'étranger depuis l'installation de son mari Michel Martelly en tant que président de la République d'Haiti, a déclaré Mme Sophie Martelly. http://espacinsular.org/spip.php?article12092 ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Face a la contrefacon constitutionnelle
Perpétrée au préjudice de la République
GRANMOUN opine :
Parmi les vingt-trois constitutions qui ont jalonnée les pages de notre histoire, celle de 1987 est l'objet de toutes sortes d'affronts parce qu'elle a osé s'attaquer au système séculaire haïtien ancré dans une longue tradition autoritaire.
Rappelons qu'avant même son entrée en vigueur, cette Constitution avait essuyé sa première gifle avec sa publication en retard au journal officiel « Le Moniteur ». Depuis, son application n'aura été qu'un long calvaire.
Des arguments font défaut pour expliquer la dernière gifle en date administrée à notre Charte fondamentale. Amendée et acheminée au Journal officiel pour être publiée, elle est détournée par des sans foi ni loi au service du système. Oh ! Non, les choses vont trop loin.
Ces agissements nous remettent à l'époque des sociétés tribales. Détourner le vote d'un parlement au profit des intérêts mesquins est un outrage à la République considéré comme un crime abominable. GRANMOUN s'étonne du silence de la nouvelle équipe au pouvoir autour de ce dossier.
En conséquence, il demande au Président de la République, aux membres des deux chambres constituant le Parlement :
1. de préciser, par une note officielle, la Constitution sous l'empire de laquelle est dirigée présentement la République, ce pour éviter l'exercice illégal des fonctions de l'Etat par les fonctionnaires regroupés à l'intérieur des trois pouvoirs ;
2. de diligenter une enquête sérieuse en vue de permettre à la justice haïtienne de sévir contre tous les malfrats impliqués de près ou de loin dans cette sale entreprise qui ne fait que ternir davantage l'image haïtienne.
Le retard enregistré dans les obligations qui pèsent sur les pouvoirs publics d'informer et d'agir dans le cadre de cette affaire exaspère les citoyens et semble même plonger la République dans la consternation.
GRANMOUN espère une intervention sans équivoque du Chef de l'Etat susceptible de clarifier sa position par rapport à cet outrage que subit la République.
Dr. Patrick Jacques/Coordonnateur
Note de la Présidence sur Twitter.
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)
Protecting children from sex abuse in Haiti : Portland, Maine attorney urged to take off boxing gloves
IGNATIUS GROUP__ For more information: Paul Kendrick, Portland, Maine. 207 838 1319 Cyrus Sibert, Cap Haitien, Haiti, 011 509 3686 9669 A Portland attorney and a Lewiston physician are being urged to take off their boxing gloves and, instead, start taking positive steps towards protecting children from sex abuse at the orphanage they supervise in Haiti. Portland, Maine attorney, Robert Morris, is a member of the Board of Directors of Free the Kids, the fundraising arm of Pwoje Espwa Sud, an orphanage that houses 800 children in Les Cayes, Haiti.
According to its web site, Mr. Morris's law firm represents victims of child sex abuse who are attempting to receive compensatory damages for the trauma, harms and injuries inflicted upon them as a result of their being abused when they were children.
In recent weeks, questions have arisen about inappropriate physical/sexual contact with a child by a self-proclaimed Franciscan monk who volunteers at the 800 child orphanage. In his May 3rd blog (now shut down by him), Brother Robert-Anthony Campbell, FSD wrote the following about his actions with an 11 year-old Haitian boy: "I showered him from head to toe, scrubbed his hair and washed his shorts. I also found time to re-apply the cream I've been using to help his rash and I'm happy to report the rash has cleared up (and he's a lot cleaner too, lol) I'm going to pick up some new sandals for him tomorrow after I go to the bank. It was frustrating to shower him and re-dress him in clean underwear, shorts and a T-shirt then let him leave barefoot..." May 3, 2011, Brother Robert Anthony Campbell, FSD
Can anyone imagine what would happen if a parent in the U.S. walked into the school's locker room and saw a teacher or coach rubbing soap with his or her hands all over the wet, naked body of their 11 year-old child?
Free the Kids board members, including Attorney Robert Morris of Portland, Dr. Cynthia Desoi of Lewiston, Maine and Rev. Marc Boisvert, OMI, the founder of Pwoje Espwa, have reacted to questions about Brother Campbell's conduct with silence and hostility.
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)
Toutes les demi-heures : Ecrasés par les dettes et les réformes néolibérales, les fermiers indiens se suicident à une vitesse ahurissante (Democracy Now !)
Toutes les demi-heures : Ecrasés par les dettes et les réformes néolibérales, les fermiers indiens se suicident à une vitesse ahurissante (Democracy Now !)
AMY GOODMAN : Nous allons parler du problème du suicide des fermiers de l'Inde ; un quart de million d'entre eux se sont suicidés dans les 16 dernières années. Ce chiffre indique qu'un fermier se suicide toutes les 30 minutes en moyenne.
Aujourd'hui le centre des droits de l'homme et de la justice mondiale de l'université de droit de New York présente un rapport intitulé : "Toutes les 30 minutes : Le suicide des fermiers, les droits de l'homme et la crise agraire en Inde."
Le secteur agricole indien est devenu plus vulnérable aux marchés mondiaux à cause de la libéralisation de l'économie. Les réformes dans le pays ont inclus la suppression des subventions agricoles et l'ouverture de l'agriculture indienne au marché mondial. Ces réformes ont augmenté les coûts tout en réduisant les rendements et les profits de beaucoup de fermiers.
En conséquence les petits fermiers sont souvent pris dans un cycle infernal de dettes qui en amène beaucoup à se suicider par pur désespoir. Le taux de suicide le plus élevé est celui des fermiers du coton. Comme les autres cultures de rapport, l'industrie du coton est de plus en plus dominée par les multinationales étrangères qui tendent à promouvoir des cultures de coton génétiquement modifiées et qui contrôlent souvent le coût, la qualité et la quantité de graines disponibles.
Smita Narula, directeur de la faculté du Centre des droits de l'homme et de la justice mondiale de l'université de droit de New York, est venue parler de ce problème à Democratie Now. Nous lui souhaitons la bienvenue.
SMITA NARULA : Bonjour.
AMY GOODMAN : Parlez-nous du rapport que vous publiez aujourd'hui même.
SMITA NARULA : Notre principale découverte est que tous les problèmes que vous venez de décrire soulèvent d'importantes questions de droits de l'homme. En Inde nous faisons face à une grave crise des droits de l'homme. Cette crise affecte les droits humains des fermiers indiens et ceux de leur famille d'une manière très profonde. Nous nous sommes rendus compte que leur droit de vivre, d'avoir de l'eau, de la nourriture et des conditions de vie décentes, et leur droit de recevoir des soins appropriés sont très affectés par cette crise. De plus bien que le gouvernement ait l'obligation légale de trouver des solutions pour répondre aux besoins élémentaires des fermiers dans ces temps de crise, nous avons constaté qu'il n'a pratiquement rien fait pour endiguer cette vague de suicides.
AMY GOODMAN : Ce chiffre est incroyable. Toutes les 30 minutes un fermier indien se suicide ?
SMITA NARULA : Et cela fait des années que ça dure. Et il y a deux choses que ces chiffres ne disent pas. La première c'est que les chiffres même ne rendent pas compte de l'énormité du problème. Nous savons que les statistiques sont incomplètes car le gouvernement indien ne reprend pas dans les chiffres des catégories entières de fermiers parce qu'ils n'ont pas de titre officiel de propriété sur la terre. Il s'agit des femmes fermières, des Dalit (intouchables NdT) ou des fermiers des castes soi-disant inférieures, ainsi que des Adivasi ou fermiers des communautés tribales. De plus non seulement les programmes gouvernementaux et les programmes d'aide n'ont pas bénéficié à ces catégories de personnes mais ils n'ont pas réussi à fournir des compensations ni l'aide nécessaire à ceux qui étaient endettés ni à remédier aux problèmes structuraux plus larges qui sont à l'origine des suicides dans le pays.
AMY GOODMAN : Parlez-nous de la mondialisation et de la manière dont elle affecte ces fermiers.
SMITA NARULA : Bien sûr. Donc en fait la cause la plus évidente des suicides est l'endettement. Ce sont les deux dernières décades de libéralisation du marché indien qui sont à l'origine de cet endettement. D'abord le gouvernement s'est profondément désinvesti du secteur agricole. Il a réduit les subventions. Il a réduit l'accès au crédit rural. L'irrigation est insuffisante et n'atteint pas la plupart des fermiers qui en auraient besoin. Et en même temps, le gouvernement a autorisé une modification des cultures de rapport dont le coton est un exemple.
En même temps le marché a été ouvert aux multinationales ce qui a fragilisé énormément les fermiers indiens. Les multinationales étrangères dominent maintenant les industries comme l'industrie du coton y compris les semences clés indispensables. Dans le cas du coton en particulier la semence génétiquement modifiée Bt a bénéficié d'une promotion si efficace en Inde qu'elle domine désormais tout le secteur, et les facteurs de coût, qualité et disponibilité ont une incidence si lourde sur les coûts, les profits et les rendements des fermiers qu'ils sont obligés de s'endetter excessivement. Beaucoup d'entre eux, ironiquement, absorbent pour se suicider les pesticides qu'ils ont acheté en s'endettant quand ils s'aperçoivent qu'ils n'arriveront pas à payer leurs dettes.
AMY GOODMAN : Ils absorbent des pesticides...
SMITA NARULA : Oui c'est bien ça. Ces statistiques sont terribles en elles-mêmes, on a du mal à imaginer un suicide toutes les demi-heures, mais ce que le rapport essaie de faire en plus c'est de mettre un visage humain derrière ces chiffres et ces tragédies. Alors voici deux récits qui vous permettront de voir les choses d'une perspective humaine. Il y a des fermiers de Vidarbha dans le Maharashtra qui est considéré comme un épicentre de la crise et un épicentre de la production du coton dans le pays. Avant de mettre fin à leurs jours, ces fermiers envoient désormais leur lettre de suicide au premier ministre et au président en espérant que leurs dernières paroles atteindront des gens qui feront enfin quelque chose.
Et puis il y a des fermières comme Nanda Bhandare qui est veuve ; elle a perdu son mari en 2008. Du coup, elle a dû sortir ses enfants de 10 et 12 ans de l'école pour travailler sur la ferme. Ils possèdent 20 acres (2,7 ha) de terre et après avoir travaillé dur sur cette terre une année entière, elle ne va probablement pas gagner plus de 250 dollars pour toute l'année. Elle a peut-être reçu une compensation du gouvernement mais cela a été englouti par les prêteurs privés à qui son mari avait dû emprunter parce qu'il n'y a pas de crédit rural dans le pays. Et maintenant elle lutte pour faire face aux besoins vitaux de sa famille.
AMY GOODMAN : Parlez-nous des semences génétiquement modifiées et des multinationales étasuniennes.
SMITA NARULA : Oui les semences génétiquement modifiées. Les graines de coton Bt sont les semences qui dominent l'industrie du coton pour le moment. Cette modification génétique introduit une toxine dans la semence qui tue une maladie très commune qui affecte le coton en Inde. Cette semence Bt qui est et a été commercialisée par Monsanto entre autres multinationales, nécessite deux choses que les petits fermiers indiens n'ont déjà pas en abondance : de l'argent et de l'eau. Les graines Bt sont deux à dix fois plus chères que les graines de coton ordinaires et elles nécessitent beaucoup plus d'eau pour donner de bons rendements. Les fermiers vont voir des prêteurs privés qui leur demandent des taux d'intérêt exorbitants pour pouvoir acheter les semences car on leur a promis que ces graines leur apporteront une plus grande sécurité financière. Mais comme 65% du coton indien n'a pas accès à l'irrigation et doit se contenter des eaux de pluie les récoltes sont mauvaises. Et comme la sécheresse augmente, de plus en plus de fermiers sont dans ce cas. Ils s'endettent terriblement pour acheter les graines et ils n'obtiennent pas les rendements espérés. Ce cycle se répète pendant deux saisons et à la fin ils sont complètement pris au piège d'un cycle infernal auquel ils ne peuvent plus échapper alors ils absorbent les pesticides qu'ils ont achetés pour mettre fin à leur jours et...
AMY GOODMAN : Que faut-il donc faire ?
SMITA NARULA : Il y a beaucoup de choses que le gouvernement peut et doit faire. D'abord il faut améliorer la connaissance du problème par des études plus précises. Le gouvernement ne se rend pas compte de l'importance du problème comme je l'ai déjà expliqué. Ensuite il faut corriger le mode d'intervention. Le programme d'aide de la dette dont le gouvernement se vante tant devant les comités de droits de l'homme touche peu de fermiers, en laisse beaucoup dehors et n'est pas suffisant. Enfin il y a les questions structurelles. Le gouvernement doit mettre les droits humains au centre de sa politique agricole et il doit réglementer les multinationales -ce qu'il ne fait pas- au lieu d'approuver l'introduction de toujours plus d'OGM dans le pays, alors que tant de vie d'agriculteurs ont déjà été détruites.
AMY GOODMAN : Smita Narula, je vous remercie d'avoir répondu à nos questions. Nous allons mettre le lien vers le Center for Human Rights and Global Justice de l'université de NY pour pouvoir consulter votre étude.
Daniel Rouzier envisage de créer de nouveaux ministères
Jeudi, 26 mai 2011 06:17 | ||
Le Premier Ministre désigné, Daniel Gérard Rouzier, annonce la création prochaine de nouveaux ministères pouvant répondre aux priorités du chef de l'Etat. |
jeudi 26 mai 2011
Des organisations de la société civile protestent contre la publication dans Le Moniteur d’un amendement constitutionnel non voté par le parlement.
Elles exigent de l'Exécutif la publication sans délai du texte de l'amendement authentique jeudi 26 mai 2011, Des organisations de la société civile, dont des organismes de défense des droits humains, ont exprimé jeudi dans un communiqué conjoint leurs préoccupations et leur stupéfaction du fait que, contrairement à la déclaration d'amendement modifiée et publiquement votée par l'Assemblée nationale dans la nuit du 9 mai 2011, un autre texte d'amendement constitutionnel « truffé d'erreurs, de contradictions et de dispositions non adoptées » a été publié dans la nuit du 13 mai écoulé par les Presses nationales, quelques heures seulement avant la prestation de serment du nouveau président de la République. Le texte voté, finalisé par une Commission ad hoc et initialement signé par les six (6) membres du bureau de l'Assemblée nationale, ne comportait aucunement les fautes constatées dans le document acheminé aux Presses nationales et publié dans Le Moniteur du 13 mai 2011 avec seulement quatre (4) signatures de membres du bureau, relèvent les organisations. Réclamant des explications et que toute la lumière soit faite sur ce qu'elles qualifient de « scandale inqualifiable », les organisations appellent à identifier les responsables d'un tel acte et à adopter contre eux les sanctions appropriées. Elles demandent au Pouvoir exécutif de s'assurer de « la publication sans délai du texte constitutionnel authentique avec les corrections nécessaires dans le journal Le Moniteur concerné, reproduit à cet effet ». Au peuple haïtien, elles lancent un appel à la plus grande vigilance en vue de défendre les acquis démocratiques et républicains de la Constitution de 1987, d'exiger le respect de cette Constitution et des amendements qui y ont été apportés.Des organisations de la société civile protestent contre la publication dans Le Moniteur d'un amendement constitutionnel non voté par le parlement
Le communiqué est signé de Rosny Desroches, pour l'Initiative de la Société Civile (ISC) ; Léopold Berlanger pour l'Organisation des Patriotes pour Haïti (OPA) ; Edouard Paultre, du Conseil Haïtien des Acteurs non Etatiques (CONHANE) ; Pierre Espérance, du Réseau National de Défense des Droits Humains (RNDDH) ; Jean-Claude Bajeux, du Centre Œcuménique des Droits Humains (CEDH) ; Garry Denis, de l'Initiative Citoyenne (IC) et Woldson Bertrand du Centre d'Etudes et de Recherches en Sciences Sociales et Pénales (CERESS). [jmd/Radio Kiskeya]
Jeudi 26-05 / Haiti + Dorsinvil désobéissance + Sophia Martelly RD + black out..
Haïti - Social : Des membres du Congrès révoltés par les violentes expulsions de déplacés... 26/05/2011 14:46:59 | |
Hier mercredi 25 mai 2011, le Congressman Donald M. Payne (New Jersey) et les Congresswoman Yvette D. Clarke (NY), Frederica Wilson (FL) et Maxine Waters (CA) ont fait une déclaration commune en réponse à l'expulsion et à la destruction des camps... | |
http://www.haitilibre.com/article-3032-haiti-social-des-membres-du-congres-revoltes-par-les-violentes-expulsions-de-deplaces.html | |
Haïti - Justice : Le parquet penche pour l'hypothèse du sabotage dans l'affaire du «black out» 26/05/2011 13:25:13 | |
Me Harycidas Auguste, Commissaire du Gouvernement et Chef du Parquet de Port-au-Prince, chargé d'instruire l'enquête sur l'affaire du « black out » intervenu durant la cérémonie de prestation de serment du Président élu Michel Martelly, le 14 mai... | |
http://www.haitilibre.com/article-3031-haiti-justice-le-parquet-penche-pour-l-hypothese-du-sabotage-dans-l-affaire-du-black-out.html | |
Haïti - Politique : Le Ministre de l'Intérieur devant la Commission d'enquête Sénatoriale 26/05/2011 12:19:45 | |
La Commission Sénatoriale d'enquête sur la corruption et les fraudes enregistrées au sein du Conseil Electoral Provisoire (CEP), lors des récentes élections législatives poursuit ses auditions. Hier mercredi, c'était au tour de Paul Antoine Bien-Aimé... | |
http://www.haitilibre.com/article-3030-haiti-politique-le-ministre-de-l-interieur-devant-la-commission-d-enquete-senatoriale.html | |
Haïti - Social : Première visite à l'étranger de la Première Dame d'Haïti 26/05/2011 10:28:46 | |
Sophia Martelly, la Première Dame d'Haïti, pour sa première visite à l'étranger, est arrivée hier matin à l'aéroport La Isabela, en République Dominicaine. Elle a été reçue au Bureau de la Première Dame Margarita Cedeno de Fernandez.... | |
http://www.haitilibre.com/article-3029-haiti-social-premiere-visite-a-l-etranger-de-la-premiere-dame-d-haiti.html | |
Haïti - Justice : Gaillot Dorsinvil «désobéissance envers l'autorité» 26/05/2011 09:20:24 | |
En dehors des conseillers absents sans explication, [seul le conseiller Jacques Belzin a justifié son absence pour des raisons de santé], le grand absent de cette convocation au Parquet, était celle de Gaillot Dorsinvil, le Président du CEP... | |
http://www.haitilibre.com/article-3028-haiti-justice-gaillot-dorsinvil-desobeissance-envers-l-autorite.html |
Pour un ordre mondial basé sur le multilatéralisme.
P-au-P., 26 mai 2011 [AlterPresse] --- Les pays de l'Amérique Latine et de la Caraïbe, plaident en faveur d'un ordre mondial basé sur le multilatéralisme et le respect absolu du principe de non intervention et la non ingérence dans les affaires internes des Etats, lors de la XVIe conférence Ministériel du Mouvement des pays non alignés tenu du 23 au 27 mai à Bali, Djakarta (Indonésie).
Dans des propos rapportés par l'Agence Prensa Latina, des ministres des affaires étrangères de la région soutiennent l'idée de la concertation, du partage et de la solidarité au niveau des actions à entreprendre.
C'est quand on fait la promotion de la coopération internationale libre de toute forme de tutelle et indépendante de toutes formes de colonisation qui nie le droit des millions d'habitants de la planète de développer dans la paix et dans la sécurité, soutiennent ces responsables.
Le plaidoyer caribéen et latino-américain promeut la démocratie comme valeur universelle, conçue comme décision souveraine de chaque peuple de déterminer son propre système politique, économique, social et culturel au-delà du modèle de démocratie unique que prône certains pays. L'accent est mis sur la lutte permanente pour l'indépendance et l'autodétermination des peuples et le développement de la reconnaissance du système interaméricaine de défense des droits humains.
Les participants à la conférence réclament le désarmement nucléaire total et complet sans porter préjudice aux droits inaliénables des pays à l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire.
Les délégations de 118 pays participent à cette conférence ministérielle des pays non alignés à Bali, coïncidant avec le 50e anniversaire du mouvement des non-alignés crée en septembre 1961 à Belgrade en ex-Yougoslavie. [mm gp apr 26/05/2011 11:00 ]
http://groups.yahoo.com/group/5rgroup/join
GLISSEMENT DE TERRAIN : 3 MORTS CAP-HAITIEN 26-05-2011
Accéder au site Web du groupe
Members of Congress Outraged Over Camp Destructions by Haitian Police
Members of Congress Outraged Over Camp Destructions by Haitian Police
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Washington, May 26 -
Rep. Donald M. Payne (NJ), Rep. Yvette Clarke (NY), Rep. Frederica Wilson (FL), and Rep. Maxine Waters (CA) made a joint statement in response to the eviction and destruction of camps on public property in the Delmas district of Port-au-Prince:
"On Monday, May 23, 2011, our offices were alarmed at the startling news that three camps of internally displaced persons in the Delmas neighborhood of Port-au-Prince were effectively destroyed. This included the park at the intersection of Delmas Road and Airport Road which was destroyed at the hands of the Haitian police, under direction of Mayor Wilson Jeudy. This camp is home to several hundred people and is a microcosm of the over 800,000 officially-recognized displaced persons in Haiti. It is even more disturbing that this incident occurred during the day while many Haitian women and men were out in search of employment. Those who stayed behind witnessed the destruction of their belongings while some were violently beaten with batons by police.
"During the same time, the United Nations Office for Coordination of Humanitarian Affairs (UN OCHA) Camp Coordination and Camp Management Cluster sent correspondence about the cancellation of this week's cluster meeting, as well as the agenda for the next meeting which includes a discussion on the Martelly Administration's 'Return and Relocation' pilot program. However, there was no acknowledgement about the violent obliteration of camps in Port-au-Prince. This is of great concern, and as United States Members of Congress, we will thoroughly look into this matter.
"It is mind-boggling that any government official would condone or ignore such actions during a time when Haiti is seeking to recover from the crisis stemming from the January 2010 earthquake and the subsequent sluggish rebuilding process. Facing hostile conditions, including adverse weather, violence, and disease, shelter and work are the priorities for every displaced Haitian and must not be compromised. During President Martelly's visit to the United States, we were all encouraged by his assertion that Haiti will face a new day—a new beginning. We extended, and continue to extend, our arms to assist and support the people of Haiti and its government as it transitions upward. We will not, however, idly stand by and hear such reports of evictions, without seeking an explanation or taking action.
"We understand that the land issues are extremely complex in Haiti and that there is an urgent need to create the appearance of progress. However, this cannot be done by evicting people off of public land with no place to go. There must be an accelerated effort to remove the rubble and repair livable buildings, and build permanent shelter. As representatives who have historically supported the advancement and prosperity of Haiti and its Diaspora, it is our hope that President Martelly, the United States and the international community are aware of these forced evictions and are taking adequate steps to address this issue."
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L'addition va être salée. (Très bon texte)
Sa présence sur le terrain est rassurant pour les populations qui attendent, mais son véritable rôle, c'est de présider l'Etat et de s'assurer de la présence efficace de collaborateurs dans toutes les charges politiques.
Je crains qu'il ne soit trop tard quand il se rendra compte, qu'en réalité, il n'a de contrôle véritable que sur les bureaux du Palais National. Et qu'il a accumulé des retards très importants pour l'instauration du changement.
Ainsi, nous encourageons une ènième fois, le Président de la République à établir le profil des délégués et vice délégués en fonction des résultats prônés et de nommer les personnes en qui il peut avoir confiance et qui peuvent exercer valablement les attributions politiques et techniques indiquées par la loi.
Le Président étant une personnalité charismatique, je ne souhaite pas qu'il soit amené à utiliser aussi vite sa grande popularité auprès de la population pour rebalancer les rapports de force avec le Parlement.