jeudi 2 juin 2011
CAP-HAÏTIEN-PÉDOPHILIE : RÉSEAU CITADELLE FAIT LE POINT SUR SON ENGAGEMENT. (Texte retrouvé)
Special meteo bulletin #3 Orange alert for possible heavy rains alldepartments and especially South Fw: Bulletin special #3
ET DU DEVELOPPEMENT RURAL (MARNDR)
DIRECTION GENERALE
DIRECTION DU CENTRE NATIONAL DE MÉTÉOROLOGIE
Vigilance orange aux fortes pluies du Plan National de Gestion des Risques et des Désastres(PNGRD)
L'interaction entre la zone dépressionnaire au niveau du sud-ouest de la mer des caraïbes et l'onde tropicale à l'est de celle-ci vont générer des averses importantes, des orages dispersés ainsi que de forts vents sur une bonne partie de l'île d'Haïti aujourd'hui. Cette dépression se déplace très lentement c'est pour cette raison qu'elle aura le temps de déverser une quantité significative de pluie particulièrement sur la péninsule sud du pays durant les prochaines 48 heures.
En conséquence, le Secrétariat Permanent pour la Gestion des Risques et des Désastres (SPGRD) maintient ce jeudi 02 juin 2011 à 9 h am la phase d'alerte au niveau de vigilance orange (i.e. risque d'impact d'intensité modérée à sévère) aux fortes pluies dans le Plan d'Urgence National face aux menaces de fortes pluies avec risques de crues de rivière, d'éboulements, de glissement de terrain, d'effondrement et d'inondations pour tous nos départements notamment le Sud, le Sud-est, les Nippes, la Grande-anse, l'Ouest, le Centre et l'Artibonite.
Le CNM de concert avec la SEMANAH, l'OFNAC et l'AAN interdit les opérations de cabotages particulièrement sur toute la côte sud du pays ainsi que les vols en provenance et à destination de Jérémie, des Cayes et de Jacmel.
Le Centre National de Météorologie (CNM) de concert avec le SPGRD et la DPC demande particulièrement à la population des zones à risques d'éboulements, de glissement de terrain et d'inondations, de rester vigilante et d'appliquer scrupuleusement les consignes de sécurité suivante.
Consignes
· Restez à l'écoute des messages météo et respecter les consignes des autorités.
· Surveillez la montée des eaux. Si votre habitation est menacée par des inondations, d'éboulements et de glissement de terrain, préparez vous à évacuer.
· Ne pas traverser les rivières en crues sous aucun prétexte.
· En cas d'orages violents, ne vous abritez pas près des fenêtres et en zone boisée.
Jacquet Jackson, Prévisionniste au CNM
Approuvé par : Ronald Semelfort, Directeur CNM
Anne Marie Hadcroft
Regional Humanitarian and Development Coordination Officer,
North, North-east and Centre Departments,
MINUSTAH.
hadcroft@un.org
Mobile Tel. (509) 3702-6884
Office Tel. 2244-2050 extn. 5780
Interview du Professeur Gerard Bissainthe
mercredi 1 juin 2011
Child Protection Advocates Write Letter to U.S. Ambassador in Haiti
Child Protection Advocates Write Letter to U.S. Ambassador to Haiti. Call for Investigation of Child Sex Abuse Allegations Against U.S. Citizen, Michael Geilenfeld. June 1, 2011 Kenneth H. Merten Ambassador to the Republic of Haiti Embassy of the United States Tabarre 41, Boulevard 15 Port au Prince, Haiti Dear Mr. Ambassador, We, the undersigned child protection advocates, are calling upon you to immediately investigate allegations that children are being physically and sexually abused by U.S. citizen, Michael Geilenfeld, founder and executive director of the St. Joseph's Homes in Haiti. It has been discouraging for us to learn that child sex abuse complaints against Geilenfeld have been know to U.S. Embassy investigators in Port au Prince for the past twenty years, yet Geilenfeld remains in Haiti with unlimited access to vulnerable children. Since the 1980s, boys, men and visitors to the St. Joseph's Homes have alleged emotional, physical and sexual abuse by Geilenfeld and some of his associates. Geilenfeld denies the allegations. Please note that child abuse allegations against Geilenfeld are documented as early as 1987 in Boston; 1990 in Haiti and the U.S.; 1995 in Detroit; 1997 in UK and Haiti; 1999 in Haiti; 2006-2007 in Haiti and U.S. We believe it is the moral obligation of the United States of America to investigate and prosecute U.S. citizens who commit crimes against children anywhere in the world and especially in earthquake ravaged Haiti where children are even more vulnerable. We look forward to your response. Sincerely, Robert Hoatson, President, Road to Recovery, 862-368-2800 Paul Kellen, National Survivor Advocacy Coalition, 781-395-3628 Ruth Moore, Speak Truth to Power, 781-264-6519 Michael Sweatt, National Survivor Advocacy Coalition, 207-831-3791 cc: Rod Khatabbi, Special Agent, Department of Homeland Security "Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978) ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Rouzier Premier ministre grâce à René Préval ? (Par Joseph Guyler C. Delva)
Haïti: S'il y a eu des doutes sur les chances de Daniel Gérard Rouzier de trouver l'approbation du Parlement pour diriger le prochain gouvernement, ils se sont dissipés suite à une rencontre qui a fait toute la différence, celle qui a eu lieu, lundi soir, dans la résidence privée de l'ancien président René Préval. En effet, selon des sources concordantes, lors de cette importante rencontre entre le président Préval et les membres du parti INITE, l'ancien locataire du Palais national a formellement demandé au groupe majoritaire au Parlement de ne faire aucune exigence au président de la République, Michel Joseph Martelly, et au Premier ministre désigné, Daniel Rouzier, quant à l'obtention de postes ministériels dans le prochain gouvernement. M. Préval, le principal instigateur de la mise sur pied de cette structure politique, a demandé aux parlementaires de son parti et aux membres du Groupe des Parlementaires du Renouveau (GPR), le bloc majoritaire, de donner un vote favorable à Rouzier, dans le but de permettre au président Martelly d'avoir les coudées franches pour qu'il puisse délivrer le changement promis à la population. Lors de cette rencontre, qui a débuté vers les 6 heures PM pour prendre fin peu avant minuit, l'ancien chef de l'Etat et les membres de son groupe ont décidé de former une commission de 7 membres devant rencontrer le président Martelly sur la décision du groupe majoritaire de ratifier Daniel Rouzier, sans exiger de postes ministériels, mais aussi sans exclure toute possibilité, pour des proches du GPR, d'occuper des postes de responsabilité si telle est la volonté du président de la République. Donc, l'octroi de portefeuilles ministériels ou d'autres positions de responsabilité est désormais laissé à la discrétion du Président Martelly et de son Premier ministre Rouzier. Cette commission, présidée par le senateur Joseph Lambert, est composée entre autres, du sénateur Francky Exius, des députés Levaillant Louis-Jeune et Tolbert Alexis. Deux autres députés et un membre de la coordination de l'INITE complètent la liste des membres du GPR désignés pour rencontrer le chef de l'Etat et le Premier ministre désigné, sur le dossier de la ratification de la nouvelle équipe gouvernementale. Les présidents de la Chambre des députés et du Sénat, respectivement Sorel Jacinthe et Rodolphe Joazil, tous deux de l'INITE, assisteront la commission, lors de cette rencontre avec le chef de l'Etat et dans la mise en oeuvre de la nouvelle position arrêtée par le groupe majoritaire.
____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Le Conseil Municipal de Cap-Haitien autorise une construction au milieu du Marché public de la ville, rue 9 J.
|
The Aftenposten 13: New Wikileaks Cables Show Extent of US Opposition to Aristide.
Adapted from the Mediahacker.org blog (By Ansel Herz) Not long after former President Jean-Bertrand Aristide landed in Haiti on Mar. 18, Kristoffer Rønneberg at the Norwegian newspaper Aftenposten posted online 13 new private diplomatic cables from the US government relating to Aristide and Haiti from the Wikileaks Cablegate set. Taken together, they portray the United States as intractably, almost obsessively, occupied with marginalizing Aristide and the Lavalas, and making sure other nations fall into line. The French government conspired with the US to thwart Aristide's return, discussing how to "hinder" the return fl ight's logistics. The cables also show that in 2008 current President René Préval was trying to "co-opt" the Fanmi Lavalas party into his ruling coalition and was flatly opposed to Aristide even being "in the hemisphere." Below is a round-up of key passages from the cables. Four days before Aristide was fl own out of the country in 2004, the Dominican Ambassador to Haiti said he was "worried" about chaos in the North but thought that Aristide was "very clever." Aristide did not ask the Dominicans for any help or the use of a helicopter. In October 2004, a confidante of the Bahamian Prime Minister said the U.S. did not but should have given "a call from senior USG offi - cials, or the White House, advising him 'when the United States decided to change direction on Aristide' and 'remove him from power.'" In November 2004, nine months after the coup, Dominican President Lionel Fernandez gave a speech in front of other regional leaders in which he said Aristide commanded "great popular support" within Haiti and called for his inclusion in the country's democratic future. The U.S. government was shocked and outraged, commenting: "The Aristide comment appeared to come out of nowhere. Fernandez had not previously discussed Aristide by name in conversations with us, or with our French and Canadian counterparts… Perhaps the greatest surprise for us was the palace's presumption that there would be no downside." The cable continues: "On Nov. 6, 2004, during a pull-aside at a social event, the Ambassador admonished Fernandez that his reference to Aristide was a serious mistake, one that had the potential of further inflaming a situation already dangerous for the Haitian people and for the international peacekeeping force. Fernandez replied that given popular support for Lavalas, it would have to be part of the situation. The Ambassador was direct: Aristide had led a violent gang involved in narcotics trafficking and had squandered any credibility he formerly may have had. 'Nobody has given me any information about that,' Fernandez replied. The Ambassador insisted that no supporter of human rights and democracy could in good conscience allow Aristide and his close supporters back into the situation in Haiti. Fernandez listened and eventually agreed to distinguish between Aristide and Lavalas. He asked for any information on Aristide that the United States might be able to share with him." Two months later, in January 2005, President Hugo Chavez of Venezuela told the US Ambassador there that "he believes the USG is wrong on Haiti: There is no long term solution that does not involve Aristide in some way." (The Venezuelan ambassador was the only foreign diplomat in the delegation that received Aristide at the airport on Mar. 18.) That same month, France and the United States discussed how to keep Aristide from returning home, planning to warn Caribbean countries and tell South Africa he must not be allowed to return "under the pretext" that it would hurt their chance for a UN Security Council seat: "Bienvenu later offered to express our shared concerns in Pretoria, perhaps under the pretext that as a country desiring to secure a seat on the UN Security Council, South Africa could not afford to be involved in any way with the destabilization of another country... Bienvenu speculated on exactly how Aristide might return, seeing a possible opportunity to hinder him in the logistics of reaching Haiti. If Aristide traveled commercially, Bienvenu reasoned, he would likely need to transit certain countries in order to reach Haiti. Bienvenu suggested a demarche to CARICOM countries by the U.S. and EU to warn them against facilitating any travel or other plans Aristide might have. . .Both Bienvenu and Barbier confi ded that South African mercenaries could be heading towards Haiti, with Bienvenu revealing the GOF had documented evidence that 10 South African citizens had come to Paris and requested Dominican visas between February and the present." In July 2005, a South African official told the French that its government "would not support any effort by Aristide to return… Ntshinga told the French that he would share the French concern about Aristide´s activities with the National Intelligence Agency and ensure that President Mbeki was also informed." A month later, the Jamaican Labor Minister was chastised for describing Aristide "as a friend in need" after the coup. He said Washington was overreacting. Jamaica allowed him to pass through the country on his way into exile, and had offered the Aristides the option to stay there for a few weeks "for family reasons," but on the condition that Aristide "keep a low profile" and refrain from making public statements. He stressed Jamaica wasn't taking an adversarial position to the United States, but was "reminded [by the Ambassador] that the [Jamaican government] acted unhelpfully" during the coup and its aftermath. In the fall of 2008, as rumors swirled that Aristide might leave South Africa for Venezuela, Préval met with the US Ambassador: "President René Préval made reference to these rumors, telling the Ambassador that he did not want Aristide 'anywhere in the hemisphere.' Subsequent to that, he remarked that he is concerned that Aristide will accept the Chavez offer but deflected any discussion of whether Preval himself was prepared to raise the matter with Chavez." The cables also contain indepth commentary on Fanmi Lavalas, Aristide's party, with various members (including Yves Cristallin, a presidential candidate in the Nov. 28 fi rst round who purported to represent Lavalas) informing the Embassy on what's happening behind the scenes. Meanwhile Préval, the cable says, was trying to co-opt the party into his political coalition. I quote at length for close observers of Haitian politics: "Despite his disagreements with Aristide, Cristallin said he feels compelled to keep his opposition to Aristide´s return private due to the considerable support for the former President among many segments of the population. [Text Removed by Aftenposten] echoed these sentiments in his October 1 meeting with Poloff, noting that he shared Cristallin´s belief that the Executive Committee appointed by Aristide was illegitimate Like Cristallin, he made an impassioned plea for U.S. assistance so that factions of the party willing to renounce violent demonstrations and forego illicit financing would prevail against other factions of the party. "Embassy sources tell us that President Préval is also actively working to co-opt popular groups affiliated with Lavalas to shore up his Support.. [Text Removed by Aftenposten] told Poloff on September 19 that Préval met 'at least weekly' with the leaders of the "Reflection Cell," including Jean-Marie Samdy, at the National Palace and that Préval had promised the group HTG 58 million (approximately USD 1.5 million) in funds from the PetroCaribe account to distribute to parents in poor neighborhoods for the beginning of the school year in early October. [Text Removed by Aftenposten] provided a more plausible account of the agreement, saying that the Education Ministry had agreed to task Lavalas-affiliated 'popular organizations' to identify needy families in poor neighborhoods, and that the Ministry would then pay their school fees directly to the school concerned. "Although Aristide is nominally the 'National Representative' of Fanmi Lavalas, the party has essentially been leaderless since Aristide left Haiti in 2004, and any attempt to reassert control over Lavalas would be fiercely opposed (albeit privately) by one or another group within the party. From South Africa, Aristide has been either unable or unwilling to resolve disputes within his party or mobilize popular support for Lavalas. "Factions in the party have their reasons for opposing or supporting a greater political role for Aristide in Haiti and in the party. On one side of the divide are elected offi cials and former government offi cials who want to unify feuding groups into a disciplined party organization and have the leadership elected by and accountable to the party in Haiti rather than to Aristide. These individuals resent Aristide´s interventions in party matters from afar, and are critical of Aristide´s conduct during his two terms in office. On the other side lie leaders linked to popular organizations who hope that Aristide´s greater proximity will help them revive grassroots militancy, which would then propel them to positions of prominence." The cables also reveal that the Vatican agreed with the US Embassy that Aristide shouldn't return after the earthquake and said it would communicate that to him. The Dominican government was concerned about the mass migration of Haitians to the Dominican Republic, and the Bahamas was not optimistic about a peaceful resolution of the 2004 crisis without outside intervention in the days leading up to Aristide's ouster, the cables show. ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Vous avez dit propagande...Qui n'en a pas fait? Vous avez dit job...Où est le problème? (Texte de Cyrus Sibert)
Garry mon ami,
--------------- Monsieur Willy Pompilus
En lisant votre message de ce matin, j'ai l'impression que vous faites référence à Cyrus Sibert de Réseau Citadelle sans citer son nom. Vous me pardonnerez si je me trompe.
Je dois vous dire que je suis souvent en désaccord avec Cyrus. Je ne partage pas ses points de vue sur certains dossiers de la conjoncture actuelle. Comme l'a relaté le dernier article du Miami Herald, je pense que le Président Martelly n'assume pas encore sa présidence et qu'il est toujours en campagne. En plus, j'observe un certain culte de la personnalité à travers l'exposition de banderoles dans les principales artères de la capitale et une certaine propension au populisme « aristidien » quand il se réfère toujours au vocable « pèp la », donnant ainsi l'impression d'ignorer les institutions. De toute façon, le président a le bénéfice du doute par rapport au temps, il est beaucoup trop tôt pour avoir une conclusion définitive.
A trop vouloir la réussite de ce pouvoir et la rupture avec les derniers 20 ans des régimes Lavalas-Lespwa-Inite qu'il a combattus, Cyrus donne l'impression de se verser dans la propagande et tombe parfois dans des excès dans ses échanges avec les internautes, ce qui est déplorable. Mais c'est un homme honnête, fidèle, combattif, d'un solide sens des valeurs familiales, qui croit dans ses idées et qui les défend avec acharnement. C'est surtout un patriote rêveur et aussi un capois authentique.
Monsieur Pompilus, Souffrez que je vous dise que vous ne connaissez pas la personne dont vous donniez l'impression de dépeindre, vous vous trompez royalement de la personnalité du petit djobiste dont vous lui attribuiez. Cyrus n'est pas parfait, certes, mais qui est parfait, il a le droit d'avoir une position et d'être respecté pour sa position, que vous soyez d'avis ou non.
Patriotiquement,
Jean Garry Denis ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Des élus du bloc majoritaire rejettent les réclamations des sénateurs de l'Inité.
____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Chavannes Jean Baptiste met en garde contre une cohabitation avec Inité.
____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |