mardi 26 août 2014

L’Editorial du Ministre de la Communication: Le Chant du Cygne.-

point_de_presse
Au Sénat de la République se joue une triste comédie qui ne fait rire personne. Un mélodrame qui s'écrit à l'encre de l'intransigeance de l'inflexibilité et de la démagogie. Un groupuscule de 6 Sénateurs qui d'un côté affichent clairement, sans la moindre gêne, leur volonté de bloquer le fonctionnement du Grand Corps, et qui d'autre part font tout pour tenter de prendre en otage la démocratie et notre pays.

150 jours depuis que les amendements à la loi électorale ont été transmis par la chambre basse au Sénat de la République. Il est important de rappeler la célérité et l'efficacité avec lesquelles les Députés s'étaient penchés sur ces articles. 150 jours, une éternité, une longue période d'attente où la surenchère a totalement pris le pas sur la morale Républicaine et le sens des responsabilités.

A ce stade il convient de souligner à l'attention des observateurs avisés trois éléments importants de ce triste feuilleton :

    1) Les Honorables Sénateurs dans leur grande majorité veulent travailler pour franchir l'étape de la loi électorale et passer à autre chose.
    2) L'enfermement du groupe des 6 dans le dilatoire, la mauvaise foi et l'irresponsabilité bloque le fonctionnement normal du Grand Corps qui est devenu pratiquement bancal et par conséquent, improductif. Le fait de boycotter continuellement le quorum empêche la tenue des séances.
    3) A ce jour tous les appels à un assouplissement n'ont bénéficié d'aucun écho favorable. C'est l'indifférence la plus totale. Pire, les dernières déclarations de certains membres de ce groupe réfractaire, rebelle, irréductible et allergique aux élections, traduisent un durcissement de leur position.

On a eu droit ces dernières semaines à des sorties dans la presse les unes plus exécrables et plus dangereuses que les autres. Ils parlent d'élections générales anticipées sans la présence du Président de la République qui bénéficie pourtant d'un mandat constitutionnel. Ils parlent de chambardement, de table rase et autres inepties de ce genre.

Bref on vit une situation quasi surréaliste au sein d'une petite frange du Sénat de la République. Ce sont les fantasmes les plus délirants, les déclarations les plus insensées, les plus incendiaires qui fusent de toutes parts au mépris du bon sens de l'élégance, du fairplay politique sans aucun souci de respecter les règles du jeu démocratique et de consolider les institutions républicaines.

C'est l'obsession du chaos qui malheureusement représente la principale source de motivation politique de ces irréductibles. Ils fuient les débats contradictoires qui pourtant représentent la quintessence même de l'univers parlementaire. Ils redoutent plus que tout le combat électoral. Embourbés dans leurs attaques inconsistantes et creuses, tous azimut contre l'administration Martelly et le gouvernement Lamothe, ils s'isolent inexorablement de leurs mandants et de la population qui attendaient autre chose de leur part que cette propension cynique à la politique du pire à l'irrespect et au piétinement constant des engagements pris et à ces arabesques, ces acrobaties lamentables et tourmentées pour fuir leurs responsabilités.

L'attitude de ces six Sénateurs est une déception terrible, une cruelle désillusion, un désenchantement insupportable pour les démocrates de notre pays. Ils n'ont pas su remplir leur contrat vis-à-vis du peuple, de la démocratie et d'eux-mêmes. Ils n'ont pas réussi à s'élever à la hauteur de leur mission. Enfermés dans leur bulle et leurs projets macabres de bousiller le processus démocratique en Haïti, prisonniers de leur égo et aveuglés par la folie du pouvoir, ils préfèrent naviguer dans les eaux troubles de la déstabilisation au lieu d'emprunter les voies salutaires du compromis de l'entente avec l'Exécutif, seules capables de nous conduire vers la paix sociale, la stabilité et le progrès.

Le constat est là, le verdict est cinglant. Ce groupe des 6 c'est un échec cuisant qui a tenté d'entrainer dans sa chute toute une institution. Il n'y est pas parvenu. Une grosse anomalie ébranle aujourd'hui l'institution sénatoriale. Elle exige une correction rapide. Le temps du dilatoire est épuisé. La démocratie ne sera en aucune façon vaincue par le jusqu'au boustisme ni la démagogie. C'est un impératif de prendre toutes les dispositions légales et de puiser dans l'accord d'EL Rancho signé par l'Exécutif, le Parlement et une cinquantaine de partis politiques hautement représentatifs, de l'échiquier politique haïtien, pour donner un grand coup d'accélérateur au processus électoral.

Et ça, l'Administration Martelly et le Gouvernement Lamothe l'ont parfaitement compris… Tant mieux pour la démocratie, tant mieux pour la République, tant mieux pour la population.

Rudy Hériveaux
Ministre de la Communication
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Flash! #Haiti Le nombre d'évadés repris est passé a 59.

Flash! #Haiti Le nombre d'évadés repris est passé a 59.

Haïti - Québec : Don d’équipements pour l’aéroport du Cap-Haïtien


Haïti - Québec : Don d'équipements pour l'aéroport du Cap-Haïtien
En partenariat avec l'Autorité Aéroportuaire Nationale (AAN) en Haïti et avec l'appui de l'Ambassade du Canada en Haïti, Aéroports de Montréal (ADM) annonce un don d'équipements aéroportuaires destiné à l'aéroport de Cap-Haïtien. Environ une centaine de comptoirs d'enregistrement, des balances mécaniques, près de 2 000 chariots à bagages et plus de 500 sièges, tous provenant de l'ancienne aérogare de Mirabel, prennent la route vers Miami à destination finale d'Haïti.

« Grâce à ce don, nous espérons contribuer au développement du réseau aéroportuaire d'Haïti et ainsi améliorer l'offre touristique », a déclaré James Cherry, Président Directeur Général d'ADM. Il s'agit d'un premier envoi de matériel aéroportuaire. D'autres aéroports haïtiens pourraient également bénéficier d'autres équipements disponibles de l'ancienne aérogare, désaffectée depuis 2004.



En savoir plus sur Aéroports de Montréal :
Corporation privée sans but lucratif et financièrement autonome, Aéroports de Montréal est l'administration aéroportuaire locale responsable de la gestion, de l'exploitation et du développement des aéroports internationaux de Montréal-Trudeau et Montréal-Mirabel, depuis 1992.

Source: HL/ HaïtiLibre 

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Le gouvernement veut appliquer l'article 12 au cours de cette semaine


M. Pierre Michel Brunache, porte parole du Premier Ministre, affirme que le gouvernement souhaite réaliser le consensus pour l'application de l'article 12 de l'accord d'El Rancho au cours de cette semaine. D'après M. Brunache il faut que cette disposition, qui permet de passer outre le vote des législateurs, soit appliquée pour que le scrutin puisse être réalisé avant la fin de cette année. 

Chaque partie signataire de l'accord doit assumer ses responsabilités, a insisté M. Brunache faisant référence à la nécessité d'un consensus entre les trois parties pour autoriser l'application de l'article 12. " La prolongation a assez duré il est temps de trancher", a-t-il martelé rappelant que l'accord a été paraphé le 19 mars 2014. 

Les leaders de l'Exécutif multiplient les rencontres avec les acteurs afin d'obtenir ce consensus. Le porte parole du Premier Ministre admet que seul le consensus politique permettra au CEP de réaliser le processus électoral en toute légitimité. 

L'ex ministre de la justice a laissé entendre que le CEP dispose tout de même d'un outil légal pour œuvrer à la réalisation des élections. Il signale que l'article 19.1 de la loi électorale octroi au Conseillers électoraux les prérogatives de déterminer le nombre de postes vacants. 

L'une des options envisagées par le gouvernement est l'application de la loi électorale amendée par la chambre des députés. 

Interrogé sur l'opportunité de recourir à l'article 12 de l'accord d'El Rancho, M. Brunache a fait valoir qu'il faut adopter des décisions politiques dans l'intérêt supérieur de la nation. Le chef de l'Etat est déterminé à réaliser les élections à la fin de cette année, a insisté M. Brunache arguant que tous les moyens légaux et politiques seront mis a contribution. 

LLM / radio Métropole Haïti 


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But you can't fool all the people all the time."
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Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Haïti - Élections: Des partis politiques lancent le Groupe d’appui aux élections

38 partis politiques haitiens, parmi lesquels l'Oganizasyon Lavni, PARASOL, AAA, Confiance, Veye Yo, ont pris la décision de se joindre en un regroupement dont l'objectif est de soutenir le processus électoral en Haiti, appuyer tous les secteurs impliqués afin qu'ils utilisent les moyens disponibles pour réaliser le scrutin à la fin de l'année.

Eric Prevost Junior de l'Oganizasyon Lavni lance un appel à la sagesse des sénateurs opposés à la tenue des élections et invite l'Exécutif et le CEP à assumer leur responsabilité pour aller de l'avant.

Yvon Bonhomme, l'un des chefs de file de ce mouvement se plaint des conséquences néfastes de l'instabilité politique sur l'économie et l'effort de développement en cours. Il fustige le comportement irresponsable des sénateurs.

Dans une adresse à la presse ce matin, à l'Hotel Le Plaza, Eric Prévost Junior, qui parlait au nom du groupe, constate que le parlement se trouve dans l'impossibilité d'amender la loi électorale, compte tenu de la position de blocage systématique affichée par un groupe de sénateurs. Il invite, par conséquent, l'Exécutif à constater l'impasse et user de l'article 12 de l'accord de El Rancho pour organiser les élections dans le pays.

H

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Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

lundi 25 août 2014

AK CSPJ, PAGUEN MWAYEN POU BLOKE JIJ NAN TRAVAY YO!


Paske guen 3 jij kap travay sou plizyè dosye ke ansyen Prezidan Aristide genyen devan lajistis peyi Dayiti:

1- Premyèman, Jij Sonel Jean Francois ap ankete pou lajan Kooperativ pèp la ki te volè ak Abi ki fèt sou timoun nan la Fanmi Selavi.

2- Dezyèman, Jij Ivickel Dabresil, ap ankete sou dosye lanmo Jean Dominique. Li gentan mande arete 9 moun, Mirlande Liberus, Anne Auguste alis So Ann, Markington elatrye. Gen 4 ki deja anba kod.

3- Twazyèman, Jij Lamarre Belizaire ki sou dosye 950 milyon lajan leta ki volè ak zafè blanchiman.

Mwen pa konnen ki Jij kap travay sou sitwayen ke yo te touye lè Lavalas te Prezidan. Moun tankou Mireille Durocher Bertin, Pastè Antoine Leroy, Jounalis Jacques Roche ak Brignol LIndor, Bernard Lauture, General Mayard, Pè Ti Jean elatrye.
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Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
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TOUT-HAITI, Lamothe n'était pas au pouvoir en 2006.- Lisez ce texte de Radio Kiskeya.-

Jean-Bertrand Aristide objet d'investigations aux Etats-Unis pour son implication présumée dans le trafic de drogue

http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article2313


Publié le lundi 3 juillet 2006

Le Miami Herald affirme avoir recueilli d'une vingtaine d'officiels de la justice, d'avocats et d'autres responsables engagés dans les investigations des informations sur "le rôle central qu'aurait joué Aristide dans le narcotrafic et le blanchiment de l'argent sale en Haïti entre 2001 et 2004", la période couvrant les trois années de son second mandat présidentiel avant l'effondrement de son régime le 29 février 2004. Des renseignements très précieux ont été fournis par des haïtiens purgeant actuellement des peines de prison aux Etats-Unis pour leur culpabilité dans des affaires de drogue et qui ont accepté d'offrir "leur collaboration aux autorités américaines". Parmi les exemples concrets de participation directe de l'ancien Président à l'organisation et la coordination du marché de la drogue avancés par les témoins citons :
. Une réunion organisée dans sa résidence début 2001 par Jean-Bertrand Aristide en vue de définir un plan qui devait permettre aux cartels colombiens d'utiliser, moyennant le versement de pots-de-vin, le territoire haïtien comme point de chute des cargaisons de cocaïne en route vers les Etats-Unis.
. Une somme de 500.000 dollars qu'Aristide recevait tous les mois chez lui à Tabarre (banlieue nord de Port-au-Prince) du trafiquant de drogue haïtien Jacques Beaudouin Kétant. La rondelette somme était toujours remise dans une malette dont le code secret était le 7-7-7, le chiffre préféré d'Aristide.
. Un montant de 200.000 dollars américains reçu en 2002 de dealers de drogues qui aurait permis au Président de faire l'acquisition d'un hélicoptère.
. Des centaines de milliers de dollars américains versés par des trafiquants de drogue, en coordination avec le gouvernement, en vue de l'organisation des festivités carnavalesques en février 2002.
Réagissant à ces allégations, l'avocat américain de Jean-Bertrand Aristide Ira Kurzban a qualifié les accusateurs de "menteurs". "C'est inconcevable", s'est écrié Kurzban pour qui les poursuites fédérales dont fait l'objet l'ex-dirigeant Lavalas seraient "politiquement motivées" et alimentées par des "menteurs qui veulent bénéficier d'une remise de peine".
Cependant, selon certaines sources citées par le Miami Herald, une éventuelle extradition d'Aristide vers les Etats-Unis n'est pas à écarter. Ce qui, de l'avis de plusieurs observateurs, libérerait le Président René Préval de la menace que représente un éventuel retour de son ancien mentor.
Une dizaine d'anciens hauts responsables du régime d'Aristide, parmi eux l'ancien président du Sénat haïtien, Fourel Céléstin, et l'ex-directeur général de la Police Nationale d'Haïti, Jean-Nesly Lucien, sont en attente de jugement ou ont été condamnés aux Etats-Unis après avoir été arrêtés en Haïti par des agents de l'Agence fédérale américaine anti-drogue (DEA).
Parallèlement aux accusations portant sur son implication présumée dans le trafic de stupéfiants, Aristide fait l'objet depuis fin 2005 d'une plainte portée par l'Etat haïtien devant un tribunal fédéral de Miami pour des millions de dollars volés au trésor public entre 2001 et 2004. spp/RK
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) dixit Abraham Lincoln.

La fièvre de Chikungunya est en baisse en Haïti


La ministre de la santé Florence Duperval Guillaume annonce que le nombre de cas de chikungunya est actuellement en baisse, au niveau national. 

Dans le même temps Florence Duperval Guillaume déclare suivre attentivement le développement de l'épidémie d'Ebola en Afrique. 

Elle rappelle qu'un plan a été mis en place pour prévenir l'apparition de cette maladie en Haïti et que celui-ci est en cours de renforcement. 

Par ailleurs Le ministère de la santé vient d'émettre une note dans laquelle, il indique qu'il se réserve le droit d'interdire à certains partenaires intervenant de façon sporadique de donner des soins dans le pays. 

Selon Laurence Duperval Guillaume, il s'agit d'un avertissement, elle rappelle à tous les partenaires internationaux l'obligation qui leur est faites d'obtenir une autorisation de la direction départementale de la santé pour exercer en Haïti même pour une courte durée ainsi que celle de fournir un rapport de leur activité à l'issu de leur séjour. 

EJ/Radio Métropole Haïti 


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"You can fool some people sometimes, 
   
  
 
But you can't fool all the people all the time."
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  Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
   
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
   
  ) dixit Abraham Lincoln.

Youri Latortue recommande la mise en veilleuse de certains articles de la loi électorale


Le conseiller du chef de l'Etat, Youri Latortue, soutient que le Conseil Electoral Provisoire (CEP) peut légalement déterminer les postes à pourvoir lors des prochaines élections. L'ex sénateur révèle que l'article 19.1 de la loi électorale de 2013 octroi au CEP les prérogatives d'identifier les sièges vacants avant la tenue du scrutin. 

Pour M. Latortue l'article 240 de la loi électorale qui fait référence au CTCEP n'est plus en vigueur parce que cette entité a été transformée en CEP par l'accord d'El Rancho. " C'est l'article 19.1 le CEP pourvoit à tous les postes vacants, qui tient", argue t-il. 

Cet argumentaire permettrait au CEP de réaliser les élections avec la loi électorale de 2013 sans le vote des amendements. 

Pour M. Latortue l'article 19.1 de la loi électorale renforce l'article 12 de l'accord d'El Rancho. Lors du dialogue inter haïtien les acteurs avaient convenu que les parties peuvent autoriser le CEP à mettre en veilleuse certains articles si le Parlement échoue à amender la loi. 

Le chef de file du Parti Ayiti en Aksyon (AAA) rappelle que l'exécutif, le Parlement et les partis politiques avaient convenu d'adopter des dispositions en vue de la tenue des élections. 

En ce qui a trait aux réserves de plusieurs législateurs, M. Latortue fait remarquer que les deux branches du Parlement n'avaient pas adopté de résolution pour dénoncer l'accord. " Il y a eu des contestations orales mais aucune décision adoptée en séance plénière, donc l'accord et toujours fonctionnel ", insiste t-il. 

LLM / radio Métropole Haïti


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 ) dixit Abraham Lincoln.

Haïti: clinique mobile et don d’ambulances à l’île de la Gonâve

Lors d'une visite à l'île de  la Gonâve où elle s'est rendue, notamment, dans les communes d'Anse-à-Galets et de Pointe-à-Raquette, Sophia Martelly a remis, vendredi, les clés d'une ambulance au Directeur Général de l'Hôpital Wesleyen d'Anse-à-Galets, Daniel Bertrand.  La Première Dame recommande le bon usage du matériel qui, insiste-t-elle, doit desservir toute la population sans exclusion.

La Première Dame a profité de sa troisième  visite à l'île de la Gonâve pour organiser une clinique mobile à Pointe-à-Raquette. 161 personnes, dont 108 adultes et 53 enfants, ont reçu gratuitement des soins et des médicaments, à l'occasion de la Saint Louis Roi de France. Certains patients dont les cas nécessitaient un suivi médical approfondi ont été pris en charge.


En outre, Sophia Martelly a fait don à cette communauté de deux  moto-ambulances afin de desservir les zones les plus reculées de Pointe-à-Raquette.

Sophia Martelly était accompagnée de la ministre de la Santé publique et de la population, Florence D. Guillaume.


Source: Signal FM

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Ice bucket: Stanley Lucas challenge Prezidan Martelly, Nerilia Mondesir ...

Haïti - Justice : Le Juge Lamarre Bélizaire attend toujours l’arrestation de J-B Aristide


Haïti - Justice : Le Juge Lamarre Bélizaire attend toujours l'arrestation de J-B Aristide
Le juge d'instruction Me Lamarre Bélizaire, qui fait l'objet d'une requête de récusation pour « pour incompétence et partialité » par les avocats de l'ex Président Aristide, continu d'instruire son enquête contre l'ex-Président d'Haïti inculpé « [...] de trafic illicite de la drogue, soustraction de deniers publics, forfaiture et concussion, et blanchiment des avoirs » selon les termes du mandat à comparaître émis par le Juge Lamarre Bélizaire http://www.haitilibre.com/article-11805-haiti-justice-j-b-aristide-convoque-devant-la-justice.html . Devant l'absence de J-B Aristide à cette comparution, conformément à la loi (article 30/77 du Code d'instruction criminelle), le Juge d'instruction à émis un mandat d'amener contre l'ancien Président d'Haïti.http://www.haitilibre.com/article-11812-haiti-justice-mandat-d-amener-emis-contre-j-b-aristide.html

Alors que les avocats de l'ex-Président et certains juristes, affirme publiquement que leur la requête de récusation est suspensive et que le Juge de peut poursuivre son instruction, ils omettent bien de préciser que selon l'article 418 du code d'instruction criminelle, même s'il y avait récusation, le Juge ne pourrait arrêter son instruction sauf et seulement, si la Cour de Cassation prenait un arrêt à cet effet, qui serait signifié au Juge. En l'absence de cette éventuelle décision en autant que la Cour de Cassation soit saisie sur cette requête rappelons (la Cour de cassation, n'a aucun délai prévu pour rendre sa décision), la loi autorise le juge à poursuivre son enquête et le mandat émis contre J-B Aristide, reste en vigueur.

D'ailleurs, dans le cadre de son instruction, Me Bélizaire a auditionné vendredi dernier l'ancien Premier Ministre Yvon Neptune et 4 autres personnes citées à comparaître. En outre, Me Lamarre Bélizaire déplore et se montre critique devant la lenteur des services policiers d'arrêter et d'amener, de gré ou de force, a son Bureau l'ex Président Aristide.

Il faut dire qu'au delà du Droit, la situation autour de la résidence de l'ancien Président est très tendue et les risque d'explosion sociale sont bien réelle, sans oublier la dimension politique non négligeable dans ce dossier. Des partisans retranchés derrière des barricades, depuis l'émission du mandat d'amenerhttp://www.haitilibre.com/article-11822-haiti-social-vive-tension-devant-la-residence-de-j-b-aristide.htmlbloquent l'accès à la résidence et se disent déterminés à s'opposer aux forces de l'ordre, pour empêcher l'arrestation de leur leader. Jeudi dernier un regain de tension a été constaté, alors que des véhicules de polices on été aperçus à proximité de la résidence de J-B Aristide.


Source: SL/ HaïtiLibre 


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dimanche 24 août 2014

Santo Domingo- Pedophile : For Nuncio Accused of Abuse, Dominicans Want Justice at Home, Not Abroad

For Nuncio Accused of Abuse, Dominicans Want Justice at Home, Not Abroad

Slide Show | A Familiar Figure on the Santo Domingo Waterfront The Vatican ambassador who serves as a personal envoy of the pope has been accused of sexually abusing minors in the Dominican Republic

By LAURIE GOODSTEIN
August 23, 2014
SANTO DOMINGO, Dominican Republic — He was a familiar figure to the skinny shoeshine boys who work along the oceanfront promenade here. Wearing black track pants and a baseball cap pulled low over his balding head, they say, he would stroll along in the late afternoon and bring one of them down to the rocky shoreline or to a deserted monument for a local Catholic hero.

The boys say he gave them money to perform sexual acts. They called him "the Italian" because he spoke Spanish with an Italian accent.

It was only after he was spirited out of the country, the boys say, his picture splashed all over the local news media, that they learned his real identity: Archbishop Jozef Wesolowski, the Vatican's ambassador to the Dominican Republic.

"He definitely seduced me with money," said Francis Aquino Aneury, who says he was 14 when the man he met shining shoes began offering him increasingly larger sums for sexual acts. "I felt very bad. I knew it wasn't the right thing to do, but I needed the money."

The case is the first time that a top Vatican ambassador, or nuncio — who serves as a personal envoy of the pope — has been accused of sexual abuse of minors. It has sent shock waves through the Vatican and two predominantly Catholic countries that have only begun to grapple with clergy sexual abuse: the Dominican Republic and Poland, where Mr. Wesolowski was ordained by the Polish prelate who later became Pope John Paul II.

It has also created a test for Pope Francis, who has called child sexual abuse "such an ugly crime" and pledged to move the Roman Catholic Church into an era of "zero tolerance." For priests and bishops who have violated children, he told reporters in May, "There are no privileges."

Mr. Wesolowski has already faced the harshest penalty possible under the church's canon law, short of excommunication: on June 27, he was defrocked by the Vatican, reducing him to the status of a layman. The Vatican, which as a city-state has its own judicial system, has also said it intends to try Mr. Wesolowski on criminal charges — the first time the Vatican has held a criminal trial for sexual abuse.

But far from settling the matter, the Vatican has stirred an outcry because it helped Mr. Wesolowski avoid criminal prosecution and a possible jail sentence in the Dominican Republic. Acting against its own guidelines for handling abuse cases, the church failed to inform the local authorities of the evidence against him, secretly recalled him to Rome last year before he could be investigated, and then invoked diplomatic immunity for Mr. Wesolowski so that he could not face trial in the Dominican Republic.

The Vatican's handling of the case shows both the changes the church has made in dealing with sexual abuse, and what many critics call its failures. When it comes to removing pedophiles from the priesthood, the Vatican is moving more assertively and swiftly than before. But as Mr. Wesolowski's case suggests, the church continues to be reluctant to report people suspected of abuse to the local authorities and allow them to face justice in secular courts.

The Vatican says that because Mr. Wesolowski was a member of its diplomatic corps and a citizen of the Holy See, the case would be handled in Rome. But even many faithful Catholics in this nation, home to the oldest Catholic cathedral in the Americas, say they are unsettled that a Vatican official could have been using children for sex, yet was not arrested and tried in their own country.

"From the pure standpoint of justice, he should be tried in the country where the acts took place because the conditions for trying him will not be the same elsewhere," said Antonio Medina Calcaño, dean of the faculty of law and political science of the Autonomous University of Santo Domingo. "But all we can do is hope that the courts in the Vatican will treat this with the severity that it really deserves."

The Vatican spokesman, the Rev. Federico Lombardi, did not say when the Wesolowski trial will start, who is representing the former nuncio, or whether he is at liberty while he awaits trial. Under Vatican law, sexual abuse charges can bring a maximum of 12 years in prison and a fine of nearly $200,000.

A Dominican bishop, Victor Masalles, visiting Rome in late June, said in a Twitter message that he was surprised to see Mr. Wesolowski "strolling the Via della Scrofa," in the city's picturesque ancient center. He added, "The silence of the Church has hurt the people of God."

A Man Known as 'The Italian'

The waterfront promenade in the Dominican capital is dominated by a 50-foot monument to the 16th-century Spanish friar Antonio de Montesinos, dressed in robes and preaching the fiery sermon that made him famous: denouncing the slavery and abuse of the indigenous people by their Spanish colonists.

It was at the heel of this colossus, on the deserted upper plaza in the shadow of the friar's robes, Mr. Aquino said, that he was often molested by the man he knew as "the Italian." The man always chose a bench that would allow him to see the rare visitor coming up the staircase, and would watch the boy masturbate, would touch him or would touch himself, said Mr. Aquino, now 17. Other times, they went to the rocky beach below the statue.

Mr. Aquino, whose family is originally from Haiti, left school in the eighth grade, earning $1.50 on a typical weekday by shining shoes. But he said that the man gave him more than $10 the first time they met, in 2010, to shine his shoes and to swim naked in the ocean while Mr. Wesolowski watched.

The man returned often over the next six weeks, Mr. Aquino said. But gradually the man wanted more, giving him from about $25 to as much as $135, as well as sneakers and a watch, for sexual acts. They met on and off over three years, Mr. Aquino said, but the man revealed little more than his first name, which he gave as "Josie."

There is a mix of shame and anger among the shoeshine boys who say they knew the man. Darwin Quervedo, who is 14, said haltingly, with eyes downcast, that when he was 11, the man gave him more than $25 to watch him masturbate down by the beach. He said he felt scared, and never did it again.

When he learned much later of the man's identity, Darwin said he thought to himself, "What kind of a man who is a priest does things like this?"

The promenade is a popular stretch for tourists and joggers. But it is also frequented by those seeking children and young men for sex. With all this activity, Mr. Wesolowski, in his track suit and running shoes, did not at first attract inordinate attention. He also chose his victims carefully, the shoe shiners said.

"He wasn't interested in me," said Robin Quello Cintrón, 23. "He said I was too old, that he liked the younger ones."

"I warned the younger kids, 'Don't go with him,' " said Mr. Cintrón, adding, "But the money tempted them."

Curbing child sexual exploitation is a pressing issue in the Dominican Republic and many countries, and the Catholic Church is among the many religious institutions that have taken up the cause.

In March, Pope Francis signed onto a campaign with other global religious leaders to fight all forms of human slavery, including child prostitution. This month, he sent a message for the opening of a refuge in Argentina for young victims of sexual exploitation.

Still, two United Nations panels in Geneva examining the church's record on child sexual abuse questioned the Vatican this year about its handling of the Wesolowski case.

Mr. Wesolowski, 66, was ordained at 23 in Krakow by Archbishop Karol Józef Wojtyla, who later became Pope John Paul II. In 1999, he was appointed papal nuncio to Bolivia, and in 2002, he was reassigned to Kazakhstan, Tajikistan, Kyrgyzstan and Uzbekistan.

In 2008, he was sent to the Dominican Republic. Mr. Wesolowski served as a ceremonial dean of the international diplomatic corps here, convening an annual party in honor of the country's president. The posting came with a stately residence and access to a beach house.

On the waterfront, Mr. Wesolowski attempted to disguise his rank, the boys say. He drove a small gray-green Suzuki sport utility vehicle with rosary beads hanging from the rearview mirror, they recalled, and parked it near the monument in the colonial zone, where several streets are named for archbishops.

One day last year, Nuria Piera, a prominent television journalist, received a tip that the papal nuncio drank beer many afternoons at a waterfront restaurant, then went off with young boys.

Ms. Piera sent a video crew to surreptitiously film the nuncio, she said in an interview at CDN, where she is general director. The crew shot some video of Mr. Wesolowski drinking alone and walking the promenade, Ms. Piera said, but he noticed their presence (though not the camera), walked over, smacked his hand against their car and asked why they were following him.

After that, Ms. Piera said, he disappeared from the waterfront. Her tipster never saw him there again.

"I suspected that there may have been a leak from our own office," Ms. Piera said.

Mr. Wesolowski began sending a young Dominican church deacon to procure children for him, law enforcement authorities in the Dominican Republic say.

The deacon, Francisco Javier Occi Reyes, was arrested by the police on June 24, 2013, accused of solicitation of minors and taken to jail. But no one came to bail him out, and the deacon sent an anguished letter dated July 2 to Mr. Wesolowski, to be delivered to him by hand at his office.

"We have offended God" and the church, the letter said, by sexually abusing children and adolescents "for crumbs of money." The deacon wrote that he had agreed to find child victims for the nuncio so that "your sexual appetite can be satiated," but that he was now asking God for forgiveness.

"Hopefully you will consider asking for God to help you to walk away from this evil disease of continuing to sexually abuse innocent children," the letter said, according to a copy obtained by The New York Times from a Dominican Justice Ministry official.

The deacon sent copies of the letter to Cardinal Nicolas de Jesus López Rodriguez, the head of the church in the Dominican Republic, and to a Dominican bishop, Gregorio Nicanor Peña Rodríguez. The cardinal then carried the evidence to the Vatican, where he met directly with Pope Francis, according to interviews with the Dominican authorities. On Aug. 21 last year, Mr. Wesolowski was secretly recalled to Rome.

Six days later, the cardinal called the papal nuncio "a great friend and promoter of peace."
Neither the cardinal, nor other church officials, reported the allegations to the local authorities, Dominican officials say. Vatican guidelines say that criminal sexual abuse accusations should be reported in countries where reporting is required.


Soon after, church officials here told local news media that Mr. Wesolowski had been recalled because of the allegations against him, prompting Cardinal Rodriguez to confirm that he had gone to the Vatican to address the matter. He and other church officials denied requests for an interview.

'The Most Terrible Case'

The district attorney, Ms. Reynoso, said her investigators had identified four children aged 12 to 17 with whom the nuncio had sexual contact, but that there were likely others.

The 17-year-old had epilepsy, and the nuncio gave him medicine for his condition in exchange for sexual acts, starting from when the boy was 13, the district attorney said. She said she had "no doubt" about the credibility of the youths' testimony, because it was corroborated by other evidence.

"This is the most terrible case that I have ever seen," said Ms. Reynoso. "He was abusing kids who were living in extreme poverty, in exchange for pills for a boy's illness. It's very perverse."
The Vatican sent someone to the Dominican Republic last October to look into the case, but they made no contact with the district attorney or anyone in her office, Ms. Reynoso said. She forwarded her report to the country's attorney general, who forwarded it to the Vatican.

Ms. Reynoso said the case should have been prosecuted in the Dominican Republic. "These children who were abused, and their families, and the Dominican society, have a legitimate right to see Jozef Wesolowski judged by a jury — not as a diplomat, but for what he really is," she said. "A child abuser."

Mr. Brito, the attorney general, said he trusted that the Vatican would apply the "appropriate discipline." He said he did not seek to have Mr. Wesolowski extradited because he has diplomatic immunity, and "the law would not allow it."

According to experts in international law, the Vatican could have waived diplomatic immunity. In Santo Domingo, there have been small protests and petitions signed by more than a thousand people calling on the Vatican to extradite Mr. Wesolowski to the Dominican Republic. Advocates have accused the government of acquiescing to the church. "We think there has been a lot of impunity in this case, and no transparency," said Sergia Galván, executive director of the Women and Health Collective, which represents abuse victims. "If he's no longer a diplomat, if he was stripped of that title, he no longer has immunity."

The case has reverberated in Poland, where prosecutors have sought to extradite Mr. Wesolowski, who holds both Vatican and Polish citizenship. Poland has indicted another Polish priest, the Rev. Wojciech Gil, who fled the Dominican Republic last year amid allegations that he abused altar boys in his rural parish. Prosecutors in the Dominican Republic say that Father Gil and Mr. Wesolowski spent time with young boys at the nuncio's beach house.

There are indications from Rome that the pope himself is concerned about the Wesolowski case. A Dominican bishop, Fausto Ramón Mejía, said in an interview that when he was part of a delegation visiting the Vatican late last year, Pope Francis' smile vanished on hearing what country he was from.

"He became very serious," said Bishop Mejía. "He stopped and he said to me, very sincerely, 'I feel as though my heart was crossed by a dagger from what took place in the Dominican Republic.' "
The case has shaken this stalwart Catholic nation, but the church has said little. In one group photograph released by the Dominican bishops, Mr. Wesolowski's face appeared to have been removed from the picture.

"The people used to say, 'I want my child to go to a Catholic church,' " said the Rev. Rogelio Cruz, a Catholic priest here. "Now they say, 'No child of mine is ever going to a Catholic church.' "
Ezra Fieser and Meridith Kohut contributed reporting from Santo Domingo, and Gaia Pianigiani from Rome.

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.