jeudi 21 septembre 2017

#Haiti : Cyrus Sibert a toujours une longueur d’avance sur les pédants et les “raconteurs de faits” limités.-

#Haiti : Wadson Désir doit comprendre que Cyrus Sibert a toujours une longueur d’avance sur les pédants et les "raconteurs de faits" limités.-

Pour l’édification du Journaliste Wadson Désir, rappelons que l’ex-DGPNH Mario Andrésol a obtenu seulement 7,251 soit 0,46% (moins de 1%) sur 1,538,393 votes valides, alors que les votes nuls représentaient 22,161 voix.

Un journaliste doit pouvoir établir la différence élémentaire entre FAIT et OPINION. Il peut toujours avoir son opinion sur un FAIT, cependant, il ne peut pas altérer la vérité autour de ce FAIT.

C’est facile de dire que “les articles de Cyrus Sibert sont truffés de mensonges et de calomnies”, mais, impossible de changer les vérités factuelles qui y sont insérées :
Mario Andrésol n’est pas populaire au sein de la Police Nationale d'Haiti (PNH).

Dans l’histoire de la politique, on n’avait jamais vu avant, un ancien Commandant en Chef d’une force publique de 12,946 hommes et femmes, réaliser moins de 1% des voix dans une élection sécurisée par cette dite force.

Si Andrésol était populaire, il aurait pu obtenir le vote des policiers, le vote des membres de leur famille, le vote de leurs amis et le vote de nombreux citoyens qui comptent sur eux dans les communautés où ils exercent une certaine forme de leadership en matière de sécurité publique.

Wadson Désir ne peut pas combattre cette vérité en racontant des âneries sur Cyrus Sibert. De plus, dire que la majorité des policiers sont des corrompus et que seuls Mario Andrésol et son clan étaient des honnêtes gens de la PNH, est une monstruosité qui dépasse l’entendement.

Dans sa dernière lettre au #DGPNH Michael Gédéon, le politicien Andrésol s’est comporté en fauteur de trouble, en appelant le Commandant de la Police à résister au pouvoir civil. L’ex-officier des Forces Armées d’Haiti connait très bien la portée de ce message lancé dans un contexte de méfiance entre des autorités policières et certains responsables du pouvoir civil.

Ce n’est pas un conseil sage de la part d’un ex-DGPNH qui a passé 3 mandats à la tête de l’institution policière. Imaginez un moment, le Chef de l’État qui face à l’arrogance de l’actuel DGPNH, manipulé par Andrésol, lui demande publiquement de démissionner? Le pays se retrouverait dans une situation de tension et de confrontation ouverte.

Monsieur Michael Gédéon n’a d’autre choix que de rassurer les uns et les autres, rassurer le Président, les parlementaires, la population en faisant son travail, conformément à la loi. S’il a des contraintes matérielles ou financières, il doit le dire aux autorités responsables.

En ce sens, il fallait dénoncer Andrésol qui cherchait habilement à manipuler le Premier Commandant civil de la PNH. Nous l’avons fait, n’en déplaise aux comploteurs qui attendaient le résultat explosif.

De plus, Andrésol a insinué dans sa lettre que les casseurs du 12 septembre 2017, étaient des partisans du pouvoir qui voulaient acculer Michael Gédéon. Une manoeuvre irresponsable et méchante, du pur vagabondage qu’il fallait détruire dans l’oeuf.

Wadson Désir doit comprendre que Cyrus Sibert a toujours une longueur d’avance sur les pédants et les "raconteurs de faits" limités.

Le lecteur déterminera entre nous, lequel des deux dit la vérité.


@CyrusSibert // @ReseauCitadelle // WhatsApp : 509-3686-9669

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