jeudi 4 décembre 2014

L'Association pédophile #NAMBLA est liée à un orphelinat en Haiti.-

L'Association pédophile #NAMBLA est liée à l'orphelinat Saint-Joseph, dirigé par Michael Geilenfeld, #HeartsWithHaiti en #Haiti (Delmas 91).-- Le Ré.Cit. - Réseau Citadelle: Haiti : Liens entre l'orphelinat Saint-Joseph et NAMBLA, une organisation pro-pédophilie.
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Lamothe est un fusible qui doit rester à son poste pr protéger Martelly.-

Oui! La 1er Ministre @LaurentLamothe est un fusible. C'est pourquoi il doit rester à son poste pour protéger le Président de la République.

Celui qui veut enlever le fusible @LaurentLamothe  cherchent à exposer le Président @MichelJMartelly à l'éventuels chocs politiques. #12janvier2012
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"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Obama n'avait pas appliqué les recommandations de sa Commission présidentielle Bowles-Simpson.-

En 2011, après une lutte acharnée avec des Républicains visant la réduction du déficit budgétaire, le Président américain Barack Obama avait mis sur pied une commission dirigée par l'ancien Sénateur Républicain  Alan K. Simpson et le Démocrate, Erskine B. Bowles en vue d'obtenir des recommandations sur la Politique budgétaire à adopter.

La Commission était connue sous le nom "Bowles-Simpson". Son travail a été applaudi par démocrates et républicains.

Toutefois, après avoir pris connaissance des recommandations de la Commission et considérant que ces recommandations n'étaient pas conformes à sa vision, le Président des Etats-Unis, Barack Obama, avait décidé de ne pas les appliquer.

Bien que critiqué par son challenger, le candidat Républicain Mitt Romney, pour avoir fait fi des recommandations de sa propre commission, ces recommandations sont encore dans un tiroir à la Maison Blanche.

Mr Obama avait répondu qu'il lui incombait la charge légitime de diriger et qu'il n'était aucunement lié par les recommandations d'une commission consultative.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haïti
4 décembre 2014
 
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"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Ceux qui encouragent la division, n'aiment pas Martelly.-

Les vrais supporteurs du Président de la République n'encouragent pas la division. Ils apportent leur contribution, en planant au-dessus des différends. Car, s'il est normal d'avoir des désaccords dans une équipe, il est écrit : « Tout royaume divisé sera détruit».
 
Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haïti
4 décembre 2014
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But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

mercredi 3 décembre 2014

Photo : Menacée, l'Ambassadrice des Etats-Unis en Haiti a été exfiltrée du local de la FUSION.-

Haïti - Politique : Le Gouvernement condamne les menaces contre l'Ambassadrice des États-Unis
03/12/2014 08:53:19

Mardi, l'Ambassadrice des États-Unis en Haïti, Pamela White, a rencontré à sa demande les partis de l'opposition radicale haïtienne, dont quatre seulement étaient présent : MOPOD, « Ayisyen pou Ayiti », INITE et la Fusion des sociaux-démocrates, les partis «Kontra pèp la » et Lavalas étaient absent.

Le Swat, l'Unité Départementale de Maintien de l'Ordre (UDMO) et d'autres unités de la Police Nationale d'Haïti (PNH) assuraient la sécurité du lieu de la réunion et des environ du local de FUSION à Christ-Roi, tenant à distance des manifestants très agités, qui ne cachaient pas leur hostilité à l'Ambassadrice américaine.

Pamela White voulait surtout se faire sa propre opinion sur la position de l'aile dure de l'opposition, loin des rumeurs, des propos rapportés dans les médias haïtiens où de la version du Gouvernement. La rencontre à huis clos qui s'est déroulée au siège du parti FUSION, a débuté vers 4h00 p.m. pour s'achever un peu après 5h15 p.m.

Le départ de l'Ambassadrice a nécessité une mobilisation musclée des forces de l'ordre pour protéger Pamela White, quelque peu bousculé par des manifestants très remontés, menaçant et insultant sans retenu la diplomate au milieu des cris « Go home, go home Pamela ». Sans un mot, l'Ambassadrice s'est engouffré dans le véhicule 4X4 de l'Ambassade, qui a quitté rapidement les lieux.

Peu après le départ de Mme White, lors d'un point de presse dans le local de Fusion, envahi par de bruyants manifestants, Rosemon Pradel (FUSION) à indiqué qu'au cours de cette réunion André Victor (MOPOD) et l'ancien ministre de la Justice Paul Denis (INITÉ) avaient été désignés pour prendre la parole à cette rencontre

En résumé, l'opposition affirme avoir clairement indiqué à l'Ambassadrice que « La crise politique actuelle concerne les Haïtiens et c'est à eux qu'il incombe la responsabilité d'en trouver une solution » Pour le reste, Pamela White a eu l'heure juste, l'opposition, sans surprise, campe sur ses positions : départ du Président Martelly et du Premier Ministre Lamothe ; formation d'un gouvernement de transition ; organisation d'élections générales avec un nouveau Conseil électoral... 

L'accueil et l'épisode fâcheux entre l'Ambassadrice américaine et les manifestants lors de son départ, ont provoqué une vive réaction du Gouvernement :

« Le Gouvernement condamne énergiquement les tentatives d'agressions et les menaces proférées à l'endroit de l'Ambassadrice des États-Unis en Haïti, Madame Pamela White,  au terme d'une rencontre au local du Parti de la fusion des sociaux démocrates, le mardi 2 décembre.

Ces actes répréhensibles constituent une violation flagrante des conventions internationales qui lient Haïti à ses pays amis.

L'Ambassadrice White, une grande amie d'Haïti, a toujours manifesté sa volonté de contribuer à la stabilité politique dans le pays, indispensable à la mise en œuvre de politiques publiques visant l'amélioration des conditions de vie du peuple haïtien.

Le Gouvernement  exprime vivement ses préoccupations face aux comportements violents de certains groupes radicaux du paysage politique et tient, par la même occasion, au nom du peuple haïtien, à présenter ses excuses à l'Ambassade des États-Unis. »


HL/ SL/ HaïtiLibre 
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"You can fool some people sometimes, 
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Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Haiti-Crise préélectorale : Des apôtres de l’abîme!

S'il y a un piège que les membres de la commission consultative présidentielle doivent certainement éviter c'est celui de proposer l'ajout du vide au vide. Car le jour même de leur installation, ce lundi, avant même qu'ils se mettent au travail, Stevens Benoit, l'un des sénateurs de l'opposition se précipite pour proposer la démission ou le départ du Premier Ministre Laurent Lamothe. Ce faisant, on aurait en janvier, un pays sans parlement, mais aussi sans gouvernement. Sont-ils devenus fous? Ce même Stevens Benit qui a nié sa signature après El Rancho a la mémoire trop courte.

Cette obsession de la classe politique haïtienne à faire tomber Martelly avant la fin de son mandat pour mettre en place un gouvernement croupion et un CEP bidon afin d'organiser des élections chanprèl dépasse l'entendement.

Le seul rempart de la stabilité aujourd'hui est le gouvernement d'un premier ministre légitime et dévoué à la cause de son peuple. Il partira certainement à l'entrée d'une nouvelle législature, mais proposer devant la situation actuelle qu'on aggrave la crise en laissant le Président sans Premier ministre et sans Parlement ne peut sortir que de la pensée des anarchistes.

Le Parlement haïtien est à la veille d'une caducité qu'il peut encore éviter en permettant l'organisation des élections. Mais au nom de la terre brulée, les sénateurs ont mis a prix l'existence même de leur institution dans l'espoir de piéger Martelly, établir un climat chaotique en vue de récupérer le pouvoir exécutif. Ce comportement des pères conscrits est un soufflet pour la démocratie et ils vont rentrer chez eux pour comprendre l'ampleur de leur méprise.

Le Président aurait pu tout simplement constater leur nullité et publier un décret-loi au lendemain du 12 janvier pour organiser les élections tout simplement. Mais il a encore choisi la voie de la concertation et de l'unité nationale en nommant une commission présidentielle devant lui faire des recommandations pour une sortie heureuse. Soudainement, ils veulent changer de cahier de charges pour chercher à créer un désordre généralisé dans le pays. Les commissaires doivent éviter la voix de l'abime annoncée par le Sénateur Benoit, l'obscur émissaire du Sénateur Desras.

Prendre les devant pour chercher à influencer cette commission dans le sens du chaos, c'est mal connaitre les membres. Il y va de leur crédibilité et aussi de leur sens du devoir, car ce pays ne va pas revenir aux mains des anarchistes qui l'ont fait tant de mal durant ces quinze dernières années.

Le président Martelly, encore plus les membres de la commission, a été témoin des tergiversations des radicaux et des mensonges de sénateurs et politiciens qui ont nié leur propre signature et leur engagement après avoir tout obtenu au lendemain de El Rancho.

Tout obtenir, sans rien donner. Il est tant que les intérêts de la population et l'avenir du pays soient pris en compte. Cette comédie de l'opposition haïtienne a assez duré. Allons vers les élections au premier trimestre de 2015 pour éviter de jouer le jeu des apôtres de l'abime. 

Vive Haiti !!!

Ronald Dorival
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) dixit Abraham Lincoln.

Nancy ROC, Canadienne : Et si tous les journalistes haïtiens faisaient pareil, au nom de la liberté d'expression??? (Texte de Cyrus Sibert)

Personne ne connait les motivations de Nancy Roc. C'était son droit le plus entier de travailler comme attachée de presse du président Jean-Bertrand Aristide en 1991, son droit le plus entier d'occuper le poste d'attachée culturelle de la Délégation haïtienne à l'UNESCO durant l'embargo et de devenir directrice du Bureau de presse du Premier ministre, Smarck Michel en 1994, après le retour d'Aristide suite à l'invasion suivie de l'occupation du territoire national par des troupes américaines.

Toujours, Madame Roc, avait le droit de s'exiler au Canada en 2005 durant l'opération Bagdad, alors que d'autres journalistes bravaient les attaques terroristes des gangs de son ancien patron Aristide. Et, aujourd'hui, c'est encore son droit le plus entier d'adopter la nationalité canadienne.

Mais, chercher chaque fois à accuser des gens pour justifier ses choix et l'exercice de ses droits est un comportement opportuniste indécent.

En nous présentant une photo sur Facebook dans laquelle nous voyons Nancy ROC exhiber fièrement son certificat de naturalisation à côté d'une autorité canadienne et qu'après, qu'elle vienne nous dire que cette décision est un acte Politique contre #RichardWidmayer, Laurent Lamothe et le gouvernement haïtien, c'est vraiment prendre tout le monde pour des cons et ne pas faire preuve de gratitude envers Radio Métropole. Car, durant mes 12 années dans le métier de journaliste, il m'est arrivé de ne plus pouvoir m'entendre avec un propriétaire de media, mais jamais d'oublier les bons moments de coopération.

En conclusion, on peut dire que le fait de chercher un subterfuge pour expliquer son acte, Madame ROC n'est pas fière de sa nouvelle nationalité. Mais, au moins, qu'elle cesse de se venger d'Haïti en la présentant comme un pays maudit.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haïti
3 décembre 2014
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Message et photo de Nancy ROC sur la page Facebook de Metropolis:
[Aujourd'hui, j'ai posé un acte hautement politique pour moi. Alors que je suis ici depuis 9 ans, j'ai finalement décidé de devenir Canadienne pour protester contre la liberté d'expression qui m'a été refusée à mon micro par #Richard#Widmayer, Laurent Lamothe et ce gouvernement. Alors que les valeurs ne sont plus respectées en Haïti, le #Canada m'offre une nouvelle chance de mettre ma compétence à son service, comme l'a dit la Juge Jensen, et c'est un pays où l'on respecte la démocratie et l'Autre. #Je #suis désormais,#Canadienne d'origine haïtienne. #montreal #canada #newfuture #newlife#nancyroc.]
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) dixit Abraham Lincoln.

Haiti-Crise préélectorale : De la délibération de la Commission Présidentielle.- (Texte de Cyrus Sibert)

Des rumeurs annoncent déjà le verdict de la Commission Présidentielle, appelée à faire la synthèse des consultations du Président Martelly en vue de sortir Haïti d'une crise politique dite pré-électorale.

Les Conseillers seraient sur le point d'adopter deux (2) recommandations qui viseraient à réaliser une table rase consistant à renvoyer le Parlement haïtien et le Premier ministre Laurent Lamothe suivi de la formation d'un conseil électoral de consensus capable d'organiser les élections.

Si vraiment, cette Commission adopte ces décisions, le départ du Chef de l'Etat sera un corollaire inévitable.

1- La presse internationale et plusieurs secteurs au niveau national – dont l'opposition radicale qui, déjà, ne reconnait pas la Commission Présidentielle - accuseraient le Chef de l'Etat de réaliser sa volonté d'instaurer une dictature en Haïti, grâce à la bénédiction d'une Commission « Présidentielle » créée à cet effet. Un Président, sans Parlement et sans un Premier ministre légitime i.e. émanant d'une majorité parlementaire - dans une République constitutionnelle, c'est le règne absolu de la Présidence. Une situation idéale pour les partisans du pouvoir avides de privilèges qui n'arrivent pas à anticiper les conséquences qui pourraient en résulter.
 
Les antécédents du Président François Duvalier qui s'était toujours appuyé sur des forums pour mettre en place sa dictature, justifieraient les critiquent:
A-     Le Plein pouvoir qu'il a bénéficié de Sénateurs pour dissoudre le parlement et créer une Assemblée nationale monocamérale totalement dévouée à sa cause ;
B-     Référendum tous azimuts pour se proclamer Président à vie ;
C-     Réforme constitutionnelle pour proclamer Jean-Claude Duvalier, son fils de 18 ans, Président à vie.
 
2- Ces antécédents historiques militent farouchement contre toute décision de renvoyer le premier ministre à la veille de la caducité du parlement. Ce qui risquerait de provoquer des protestations généralisées. Alors, l'opération impopulaire, connue sous le nom de Burkina Faso, trouverait sa justification. Comme Blaise Compaoré, le Président de la République serait accusé de vouloir instaurer une dictature en Haïti.

Comme au jeu d'échec, pour mater le Roi, il faut se débarrasser des pièces maîtresses. Sur le plan institutionnel, considérons que sur l'échiquier politique haïtien : les députés sont des soldats ; les présidents de commissions, des cavaliers ; les sénateurs, des fous ; le Premier Ministre, la Reine ; le Chef de l'Etat, le Roi. Se débarrasser de Sa Reine, de ses soldats, de ses cavaliers et de ses fous, c'est se considérer vaincu ; donc, c'est abandonner la partie.

Avec l'arrivée des crises économiques, liées à la baisse du prix du pétrole et aux difficultés économiques du Venezuela, l'un de nos principaux bailleurs de fonds à partir du programme PetroCaribe, une Primature qui sera obligée de compresser les dépenses et même d'abandonner certains programmes sociaux, n'est pas le paradis. Mais, pour la survie de ce projet de changement lancé par la candidature du chanteur Michel Martelly, Laurent Lamothe doit rester à son poste quitte à une nouvelle majorité parlementaire de le renvoyer après des élections qui ne doivent plus attendre.
 
Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haïti
3 décembre 2014
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"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Yo blye si INITE te sou pouvwa epi li te pedi eleksyon.

Ala pay! Yo vle fè kwè depi yon moun sou pouvwa sa vle di li pral guenyen eleksyon. Yo blye si INITE te sou pouvwa epi li te pedi eleksyon.
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But you can't fool all the people all the time."
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Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.