dimanche 28 décembre 2014

Ala Pay!!! Politisyen ki te vle Evans Paul pou Prezidan di li paka 1er minis.-

Ala Pay!!! Politisyen ki te vle Evans Paul pou Prezidan di li paka 1er minis.-

Yon bann politisyen ak lidè sosyete sivil kitap fè kanpay pou Evans Paul (K-Plim) ka prezidan sou pwofèsè Manigat di joudia li paka 1er Minis. 

Nou wè istwa nèg politik Ayiti. Yo te konnen K-Plim pa menm ka premye minis, epi yo tap kore'l pou prezidan. 

Politisyen Aysyen se grenn-a chen. Se dèyè yo gade! Yo pa men ka antann yo sou yon moun ke yo te vle mete prezidan peyi nan lane 2006.

Yo mande gombo a, prezidan Martelly bay yo li nan men. 

Pèp la pral wè eske moun sa yo ka antann yo, eske yo ka jere leta, eske yo ka bay rezilta. 

Yo tap joure biznisman ki nan pouvwa, nap gade kisa polisyen yo ka bay nan pouvwa: Rezilta Lamothe yo la!

Pèp la ap gade lap sib!!!

Cyrus Sibert, Okap, Ayiti
reseaucitadelle@yahoo.fr
@reseaucitadelle
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

DES SYNDICATS HAITIENS (FNSH) SUPPORTENT LA NOMINATION DE MONSIEUR EVANS PAUL.-

PUBLICATION DEMANDEE ---

POSITION DU FRONT NATIONAL DES SYNDICATS HAITIENS (FNSH) SUR LA NOMINATION DE MONSIEUR EVANS PAUL COMME PREMIER MINISTRE.-
 
Le Bureau Exécutif du Front National des Syndicats Haïtiens (FNSH) salue la nomination de Monsieur Evans Paul comme nouveau Premier Ministre par le Président de la République, son Excellence, Michel Joseph MARTELLY.
 
Le Bureau Exécutif du Front accueille avec beaucoup de satisfaction et appuie ce choix avec force. Entre autre, M. Evans Paul est un homme politique adulé et expérimenté, qui, par sa longue et dure lutte, a apporté une contribution effective visant à faire avancer le processus du changement et de la démocratie, conditions sine qua non conduisant à l'amélioration de vie précaire du peuple haïtien.  En outre, M. Paul a une compréhension adéquate du panorama critique qui s'expose devant nous et a de capacités requises pouvant l'aider à le transformer.
 
Dorénavant, il croit que ce nouveau Premier Ministre va aider Haïti à sortir de cette crise généralisée et faciliter la bonne gouvernance tant souhaitée par la population en général que les travailleurs en particulier.
 
Le Front estime que, dans ce contexte difficile, ce choix est judicieux et s'impose en un signe positif de la volonté de l'Exécutif et du Parlement de trouver un dénouement favorable à cette crise avant le 12 janvier 2015. Le Front pense que le choix ne peut à lui seul résoudre toutes les crises, les problèmes conjoncturels et les défis qui traversent le pays. En conséquence, il s'adresse aux Partis politiques, aux Organisations de la société civile, à tous ceux et à toutes celles qui croient aux valeurs démocratiques liées à l'établissement d'un modèle de société juste et équitable afin qu'ils jouent leur partition dans un élan patriotique structuré et éclairé. 
 
Dans ce carrefour décisif, le pays a besoin de tous ses fils et de toutes ses filles. Pour éviter le pire, une fois encore, le Front lance un appel pressant aux Parlementaires codétenteurs de la souveraineté populaire pour leur demander de jouer leur rôle dans le sens de la définition et de la défense de l'intérêt général dans le cadre de la ratification de la politique générale du Premier Ministre, Evans Paul. Pour faciliter le Parlement à exercer son rôle, le Front rappelle que le mandat constitutionnel des parlementaires s'achèvera en Avril 2015 et croit qu'un compromis politique doit être trouvé pour le maintenir en place jusqu'à cette date.

Pour le Front, cette heureuse et historique circonstance permettra à Haïti de connaitre une nouvelle ère, un air de dignité et exhorte le nouveau Premier Ministre à travailler en étroite collaboration avec les Pouvoirs Exécutif, Législatif et Judiciaire pour la matérialisation de politiques publiques visant un lendemain meilleur.
 
Vive Haïti ! Vive la démocratie !
Vive un mouvement de travailleurs représentatif et fort !

Port-au-Prince, le 29 décembre 2014. 
___________________
Pour le Bureau Exécutif :

Montès JOSEPH
Coordonnateur Général 

Paul Loulou CHERY
Coordonnateur Gnl adjoint
 
Patrick NUMAS
Secrétaire Exécutif 

Jean Fritz CONSTANT 
1er Délégué 

Pierre R. DUMA
Secrétaire aux finances

Bernard REGIS
Secrétaire à l'organisation 

Louis Fignolé ST-CYR
2eme Délégué

Pour authentification : Patrick Numas, Secrétaire Exécutif du Front syndical, Tel: 3154-0295 
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But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Without international help, Haiti faces a political meltdown - The Washington Post.-

By Editorial Board December 27 at 7:02 PM

FROM TIME to time, Haiti's chronic political dysfunction erupts in crisis and violence, compelling the international community to re-engage with an impoverished country it might prefer to disregard. Haiti is at just such a juncture right now. Policymakers in Washington and elsewhere should pay prompt attention, before the predictable calamity arrives.

The brewing crisis arises from a three-year-old political impasse between President Michel Martelly and legislators that has blocked parliamentary and municipal elections. An election date came and went, triggering mounting protests and street violence in recent weeks.

Now the clock is ticking toward what looks like a watershed. On Jan. 12 the terms of most members of parliament will expire. In the absence of a duly elected parliament, Mr. Martelly will be empowered to rule by decree, a dangerous scenario in a country with a history of autocracy and instability.

Some lawmakers in the politically fractured parliament think Mr. Martelly, elected in 2011, has been angling all along to establish a de facto dictatorship. In fact, parliament shares the blame. A group of six senators has blocked legislation to establish an electoral council on the grounds that its composition and rules would favor candidates loyal to the president. With no council in place, elections are off the table.

To his credit, Mr. Martelly tried to break the impasse this month by forcing the resignation of his prime minister and close political ally, Laurent Lamothe. Mr. Lamothe, a wealthy businessman, was widely seen as Mr. Martelly's hand-picked successor for president; the hope was that his departure would clear the way for a compromise between the president and the opposition, leading to elections.

So far that hasn't happened. If a vacuum develops, Mr. Martelly will be the last man standing; he says he's prepared to lead by decree if no deal is struck leading to elections. Even the president's moderate opponents say that would trigger a wave of violence.


Recognizing that the standoff has become dire, Secretary of State John F. Kerry has urged a negotiated settlement that would "open the door for elections to be scheduled as soon as possible." Yet without more aggressive mediation by U.S., United Nations, French, Canadian and other diplomats, the chances of such a settlement are slim.

As it happens, the senators' terms will expire and parliament will be dissolved on the fifth anniversary of the earthquake in 2010 that killed more than 100,000 Haitians. As Mr. Kerry pointed out, too much progress has been made since then toward rebuilding Haiti to risk extinguishing all hope amid renewed political violence.

To dismiss Haiti as a basket case or shrug off its troubles as insoluble is to forget a history that suggests that without outside help, the country can deteriorate into anarchy, at which point ignoring it is no longer an option.

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samedi 27 décembre 2014

Le Canada critique le comportement d'Arnel Bélizaire.-

Le Nouvelliste | Publié le : 26 décembre 2014

L'ambassadrice du Canada, Paula Caldwell St-Onge, a écrit au président de la Chambre des députés, Jacques Stevenson Thimoléon, pour dénoncer le comportement de plusieurs parlementaires, dont le député Arnel Bélizaire, circulant dans les manifestations de rue avec des armes d'assaut. Le diplomate parle d'actions provocatrices et d'image qui trouble la communauté internationale.

« Le respect que la population haïtienne démontre envers la Police nationale d'Haïti (PNH) et les autorités policières devrait être accentué par les actions des élus haïtiens, lit­on dans la correspondance datée du 22 décembre. Le port d'armes d'assaut par les élus haïtiens lors de manifestations démocratiques projette une image qui trouble la communauté internationale ».

L'ambassadrice affirme que, durant les dernières semaines, des parlementaires ou leurs équipes de sécurité ont pris part aux manifestations de rue en portant ouvertement des armes de haut calibre. La lettre s'attarde sur un incident survenu le 12 décembre entre le parlementaire et un policier canadien de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti. Le député Bélizaire tenait en main un fusil d'assaut au moment où il échangeait avec le policier canadien.

« De telles actions provocatrices pourraient également freiner l'intérêt des investisseurs, ce qui nuirait au développement économique d'Haïti. Ce manque de respect envers l'Etat de droit nous préoccupe », soutient plus loin l'ambassadrice du Canada. Le Canada encourage fortement tous ceux et celles qui assistent à des manifestations démocratiques à veiller à ce qu'il n'y ait aucun risque pour la sécurité des manifestants. »

La diplomate canadienne déclare au président de la Chambre basse: «Nous vous exhortons à faire tout ce qui est en votre pouvoir pour amener à l'ordre les parlementaires qui ne respectent pas les lois haïtiennes. Plus loin, elle affirme que son pays continue de compter sur toutes les branches du gouvernement haïtien, et tout particulièrement les élus, pour démontrer leur leadership envers le développement démocratique et la primauté du droit.

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) dixit Abraham Lincoln.

De la légitimité de l'opposition radicale en Haïti.- (Texte de Cyrus Sibert)

L'interview de Dr Turneb Delpé sur Radio Vision2000, ce vendredi 26 décembre 2014, renforce un point important dans l'analyse de la conjoncture haïtienne : La notion de légitimité !

Depuis le début de cette crise construite sur des médias haïtiens, des intervenants comme Moise Jean-Charles, André Michel, Newton Saint-Juste, Arnel Bélizaire et Turneb Delpé parlent comme les maitres d'Haïti. On dirait qu'Haïti est devenue une propriété privée et que les haïtiens sont les sujets de ces propriétaires qui décident de leur avenir en Maitres et Seigneurs. Ils font peu de cas de l'opinion publique et des intérêts des secteurs qui composent cette nation haïtienne. 

A la faculté de droit, on établit la différence entre légitimité au sens strict (juridique) et légitimé au sens large (sociologique). La légitimité au sens strict fait référence à la loi, à la procédure juridicolégale et/ou institutionnelle, tandis qu'au sens large on voit adhésion, opinion favorable, support, estime.

Dans une démocratie, les élections constituent le mécanisme procédural constitutionnel adopté par référendum pour transformer les opinions favorables en légitimité légale habilitée à exercer le pouvoir et à décider de l'avenir de la nation.

Avec des leaders auto-proclamés comme André Michel, Moise Jean-Charles, Newton Saint-Juste, Turneb Delplé, Arnel Bélizaire, le jeu démocratique ne fonctionne plus.

Un comportement qu'on peut facilement comprendre si l'on analyse le parcours idéologique de ces hommes. Ce sont des gens formés ou influencés par l'école soviétique.  Ils n'ont aucune autre référence que les notions apprises dans les manuels soviétiques qui prônaient le rejet de l'ETAT BOURGEOIS donc la non reconnaissance des institutions existantes dans une démocratie représentative; l'adoption du PARTI UNIQUE; le remplacement des électeurs d'une « démocratie représentative » par des militants du PARTI UNIQUE de la « démocratie directe communiste»; les élections à suffrage universel n'ont plus d'importance devant les décisions du PARTI UNIQUE; aucune considération pour l'économie nationale qui, selon eux, est une économie bourgeoise à détruire ; la justice n'est qu'un instrument de la bourgeoisie qu'il faut affaiblir à tout prix…- ce qui explique l'inondation du système judiciaire haïtien par leurs plaintes sans fondement, alors qu'ils dénoncent l'instrumentalisation de la justice contre eux. Pour ces anciens bolchevistes, la crise actuelle offre l'opportunité de bloquer le système bourgeois, le capital étranger qui arrive en Haïti; alors, ne comptez pas sur eux pour une solution de sortie de crise.

Ce vendredi 26 décembre 2014, à chaque fois que le journaliste Valéry Numa fait référence à l'incapacité de ces leaders et groupes politiques de se faire élire lors des élections, Turneb Delpé rappelle qu'il a reçu un mandat des militants du MOPOD qui l'ont choisi lors d'une élection tenue à l'intérieur du parti. On se souvient que sous la présidence d'Aristide, le parti Fanmi Lavalas avait plus d'importance qu'Haïti. On acceptait que tout soit détruit pour défendre les intérêts du parti. Selon, la justice haïtienne, Jean Dominique a perdu sa vie dans cette logique. 

Là, se joue toute les velléités dictatoriales de ces apprentis révolutionnaires nostalgiques, incapables d'évoluer dans une démocratie représentative. Ils veulent tous nous imposer leur dictat en brandissant une organisation de militants qu'ils cherchent à placer au-dessus de la nation. Mais, cela ne marche pas comme ça, dans la démocratie adoptée par le peuple haïtien en mars 1987 !

De plus, tous ces extrémistes ont comme objectif de refonder la nation, reconstruire l'Etat. Un projet caché derrière l'idéale dessalinien. Car, ils comprennent bien qu'en ce 21e siècle, on ne saurait parler de révolution communiste de type bolchevique. Mais, le mot est là. Il est un peu atténué par le vocable PACIFIQUE. Ils veulent faire en Haïti une révolution pacifique. Une révolution à l'effigie de Vladimir Putin, ce grand révisionniste russe du 21e siècle, ancien colonel du KGB, leader de tous les âmes nostalgiques dont on voit déjà les photos dans les manifestations en Haïti.

Sur le plan philosophique, ces hommes sont des «volontaristes ». Ce sont des utopistes qui pensent qu'il suffit que des leaders de bonne volonté acceptent de construire un beau projet pour Haïti et notre pays sortira du sous développement. Miracle attendu de la "Volonté Révolutionnaire".

Ce qui est faux !

Car, on a vu échoués, plein de projets construits par des gens de bonne volonté,  sans atteindre les résultats escomptés. Le plus grand exemple du siècle passé est la faillite de l'URSS. Ces projets révolutionnaires n'ont effet servi qu'à justifier la dictature du parti unique et d'un petit groupe de militants privilégiés devenus riches au nom de la justice sociale. Moi, je fais confiance aux entreprises, à des initiatives privées, au marché réellement libre, à un mécanisme étatique de redistribution en faveur des plus faibles. Je me méfie des hommes de bonne volonté, des SAUVEURS ou PAPA BON COEUR. Car historiquement, les sauveurs finissent toujours par s'enrichir au nom du peuple et/ou par abuser les faibles.  Donc, vu que l'approche VOLONTARISTE ne retrouvera pas l'adhésion de plus d'un, il sera difficile d'imposer ce point de vue sans exercer la violence. Ils sont bien obligés de terroriser la population et se livrant à des actes de violence et de sabotage après chaque manifestation.

Des leaders comme Turneb Delpé, Moise Jean-Charles, André Michel, Newton Saint-Juste et Arnel Bélizaire doivent répondre aux questions suivantes : Sont-ils des démocrates ? D'où, puisent-ils leur légitimité ? Avec quel mandat pensent-ils agir en voulant imposer à la nation leur approche inconstitutionnelle d'organiser un coup d'Etat et de tout chambarder? Là encore, nous sommes devant une pratique connue chez les extrémistes de gauche qui ne voient le « changement » qu'à partir d'un Coup d'Etat. Pour eux, dégager une majorité au sein d'une institution étatique c'est la vassaliser. Ils ont besoin d'être recyclés. 

En fin d'interview au micro de Valéry Numa, Turneb Delpé explique la décision du MOPOD de renvoyer la manif prévue pour ce 26 décembre par le fait qu'il leur était impossible d'en informer le public à travers les médias, 25 décembre étant jour férié en Haïti. Conclusion, les médias haïtiens constituent l'élément déterminant du dispositif de ces extrémistes, ces apprentis révolutionnaires nostalgiques, qui prennent le pays en otage, au mépris de la Constitution et de la volonté de la population haïtienne.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haïti
26 décembre 2014
reseaucitadelle@yahoo.fr 
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But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

vendredi 26 décembre 2014

Noël à Cité Soleil!

Comme institué en tradition depuis plus de 20 ans, la Première Dame d'Haiti, Sophia Martelly, a passé son 25 décembre avec les enfants, cette fois-ci à Cité Soleil, question de les procurer un sourire durant la période des fêtes.