mardi 16 juin 2015

Haiti, Elections ou Sélections : Arrangement électoral entre Martelly, Préval et Sandra Honoré de la MINUSTAH.- Lenouvelliste.com

Avec la complicité de la #MINUSTAH, le Président Martelly a décidé de violer les droits civiles et politiques de son épouse et de son ancien Premier Ministre Laurent Lamothe.  Martelly a-t-il déjà dit au CEP qui doit-être son successeur?  Où est passé l'indépendance de la Cour des comptes et du Conseil Electoral Provisoire? 

Le Président Martelly rencontre le CEP au Palais National.
Quand Martelly se confie.- Lenouvelliste.com
Publié, le15juin2015 

De Jean-Bertrand Aristide à Michel Martelly, Le Nouvelliste a rencontré tous les présidents de la République de ces dernières années pour des entretiens. Les démocratiquement élus, comme ceux qui sont arrivés au pouvoir par un accident de l’histoire, ont tous ouvert un jour leur porte aux envoyés du vieux journal de la rue Centre. Michel Martelly, le lundi 15 juin,a lâché des confidences à deux journalistes.

« Depuis décembre 2014, j’avais dit à Laurent Lamothe qu’il ne serait pas mon candidat, qu’il n’était pas souhaitable qu’il soit candidat à la présidence. J’avais dit la même chose à Sophia Martelly, ma femme », nous a déclaré le chef de l’Etat. D'ailleurs Martelly avoue que Joseph Lambert, Youri Latortue, Mario Dupuis ou Sandra Honoré connaissaient tous sa position sur la question.

Continuant sur le ton de la confidence, il a poursuivi : « Le jour où le Conseil électoral a rejeté la candidature de Sophia au Sénat, je ne lui ai dit ni bonjour ni bonsoir. Cela ne veut pas dire que je ne souhaitais pas qu’elle soit élue, mais pour la bonne marche des élections que le président que je suis se doit de réaliser, il n’était pas souhaitable que Laurent ou Sophia soit candidat ».
« L'objectif de Laurent Lamothe, candidat, est de devenir président, le mien est la tenue de bonnes élections ». « Sa k tonbe, yo tonbe. Sa k pase, yo pase », prône le président.

Plus loin, lors de cet entretien réalisé en ses bureaux au palais national, le président est revenu sur deux succès diplomatiques qu’il a portés sur les fonts baptismaux : le rapprochement entre les Etats-Unis et Cuba et le dialogue en cours entre le Venezuela et les USA.

« La rue m’a porté au pouvoir, mais pas pour gérer les affaires de l’Etat dans la rue», a dit d’entrée de jeu Martelly quand on lui pose la question sur son rôle dans ces deux opérations de bons offices.

« Je n’ai jamais parlé de ces dossiers. C’est un sénateur américain qui a dévoilé que j’ai servi d’intermédiaire dans le dossier USA-Cuba et c’est la ministre des Affaires étrangères du Venezuela, puis les officiels américains qui ont fait savoir au monde qu’il y avait eu lieu des négociations en Haïti », précise le président haïtien. 
« Les pourparlers américano-vénézuéliens, je m’y suis impliqué en avertissant à l’avance les deux parties que je le faisais pour aboutir à des résultats et ce fut fait. Dans mes appartements au palais, samedi, il y a eu deux bilatérales et une trilatérale. A la fin, Haïti a pu aider au dialogue entre les USA et le Venezuela et obtenir que les US et le Venezuela coopèrent au service d’Haïti dans les domaines de l’éducation, des élections, de l’agriculture et de l’énergie », a confié l’ancien chanteur, non sans un peu de fierté dans la voix. 
Nous n’avons pas seulement donné un local et des facilités pour les négociations, nous les avons orchestrées », se félicite le président haïtien. Lors de cette entrevue, la huitième accordée au Nouvelliste depuis qu’il s’était porté candidat à la présidence, Michel Martelly a convenu que cela lui a pris trois ans pour devenir président et qu’il se rend compte chaque jour des limites de son pouvoir. L’ancien chanteur a aussi témoigné des difficultés qu’il rencontre pour faire passer ses points de vue, que ce soit pour dire non aux trois aéroports en construction actuellement dans le Sud du pays ou pour faire voter une résolution allouant les fonds PetroCaribe. 
« Cela m’a pris trois mois pour faire adopter la dernière résolution, car à chaque fois me retrouvais en conseil des ministres avec une liste de projets qui n’était pas celle sur laquelle nous nous étions entendus », explique celui qui préfère parler le moins souvent possible ces derniers temps où tout le monde autour de lui cherche un candidat à qui se raccrocher. 
En froid avec Le Nouvelliste depuis l’épisode TV5 en novembre dernier, c’est un président Michel Martelly disposé à se confier que deux journalistes ont pu rencontrer pendant une heure, ce lundi. Un président qui a beaucoup à dire. 

Frantz Duval 
duval@lenouvelliste.com


____________________
RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
  
 
But you can't fool all the people all the time."
  
(
 
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
 
 
) dixit Abraham Lincoln.

Scandale!!! Le CEP a reçu l'ordre du Président Martelly sur qui peut-être candidat ou non.-

Avec la complicité de la #MINUSTAH, le Président Martelly a décidé de violer les droits civiles et politiques de son épouse et de son ancien Premier Ministre Laurent Lamothe.  Martelly a-t-il déjà dit au CEP qui doit-être son successeur?  Où est passé l'indépendance de la Cour des comptes et du Conseil Electoral Provisoire? 
Le Président Martelly rencontre le CEP au Palais National.
Quand Martelly se confie.- Lenouvelliste.com
Publié, le15juin2015

De Jean-Bertrand Aristide à Michel Martelly, Le Nouvelliste a rencontré tous les présidents de la République de ces dernières années pour des entretiens. Les démocratiquement élus, comme ceux qui sont arrivés au pouvoir par un accident de l’histoire, ont tous ouvert un jour leur porte aux envoyés du vieux journal de la rue Centre. Michel Martelly, le lundi 15 juin,a lâché des confidences à deux journalistes.

« Depuis décembre 2014, j’avais dit à Laurent Lamothe qu’il ne serait pas mon candidat, qu’il n’était pas souhaitable qu’il soit candidat à la présidence. J’avais dit la même chose à Sophia Martelly, ma femme », nous a déclaré le chef de l’Etat. D'ailleurs Martelly avoue que Joseph Lambert, Youri Latortue, Mario Dupuis ou Sandra Honoré connaissaient tous sa position sur la question.

Continuant sur le ton de la confidence, il a poursuivi : « Le jour où le Conseil électoral a rejeté la candidature de Sophia au Sénat, je ne lui ai dit ni bonjour ni bonsoir. Cela ne veut pas dire que je ne souhaitais pas qu’elle soit élue, mais pour la bonne marche des élections que le président que je suis se doit de réaliser, il n’était pas souhaitable que Laurent ou Sophia soit candidat ».
« L'objectif de Laurent Lamothe, candidat, est de devenir président, le mien est la tenue de bonnes élections ». « Sa k tonbe, yo tonbe. Sa k pase, yo pase », prône le président.

Plus loin, lors de cet entretien réalisé en ses bureaux au palais national, le président est revenu sur deux succès diplomatiques qu’il a portés sur les fonts baptismaux : le rapprochement entre les Etats-Unis et Cuba et le dialogue en cours entre le Venezuela et les USA.

« La rue m’a porté au pouvoir, mais pas pour gérer les affaires de l’Etat dans la rue», a dit d’entrée de jeu Martelly quand on lui pose la question sur son rôle dans ces deux opérations de bons offices.

« Je n’ai jamais parlé de ces dossiers. C’est un sénateur américain qui a dévoilé que j’ai servi d’intermédiaire dans le dossier USA-Cuba et c’est la ministre des Affaires étrangères du Venezuela, puis les officiels américains qui ont fait savoir au monde qu’il y avait eu lieu des négociations en Haïti », précise le président haïtien.

« Les pourparlers américano-vénézuéliens, je m’y suis impliqué en avertissant à l’avance les deux parties que je le faisais pour aboutir à des résultats et ce fut fait. Dans mes appartements au palais, samedi, il y a eu deux bilatérales et une trilatérale. A la fin, Haïti a pu aider au dialogue entre les USA et le Venezuela et obtenir que les US et le Venezuela coopèrent au service d’Haïti dans les domaines de l’éducation, des élections, de l’agriculture et de l’énergie », a confié l’ancien chanteur, non sans un peu de fierté dans la voix. 

Nous n’avons pas seulement donné un local et des facilités pour les négociations, nous les avons orchestrées », se félicite le président haïtien. Lors de cette entrevue, la huitième accordée au Nouvelliste depuis qu’il s’était porté candidat à la présidence, Michel Martelly a convenu que cela lui a pris trois ans pour devenir président et qu’il se rend compte chaque jour des limites de son pouvoir. L’ancien chanteur a aussi témoigné des difficultés qu’il rencontre pour faire passer ses points de vue, que ce soit pour dire non aux trois aéroports en construction actuellement dans le Sud du pays ou pour faire voter une résolution allouant les fonds PetroCaribe. 

« Cela m’a pris trois mois pour faire adopter la dernière résolution, car à chaque fois me retrouvais en conseil des ministres avec une liste de projets qui n’était pas celle sur laquelle nous nous étions entendus », explique celui qui préfère parler le moins souvent possible ces derniers temps où tout le monde autour de lui cherche un candidat à qui se raccrocher. 

En froid avec Le Nouvelliste depuis l’épisode TV5 en novembre dernier, c’est un président Michel Martelly disposé à se confier que deux journalistes ont pu rencontrer pendant une heure, ce lundi. Un président qui a beaucoup à dire. 


Frantz Duval 

duval@lenouvelliste.com

____________________
RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
 
But you can't fool all the people all the time."
  
 
 (
 
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
 
) dixit Abraham Lincoln.


lundi 15 juin 2015

Le Sénateur Edo Zenny dénonce le caractère partisan du Conseil Electoral en Haiti.-

Le Sénateur Edo Zenny dénonce le Conseil Electoral partisan d'#Haiti: "Swa yo retire tout lòt moun ki pa gen dechay yo oubyen yo mete tout moun." Edwin Kenny 



____________________
RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Preuves que le CEP planifie un COUP D'ETAT ELECTORAL en faveur de René Préval.-






















La candidature de Mr LUMARQUE Jacky, candidat à la présidence et Poulain de l'ancien président René Gracia Préval a été agréée par le CEP, alors que l'enquête diligentée par la CSC/CA, concernant sa gestion et les documents, tant administratives et financiers pour les exercices de 2008/2010 le concernant aient été communiqués à ladite commission d'enquête, en date du 2 Juin de l'année en cours. Je ne sais pas pour vous, mais moi je renifle une odeur de putréfaction à l'image de ces politiciens véreux made in Haïti.

Les candidats associés au mouvement TET KALE tels que Sophia Martelly, Laurent Lamothe, Edo Zenny, etc sont rejetés. Les candidats associés à Préval-Aristide ayant les mêmes problèmes de décharge sont agréés exemples: Moïse Jean-Charles, Dieuseul Simon Desras, Steven Benoit, Jacky Lumarque...

Impossible d'avoir des élections crédibles avec des corrompus comme Pierre-Louis Opont, Néhémie Joseph, Jaccéus Joseph et Marie-Carmelle Paul Austin....


Invitation: Conférence de Presse - lundi 15 juin à 10 AM


Le Directoire National de “PLATFÒM PEYIZAN” vous présente ses compliments et prend le plaisir à vous inviter à une Conférence de Presse en vue de fixer la position de la Plate-Forme suite à la publication de la liste définitive des candidats à la présidence.

Cette conférence de presse se tiendra à l’Hôtel Le Plaza sis au Champs-de-Mars, ce lundi 15 juin 2015 à 10 heures AM.

Pour authentification: Guillaume TV (509) 4431-6379

dimanche 14 juin 2015

‪#‎Haiti‬-Elections : Preuves d'un CEP partisan .... Appel à la vigilance!

Des militants du mouvement TET KALE réunis autour de Laurent Lamothe lancent un appel à la vigilance. La dernière décision du Conseil Electoral Provisoire d’écarter la quasi-totalité des personnalités ayant contribué à l’ascension au pouvoir de Monsieur Martelly en 2011 est un acte révoltant montrant les indices d’un projet dont l’objet est l’élimination d’un groupe de jeunes hommes et de femmes des couches défavorisées, de la société civile et du secteur des affaires qui avait osé exercer leur droit politique.

La Cour des Comptes, bras politiques de certains secteurs, a récemment pris des décisions politiquement motivées, basées sur des manœuvres déloyales. Elle rend à tout bout de champs des arrêts de débets contre tous les collaborateurs du mouvement TET KALE. Dans tous les cas rapportés dans la presse, la Cour utilise des irrégularités remontant de la période avant la prise du pouvoir de TET KALE afin d’assassiner le caractère des artisans de ce mouvement et de détruire leur image dans l’opinion publique. Une situation qui justifie l’urgente nécessité d’une concertation pour faire faisceau commun face à la vengeance des mauvais perdants des élections de 2010.


De plus, cette Cour des comptes qui se montre intransigeante dans le traitement des dossiers des supporteurs du pouvoir TET KALE, livre des Certificats favorables sans enquête à des gens comme l’ex-Maire Moise Jean-Charles, Mme Maryse Narcisse et Mr. Jacky Lumarque; tous, des personnalités proches du mouvement Lavalas ou de l’INITE. Moise Jean-Charles qui a dirigé la Mairie de Milot durant une période de 12 ans, a reçu le fameux certificat de la Cour des comptes en 24 heures. Les multiples manipulations dans l’audit de la gestion de l’ancien Premier Ministre Laurent Lamothe est une preuve incontestable du degré de politisation d’une institution républicaine qui devrait être au-dessus des  rivalités politiciennes. 

Au niveau du Conseil Electoral Provisoire (CEP), le traitement des dossiers ayant conduit à la publication de la liste des candidats à la Présidence a été partisan. 

1- Le dernier Président du Sénat fonctionnel, Monsieur Dieuseul Simon Desras qui, en aucun cas, ne pouvait pas avoir décharge, vu que l’Assemblée est frappée de caducité depuis le 12 janvier 2015, est autorisé à participer aux élections. Dans le jugement du Bureau de Contentieux Electoral, il est mentionné que le Sénateur Desras a obtenu un Certificat de décharge le 24 octobre 2014, pour la période allant du 30 septembre 2013 au 30 septembre 2014. Or nous savons que l'Ancien Président de l'Assemblée Nationale a été en poste jusqu’en janvier 2015. Ce qui signifie qu’il doit avoir décharge pour ces 5 mois qu’il a passé comme comptable de deniers publics. Ici, on voit clairement un traitement partisan du dossier du Sénateur Simon Desras.

2- Jacky Lumarque, le Candidat de la Plate-Forme VERITE, ancien comptable de deniers publics, est inscrit sans décharge. Ce n’est que le 26 mai 2015, la Cour des Comptes a adressé une lettre au Secrétaire Général du Palais National pour lui informer de la création d’une commission d’enquête sur la gestion de Jacky Lumarque. De plus, le 2 juin 2015, dans une lettre adressée au Palais National, il est prouvé que même l’enquête sur la gestion de Monsieur Lumarque n’avait pas encore été lancée. 
Or, les inscriptions pour les élections présidentielles ont pris fin le 21 mai 2015. Logiquement Jacky Lumarque n'a pas eu son certificat de décharge au moment de son inscription. Le CEP a ainsi accepté sa candidature sans décharge et le certificat remis tardivement. 

Pourtant, Edwin (Edo) Zenny qui, lui aussi a remis son certificat de décharge 2 jours après son inscription a été évincé de la course à la Présidence pour avoir tardivement soumis son certificat de décharge. On assiste ici à une politique de deux poids deux mesures faisant du traitement partisan des dossiers des candidats au CEP un mauvais précédent dans l’effort d’institutionnalisation de ce pays. Parce que Monsieur Edwin Zenny est reconnu comme un proche du mouvement TET KALE, il a été évincé de la course sans raison valable. Un abus de trop!   

3- L’ancien Ministre des Affaires Etrangères, Monsieur Duly Brutus qui a démissionné conformément à l’article 243-1 du décret électoral en vigueur, stipulant “Le Premier Ministre et les membres du Gouvernement de consensus ainsi que les agents exécutifs intérimaires qui n’auront pas démissionné dans les trente (30) jours suivant la publication du présent Décret ne peuvent se porter candidats aux prochaines élections conformément à l’Accord politique en date du 11 janvier 2015” a été écarté sans aucune forme de procès.


Des membres du Conseil Electoral Provisoire siégeant sans Certificat de Décharge, en violation de l’article 193 de la Constitution, sous une base de consensus de sortie de crise, expulsent des candidats qui n’ont pas de certificat de décharge au nom de cette même Constitution. Peut-on appliquer la Constitution de façon discriminatoire, contre certaines personnalités et ne pas l’appliquer contre d’autres?

Le CEP qui avait accepté des candidats sans décharge en 2009 et en 2010, fait aujourd’hui de ce Certificat de décharge une arme d’exclusion politique. Peut-on passer sous silence la Constitution pour faciliter l’ascension au pouvoir d’un secteur en 2009, 2010 et le brandir dans le but d’écarter d’autres en 2015? 

Les décisions rendues afin d’écarter illégalement des candidats comme Mr Rudy Boulos, Mme Sophia Martelly et Mr Anthony Bennett pour une question de nationalité, démontrent clairement le caractère arbitraire du processus électoral dirigé par des Conseillers électoraux partisans, violateurs de droits civiles et politiques de leurs concitoyens.

Cette réalité commande une obligation de vigilance et de mobilisation citoyennes. Car, il est inconcevable que des citoyens se laissent détruire politiquement sans réagir.

C’est un constat que des opposants du mouvement TET KALE ont mis la main sur deux institutions stratégiques du pays. Au lieu de faire un travail impartial, ils utilisent leur position de pouvoir institutionnel pour persécuter leurs opposants idéologiques et ensevelir un groupe d’hommes et de femmes qui a su militer en 2010 en faveur d’un projet politique nouveau. Il s’agit de violation systématique de liberté civile et politique de citoyens qui fait appel à une mobilisation nationale.

L’heure est à la mobilisation! 

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
14 juin 2015
@reseaucitadelle




U.S. Senator Marco Rubio wants 'free, fair' elections for Haiti.-

By Jacqueline Charles
jcharles@MiamiHerald.com

He is one of the potential nominees for president of the Republican party and he is proposing an amendment for the Assessing Progress in Haiti Act of 2014, that was passed by the House of Representatives and Senate but has been waiting a signature from President Barack Obama.

If the Provisional Electoral Council (CEP), which has been under fire for its inconsistent decision to disqualify former Prime Minister Laurent Lamothe from elections, were to maintain this position in its appeal, the Assessing Progress in Haiti Act of 2014, if enacted, would require the U.S. Secretary of State to report on the attempts or eventuality of eliminations from the for political process for political reasons.

Such a report could compromise the aid a Republican-held congress would appropriate to Haiti, one would believe.

Republican presidential candidate and Florida Sen. Marco Rubio isn’t necessarily known for carrying the Haiti agenda in Congress.

But he stepped out on a limb this week as Haitians waited to learn which candidates would make the final cut for the country’s Oct. 25 presidential ballot.

His actions came Tuesday in the form of several Haiti election-related amendments that unanimously passed the Senate Foreign Relations Committee. Rubio’s action left some wondering whether the senator was trying to help candidates or if he was trying to bolster his Haiti expertise.

“Sen. Rubio believes that it is important that the Haitian people have the opportunity to freely and fairly choose their leaders,” said Rubio spokeswoman Brooke Sammon. “The Senator is pleased that the State Department will now be required to continue to update Congress on the status of Haiti’s elections to help ensure that the Haitian government is responsive to the needs of its citizens.”

The Rubio-sponsored amendments condition the release of U.S. funds to Haiti on the State Department’s reporting of whether the upcoming Haitian elections are free, fair and responsive to the people of Haiti, and on descriptions of “attempts to disqualify candidates” from office for “political reasons.”

It didn’t take long for Haitians to begin discussing whether Rubio’s amendment was meant to save the candidacy of former Prime Minister Laurent Lamothe, whose supporters have lobbied members of Congress.

“Broadly speaking, the United States would not want to be in a position of being perceived to be taking sides in national elections in Haiti or anywhere across the hemisphere,” Eric Farnsworth, vice president of the Council of the Americas and Americas Society, said about the amendment. “The main interest is in ensuring a process which allows Haitians themselves to choose their leadership freely and fairly.”

Damian Merlo, senior adviser to Lamothe, said his camp didn’t lobby Rubio for the language. Still, they welcome it.

“The State Department does not seem to realize the gravity of the situation and we are glad that Sen. Rubio stepped in to ensure the State Department pays the attention to this urgent matter that it deserves,” Merlo said.

The State Department, Merlo said, “cannot just stand on the sidelines and claim this is a ‘Haitian issue.’ Free and fair elections do not seem to be shaping up in Haiti if Lamothe is left out of race, and U.S. interests are also at stake.”

Roger Noriega, former assistant secretary of state for Western Hemisphere, who was in the room when the bill was approved, said he’s impressed people on the Hill are paying such close attention to what’s happening in Haiti.

Given the “considerable investment” the U.S. has made in Haiti and “the implications of a political meltdown,” Noriega said, it’s a good thing that Congress is insisting that the State Department ensures the very best elections.

“The predominant impression is that certain candidates are being excluded for political reasons. I’ve had people say, ‘Let everybody run and see how it works out,’ ” he added. “The staffers and the people who follow Haiti closely, they smell a rat and I am sure that’s what’s driving this language.”

Lamothe has said his exclusion from the ballot “is political.” After Haiti’s Provisional Electoral Council (CEP) published the final list of 58 candidates Friday, confirming his disqualification because he lacked proper legal clearance.

Lamothe tweeted: “The Decision of CEP to exclude candidates from ELECTION is undemocratic, ARBITRARY and POLITICALLY MOTIVATED. Main Victim is: DEMOCRACY.”

His 81,000 Twitter followers had mixed reactions.
“Relax! Relax! Relax!,” Carmel Baptiste responded. “It’s just the beginning Laurent … Stay Tune. I will not let them Crucified you ... I’s On!!!”

Another follower, Ceant, responded in Creole that “elections don’t have superstars” then he paid homage to former President René Préval.

Two days earlier, Lamothe and his supporters tweeted the Rubio amendment, with one Haitian journalist going as far as to announce that the U.S. Senate was preparing to “punish the electoral coup in Haiti.”

Jake Johnston, a research associate with the Washington-based Center for Economic and Policy Research, said in general, getting the U.S. to report on whether elections are free, fair and transparent is a great precedent to set in Haiti, which has had fraudulent elections.

“Given past exclusion of not just candidates, but political parties, on dubious grounds, requiring the U.S. to report on such exclusions could be a positive step towards greater accountability,” Johnston said. “That said, ‘political reasons’ is a pretty subjective thing, and my concern would be how that is applied in practice.”


____________________
RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.