mardi 16 juin 2015

Haïti-Elections : Le complot Martelly/Préval risque d’engendrer Mario Andrésol.-

Le CORE groupe vient de saluer la publication de la liste des candidats à la Présidence. La Communauté internationale participe à l’affaiblissement des institutions et légitime le coup d’Etat électoral enclenché en Haïti partant des manifestions anti-démocratiques dont l’objet était de renverser le gouvernement légitime du Président élu Michel Joseph Martelly. 

En décembre 2014, des manifestations subtilement supportées par la Communauté internationale ont atteint leur objectif : Un Chef d’Etat efféminé, un gouvernement légitime a renvoyé, et un parlement destitué. L’administration Martelly devient ainsi un labyrinthe politique d’où partent tous les chemins y compris la monstruosité anticonstitutionnelle connue sous le nom de Commission Présidentielle a fini le travail. 

Des marchés politiques conclus au détriment d’un processus électoral ouvert, équitable, et inclusif. Le président affirme même avoir présélectionné ceux qui ne peuvent pas postuler pour des postes électifs en Haïti. Depuis la conclusion de ces marchés politiques, le Président Martelly est devenu méconnaissable. Il agit au rythme d’un homme sous chantage. Comme Ayatollah d’Iran, il décide du droit du citoyen de se présenter devant les électeurs. A l’instar de Duvalier qui interdisait à ses collaborateurs d’avoir des ambitions politiques, il manipule les institutions républicaines contre ceux qui ont servi son administration fidèlement et se positionne pour l’histoire en violateur de droits politiques des personnalités injustement écartées de la course électorale.

Divers groupes d’intérêts en profitent pour faire main basse sur le pouvoir d’Etat et défendre leur business. Des gangs criminels, des kidnappeurs et des trafiquants de drogue en profitent pour libérer leurs amis, renforcer leur contrôle sur la frontière haïtienne et relancer leurs opérations illicites.

Sur le plan politique, un secteur rétrograde de la bourgeoisie haïtienne met en place un projet consistant à castrer la démocratie haïtienne. Sous le leadership de l’ancien Président René Préval, les conservateurs ont pris contrôle de la Cour Supérieure des Comptes et du Conseil Electoral Provisoire pour manipuler la liste des candidats agréés. Des manœuvres anti-démocratiques que la Communauté internationale continue de légitimer à travers ce CORE groupe. 

L’arrivée de Ricardo Seitenfus pour encenser René Préval tombe à point nommé. L’homme de main cynique de la bourgeoise la plus répugnante de l’Amérique, responsable de la misère de la majorité des haïtiens, est maintenant présenté sur un beau tableau. Une coïncidence heureuse qui arrange bien des choses.

Après 10 ans d’occupation militaire sud-américaine, Haïti perd son élan démocratique. Des candidats extrêmement populaires sont écartés de la course électorale de façon arbitraire. Comme au temps de militaires, chaque leader de la classe politique ou de la société civile se voit l’heureux bénéficiaire du putsch. Les premières victimes ne doivent pas s’attendre à aucune forme de solidarité.

Mais, Haïti est un pays de surprise ! Il y a toujours un imprévu pour faire échouer les plus beaux plans montés dans les laboratoires les plus perfectionnés. Le stratège Préval n’a-t-il pas échoué dans son plan de placer son poulain Jude Célestin au Palais National en 2011? Aussi, y a-t-il les Etats-Unis qui a toujours son plan B pour reprendre le contrôle de la situation. Et, le fait par l’élite haïtienne d’accepter cette façon déloyale de manipuler les élections en écartant de façon arbitraire des candidats populaires, de décourager le peuple, est un reniement de la démocratie. Cette nouvelle technique de manipulation des élections en amont i.e. à partir de la liste des candidats, est une idée géniale pour une grande puissance habituée à installer des dictatures serviles dans le monde et spécifiquement en Amérique Latine. Des pratiques Ayatollesques importées en Haïti !

Comme en 2010, le grand stratège Préval n’avait pas pressenti qui, sur la liste des candidats agréés, rentrera au Palais National. Face à l’ambition des gangs et des trafiquants de faire main basse sur le pouvoir d’Etat, un ancien Chef de la Police Nationale peut-être l’homme idéal de Tonton Sam. Un homme qui a bien collaboré dans le temps. L’histoire de l’Amérique Centrale et des Caraïbes démontre clairement qu’à la fin de chaque occupation, le grand voisin aime remettre le pouvoir aux gens d’armes. De plus, cet autogolpe, ce coup d’Etat en douceur à partir des institutions républicaines, pratiqué par la classe politique et la bourgeoisie traditionnelle contre le Président Martelly, peut-être un bon exemple pour la Police Nationale d’Haïti menacée par des gangs qu’elle avait combattus et qui aujourd’hui influencent le processus électoral. 

En cautionnant ce plan anti-démocratique consistant à arranger la compétition électorale avec un esprit d’exclusion des candidats populaires qui ne répondent pas aux intérêts de groupes, l’élite haïtienne des médias, de la classe politique et de la société civile renonce à la démocratie. Tous les coups sont permis. Et, quand on écarte le peuple de la démocratie, il ne reste que la tyrannie des groupes intérêts. A ce stade, les gendarmes ont légitimement le droit de défendre leurs intérêts, leur institution et la vie de leurs frères d’armes.

La situation actuelle rappelle étrangement 1995 quand après le retour d’Aristide des partis proches du mouvement Lavalas cherchaient à garder le pouvoir au moyen d’élections arrangées. On connait la suite : L’OPL qui se moquait des partis exclus des élections de 1995 s’est vue à son tour écartée par le même dispositif qu’il avait contribué à mettre en place. 

Haïti sera une démocratie lorsque ses élites auront enfin le courage de défendre les principes sans tenir compte des intérêts mesquins.  

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
16 juin 2015
@reseaucitadelle

Haiti, Elections ou Sélections : Arrangement électoral entre Martelly, Préval et Sandra Honoré de la MINUSTAH.- Lenouvelliste.com

Avec la complicité de la #MINUSTAH, le Président Martelly a décidé de violer les droits civiles et politiques de son épouse et de son ancien Premier Ministre Laurent Lamothe.  Martelly a-t-il déjà dit au CEP qui doit-être son successeur?  Où est passé l'indépendance de la Cour des comptes et du Conseil Electoral Provisoire? 

Le Président Martelly rencontre le CEP au Palais National.
Quand Martelly se confie.- Lenouvelliste.com
Publié, le15juin2015 

De Jean-Bertrand Aristide à Michel Martelly, Le Nouvelliste a rencontré tous les présidents de la République de ces dernières années pour des entretiens. Les démocratiquement élus, comme ceux qui sont arrivés au pouvoir par un accident de l’histoire, ont tous ouvert un jour leur porte aux envoyés du vieux journal de la rue Centre. Michel Martelly, le lundi 15 juin,a lâché des confidences à deux journalistes.

« Depuis décembre 2014, j’avais dit à Laurent Lamothe qu’il ne serait pas mon candidat, qu’il n’était pas souhaitable qu’il soit candidat à la présidence. J’avais dit la même chose à Sophia Martelly, ma femme », nous a déclaré le chef de l’Etat. D'ailleurs Martelly avoue que Joseph Lambert, Youri Latortue, Mario Dupuis ou Sandra Honoré connaissaient tous sa position sur la question.

Continuant sur le ton de la confidence, il a poursuivi : « Le jour où le Conseil électoral a rejeté la candidature de Sophia au Sénat, je ne lui ai dit ni bonjour ni bonsoir. Cela ne veut pas dire que je ne souhaitais pas qu’elle soit élue, mais pour la bonne marche des élections que le président que je suis se doit de réaliser, il n’était pas souhaitable que Laurent ou Sophia soit candidat ».
« L'objectif de Laurent Lamothe, candidat, est de devenir président, le mien est la tenue de bonnes élections ». « Sa k tonbe, yo tonbe. Sa k pase, yo pase », prône le président.

Plus loin, lors de cet entretien réalisé en ses bureaux au palais national, le président est revenu sur deux succès diplomatiques qu’il a portés sur les fonts baptismaux : le rapprochement entre les Etats-Unis et Cuba et le dialogue en cours entre le Venezuela et les USA.

« La rue m’a porté au pouvoir, mais pas pour gérer les affaires de l’Etat dans la rue», a dit d’entrée de jeu Martelly quand on lui pose la question sur son rôle dans ces deux opérations de bons offices.

« Je n’ai jamais parlé de ces dossiers. C’est un sénateur américain qui a dévoilé que j’ai servi d’intermédiaire dans le dossier USA-Cuba et c’est la ministre des Affaires étrangères du Venezuela, puis les officiels américains qui ont fait savoir au monde qu’il y avait eu lieu des négociations en Haïti », précise le président haïtien. 
« Les pourparlers américano-vénézuéliens, je m’y suis impliqué en avertissant à l’avance les deux parties que je le faisais pour aboutir à des résultats et ce fut fait. Dans mes appartements au palais, samedi, il y a eu deux bilatérales et une trilatérale. A la fin, Haïti a pu aider au dialogue entre les USA et le Venezuela et obtenir que les US et le Venezuela coopèrent au service d’Haïti dans les domaines de l’éducation, des élections, de l’agriculture et de l’énergie », a confié l’ancien chanteur, non sans un peu de fierté dans la voix. 
Nous n’avons pas seulement donné un local et des facilités pour les négociations, nous les avons orchestrées », se félicite le président haïtien. Lors de cette entrevue, la huitième accordée au Nouvelliste depuis qu’il s’était porté candidat à la présidence, Michel Martelly a convenu que cela lui a pris trois ans pour devenir président et qu’il se rend compte chaque jour des limites de son pouvoir. L’ancien chanteur a aussi témoigné des difficultés qu’il rencontre pour faire passer ses points de vue, que ce soit pour dire non aux trois aéroports en construction actuellement dans le Sud du pays ou pour faire voter une résolution allouant les fonds PetroCaribe. 
« Cela m’a pris trois mois pour faire adopter la dernière résolution, car à chaque fois me retrouvais en conseil des ministres avec une liste de projets qui n’était pas celle sur laquelle nous nous étions entendus », explique celui qui préfère parler le moins souvent possible ces derniers temps où tout le monde autour de lui cherche un candidat à qui se raccrocher. 
En froid avec Le Nouvelliste depuis l’épisode TV5 en novembre dernier, c’est un président Michel Martelly disposé à se confier que deux journalistes ont pu rencontrer pendant une heure, ce lundi. Un président qui a beaucoup à dire. 

Frantz Duval 
duval@lenouvelliste.com


____________________
RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
  
 
But you can't fool all the people all the time."
  
(
 
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
 
 
) dixit Abraham Lincoln.

Scandale!!! Le CEP a reçu l'ordre du Président Martelly sur qui peut-être candidat ou non.-

Avec la complicité de la #MINUSTAH, le Président Martelly a décidé de violer les droits civiles et politiques de son épouse et de son ancien Premier Ministre Laurent Lamothe.  Martelly a-t-il déjà dit au CEP qui doit-être son successeur?  Où est passé l'indépendance de la Cour des comptes et du Conseil Electoral Provisoire? 
Le Président Martelly rencontre le CEP au Palais National.
Quand Martelly se confie.- Lenouvelliste.com
Publié, le15juin2015

De Jean-Bertrand Aristide à Michel Martelly, Le Nouvelliste a rencontré tous les présidents de la République de ces dernières années pour des entretiens. Les démocratiquement élus, comme ceux qui sont arrivés au pouvoir par un accident de l’histoire, ont tous ouvert un jour leur porte aux envoyés du vieux journal de la rue Centre. Michel Martelly, le lundi 15 juin,a lâché des confidences à deux journalistes.

« Depuis décembre 2014, j’avais dit à Laurent Lamothe qu’il ne serait pas mon candidat, qu’il n’était pas souhaitable qu’il soit candidat à la présidence. J’avais dit la même chose à Sophia Martelly, ma femme », nous a déclaré le chef de l’Etat. D'ailleurs Martelly avoue que Joseph Lambert, Youri Latortue, Mario Dupuis ou Sandra Honoré connaissaient tous sa position sur la question.

Continuant sur le ton de la confidence, il a poursuivi : « Le jour où le Conseil électoral a rejeté la candidature de Sophia au Sénat, je ne lui ai dit ni bonjour ni bonsoir. Cela ne veut pas dire que je ne souhaitais pas qu’elle soit élue, mais pour la bonne marche des élections que le président que je suis se doit de réaliser, il n’était pas souhaitable que Laurent ou Sophia soit candidat ».
« L'objectif de Laurent Lamothe, candidat, est de devenir président, le mien est la tenue de bonnes élections ». « Sa k tonbe, yo tonbe. Sa k pase, yo pase », prône le président.

Plus loin, lors de cet entretien réalisé en ses bureaux au palais national, le président est revenu sur deux succès diplomatiques qu’il a portés sur les fonts baptismaux : le rapprochement entre les Etats-Unis et Cuba et le dialogue en cours entre le Venezuela et les USA.

« La rue m’a porté au pouvoir, mais pas pour gérer les affaires de l’Etat dans la rue», a dit d’entrée de jeu Martelly quand on lui pose la question sur son rôle dans ces deux opérations de bons offices.

« Je n’ai jamais parlé de ces dossiers. C’est un sénateur américain qui a dévoilé que j’ai servi d’intermédiaire dans le dossier USA-Cuba et c’est la ministre des Affaires étrangères du Venezuela, puis les officiels américains qui ont fait savoir au monde qu’il y avait eu lieu des négociations en Haïti », précise le président haïtien.

« Les pourparlers américano-vénézuéliens, je m’y suis impliqué en avertissant à l’avance les deux parties que je le faisais pour aboutir à des résultats et ce fut fait. Dans mes appartements au palais, samedi, il y a eu deux bilatérales et une trilatérale. A la fin, Haïti a pu aider au dialogue entre les USA et le Venezuela et obtenir que les US et le Venezuela coopèrent au service d’Haïti dans les domaines de l’éducation, des élections, de l’agriculture et de l’énergie », a confié l’ancien chanteur, non sans un peu de fierté dans la voix. 

Nous n’avons pas seulement donné un local et des facilités pour les négociations, nous les avons orchestrées », se félicite le président haïtien. Lors de cette entrevue, la huitième accordée au Nouvelliste depuis qu’il s’était porté candidat à la présidence, Michel Martelly a convenu que cela lui a pris trois ans pour devenir président et qu’il se rend compte chaque jour des limites de son pouvoir. L’ancien chanteur a aussi témoigné des difficultés qu’il rencontre pour faire passer ses points de vue, que ce soit pour dire non aux trois aéroports en construction actuellement dans le Sud du pays ou pour faire voter une résolution allouant les fonds PetroCaribe. 

« Cela m’a pris trois mois pour faire adopter la dernière résolution, car à chaque fois me retrouvais en conseil des ministres avec une liste de projets qui n’était pas celle sur laquelle nous nous étions entendus », explique celui qui préfère parler le moins souvent possible ces derniers temps où tout le monde autour de lui cherche un candidat à qui se raccrocher. 

En froid avec Le Nouvelliste depuis l’épisode TV5 en novembre dernier, c’est un président Michel Martelly disposé à se confier que deux journalistes ont pu rencontrer pendant une heure, ce lundi. Un président qui a beaucoup à dire. 


Frantz Duval 

duval@lenouvelliste.com

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
 
But you can't fool all the people all the time."
  
 
 (
 
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
 
) dixit Abraham Lincoln.


lundi 15 juin 2015

Le Sénateur Edo Zenny dénonce le caractère partisan du Conseil Electoral en Haiti.-

Le Sénateur Edo Zenny dénonce le Conseil Electoral partisan d'#Haiti: "Swa yo retire tout lòt moun ki pa gen dechay yo oubyen yo mete tout moun." Edwin Kenny 



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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Preuves que le CEP planifie un COUP D'ETAT ELECTORAL en faveur de René Préval.-






















La candidature de Mr LUMARQUE Jacky, candidat à la présidence et Poulain de l'ancien président René Gracia Préval a été agréée par le CEP, alors que l'enquête diligentée par la CSC/CA, concernant sa gestion et les documents, tant administratives et financiers pour les exercices de 2008/2010 le concernant aient été communiqués à ladite commission d'enquête, en date du 2 Juin de l'année en cours. Je ne sais pas pour vous, mais moi je renifle une odeur de putréfaction à l'image de ces politiciens véreux made in Haïti.

Les candidats associés au mouvement TET KALE tels que Sophia Martelly, Laurent Lamothe, Edo Zenny, etc sont rejetés. Les candidats associés à Préval-Aristide ayant les mêmes problèmes de décharge sont agréés exemples: Moïse Jean-Charles, Dieuseul Simon Desras, Steven Benoit, Jacky Lumarque...

Impossible d'avoir des élections crédibles avec des corrompus comme Pierre-Louis Opont, Néhémie Joseph, Jaccéus Joseph et Marie-Carmelle Paul Austin....


Invitation: Conférence de Presse - lundi 15 juin à 10 AM


Le Directoire National de “PLATFÒM PEYIZAN” vous présente ses compliments et prend le plaisir à vous inviter à une Conférence de Presse en vue de fixer la position de la Plate-Forme suite à la publication de la liste définitive des candidats à la présidence.

Cette conférence de presse se tiendra à l’Hôtel Le Plaza sis au Champs-de-Mars, ce lundi 15 juin 2015 à 10 heures AM.

Pour authentification: Guillaume TV (509) 4431-6379