mardi 23 juin 2015

Daly Valet déforme la politique Dominicaine de Laurent Lamothe.-


Dans une note publiée ce week-end sur sa page Facebook, le journaliste de Pitit Dessalines, Monsieur Daly Valet a, une fois de plus, attaqué, sans scrupule, en altérant, de façon minable et dégradante, les faits relatifs à la gestion de l’ancien Premier Ministre Laurent Lamothe du dossier des ressortissants haïtiens sans papiers en République Dominicaine.

“La décision imbécile, intéressée et anti-patriotique d'un certain PM Laurent Lamothe de ramener ce "contentieux international " au plan strictement bilatéral entre Haïti et la République Dominicaine a conduit Haiti "tèt dwat " à la catastrophe humanitaire actuelle.” a écrit Daly Valet sur sa page facebook. Ce message insensé, illogique - vu que le ministre Casimir était membre du gouvernement de Laurent Lamothe- et méchante, vise à jeter la confusion, à récupérer un problème national à des fins politiciennes. Une manoeuvre qui prouve la dimension réelle d’une personnalité que beaucoup d’observateurs prenaient pour un homme d’Etat. 

Après la publication de l’Arrêt 168/13 de la République Dominicaine dépouillant les dominicains d’origine haïtienne de leur citoyenneté, la stratégie du gouvernement Martelly/Lamothe était d’interpeller l’opinion publique internationale sur cette violation des droits fondamentaux de la personne. Le gouvernement du Premier Ministre Laurent Lamothe, par l’entremise du Ministre Pierre-Richard Casimir, avait interpellé la communauté internationale en vue de faire front commun à cette loi inique. La stratégie a été multidimensionnelle. Elle était basée non sur les rapports de forces mais sur les principes de droits universels. Elle visait aussi à embarrasser la république voisine dont la velléité consistait en un nettoyage ethnique. Néanmoins, le gouvernement haïtien, pour rester fidèle aux idéaux sous-jacents à la philosophie haïtienne : Haïti, la terre de liberté des noirs, ne pouvait non plus signaler qu’il allait fermer la porte sur des personnes dont les origines remontent à Haïti.

Le gouvernement Martelly/Lamothe avait proposé la création d’une Commission mixte dirigée par deux (2) coordonnateurs spéciaux et six (6) ministres de chaque gouvernement. Dans l’intervalle, Haïti a pu obtenir un moratoire de 21 mois ; et le gouvernement en avait profité pour mettre en œuvre un programme d’identification des ressortissants haïtiens sans papiers en République Dominicaine. 

Malheureusement, depuis l’arrivée de Monsieur Duly Brutus à la tête de la Chancellerie,  ajoutée à la prise de fonction du Premier Ministre Evans Paul, résultat des fameuses négociations ayant débouché au gouvernement dit de consensus, le dossier a été ramené sur le niveau bilatéral. La diplomatie haïtienne a donc perdu son agressivité sur le plan multilatéral et les 60,000 passeports n’ont pas été commandés.

Contrairement aux affirmations erronées de Monsieur Daly Valet sur le dossier dominicain, la Commission de Haut niveau était formée avec la participation de l’Union Européenne, des Nations Unies, du Venezuela et des Etats-Unis. L’implication d’entités multilatérales et des pays amis d’Haïti dans la gestion du dossier est une preuve que le gouvernement Martelly/Lamothe avait donné une dimension internationale à ce dossier. 

En ce temps-là, Monsieur Valet et ses amis du groupe de Bourdon déstabilisaient le gouvernement haïtien en promouvant des manifestations anti-gouvernementales qui affaiblissaient le gouvernement Lamothe et l’administration Martelly. En déstabilisant le pays, et en démantelant le gouvernement d’Haïti, Monsieur Daly Valet et Pitit Dessalines, par ricochet, ont aidé la République Dominicaine dans la mise en œuvre de sa basse œuvre. Un gouvernement dont la légitimité interne est ébranlée n’a pas la force nécessaire pour négocier des dossiers brulants au niveau international. Daly Valet/Pitit Dessalines, mission accomplie. Les pauvres dominicains d’origine haïtienne n’ont qu’à vous remercier pour avoir mené à bien ce combat au profit de l’extrême droite dominicaine. Lorsque les enjeux sont forts, les grands hommes et patriotes placent en isolement leurs intérêts mesquins et concluent des trêves. On n’a qu’à évaluer le travail des dits grands médias contrôlés par la bourgeoisie traditionnelle pour comprendre que le dossier dominicain ne les a pas trop interpellés.

Depuis le départ de Monsieur Lamothe de la Primature rien n’est fait en termes de suivi. Les nouveaux dirigeants haïtiens ont boycotté le programme d’identification des ressortissants haïtiens PIDDIH. L’ONI (Office Nationale d’Identification) n’a pas trouvé les ressources nécessaires pour continuer le programme d’identification, les 60,000 passeports n’étaient jamais disponibles. A l’instar de l’ensemble des programmes sociaux sous le parapluie de « EDE-PEP », le Programme d’identification a été aussi abandonné. Le gouvernement dit de consensus dirigé par Monsieur Evans Paul n’a-t-il pas fermé les yeux sur l’application des sanctions sur l’importation des œufs et des assiettes polluantes en FOAM ?

Monsieur Daly Valet doit avoir le courage de dire que le Groupe de Bourdon qui contrôle les prétendus grands médias, les cerveaux bourrés de la capitale haïtienne et qui dispose de gros intérêts économiques en République Dominicaine n’a pas apprécié l’agressivité du gouvernement Lamothe face à la République voisine. Pour preuve, les intellectuels, les journalistes et les médias haïtiens ont complètement ignoré ce dossier, alors que la presse dominicaine en faisait son sujet principal. On se demande si l’acharnement contre Lamothe ne s’alignait pas à une stratégie de protéger les intérêts des bourgeois haïtiens en République voisine ? Une bourgeoisie Monsieur Valet a qualifié de patriotique !

Faut-il rappeler que le Coordonnateur de l’OPL, Sauveur Pierre Etienne avait dénoncé la décision de l’oligarchie dominicaine de financer la déstabilisation du gouvernement Martelly/Lamothe à hauteur de plusieurs dizaines de millions de dollars américains.

On se demande pourquoi Monsieur Daly Valet ne parle plus de dérives, de la mauvaise gouvernance, de la corruption, des malversations en cours, alors que la décote de la gourde s’accélère, et la contrebande, causant un déficit de 1 milliard de gourdes en mai 2015 au niveau de la douane, bat son plein? Les scandales ne manquent pas au ministère des affaires sociales où 120 millions de gourdes qui devaient alimenter les cantines populaires ont disparues, des conflits au Ministère de l’intérieur pour des questions de fonds détournés vers des comptes privés, etc…et, sans parler de libérations de kidnappeurs, de criminels, et de la reconstitution des gangs qui reprennent du service dans la zone métropolitaine.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
23 juin 2015
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr

lundi 22 juin 2015

Flash!!! La FUSION crée une situation de tension au Complexe administratif de Cap-Haïtien.


La FUSION cherche à installer de force Monsieur Charles Tercius alias Papi Charles.  Le Parti de Madame Edmonde Supplice Beauzile fait la chasse aux sorcières. Cette organisation politique membre du gouvernement inconstitutionnel dit de consensus qui devait uniquement organiser des élections cherche à prendre contrôle de l'administration publique pour mieux manipuler les joutes électorales. 


Dans le Nord, depuis une semaine, le Parti du Ministre des Affaires Sociales, Victor Benoit cherche à installer un nouveau directeur à la Direction Départementale des Affaires Sociales dans un contexte de protestation, face à des employés en rebellion parce que la nomination est faite en dehors des normes et procédures administratives. Ce lundi 22 juin 2015, des camions de militants de la FUSION ont investi le Complexe administratif de Vaudreuil en vue d’installer par la force leur nouveau directeur.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
@reseauCitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr

samedi 20 juin 2015

Moise Jean-Charles n'a pas de décharge pour les festivals culturels.-

Aucune enquête sur les dizaines de millions de gourdes que recevait Monsieur Moise, à travers sa Fondation Henry Christophe, durant la période 2006-2009, lorsqu'il était Conseiller du Président Préval, en vue d'organiser les fameux festivals culturels dans toutes les communes du Nord ou de financer les groupes musicaux durant les carnavals.

On ne peut pas écarter Jacky Lumarque qui était membre d'une Commission faute de décharge et garder Moise Jean-Charles dans la course sans décharge pour les fonds reçus dans le cadre des ces festivals culturels.

Il n’existe aucun rapport d’enquête ni d’audit sur les 12 années que Moise Jean-Charles a passées à la tête de la Mairie de la Commune de Milot. Aucune visite de terrain, aucune interview. L’actuel Conseil Communal de la Mairie de Milot ne peut pas affirmer que la Cour des comptes a enquêté sur la gestion de Moise Jean-Charles.

@reseaucitadelle
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Haiti-Elections : De faux certificats de décharge en circulation.---

Moise Jean-Charles, Maryse Narcisse et Marie Antoinette Gauthier sont des anciens comptables de deniers publics suspectés d'obtenir leur Certificat de décharge en dehors des procédures établies par la loi.

Le scandale dans le dossier de Jacky Lumarque est une preuve solide de l'Etat de décadence de la Cour des comptes. Le candidat à la Présidence de la Plate-Forme VÉRITÉ a obtenu son certificat de décharge en moins d'une semaine. La lettre de la Cour sollicitant l'accès aux dossiers du Palais national pour enquête date du 2 juin 2015, pourtant avant le 10 juin 2015, Monsieur Lumarque a reçu 3 certificats de décharge de la Cour des comptes.

Il y a aussi ce fameux certificat remis à l'ancien Maire Wilson Jeudy, 24 heures après que ces partisans eurent violenté les habitants de la commune de Delmas. 

En violation de la procédure d’octroi de décharge, qui est pourtant tracée par les décrets du 4 novembre 1983 et du 23 novembre 2005 établissant son organisation et son fonctionnement, la Cour des Comptes a carrément décerné des certificats de quitus à des anciens comptables de deniers publics sans enquête ni audit. 

@reseaucitadelle 
reseaucitadelle@yahoo.fr

#Haiti-Corruption : La Cour des Comptes a remis des certificats sans enquêtes ni audits.-

La Cour des comptes, sommée de publier le rapport d’audit sur la gestion de Moise Jean-Charles durant ses 12 ans à la Mairie de Milot .-

En violation de la procédure d’octroi de décharge, qui est pourtant tracée par les décrets du 4 novembre 1983 et du 23 novembre 2005 établissant son organisation et son fonctionnement, la Cour des Comptes a carrément décerné des certificats de quitus à des anciens comptables de deniers publics sans enquête ni audit. 

Il n’existe aucun rapport d’enquête ni d’audit sur les 12 années que Moise Jean-Charles a passées à la tête de la Mairie de la Commune de Milot. Aucune visite de terrain, aucune interview. L’actuel Conseil Communal de la Mairie de Milot ne peut pas affirmer que la Cour des comptes a enquêté sur la gestion de Moise Jean-Charles. Aucune enquête sur les fonds que recevait Monsieur Moise, à travers sa Fondation Henry Christophe, durant la période 2006-2009, lorsqu'il était Conseiller du Président Préval, en vue d'organiser les fameux festivals culturels dans toutes les communes du Nord ou de financer les groupes musicaux durant les carnavals.

Au niveau départemental et central, le même constat est pareil. Aucun cadre ne peut certifier avoir vu, entendu ou participé à une quelconque enquête de la Cour. La nouvelle a fait surface dans les medias comme un coup de tonnerre. Le papier diffusé par l’ancien Maire de Milot sur les medias et les réseaux sociaux n’a rien comme base réelle ni légale, et n’est pas le résultat d’aucune démarche administrative.

Monsieur Fritz Robert Saint-Paul, accusé de manipulation de conclusion de rapport d’audit en violation de la loi donc pour ses raisons personnelles - falsification et collusion, a catégoriquement accordé un bout de papier à un congénère idéologique pour lui permettre de briguer la présidence, un faux papier. Dans une conférence sur le dossier du Candidat de la Plate-Forme VERITE, Jacky Lumarque, le Sénateur Edwin (Edo) Zenny avait même accusé les responsables de la Cour des Comptes de corruption et de pots de vin.  

L’engouement de la Cour des Comptes pour la publication de rapports d’audit dans la presse nous était jusque-là inconnu. L’ancien Ministre des Affaires Etrangères Duly Brutus, a été informé des résultats de l’enquête sur sa gestion dans le journal Le Nouvelliste. C’est d’ailleurs le cas pour des agents exécutifs comme Monsieur Ivanka Jolicoeur Brutus – de Pétion-ville, Madame Sandra Jules et Monsieur Roland Justal- de Petit-Goâve.

En cette période électorale, des institutions comme la Cour des Comptes et le Conseil Electoral Provisoire pratiquent une politique de deux poids et deux mesures qui ébranle la confiance des citoyens. Le public étant au courant de la gabegie administrative qui existait à Milot sous le règne de Moise Jean-Charles, le détournement des fonds communaux au profit de son organisation MPM (Mouvman Peyizan Milo) basée dans la localité de Trois Ravines, n'arrive pas à expliquer l'octroi de ce certificat de quitus en 24 heures. 

De plus, nous rappelons que durant la période 2006-2009, Moise Jean-Charles, alors Conseiller du Président Préval, recevait des fonds de l'Etat à partir de ses fondations Moise Jean-Charles et Henri Christophe en vue d'organiser les fameux festivals culturels dans toutes les communes du Nord. On ne peut pas écarter Jacky Lumarque qui était membre d'une Commission faute de décharge et garder Moise Jean-Charles dans la course sans décharge pour les fonds reçus dans le cadre des ces festivals culturels.

"Elu en 2009 pour un mandat de six ans, Moïse Jean Charles ne sait pas encore ce qu'il va faire après aura quitté le Sénat. « Tout dépendra de la manière dont je terminerai mon mandat », déclare-t-il. En attendant, il dit réfléchir sur la meilleure formule pour structurer deux fondations qu'il a créées. Il s'agit de la fondation Moïse Jean-Charles qui s'occupe de la promotion de la démocratie et des droits humains et de la fondation Henri Christophe créée pour appuyer la paysannerie. Ces deux fondations, explique t-il évoluent dans le département du Nord où sa popularité est en decrescendo à cause son bras de fer avec le président Michel Martelly." lit-on dans le quotidien Le nouvelliste de 09 mars 2012, dans l'article "Moïse, le porte-bâton" de Jean Pharès Jérôme, pjerome@lenouvelliste.com

Dominés par des idéologues qui y entrevoient une opportunité pour concrétiser leur rêve de militance politique ou par des corrompus à la recherche de l'argent facile, le Conseil Electoral écarte des candidats pour carence de certificat de décharge en acceptant d’autres dépourvus de certificats de décharge et la Cour des Comptes délivre des certificats en 24 heures, sans enquête préalable, à des candidats préférés alors qu’elle fait obstacle à d’autres candidatures.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
20 juin 2015
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr

vendredi 19 juin 2015

Conseil Electoral Provisoire : COMMUNIQUE DE PRESSE # 37

19 juin 2015

Le Conseil électoral provisoire informe la population en général et les partis politiques en particulier, que le nommé Levelt FRANÇOIS a été retiré de la liste des candidats agréés à participer aux élections présidentielles des 25 octobre et 27 décembre 2015, pour avoir été condamné pour possession et trafic de crack et de cocaïne aux Etats-Unis d’Amérique, infraction considérée comme crime transnational, en violation de l’article 36, alinéa (c) du Décret électoral.

Le Conseil, voulant veiller au respect scrupuleux des dispositions du Décret électoral, après avoir été mis au courant du jugement condamnant le nommé Levelt FRANÇOIS, et après analyse, a, en conséquence, décidé de l’écarter de la compétition électorale.

Le Conseil réitère sa détermination à tout mettre en œuvre pour la tenue d’élections libres, honnêtes, inclusives et démocratiques.

Conseil Electoral Provisoire : COMMUNIQUE DE PRESSE # 36.-


19 juin 2015

Le Conseil électoral provisoire informe la population en général et les partis politiques en particulier, que le sieur Jacky LUMARQUE a été retiré de la liste des candidats agréés à participer aux élections présidentielles des 25 octobre et 27 décembre 2015, pour absence de décharge, de sa gestion comme Coordonnateur du Groupe de travail sur l’éducation et la formation ( GTEF), en violation de l’article 90 du Décret électoral, alinéa (h). 

Le Conseil, dans sa mission de veiller au respect scrupuleux des dispositions du Décret électoral, faisant suite aux correspondances émanant de responsables de partis politiques et après analyse, a, en conséquence, décidé d’écarter Monsieur Jacky LUMARQUE de la course électorale.

Le Conseil réitère sa détermination à tout mettre en œuvre pour la tenue d’élections libres, honnêtes, inclusives et démocratiques.

L’expulsion de Jacky Lumarque est insuffisante, Préval ne peut pas contrôler le Conseil Electoral.-

L’expulsion de Jacky Lumarque de la liste électorale faute de certificat de décharge renforce l’obligation pour les membres du CEP de présenter leur certificat de décharge. 

La loi ayant un caractère impersonnel et général, elle doit s’appliquer à tout le monde.

Pierre-Louis Opont - ancien Directeur Général du CEP, 
Madame Marie Carmelle Paul-Austin - Ancienne Ministre de l’Education Nationale, 
Yolette Menguale - Conseillère reconduite et Néhémie Joseph - Conseiller reconduit au CEP, ne peuvent plus continuer à occuper leur poste au Conseil Electoral Provisoire illégalement, c’est-à-dire sans certificat de décharge.

Le peuple haïtien n’acceptera pas un CEP agissant sous les ordres de quelques organisations politiques, des partis-boutiques de 1% -- incapables de réunir une quantité importante de l'électorat. 

Les élections en Haiti doivent-être démocratiques et inclusives, ce qui signifie la légitimité populaire doit-être la pierre angulaire de ces joutes électorales. Des partis politiques qui participent actuellement au gouvernement illégalement, qui pillent les caisses de l’Etat pour financer leurs activités électorales jusqu’à provoquer le désastre économique symbolisé par la chute spectaculaire de la gourde (54 gourdes pour 1 dollar), l’inflation des prix et la dégradation des conditions de vie des masses populaires, ne continueront pas à faire main basse sur le pouvoir d’Etat en imposant leur volonté politique au Conseil Electoral Provisoire. 
  
Si le CEP continue de s’accrocher à cette question de décharge, les Conseillers dépourvus de décharge doivent démissionner sans attendre une mobilisation populaire pour les forcer à le faire. Le gouvernement “de facto” dirigé Evans Paul devra aussi démissionner pour se conformer aux prescris de la Constitution.

La dernière décision consistant à écarter Jacky Lumarque, le Candidat de la Plate-Forme VERITE n’est que de la poudre aux yeux pour permettre à René Préval de conserver sa main mise sur la machine électorale. Les Conseillers corrompus qui sont au service de Préval doivent démissionner de leur poste. Le reste du Conseil doit uniformiser cette question de décharge soit en acceptant, comme en 2009 et en 2010, les candidats qui sont dans l’impossibilité d’obtenir le certificat de décharge ou en invitant les Conseiller qui n'ont pas de décharge à démissionner.

Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haiti
19 juin 2015
@reseaucitadelle
reseaucitadelle@yahoo.fr

Flash!!! Maryse Narcisse, du Parti Fanmi Lavalas, est de nationalité américaine.-

Selon une source proche de la Plate-forme VÉRITÉ qui souhaite garder l'anonymat, en septembre 2007, lorsque le Docteur Maryse Narcisse a été kidnappée dans la capitale haïtienne, des agents du FBI, la Police Fédérale Américaine, ont intervenu et pris part à l’enquête ayant conduit à sa libération. 

Les agents américains avaient justifié leur intervention en Haiti par le fait que Madame Maryse Narcisse est une ressortissante américaine avec résidence en Haiti et que dans de telle circonstance, le gouvernement des Etats-Unis, à travers son ambassade, a l’obligation d’apporter un soutien sans faille aux autorités locales.

Un autre dirigeant Lavalas, Lovinsky Pierre-Antoine, également coordonnateur de la Fondation 30 septembre, lui aussi kidnappé en aout 2007 n'a pas eu cette chance.

Madame Maryse Narcisse, l'actuelle candidate à la Présidence du Parti Fanmi Lavalas, serait une Citoyenne Américaine dans la Course électorale en Haiti. Alors que le CEP a rejeté la candidature d'autres candidats comme Sophia Martelly, Thony Bennett, Rudy Boulos et Ultimo Compère pour cette même question de nationalité, Maryse Narcisse reste sur la liste des candidats agréés de ce Conseil Electoral Provisoire accusé de favoritisme, de collusion et de corruption.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 
19 juin 2015
@ReseauCitadelle 
reseaucitadelle@yahoo.fr

Ruling party candidates allowed to circumvent election rules.-

University Quisqueya President Jacky Lumarque argued that he did not need a certificat de decharge while submitting a request for one. His candidacy was approved by the electoral council although hopefuls in his same or less severe circumstance were disqualified. [file]

University Quisqueya President Jacky Lumarque argued that he did not need a certificat de decharge while submitting a request for one. His candidacy was approved by the electoral council although hopefuls in his same or less severe circumstance were disqualified.
 
PORT-AU-PRINCE, Haiti (sentinel.ht) – The candidate approved for presidential elections of Vérité, the party of former President Rene Preval, did not meet the requirements for candidacy, according to the standards placed by the CEP and used to eliminate dozens of highly-favored candidates from the elections.

Documents

DownloadMay 25, 2015: Audit court letter sent to National Palace
DownloadJune 2, 2015: Audit court letter sent to National Palace
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Evidence shows that the Provisional Electoral Council allowed candidates for ‘ruling parties’ to circumvent laws it applied to disqualify dozens of other candidates.
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The three presidential candidates seen here were approved by the CEP although lacking standard-level décharges that can be easily obtained. They are Jacky Lumarque, Jovenel Moise and Maryse Narcisse. They are candidates running for the parties of Haitian presidents, Rene Preval, Michel Martelly and Jean-Bertrand Aristide, respectively.

Evidence, in the form of official letters from the Superior Court of Auditors and Administrative Disputes (CSC/CA), show that Jacky Lumarque (Verite #69) was approved without a standard-level décharge and, today, is so much as being accused of having perjured himself before the departmental electoral tribunal.

A letters dated May 26 and June 2, 2015 to the disgraced former Minister of Justice, Jean Renel Sanon, now working as the Secretary of the Presidency, reveals that court auditors had not issued the clearance document to Lumarque, even weeks after his approval.

On May 23rd, counsel for Jacky Lumarque argued that the presidential hopeful did not need a ‘certificat de decharge’ although at the same time a request from the campaign was made to obtain one. Sitting-senator Edwin Zenny is charging them with having made false declarations to dispute arbiters.

The first letter by the CSC/CA, dated May 26, 2015, announced that upon the request of the interested party, a commission of auditors was established to review the accounts. The second letter, dated June 2, 2015, shows that auditors were met with difficulty in trying to perform the audits and receive the spending records of Jacky Lumarque. The audit court demanded cooperation from the Martelly National Palace.

The evidence is affirming suspicions that the Provisional Electoral Council of Pierre Louis Opont is bending its own rules based on laws deemed frivolous in the current context. The ruling party candidates, those of Haiti’s most recent three presidents, Martelly, Preval and Aristide, were allowed to circumvent those regulations and the electoral council’s president proved it on Monday.

Senator Edwin Zenny was speaking of his disqualification on the weekday afternoon political commentary program, Intersection, with Jean Monard Metellus. Zenny had said he did not know why his candidacy was rejected when the show’s host and interviewer, Metellus, received a text message from CEP President Opont saying that Zenny was eliminated for having submitted his certificate on May 22, 2015, two days after registering, although he had presented a provisional certificate at the time of registration.
This is the reasoning for Zenny and many other candidates’ rejection, while Jacky Lumarque, an approved candidate, had not presented one. This is also the case for Jovenel Moise, the candidate for President Martelly’s PHTK and Maryse Narcisse, the candidate for Jean-Bertand Aristide’s Fanmi Lavalas. Neither had presented the easily obtainable standard-level decharge.

Many ministers were disqualified from participating in the elections for not having ministerial-level decharges, a document that has never, in the history of Haiti, been issued. It must be issued by Parliament, which today is non-existent, and because of this, many see their disqualification as an injustice. If anything, ministerial-level decharges should be the exception since they are impossible to obtain but for the Provisional Electoral Council, it sets the rules backwards and apply them unfairly for power’s candidates.

jeudi 18 juin 2015

Haiti-Elections : 2 Moise pour maquiller le Coup d'Etat électoral de Préval.-

Jean-Charles Moise et Jovenel Moise = 2 Moise ou 2 marionnettes pour maquiller le Coup d'Etat électoral de Préval en faveur de Jacky Lumarque.

René Préval accusé de contrôler 3 à 5 conseillers électoraux.-

Plusieurs personnalités politiques, dont Camille Leblanc de Renmen Ayiti et le candidat au Sénat écarté Roudolphe Boulos, accusent l'ancien président René Préval des manœuvres déloyales pour tenter de manipuler les prochaines élections. 

Selon Me Camille Leblanc, René Préval aurait le contrôle de 3 à 5 conseillers électoraux. Il a cité nommément le président Pierre-Louis opont, Néhemy Joseph et Marie-Carmelle Paul Austin qui seraient entièrement dans la poche de l'ex-président. « La plateforme Vérité a été forgée de toute pièce dans le but de truquer les résultats des prochaines joutes », a lâché Me Camille Leblanc, accusant« René Préval de connivence avec le président Michel Martelly pour tenter de voler les élections ». M. Leblanc dénonce aussi les sondages-bidon actuellement en préparation pour tenter de manipuler l'opinion. 

Appelant la population à la vigilance, l'homme de loi dit croire fermement que l'ancien président René Préval va échouer lamentablement. De son côté, M. Boulos dit croire dur comme fer qu'au moins 5 conseillers électoraux sont contrôlés par l'ancien président René Préval, déplorant l'inexistence en Haïti d'un tribunal suprême en matière électorale où il pourrait exercer un recours contre la décision du CEP de rejeter sa candidature. Son rejet à la course est politiquement motivé, soutient-il. 

L'ancien sénateur Boulos avait été en 2008 forcé à la démission avant la fin de son mandat. 

Le sénateur Edwin Zenny, écarté pour défaut de décharge, avait en début de semaine, dénoncé des « magouilleurs » au sein de la cour des comptes et du contentieux administratif qui auraient, selon lui, reçu des pots-de-vin pour délivrer un certificat de décharge au candidat de la Plateforme Vérité, Jacky Lumarque. 

MJ/Radio Métropole Haïti


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mercredi 17 juin 2015

"Elections will not be free or fair in Haiti" -

My exclusion from Haiti's presidential elections is politically motivated.

Communications Office of Laurent Lamothe

PORT-AU-PRINCE, Haiti, June 17, 2015 /PRNewswire/ -- (Communications Office of Laurent Lamothe Presidential Campaign) Presidential elections are scheduled to be held in Haiti during the month of October.  As the situation stands today, they will be neither free nor fair.  

There are forces that have essentially achieved their principal objective: to ban me and other candidates from running for president, a constitutional right that belongs to all citizens of Haiti.  These forces exerted sufficient pressure on Haiti's Electoral Council (CEP), the body tasked with the organization of free and fair elections, to arbitrarily reject my registration as candidate.  

This is the same entourage that forced me out as Prime Minister in December 2014 so that, without a sitting parliament, the government could both handpick a CEP to organize local, parliamentary and presidential elections to determine who will rule Haiti for the next five years.    

How did my exclusion come to pass?  Acting through the CEP, they simply applied a constitutional mechanism in an unfair and discriminatory manner.  My disqualification came because I lacked a "discharge" that would certify my transparent performance in the three public offices – Foreign Affairs, Planning and Prime Minister – that I directed. 

A discharge is a procedural certificate issued by the Parliament to former officials wishing to run for office. 

On December 30, 2014, I formally requested a discharge from Parliament. My request could not be considered because barely two weeks later Parliament was dissolved: the mandate of most its members expired, leaving only a handful of senators  in office so that no quorum was possible to entertain any kind of legislative action, including a discharge. 

I thus sought a legal ruling from Haiti's Judiciary, noting that, with no functioning Parliament, I could not possibly obtain a discharge. Foreclosing my candidacy under  these circumstances was a violation of every Haitian's Constitutional right to participate in an election.

On May 20, 2015, Judge Roosevelt Jean Romulus issued a judgment confirming that, with no functioning parliament in place, procedural requirements – like obtaining a discharge – that cannot be complied with due to exceptional circumstances were waived.  In invoking this legal doctrine known as the "theory of impossible formalities," Judge Romulus ordered the CEP to allow my candidacy to go forward. 

I expected the rule of law to be followed and the CEP to respect an Order from the Judiciary certifying my candidacy. While the CEP had indeed applied the theory of impossible formalities in past elections to former officials of the previous government, this time it refused to recognize this principle.      

The irony of the CEP's ruling is that Article 193 of the Haitian Constitution requires that its members must also obtain a discharge before serving on this council. Several of its members who ruled against me are in fact former government officials who themselves never obtained a discharge. 

I am convinced that, if corrective measures are not taken that would allow my candidacy to move forward, the electoral process will be forever tainted by the heavy handed actions of the CEP.    

The executive branch should keep its hands out of the electoral process and  the CEP must also do the right thing and allow my candidacy to proceed.  No former official who served his country should be disqualified simply because he/she cannot comply with a discharge requirement that is impossible to meet given  the absence of a functioning Parliament. 

The international community must understand the kind of elections that will transpire in Haiti if nothing is done to restore my candidacy.  It has allowed and even seemingly encouraged this process to unfold; it now should also play a role in redirecting the course before once again Haiti faces major political turmoil.

Senator Marco Rubio has introduced an amendment to a U.S. Senate Resolution that requires the Department of State to report on Humanitarian Assistance to Haiti and whether elections in Haiti meet international standards. Senator Rubio's amendment specifically asks whether Haitian elections will be free, fair and responsive to the people of Haiti and demands a description of any attempts to disqualify candidates for political reasons. At this stage, elections in Haiti will not be free or fair and my case reflects a clear-cut case of the unfair disqualification of a candidate for political reasons. 

The Haitian people should be allowed to elect its leaders, and the elections must be inclusive – as opposed to being an "exclusive selection" by the CEP under the supervision of the executive branch. These actions are a direct affront to direct, inclusive and participatory democracy and threaten to undermine the political stability we have fought so hard to build and maintain.

My exclusion has dashed the small ray of hope that my candidacy had raised among the critically poor, children, women and the young. They are the ones who will be most affected by the arbitrariness of the CEP as its ruling insures the continuity of an abusive power structure that undermines Haitian democracy and the rule of law.     

Contact:
Damian Merlo
Senior Adviser
Laurent Lamothe Presidential Campaign
Damian@laurentlamothe.com
SOURCE Communications Office of Laurent Lamothe 


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