"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
mercredi 14 mars 2012
Mer. 14-03 / Haiti + PM Lamothe + EGI + Sophia Martelly + Brunache + Judo...
Pour la rédemption des mangeurs d'hommes dynamiques et compétents, nous publions : Laurent Lamothe "Success story"
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Laurent Salvador Lamothe, né le 14 août 1972 à Port-au-Prince, est, depuis octobre 2011, le ministre des Affaires étrangères et des cultes de la République d'Haïti. Il est le co-fondateur et ancien président-directeur général de la compagnie Global Voice Group [1]. Biographie[modifier]Fils de Louis G. Lamothe, docteur en littérature espagnole et fondateur de l'Institut Lope de Vega, et de Ghislaine Fortuney, artiste-peintre, Laurent Lamothe grandit dans un milieu académique et artistique, mais également sportif. En effet, son frère aîné, Ruben, sera pendant un temps capitaine de l'équipe haïtienne de la Coupe Davis de tennis, un sport que le jeune Laurent a également pratiqué. Il représente d'ailleurs son pays à la Coupe Davis de 1994 et 1995 [2]. À la même époque, il quitte Haïti pour aller poursuivre ses études supérieures aux États-Unis. Après avoir décroché une licence en sciences politiques de l'Université Barry (en) de Miami, Laurent Lamothe se réoriente vers la gestion des affaires et obtient une maîtrise avec mention honorable dans cette discipline à l'Université Saint Thomas. On dit de lui qu'il était un étudiant fin, analytique et articulé[3]. Deux ans après l'obtention de sa maîtrise en gestion des affaires, il fonde, en collaboration avec son partenaire Patrice Baker, la société de télécommunications Global Voice Group [2]. Petite entreprise de télécommunication modeste au départ, Global Voice Group est maintenant un fournisseur mondial de solutions technologiques dans les marchés émergents et les pays en voie de développement. Cela vaut à Laurent Lamothe d'être nommé « Entrepreneur de l'année » par la firme Ernst & Young en mai 2008 [4]. Avec sa société, Global Voice Group, il introduit notamment, en Afrique, des technologies de gouvernance des télécoms qui permettent aux organismes de réglementation d'exercer une régulation du secteur en termes de contrôle, d'équité tarifaire et de transparence. Il s'engage dans la vie politique et sociale du pays et accepte le poste de conseiller spécial du président haïtien Michel Martelly[5]. Il devient également membre de la Commission intérimaire pour la Reconstruction d'Haïti (CIRH). En septembre 2011, Laurent Lamothe et l'ancien président des États-Unis Bill Clinton co-président le Conseil consultatif présidentiel sur le Développement économique et l'Investissement en Haïti, lancé par le président Martelly le 8 septembre 2011 afin d'aider au redéveloppement d'Haïti en rendant le pays plus favorable aux affaires pour les compagnies étrangères et les investisseurs [6]. Laurent Lamothe est ensuite nommé Ministre des Affaires étrangères et des Cultes. Le 26 octobre 2011, il fait son premier discours officiel en tant que nouveau ministre des Affaires étrangères au cours de sa cérémonie d'installation à Bois-Verna, Haïti [7] [8]. Il est considéré comme un "ministre compétent et dynamique" ayant la "vision nécessaire pour faire progresser Haïti"[9] Après la démission de Garry Conille, Laurent Lamothe est désigné le 1er mars 2012 au poste de Premier ministre par le président Martelly, en attendant le vote à la Chambre des députés et au Sénat. Suite à une controverse concernant la nationalité de certains sénateurs et ministres d'Haïti, le rapport préliminaire de la Commission sénatoriale sur la nationalité publié le 8 mars 2012 à Port-au-Prince est clair : les dossiers sur la nationalité de Laurent Lamothe au service concerné de l'État sont tous complets[10]. La commission sénatoriale chargée de vérifier la conformité des pièces de Laurent Lamothe est composée des sénateurs Francky Exius, William Jeanty, Jean-Baptiste Bien-Aimé, Kély C. Bastien, Mélius Hyppolite, Jean Rodolphe Joazile et Lucas Saint-Vil. La commission a été formée à l'issue d'un huis clos sollicité par le sénateur François Anick Joseph.[11] Notes et références[modifier]
"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
L'HYPERACTIF LAURENT LAMOTHE (LE LIONEL MESSI DE L'EQUIPE MARTELLY)
L'HYPERACTIF LAURENT LAMOTHE
Il a démissionné de ses entreprises pour se mettre au service de son ami de vieille date devenu président de la République. Une fois arrivé à la tête du ministère des Affaires étrangères, Laurent Lamothe se distingue par son dynamisme. Il a pratiquement changé la donne avec sa nouvelle théorie, dite ''diplomatie des affaires''.
Haïti: Il est devenu la marque du gouvernement. La référence. Il bouge tout le temps. Même quand il est assis, il fait de grands gestes avec ses mains, secoue régulièrement la tête, et ses pieds ne sont jamais à une seule position pendant cinq minutes. Manifestement, Laurent Lamothe est un hyperactif. Le chef de la diplomatie haïtienne, homme au teint clair et au crâne rasé, est toujours tiré à quatre épingles; cela impose. Costume bleu avec de fines raies blanches, chemise rose qui rappelle la couleur de campagne du président Martelly, il accepte volontiers d'accorder une interview au Nouvelliste à son bureau très bien entretenu sous le regard attentif de son chef de cabinet, Ady Jean Gardy.
Les rencontres privées avec des personnalités haïtiennes et étrangères se succèdent. Le bureau de Laurent Lamothe ainsi que les salles d'attente du ministère sont toujours occupés durant la journée. Beaucoup d'activités dans les locaux du ministère des Affaires étrangères qui méritent des feux de signalisation pour éviter la collision entre les employés et les visiteurs, comme cela se fait régulièrement.
Comme tout ministre qui se respecte, le chancelier est très rare et toujours pressé. « Vous ne pouvez lui parler que pendant dix minutes, il a tout de suite après vous une rencontre au palais national », lâche une jolie dame du cabinet privé de Laurent Lamothe avant l'interview.
Certains estiment que Laurent Lamothe est l'un des plus productifs ministres de ce gouvernement. Il le sait bien et ne fait pas de fausse modestie. « Je suis là pour ça.. Le président et le Premier ministre forment une équipe dont je suis membre. Ils me donnent des tâches que j'entends accomplir correctement au bénéfice de la population» , dit-il avec une certaine satisfaction.
Cet homme d'affaires, qui a visité 41 pays en 2009, ne lâche jamais son ipad et ses deux portables ultramodernes. Ceux qui le suivent sur twitter savent tout ce qu'il fait durant la journée. Il aime poster des messages sur son compte, il est branché et connecté.
A ceux qui disent que Lamothe va bien au-delà des limites de son poste de ministre des Affaires étrangères, il leur fait remarquer qu'il est actuellement un homme politique à trois casquettes. Chancelier, tout le monde le sait et on ne peut pas lui reprocher d'être très présent dans ce domaine. Il est aussi le coprésident du Conseil consultatif pour l'investissement, mais c'est surtout son poste de conseiller spécial du chef de l'Etat qui lui donne l'autorité de se positionner dans pratiquement tous les champs d'action du gouvernement. Un homme puissant que ce Lamothe.
Pour occuper ces trois postes - pas des moindres -, Laurent Lamothe dort beaucoup moins de nos jours. Pourtant, c'est quelqu'un qui n'a pas l'air fatigué. « J'avais l'habitude de travailler 18 heures par jour. Aujourd'hui, je travaille 21 heures, je dors à peine. Les tâches qui me sont confiées sont énormes. »
Pour donner plus de résultats et pour éviter des conflits d'intérêts, l'homme d'affaires a démissionné de ses entreprises et se considère comme un ancien homme d'affaires. Il était P.D.G. de Global Voice Group (Nopin), une société de télécommunications. Ce qui ne veut pas dire qu'il a tout vendu. « C'est un honneur pour moi d'être au service de mon pays... », avance-t-il sans hésiter ni clignoter les paupières.
Laurent Lamothe, qui a fait des études en sciences politiques et en administration, indique qu'il n'a jamais été le patron du président Martelly. Toutefois, il souligne que le chef de l'Etat a toujours été son ami. Il reconnaît l'avoir supporté financièrement pendant la campagne électorale, soulignant qu'il n'a pas été le seul à le faire.
En arrivant au poste de ministre des Affaires étrangères, cet homme dans la quarantaine, a voulu mettre du sien avec des idées innovatrices.
D'où son nouveau concept ''diplomatie des affaires''. « Nous devons pousser nos diplomates qui sont en contact avec les décideurs des pays étrangers à les aborder pour faire la promotion d'une bonne image d'Haïti et de ce qu'elle a de bon à offrir. Non seulement ils doivent faire leur travail de représentation mais je veux aussi qu'ils fassent la promotion des valeurs haïtiennes, de nos ressources, nos sites touristiques, nos belles plages... Un ambassadeur peut demander à rencontrer un ministre des Affaires étrangères, des hommes d'affaires et même le président du pays où il est en mission », réclame le chancelier.
Pour ce père de deux filles, Linka et Lara, Haïti est un cas unique dans le monde et ses dirigeants doivent penser autrement. Selon Laurent Lamothe, la population a besoin d'abord d'emplois. C'est pourquoi les ambassadeurs ont l'obligation de vendre les bonnes choses du pays pour inciter les investisseurs à venir s'y implanter. « C'est en ce sens qu'on parle de diplomatie d'affaires, qui part à la recherche du secteur privé, contrairement à la diplomatie traditionnelle. Le peuple doit bénéficier directement de ce qu'on fait en créant des emplois. »
Le profil des nouveaux ambassadeurs du pays
Laurent Lamothe est en train de mettre en place un ensemble de critères pour faire la sélection des ambassadeurs avant de les envoyer devant le Sénat pour ratification. Selon le chef de la diplomatie haïtienne, le prochain représentant du pays à l'étranger doit avoir l'habitude des gens dans les milieux d'affaires. Il doit aussi avoir le profil d'un promoteur. « Nous demandons à chaque ambassade de venir avec quatre missions d'affaires par an en Haïti. Ce qui fera 168 missions d'affaires chaque année. Nous leur demandons également de rencontrer les chambres de commerce des pays où ils sont et ils doivent communiquer.... », explique M. Lamothe.
Il dit avoir trouvé une situation anormale au MAE où la plupart des représentations diplomatiques du pays n'avaient pas d'ambassadeurs, comme c'est le cas pour le Mexique, la France, entre autres. Deux pays qui ont des ambassadeurs en Haïti et des relations très importantes avec nous.
Le coprésident du Conseil consultatif pour l'investissement se prépare à soumettre au Sénat la liste des ambassadeurs. « Nous avons d'excellentes relations avec le Parlement. Il est inclus dans la stratégie. Nous nous mettons d'accord sur le fait que le pays a besoin d'une représentation par des ambassadeurs. Un chargé d'affaires n'a pas la même influence qu'un ambassadeur », précise-t-il.
Perspectives pour 2012
Le chancelier Lamothe va renforcer les relations avec les pays d'Afrique. Pour cela, il a besoin de 21 consuls honoraires et de trois ambassadeurs dont un en Afrique du Sud, un autre en Éthiopie qui loge le siège de l'Union africaine. Le titulaire du MAE veut avoir une place à l'UA, ne serait-ce comme observateur. Il veut intégrer la Banque africaine de développement. « Haïti retournera à ses racines », dit-il.
Laurent Lamothe veut faire d'Haïti l'ami de tout le monde, en multipliant des rapports avec l'extérieur. Il n'écarte pas la possibilité d'intégrer toutes les structures capables d'apporter un plus pour le pays. Il a déjà demandé qu'Haïti devienne membre permanent du Sommet ibéro-américain. Il veut que le pays soit beaucoup plus présent en Asie. Le chancelier compte renforcer la solidarité avec les pays de l'Amérique du Sud, même si Haïti est déjà membre de la Communauté des pays de l'Amérique latine (CELAC). Il fera tout ceci avec le budget de 1,4 milliard de gourdes pour le ministère qu'il dirige et les 42 représentations diplomatiques.
En outre, le patron du MAE souhaite que des sociétés énergétiques étrangères soient implantées en Haïti pour combler le déficit de 400 mégawatts de courant électrique auquel fait face le pays, la construction des routes payantes, entre autres. Et cela doit être le travail des représentants d'Haïti à l'extérieur, selon Laurent Lamothe, qui se dit déterminé à y parvenir.
Un ambassadeur haïtien sera important à ses yeux que s'il arrive à faciliter l'investissement de sociétés étrangères dans le pays, avertit le ministre avant de conclure notre entretien et de passer à un autre rendez-vous.
Robenson Geffrard
rgeffrard@lenouvelliste.com
www.lenouvelliste.com/article..php?PubID=1&ArticleID=101147
"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert
Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles?
Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle.
WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.)
PWOMÈS SE DÈT : Prezidan Martelly te pwomèt lap reloje viktim tranbleman tè (Goudougoudou) 12 janvye yo ki tap viv anba tant sou Chann'mas : GADE FOTO SA!!!! WA DI'M SA'W WÈ!!! YAP PALE, LAP TRAVAY!!!
PWOMÈS SE DÈT : Prezidan Martelly te pwomèt lap reloje viktim tranbleman tè (Goudougoudou) 12 janvye yo ki tap viv anba tant sou Chann'mas : GADE FOTO SA!!!! WA DI'M SA'W WÈ!!! YAP PALE, LAP TRAVAY!!! ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus SibertReconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
The Looting of Haiti Teleco
The Looting of Haiti TelecoA federal bribery case in Miami may shed light on how a well-connected U.S. firm operated during the Aristide years.The slaying of a former director of the Haitian Central Bank in Port-au-Prince last week might at first seem like a random event in a violent country. But the shooting of Venel Joseph at the wheel of his car looks more like a hit job. It comes just days after the Miami Herald reported that Joseph's son, Patrick Joseph, is a key witness in a federal bribery case in Miami involving alleged kickbacks paid by American telecom companies to Haitian officials. The younger Joseph, according to Herald sources, has fingered former Haitian President Jean Bertrand Aristide as one of those officials. The indictment doesn't name Mr. Aristide. But the Herald reported that lawyers familiar with the case said that an unnamed individual in the document" "Official B" "is "indeed the ex-president." The Justice Department alleged in court that "Official B" and Patrick Joseph, who is a former director general of the government telecom monopoly Haiti Teleco, received kickbacks from U.S. companies in exchange for favorable pricing when terminating calls in Haiti. Mr. Joseph has pleaded guilty to taking bribes and is cooperating with Justice, according to the Herald article. It is a case that ought to interest Americans, and not only because it means Mr. Aristide who was, according to a detailed lawsuit filed by Haiti in civil court in South Florida in 2005, a notoriously corrupt strongman might be brought to justice. That would be a step toward ending impunity in Haiti, which in turn would be good for political stability and for U.S. security interests in the hemisphere. Mr. Aristide's American lawyer, Ira Kurzban, told the Herald that there is "not one shred of evidence" against his client in the indictment. But for Americans there may be another even more important reason to pay attention: It is possible that by getting to the bottom of how Haiti Teleco operated during the Aristide years, investigators will finally uncover the details of the arrangement that Fusion Telecommunications"run by former Democratic Party Finance Chairman Marvin Rosen with Joseph P. Kennedy II and numerous influential Democrats on the board"had in Haiti during the Clinton years. That would be edifying, given how Bill Clinton inexplicably tolerated Mr. Aristide's despotism even after the U.S. had restored him to power in 1994. Back in those days, Haitians working for Teleco whispered to me of an alleged kickback scheme. Teleco was one of the few sources of hard currency for the country and they charged that the deal between Fusion and Mr. Aristide meant that the company was being looted. They claimed that Fusion had an office inside Teleco, was getting access to the Teleco network at a big discount, and was paying Mr. Aristide in return. But there was no transparency at Teleco, and these brave patriots were afraid to go public with what they knew. It was only after Mr. Aristide was pushed from power by a popular revolt in February 2004 that the interim government could confirm that the company had been cleaned out. In the fall of 2004 I was approached by Michael Jewett, a former telecom executive at New Jersey-based IDT. He alleged that he had been fired from the company for objecting to a bribery scheme similar to the one that had been described to me by Haitians regarding Fusion. He had filed a wrongful dismissal case that alleged that he was told to put payments in an offshore account for the benefit of Mr. Aristide. Federal Communications Commission records proved that Teleco had indeed given IDT a 66% discount to the official rate, but Mr. Jewett was never able to prove that Mr. Aristide was the beneficiary of the offshore account. IDT denied wrongdoing and eventually settled with him out of court. That case prompted me to ask the FCC for copies of Fusion's contracts. I was told that the file had disappeared from its record room. When the FCC asked carriers to send duplicates, Fusion said hurricanes had destroyed many of its records, and it produced only one document. Then it went to court to block me from seeing it. I used the Freedom of Information Act to prevail and learned that in 1999 Teleco had given Fusion a rate of 12 cents per minute when the official rate was 50 cents. Joseph P. Kennedy II wrote in a letter published by the Journal that he was "not aware" of any wrongdoing on the part of Fusion. The company has long maintained its innocence, and it has not been charged. But the Justice Department now alleges in its indictment that other companies that received discounts paid kickbacks to get them. Patrick Joseph could be the best hope that Haitians have of getting to the truth about Mr. Aristide and his American business partners. But sources say the former Teleco executive still has relatives in Haiti. If he fears for them, he could clam up. That would be one explanation for his father's murder. ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
mardi 13 mars 2012
Mar. 13-03 / Haiti + Premier Ministre + Sénat + États Généraux + FAdH + CIMO...
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978)
Haïti - Justice : Fin de la retraite de 2 jours de l'ULCC 13/03/2012 15:17:31 | |
L'Unité de Lutte Contre la Corruption (ULCC) a clôturé ce weekend, une retraite de 2 jours à Moulin-sur-Mer. Une quarantaine de députés et sénateurs s'étaient réunis pour travailler sur un projet de loi sur la corruption... | |
http://www.haitilibre.com/article-5161-haiti-justice-fin-de-la-retraite-de-2-jours-de-l-ulcc.html | |
Haïti - Sécurité : Le Président Martelly en visite au QG des CIMO 13/03/2012 14:38:09 | |
«... je suis venu constater de mes propres yeux dans quelles conditions la police travaille... Le CIMO travaille dans un immeuble fissuré ou n'importe quelle secousse peut causer des pertes de vie... Je pense que ce n'est pas sérieux !... | |
http://www.haitilibre.com/article-5160-haiti-securite-le-president-martelly-en-visite-au-qg-des-cimo.html | |
Haïti - Économie : Un partenariat prometteur entre la CCIH et JCI Haïti 13/03/2012 13:42:36 | |
La Chambre de Commerce et d'Industrie d'Haïti, représentée par son Président Hervé Denis et la Jeune Chambre Internationale (JCI) Haïti, représentée par son Président national John Walter Destiné, ont signé un protocole d'accord... | |
http://www.haitilibre.com/article-5159-haiti-economie-un-partenariat-prometteur-entre-la-ccih-et-jci-haiti.html | |
Haïti - Sécurité : Les anciennes bases des ex-FADH toujours occupées 13/03/2012 13:25:50 | |
À 4 jours de l'expiration du délai de 15 jours, donné par le Ministre de la Défense Nationale, aux hommes armés et autres anciens militaires démobilisés des ex FAd'H pour déposer les armes et quitter les lieux illégalement occupés, rien n'a changé... | |
http://www.haitilibre.com/article-5158-haiti-securite-les-anciennes-bases-des-ex-fadh-toujours-occupees.html | |
Haïti - Économie : Première journée des États Généraux de l'Investissement 13/03/2012 11:10:27 | |
Dans son allocution d'ouverture, le Chef de l'État a déclaré «... Arrêtons de chercher des excuses, arrêtons de nous voiler la face, retroussons nos manches et mettons nous au travail, car personne ne peut le faire à notre place... | |
http://www.haitilibre.com/article-5157-haiti-economie-premiere-journee-des-etats-generaux-de-l-investissement.html | |
Haïti - Politique : Le Sénat n'a pas encore reçu de demande du Ministère de la Justice 13/03/2012 10:07:45 | |
«...jusqu'à présent nous n'avons pas encore reçu la demande, tant que nous ne l'avons pas reçu, nous ne pouvons pas opiner sur celle-ci...» ajoutant «...Il y a deux aspects que nous devrons analyser devant cette éventuelle demande... | |
http://www.haitilibre.com/article-5156-haiti-politique-le-senat-n-a-pas-encore-recu-de-demande-du-ministere-de-la-justice.html | |
Haïti - Politique : Toujours pas de Commission de ratification du Premier Ministre désigné 13/03/2012 09:14:38 | |
13 jours après la désignation par le Président Martelly, de Laurent Lamothe comme Premier Ministre, la Commission de ratification, n'a toujours pas été mise en place... | |
http://www.haitilibre.com/article-5155-haiti-politique-toujours-pas-de-commission-de-ratification-du-premier-ministre-designe.html |
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978)
lundi 12 mars 2012
11 ze di swa : Dife nan kafou Sent-filomen Okap. Pep la ak MINUSTAH ap degaje yo. Ponpye Okap pa vo anyen depi Direkte PNH Karl Hanry Boucher demobilize moun ki pi byen forme ak plis experyans.
Reseau Citadelle
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978)
Laurent Lamothe n’est pas à son coup d’essai. (Texte de Jean Erich René)
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Visite de courtoisie du Président de la République aux agents du CIMO.
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Bureau de Communication de la Présidence
Contact : Bureau de Communication
Phone : +509 33 83 88 88
Email : communications@presidentmartelly.ht
Visite de courtoisie du Président de la République aux agents du CIMO
• Le Chef de l'Etat promet d'accompagner et d'encadrer les policiers de ce corps spécialisé de la PNH
• Président Martelly encourage les agents du CIMO dans l'accomplissement de leur mission
Port-au-Prince, lundi 12 Mars 2012 : Le Président de la République, S.E.M. Michel Joseph Martelly, a rendu visite, ce lundi 12 Mars, aux agents du Corps d'Intervention et de Maintien de l'Ordre (CIMO) dont le quartier général est situé en face du Palais National. Le Chef de l'Etat a eu un fructueux entretien avec le responsable de cette unité spécialisée de la Police Nationale D'Haïti (PNH), Jean Bazelaire Dornélus, sur les conditions dans lesquelles évoluent les agents de cette force de l'Ordre.
Président Martelly, qui s'est fait une idée beaucoup plus approfondie au cours de cette visite à ce sujet, promet d'accompagner et d'encadrer le CIMO dépourvu de moyens adéquats devant permettre à ses agents d'assumer pleinement leur mission d'assurer l'ordre dans le pays.
Le Président de la République est favorable à la création d'un environnement approprié pour que les agents du CIMO puissent accomplir convenablement leur tâche. « Vous devez avoir votre moral au beau fixe », a déclaré le Chef de l'Etat, rappelant à ces policiers leur importance dans la société.
Les pourparlers avec des pays amis vont se poursuivre en vue de trouver les fonds nécessaires pour construire de nouveaux bâtiments en faveur des policiers.
Une autre visite dans les locaux du CIMO est prévue avant la fin de cette semaine avec les ambassadeurs de la France et du Canada à Port-au-Prince. A l'instar du Président Martelly, ces pays sont favorables au renforcement de l'institution policière.
Le Président de la République envisage de visiter également les autres unités de la PNH, dont SWAT TEAM et UDMO.
Président Martelly réaffirme son engagement à veiller au bon fonctionnement de ces unités spécialisées et en profite pour renouveler son soutien inconditionnel à tous les policiers qui se battent pour maintenir un climat sécuritaire dans le pays.
-FIN-
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Responsable Liaison Média Diaspora
Bureau de Communication de la Présidence