lundi 11 juillet 2011

Lundi 11-07 / Haiti + HT-QC + 115 médecins haïtiens + services postaux + Yéle...

Haïti - Patrimoine : Révision de la loi haïtienne sur la protection du patrimoine bâti
Haïti - Patrimoine : Révision de la loi haïtienne sur la protection du patrimoine bâti
11/07/2011 14:44:47
...processus de révision de la loi, dans le cadre des projets entrepris par l'UNESCO et ses partenaires, pour atteindre l'objectif de faire de la culture un élément essentiel pour la reconstruction d'Haïti...
http://www.haitilibre.com/article-3356-haiti-patrimoine-revision-de-la-loi-haitienne-sur-la-protection-du-patrimoine-bati.html
Haïti - Culture : La comédienne haïtienne Jacqueline Scott-Lemoine nous a quitté
Haïti - Culture : La comédienne haïtienne Jacqueline Scott-Lemoine nous a quitté
11/07/2011 14:18:02
Née le 28 octobre 1923 à Port-au-Prince, Jacqueline Scott, après son Baccalauréat, a suivi une formation de comédienne au Centre d'art dramatique et au Conservatoire d'art dramatique de Port-au-Prince...
http://www.haitilibre.com/article-3355-haiti-culture-la-comedienne-haitienne-jacqueline-scott-lemoine-nous-a-quitte.html
Haïti - Culture : Le film «Croix des Bouquet» vise le Festival de Canne 2012
Haïti - Culture : Le film «Croix des Bouquet» vise le Festival de Canne 2012
11/07/2011 13:02:21
Malgré le retard pris dans le tournage de son film, Marie-Ange Barbancourt garde espoir de terminer en février 2012 afin d'inscrire « Croix des Bouquets » à l'évaluation des longs métrages pour le Festival de Cannes...
http://www.haitilibre.com/article-3354-haiti-culture-le-film-croix-des-bouquet-vise-le-festival-de-canne-2012.html
Haïti - Éducation : Yéle Haïti et HVS lancent un programme de formation en hospitalité
Haïti - Éducation : Yéle Haïti et HVS lancent un programme de formation en hospitalité
11/07/2011 12:07:13
La Fondation Yéle Haïti a annoncé une alliance avec HVS, le leader mondial en conseil et services axés entre autres, sur les hôtels et les restaurants, pour lancer un projet pilote de formation professionnelle d'hospitalité dans le domaine touristique...
http://www.haitilibre.com/article-3353-haiti-education-yele-haiti-et-hvs-lancent-un-programme-de-formation-en-hospitalite.html
Haïti - Reconstruction : Les services postaux s'améliorent
Haïti - Reconstruction : Les services postaux s'améliorent
11/07/2011 09:57:25
Un an après l'ouverture du nouveau Centre de traitement du courrier à Port-au-Prince, la poste se relève peu à peu. Quelque 87 employés travaillent au Centre postal, lieu de collecte et de desserte pour tous les envois arrivants et sortants du pays...
http://www.haitilibre.com/article-3352-haiti-reconstruction-les-services-postaux-s-ameliorent.html
Haïti - Cuba : 115 nouveaux médecins haïtiens diplômés
Haïti - Cuba : 115 nouveaux médecins haïtiens diplômés
11/07/2011 09:15:55
Avec la graduation de 115 nouveaux médecins haïtiens, la semaine dernière, le nombre total de médecins haïtiens, diplômés de l'Université des Sciences médicales de Santiago à Cuba, s'élève maintenant à 731...
http://www.haitilibre.com/article-3351-haiti-cuba-115-nouveaux-medecins-haitiens-diplomes.html
Haïti - Québec : Mission des municipalités en Haïti
Haïti - Québec : Mission des municipalités en Haïti
11/07/2011 08:43:30
Selon le Maire de Rimouski, les municipalités québécoises peuvent partager leurs expertises en gestion financière, en ressources humaines et également mettre à contribution leurs connaissances dans la gestion des titres de propriété qui demeure un...
http://www.haitilibre.com/article-3350-haiti-quebec-mission-des-municipalites-en-haiti.html


Cinquante millions d’euros de l’Espagne au commerce et aux PME en Haïti

Constitution d'une équipe de dignitaires internationaux pour promouvoir l'image d'Haïti et attirer des investissements

Publié le dimanche 10 juillet 2011

Le président Michel Joseph Martelly informe que le gouvernement de José Luiz Rodriguez Zapatero, 3ème plus grand bailleur du pays depuis le séisme du 12 janvier 2010, a décidé de constituer, via la Banque Interaméricaine de Développement (BID), un fond de 50 millions d'euros destiné à financer le petit commerce, les petites et moyennes entreprises en Haïti.

Madrid projette également d'ouvrir en Haïti une école de formation de maitres, en vue du relèvement du niveau de l'enseignement dans le pays.

Commentant cette dernière promesse du gouvernement espagnol, Martelly a de nouveau annoncé l'école gratuite, dès septembre prochain, pour 100.000 enfants.

Il a fourni des détails sur les rencontres et discussions qu'il a eues avec les autorités espagnoles, dont le roi Juan Carlos et les responsables des puissants clubs de football Real Madrid et Barcelone FC.

M. Martelly indique avoir clairement précisé à ses différents interlocuteurs qu'il s'opposait à l'assistanat envers Haïti et à l'octroi systématique de dons. Il affirme avoir plutôt préconisé les investissements directs étrangers, et notamment espagnols.

Il a annoncé la visite prochaine en Haïti de la reine Sofia d'Espagne qui avait visité le pays une première fois en janvier 2009.

Michel Joseph Martelly a par ailleurs annoncé la constitution d'une équipe de dignitaires internationaux chargés de promouvoir l'image du pays et attirer des investissements. Selon le chef de l'Etat, en attendant la nomination de personnalités haïtiennes au sein de ladite équipe, l'équipe est pour le moment composée de l'ancien président américain Bill Clinton, de l'ancien président du gouvernement espagnol Jose Maria Aznar, de l'ex-premier ministre jamaïcain Perceval J. Patterson et du PDG pour Haïti de la firme de téléphonie mobile DIGICEL.

A noter que deux de ces personnalités (Clinton et Patterson) font déjà partie de la Commission Intérimaire pour la Reconstruction d'Haïti.

Contemplant les perspectives de la coopération avec l'étranger, M. Martelly a de nouveau déploré que plus de 4 milliards de dollars de l'aide promise après le séisme ont été dépensés sans que des résultats concrets aient été enregistrés.

En tout état de cause, il considère que, par rapport aux perspectives de la coopération internationale, la balle est désormais dans le camp des haïtiens. L'avenir du pays dépend des actes qu'ils poseront aujourd'hui, déclare-t-il.

Interrogé sur les raisons et le cout de ses fréquents voyages à l'étranger à bord de jets privés, M. Martelly a référé les journalistes à l'administration de la présidence pour avoir des précisions. Il soutient que, dans certains cas, il est moins couteux pour un groupe d'officiels de voyager en avion privé qu'en première classe à bord des lignes commerciales. [jmd/Radio Kiskeya]

Quid d’un Grand Débat Au Parlement: Bernard H. Gousse Vs. LAVALAS?

Quid d'un Grand Débat Au Parlement:

Bernard H. Gousse Vs. LAVALAS?


(A Willy POMPILUS)


J'ai noté certains points lucides de haute importance tels que « Gousse serait-il en mesure de gérer les contradictions actuelles ou réparer le tissu social, réconcilier le pays et travailler en faveur de la paix et la concorde » et vous d'ajouter intelligemment « on pourrait lui donner l'opportunité de présenter son programme de gouvernement. Il a ce droit comme citoyen, il doit l'exercer. » Dès la première lecture de votre mèl, j'étais choqué en voyant « empoisant Gérard Jean-Juste » puis j'ai remarqué « emprisonné » dans le même paragraphe. J'ai essayé de comprendre « emprisonner » au lieu d'empoisonner surtout que le Père Jean-Juste est mort. Donc, j'ai pris pour acquis que ce fut « emprisonné ». Bref, avançons !


Oui, le Père Jean-Juste fut emprisonné tout comme il fut excommunié par l'Eglise Catholique pour des raisons propres à ses règlements internes. Le Père Gérard Jean-Juste fut un militant Lavalas qui a fait la prison mais il était « présumé innocent. » Ne l'oublions jamais. Jusqu'à ce qu'il fut transféré en Floride pour les soins médicaux selon les recommandations du Professeur de Harvard University, Jean-Juste en a profité pour se soigner et il a fui la prison. Malheureusement, le cancer eut gain de cause, il est mort. Ce que l'on feint d'ignorer de Jean-Juste c'est qu'il fut accusé pour avoir détenu des armes illégales chez lui. Il n'a jamais pu expliquer pourquoi et comment ces armes étaient illégalement stockées chez lui. Lors de la mort de Jacques Roche, Père Jean-Juste fut arrêté au risque d'être lynché par la foule car les parents, amis et alliés frustrés de l'enlèvement de leur chouchou-poète Jacques Roche crurent que la présence de Jean-Juste aux funérailles fut une provocation.


Ce qui parait sensationnel dans ce que je lis sur Internet à propos de l'après-29 février 2004, c'est le jeu de PERCEPTION sur CRIMES ou NON-CRIMES. Certains s'amusent à nier qu'il y eut des morts et des blessés lors du massacre de la Scierie à Saint-Marc. Certains arrivent jusqu'à nier Opération Bagdad I et II alors que le Sénateur Jean-Hector ANACASIS a confessé qu'il fut impliqué directement dans cette guérilla urbaine.


Le RNDDH, dans sa note de février 2009, dénonce le Sénateur du Nord, en la personne de Moise Jean-Charles pour des crimes perpétrés dans le passé. C'est ce même Moise Jean-Charles qui aujourd'hui prend sa trompette radiophonique en lançant les slogans «Tous repoussent Gousse, Gousse Pap Pasé (GPP), Nap degoussé Gousse ».


A entendre ces slogans de la bouche du Sénateur qui fait campagne pour une pétition signée par 16 sur 30, je me demande si Haïti est toujours cette veille République de 207 ans ayant la traduction des Grands Hommes de LOI. Les Sénateurs votent mais ne pétitionnent pas en trainant leurs voix à la radio. Les mandants d'un Sénateur peuvent s'arranger pour trouver 10,000 signatures et font la pression au nom de son département géographique pour soumettre ladite pétition. Quand même! 16 Sénateurs pétitionnent… C'est du n'importe quoi. Juridiquement, c'est NUL. Dans quel pays, sommes-nous ? Il semble que les espaces du SENAT sont fermés? Ca m'étonne que Joseph LAMBERT et Kelly BASTIEN aient laissé passer de telles bavures. Où lit-on pareille chose dans les règlements internes? Pardon my ignorance!


Si selon Moise Jean-Charles «Tous repoussent Gousse», nous devrions comprendre qu'il a au moins un outil en mains qui est le VOTE. Pourquoi ne peuvent-ils pas attendre?


Malgré votre position anti-Gousse, au moins, vous avez compris que le Parlement pourrait faire un Grand Débat sur « Le Gousse, Garde des Sceaux de la République, de mars 2004 à Juin 2005 ». Je vous en félicite ! Les Sénateurs, s'ils voulaient être plus élégants pour construire la démocratie réelle, ils auraient au moins l'occasion de lancer un Grand Débat National sur ce que vous avez suggéré comme suit :

- Bernard H. Gousse, est-il capable de recoudre le tissu social ?

- Bernard H. Gousse, admet-il les erreurs judiciaires lors de son passage au Ministère de la Justice? Quelles sont les leçons apprises vers la construction du futur de notre Nation ?

- Bernard H. Gousse, va-t-il poursuivre la réforme judiciaire telle qu'il l'a initiée?

- Bernard H. Gousse, sera-t-il en mesure de faire un « chita tande » avec tous les secteurs Lavalas et anti-Lavalas ?

- Bernard H. Gousse face à la Reconstruction dans le contexte du Changement que prône le Président Michel J. Martelly?

Au lieu de nous livrer ce Grand Débat au regard du contexte actuel, c'est le maché presé dans le chen manjé chen sans regarder le pays dans une perspective de Giga-Vision. Encore une fois, nou meleu… Les pétitions font l'affaire des mandants comme Willy Pompilus, nèg Nord'Est et JJ JOSEPH nèg l'Ouest mais les Parlementaires sont élus pour voter en assemblée. Un point. Un trait. Ce n'est pas la radio érigée en Parlement où l'on écoute incessamment des chaines de monologues successifs. Le journaliste qui les tolère s'amuse à questionner : Sénateur ou Député « Kisa'w panse de… » Eh bien nou gen yon slogan « Nap degousé Gousse »


Alors que Moise Jean-Charles claironne « Tous repoussent Gousse », le Président Martelly a dit au journaliste de RFI « C'est Gousse que je VEUX… il a été sélectionné parmi les 10»


Quelles sont les conséquences de « Gousse Pap Pasé (GPP) »?

- Le Gouvernement liquide les affaires courantes et le Parlement n'a aucun regard de contrôle sur les Ministres sortants. Ca veut dire qu'un Ministre peut dépenser 10 millions de gourdes sans passer par la Commission Nationale de Marchés Publics (CNMP), aucun Sénateur ou Député n'a le droit de l'interpeller, le limoger de ses fonctions. Donc sans un Gouvernement légitimité (Premier Ministre + Ministres), le Parlement est sur les chaises roulantes dans le sens qu'il ne peut que contrôler ce qui est contrôlable. Plus qu'il n'existe aucun Premier Ministre légitimement voté par le Parlement, le rôle de « contrôle » est NUL jusqu'à nouvel ordre.

- Le même Parlement a le pouvoir de légiférer. Pour légiférer, il faut que le Projet de loi, dans la majorité des cas soit issu après analyses de l'Unité Juridique de la Primature, puis déposé sur le Bureau du Premier Ministre pour avis, ensuite être proposé au Conseil des Ministres pour discussions/débats, puis le ministre de tutelle dépose ce Projet de Loi par devant les deux chambres. J'ai bien dit : la plupart des cas. Par surcroit, sans un Gouvernement légitimé (Premier Ministre + Ministres), le Parlement est aussi en panne de LEGIFERER. Même s'il légiférait une ou deux lois sans le Premier Ministre frais et moulu du Président Martelly, il faudra la promulgation du Président en Conseil des Ministres. Alors là, entre vous et moi, dans ce traintrain de confrontation, même si le Parlement envoyait la meilleure loi du monde au Palais National, soyez en assuré que le Président n'allait pas signer.

Je veux dire comme vous « Le Parlement devrait laisser à Bernard H. Gousse l'exercice de défendre sa Politique Générale ou le guillotiner lors de ses deux séances… » Ce serait une occasion en or pour eux de se défouler dans l'espace d'un Grand Débat National : Bernard H. Gousse vs. Lavalas.


Si Michel J. Martelly est conscient de son pouvoir, il peut laisser claironner tous les bruits du monde par les Parlementaires et rester calme. Le Parlement sans en être conscient n'existe vraiment pas dans « un vide institutionnel ». Pour finir, admettons que c'était Jean-Henry CEANT et le Président, de son coté décidait de choisir à lui seul 18 Ministres qui lui sont chers et proches. Dans cette éventualité, Céant serait seul. Le voterait-il? Que feraient-ils? Avec Bernard H. Gousse, le Président peut céder autant de Ministères que ces messieurs veulent sauf ce qui suit : Economies/Finances, Affaires Etrangères, Education, Affaires Sociales, Agriculture, Justice, Intérieur. Dans leur slogan « Tous repoussent Gousse », les parlementaires s'affaiblissent au lieu de se renforcer sans s'en rendre compte.


Kenbe fèm. Kenbe rèd ! En attendant, nap debat tèt fret!

Jean-Junior JOSEPH

Le 11 juillet 2011

dimanche 10 juillet 2011

Yon organizasyon popilè lanse manifestasyon nan vil Okap pou jou mercredi 13 juillet 2011 pou mande palmantè yo debloke peyi a.

@reseaucitadelle Yon organizasyon popilè lanse manifestasyon nan vil Okap pou jou mercredi 13 juillet 2011 pou mande palmantè yo debloke peyi a. Elusca Charles se porte parole mouvman an.
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* "Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)

* « Si tu as la volonté, ta force sera à la mesure de ton désir » Proverbe Arabe.

Memo uncovered ... In February 1984, Religious Superior told Brother Michael Geilenfeld not to return to Haiti

MEMO UNCOVERED...

IN FEBRUARY 1984, THE RELIGIOUS SUPERIOR OF THE MISSIONARIES OF CHARITY
REMOVED BROTHER MICHAEL GEILENFELD FROM HAITI, PLACED HIM ON A LEAVE OF
ABSENCE AND INSTRUCTED GEILENFELD NOT TO RETURN TO HAITI.

July 10, 2011

In early 1984, the Religious Superior of the Brothers of the Missionaries of Charity removed Brother Michael Geilenfeld from Haiti and placed Brother Michael on a one year "leave of absence" with the stipulation that Geilenfeld not return to Haiti during that time while Geilenfeld was still a member of the Missionaries of Charity (see memo).

According to the February 8, 1984 memo (see attachment), Brother Michael and Brother Andrew (Superior) had a "disagreement on some points or details" as to the reasons why Geilenfeld was removed and not permitted to return to Haiti.

The Brothers of the Missionaries of Charity initially sent Geilenfeld to Haiti in early 1983. Geilenfeld rented a two room house and brought in six Haitian street kids to live with him in his newly established "orphanage" in Port au Prince.

During that year, it is alleged that Geilenfeld sexually abused the boys living with him. Reports of the abuse of these and other boys found their way back to the Superior who took action by removing Geilenfeld from Haiti.

In early 1985, Geilenfeld left the Brothers of the Missionaries of Charity, returned on his own to Haiti and regrouped with the very same children he allegedly sexually abused during 1983.

Hearts with Haiti (www.heartswithhaiti.org) and other organizations who provide financial support to Geilenfeld's orphanage never mention in their "promos" the truth about what transpired in the two years before Geilenfeld returned on his own to Haiti in early 1985.

Paul Kendrick
Freeport, Maine
207 838 1319

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Transcript of attachment

Feb. 8, 1984

To Br. Michael Geilenfeld M.C.,

Dear Brother Michael,

In response to your letter of today's date
after our conversation, I hereby grant you leave of absence
for one year from today - in your own words - "to discern
more clearly what God is saying to me at this point in my life".

One thing that I ask is that you do not
visit Haiti in that time while you are still a member of the
Missionaries of Charity.

You asked for my prayers, and I assure you
that you will be in my prayers and, I am sure, in the prayers
of many of your brothers who know you so well and love you -- a
a love that has not been denied or contradicted by any disagree-
ment on some points or details.

I shall inform the brothers officiaily of your status.

With love and prayers

Your brother in Christ,

Andrew M.C.

(General Servant)

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* "Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)

* « Si tu as la volonté, ta force sera à la mesure de ton désir » Proverbe Arabe.
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"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert
Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles?
Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle.
WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.)

Mandat d'arrêt d'un juge d'instruction contre Moise Jean-Charles.

Document disponible au bas de notre page web: www.reseaucitadelle.blogspot.com
Mandat d\


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"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert
Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles?
Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle.
WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.)

Le Parlement empêche au Pays d'avancer par Emmanuelle Gilles

Neutraliser le Pouvoir de Préval au Parlement

 

Par Emmanuelle Gilles,


Dissoudre le Parlement est le seul moyen de neutraliser le pouvoir de Préval et ses intentions d'influencer la politique haïtienne au niveau du parlement.   Autrement, le pays n'avancera pas d'un iota et on aura 5 ans de jeux politiques habituels et un petit groupe qui s'enrichit au détriment du pays et de son peuple. »


La défaillance de nos Institutions ainsi que notre proximité des Etats Unis encouragent l'arrivée chez nous des gangs et des armes à feu à la portée d'une population affamée, ce qui déstabilise le pays davantage sous des gouvernements indifférents et insouciants. Cependant, le succès du capitalisme demeure un mystère pour nous et n'est pas à notre portée aussi facile que la prolifération des gangs.  Leurs modèles de développement et d'investissement ne seront jamais préconisés par ces partenaires occidentaux. 


Pour sauver Haïti, il nous faut :


-          Refaire la constitution qui serait soumise à un référendum dans laquelle des conditions sérieuses et plus adaptées à notre réalité seraient fixées pour accéder à la présidence et au parlement ;

-            Création d'un climat de sécurité – promouvoir un Etat de droit - démantèlement des gangs par la peine capitale ;

-           Installer un Conseil Electoral permanent qui a pour but d'organiser des élections sans interférence de l'exécutif;

-            Réunir les ambassadeurs accrédités en Haïti pour leur faire savoir que ce pays ne peut plus fonctionner comme durant les dernières décennies et qu'ils doivent accepter un nouvel ordre, un nouveau paradigme pour que Haïti démarre ;

-            Contrôle de naissance pour réduire l'explosion démographique ;

-          Développement du secteur « Service » en vue de la génération de l'emploi;

-          Développement du tourisme à l'intention de la diaspora haïtienne d'abord et développement du tourisme à plus grande échelle par la suite;

 

·         Organiser des élections avec les propres ressources du pays sans interférence étrangère;

·        Exiger que la coopération bilatérale aboutisse au développement d'un secteur choisit par le gouvernement de la République et qui pourrait être soit l'agriculture, soit le tourisme, les logements sociaux, l'énergie dans le cas contraire cette coopération n'aurait pas sa raison d'être.

·         Encourager la diaspora à mettre son expertise au service de la nation;

·     Développer un système d'impôts efficace pour approvisionner le budget de l'Etat;

·         Développement du système bancaire à travers le territoire afin de faciliter les prêts hypothécaires et générer des capitaux pouvant garantir une économie en développement et l'habitat; 

·         Identifier les richesses de la nation par des experts nationaux et internationaux et les vulgariser dans le monde;

·         Investir dans la recherche afin d'identifier et d'exploiter nos ressources;

·        Développer d'autres formes de coopération avec les pays nordiques et les Asiatiques dans les domaines de la recherche et de production alimentaire;

 

Emmanuelle Gilles

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"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert
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18 sénateurs prêts à ratifier Gousse, selon Martelly

18 sénateurs prêts à ratifier Gousse, selon Martelly


http://www.hpnhaiti.com/site/images/stories/00001michel-martelly.jpg


Près de 18 sénateurs seraient prêts à ratifier Me Bernard Gousse comme Premier ministre à en croire le président Michel Martelly qui a fait cette déclaration à son retour d'Espagne ce samedi à l'aéroport de Port-au-Prince.

 

Le président Martelly a annoncé ce 9 juillet à son retour d'Espagne qu'il maintient Gousse comme Premier ministre désigné et que ce dernier se présentera mardi au Parlement.


« Je maintiens Gousse comme Premier ministre désigné, il se présentera mardi au Parlement, et je connais 18 sénateurs prêts à la ratifier", a fait savoir Michel Martelly qui a qualifié "dl'inélégante" une pétition de 16 sénateurs qui lui demandent de désigner un autre Premier ministre à la place de Bernard Gousse.

 

Il a également estimé que cette démarche avait un "caractère inconstitutionnel".


Le président Martelly a ajouté qu'il est la personne la plus désireuse d'avoir un Premier ministre pour former son gouvernement, et qu'il a laissé les parlementaires choisir démocratiquement dans une liste de dix noms qu'il leur a proposé.

"Ils ont choisi en mon absence trois personnes et parmi ces trois j'ai désigné un Premier ministre", a-t-il indiqué.


Par ailleurs, faisant un rapport de son voyage d'Espagne, Michel Martelly a rapporté qu'il n'a pas parlé des problèmes d'Haïti mais qu'il a converti les problèmes en opportunités.

Le temps de la decision

Le temps de la décision

Les idéologues et les leaders qui façonnent les destinées de la planète répètent chaque jour que la politique est d'abord locale et ensuite perceptive. Le local signifie que toutes les mesures adoptées doivent concerner d'abord l'intérêt collectif de la population. La perception signifie que ces mesures doivent exactement être comprises comme celles qui ont justifiées le vote du souverain. Le pouvoir constitutionnel est divisé en trois branches, l'exécutif qui dirige l'administration publique et les destinées du pays, le législatif qui vote les lois pour faire marcher l'exécutif et contrôler les dépenses de l'Etat, la judiciaire qui vérifie la constitutionalité des lois et le respect de l'application des lois dans l'intérêt de la collectivité et non dans l'intérêt de petits groupes claniques. Le président de la république est élu par l'ensemble de la population, le parlementaire par une fraction localisée de la population et le judiciaire par les collectivités territoriales. La constitution de 1987 voulant consacrer l'indépendance des trois pouvoirs exige que les membres du pouvoir judiciaire soient également élus, de la base á la hiérarchie par une recombinaison d'élections indirectes issues du pouvoir décentralisé. La branche de l'exécutif qui veuille au bon fonctionnement des institutions du pays , dispose du monopole de la violence légitime ,les forces armées nationales et la police nationale d'Haïti pour faire respecter les décisions arrêtées par l'ensemble du pouvoir.

Le pouvoir Lavalas n'ayant jamais accepté les prescrits constitutionnels a tout fait pour s'approprier le législatif et réduire á sa plus simple expression celui du judiciaire. Non confiant dans les forces de sécurité nationale, il a toujours opté pour la présence et le maintien de la force d'occupation étrangère pour rester au pouvoir. Etant donné que l'institution qui dispose de la force des armes est toujours celle qui détient le pouvoir politique et économique, la communauté internationale a canalisé les fonds d'aide et de coopération vers les la MINUSTHA qui détient en dernier ressort la clef de l'exercice du pouvoir en Haïti.

Les desseins cachés du groupe GPR sont de prolonger le règne de l'instabilité et de créer un espace politique où le pouvoir apparent ne peut survivre et se perpétuer qu'en perfectionnant le mensonge et la terreur organisée. Le peuple a tranché et ne veut plus de la gouvernance des Lavalas avec l'élection de Martelly. . Il a mis Martelly á la présidence et lui a demandé de passer aux affaires á bref sans délai. Or toute décision de changer l'orientation politique du pays qui dégage une odeur putride et explosive reste aux mains de deux forces, la MINUSTHA qui détient la force des armes et de l'économie et l'exécutif qui détient la force populacière incontrôlable.. On ne peut forcer les décisions de la MINUSTHA qu'en mobilisant le souverain dont la MINUSTHA a peur. L'exécutif qui est élu par l'ensemble de la population sous le signe du changement doit en toute sérénité penser á mobiliser cette dernière sur le territoire , car le législatif pris aux pièges des élections truquées ne peut même pas mobiliser sa fraction de composante souveraine locale qui refuse de digérer le résultat des législatives .La force du législatif résulte seulement dans les stations de radio de Port-au-Prince qui lui donne droit de parole et de cité. On est en face d'un enlisement politique et la seule façon d'en sortir, si on veut en sortir est de dénouer ou de couper le nœud gordien á l'origine de cet enlisement. Le parlement haïtien et la constitution 1987 amendée en sont les nœuds gordiens.

Comment faire ? Les conseillers politiques proches de Martelly doivent demander au président de la république de suspendre les voyages utiles au bon moment mais inutiles dans une situation de blocage politique pour dépenser ses énergies dans la prise de certaines décisions qui sont les signes annonciateurs des changements promis pendant la campagne électorale. Une première décision est de changer et de nommer tous les délégués et vices délégués et de les enjoindre un message clair á diffuser dans toutes les stations de radio « Le parlement empêche le président de la république d'appliquer son programme de gouvernement et en appelle á la population pour forcer les parlementaires á assouplir leur position ». C'est le discours auquel recourt le Président Obama chaque fois que les républicains menacent avec les pressions budgétaires de « Shutdown » le gouvernement.

Le président de la république doit rencontrer le chef de la MINUSTHA, les ambassadeurs accrédités en Haïti, Mr Paul Farmer envoyé spécial adjoint des Nations Unies en Haïti et cavalier « polka » de Mr Clinton, pour vendre son projet de stabilisation de la vie politique á savoir : mettre en place un gouvernement indépendant du parlement, associer le parlement de facto á la promulgation d'une nouvelle constitution, , préparer la rentrée des classes et permettre á la CIRH de pouvoir concrétiser les différents projets étudiés pour commencer á créer du travail. Le problème des communautés vivant sous les tentes viendra après et ne devra plus être utilisé comme fond de commerce et de marchandage politique. Mr Martelly donnera á la MINUSTHA deux assurances,

-Que le principe de gestion de la CIRH ne sera pas modifié

-Que le Parlement haïtien ne sera pas dissout étant donné que celui-ci est un acquis qui a été négocié par les Nations Unies pour sauver sa gestion politique de stabilisation qui a frôlé la catastrophe le jour du 28 novembre 2011.Le parlement réintégra sa fonction normale après la promulgation de la nouvelle constitution qui ne sera aucunement liée á la constitution de 1987 ni dans la forme ni dans l'esprit.

michelwilliam1000@hotmail.com

samedi 9 juillet 2011

Nous sommes en train de prouver que l'occupation ou la mise sous tutelle reste et demeure une nécessité de fonctionnement de l'Etat haïtien. (Texte de cyrus Sibert)

Le bras de fer entre le Parlement et la Présidence est une preuve que l'haïtien du 21e siècle a perdu sa dimension étatique.

La corruption empêche à nos hommes et femmes au Pouvoir de se comporter avec abnégation. Ils reçoivent des ordres de leurs patrons dominicains et d'autres secteurs mafieux qui entendent garder le statu quo ante en créant comme bouclier la monstruosité INITE/GPR pour mieux transvaser les fonds du Petrocaribe et l'argent de la reconstruction.

Sous le gouvernement Préval/Bellerive 400 millions de dollars ont été dépensés dans des conditions pas trop claires.
Sans oublier les manœuvres de Jean-Bertrand Aristide pour revenir au devant de la scène politique, on peut dire que les mains invisibles bloquent toute forme de négociation entre les deux pouvoirs d'Etat.

Le BLANC que des démagogues critiquent à longueur de journée fera bientôt son entrée en scène.

L'absence d'Edmond Mullet et le silence de l'Ambassadeur des États-Unis créent déjà un vide qui jette le pays dans le trouble et démontre que nous n'avons rien appris.

Nous sommes en train de prouver que l'occupation ou la mise sous tutelle reste et demeure une nécessité de fonctionnement de l'Etat haïtien. Car, la misère ou la précarité vicie le jugement des uns et des autres. Aussi, les intellectuels et les universitaires haïtiens aveuglés par la haine anti-Martelly, sont-ils incapables de dire le mot juste.

Il faudra revenir avec les méthodes arrogantes d'Edmond Mullet pour contraindre ces incapables haïtiens qui jouent à qui "pissera le plus loin" de doter le pays d'un Premier Ministre en vue de gérer les grands dossiers humanitaires auxquels Haïti fait face.

Il suffisait pour l'international de garder le silence, juste un moment, pour prouver à tous ceux qui critiquaient ses ingérences en Haïti que cela ne peut pas être autrement. Dans notre état de nation dégénérée qui certes avait réalisé des exploits dans le temps, mais aujourd'hui incapable d'exercer la souveraineté, l'arrogance du BLANC au nom du droit d'ingérence est un soupape de sécurité pour nous protéger contre nous mêmes.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haïti

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*  "Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)

*  « Si tu as la volonté, ta force sera à la mesure de ton désir » Proverbe Arabe.

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"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert
Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles?
Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation  prend la forme de monopole au 21e Siècle.
WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.)

Aux Parlementaires têtus (Texte de Jean Erich René)

Aux Parlementaires têtus

Jean Erich René
erichrené@bell.net
Ottawa le 9 juillte 2011

Michel Martelly.
Au nom du Peuple Haitien Michel Joseph Martelly a la préséance dans le choix du PM

Michel Martelly a gagné les élections présidentielles avec 67,57% des suffrages exprimés selon les résultats publiés par le CEP. Un tel score au regard de la Constitution signifie qu'il dépasse la majorité absolue qui est de 50% + 1 des voix réclamées par la Constitution. De ce fait, politiquement son gabarit dépasse la stature d'un Chef d'Etat ordinaire. En matière de Droit Constitutionnel avec un score de 2/3 des votes, il appert que le 56e Président d'Haiti jouit d'une MAJORITE QUALIFIEE . Un tel scrutin lui accorde d'emblée la préséance dans le processus décisionnel. Il incarne la majorité nationale.

Les résultats définitifs du premier tour des élections présidentielle, sénatoriales et législatives seront enfin officialisés le mercredi 2 février.

Un vote = une voix

Pour démêler les ficelles politiques, La Nouvelle Donne (LND) , approche le conflit en cours entre l'Exécutif et le Législatif selon une démarche interprétative. Nous tenons compte des théories et des concepts mis en exergue par nos parlementaires aguerris pour tenir la dragée haute à l'Exécutif et le forcer à s'engager dans une fourche caudine en rejetant le choix de son PM de manière purement cavalière. Vivons-nous dans un système politique de deux poids et deux mesures ?

En démocratie, le seul souverain c'est le peuple. Il n'y a pas deux peuples haitiens. Toute la pluralité de la démocratie est attribuable au fait qu'elle est exercée selon les voeux de la Constitution par les 3 Pouvoirs:

  1. l'Exécutif

  2. le Législatif

  3. le Judiciaire
L'un ne marche pas sans l'autre, contrairement aux tendances de superstar manifestées par la 49e Législature. Au sein d'une seule et même population il ne saurait y avoir deux majorités absolues. Il est clair et absolument certain que la légitimité du pouvoir de l'Exécutif et du Législatif est populaire, c'est à dire les deux s'abreuvent à la même source. En conséquence leurs sorts sont liés. La majorité du GPR n'est pas électorale mais fonctionnelle, par conséquent factice. Il n'y a pas deux échantillons statistiques différents d'électeurs. Les bulletins de vote furent déposés dans les urnes par les mêmes électeurs pour tous les candidats à tous les paliers. En conséquence , dans la même arène politique , le GPR ne saurait constituer une entité de blocage par rapport à une qualification réputée du 56e Président d'Haïti. Au nom de qui parlent nos mandataires dissidents?

Le parti au pouvoir en Haïti a annoncé le 26 janvier 2011 le retrait de Jude Célestin, son candidat, de la course à l'élection présidentielle.

Les mandats de l'Exécutif et du Législatif diffèrent tant au point de vue de leurs fonctions que de leur durée . La légitimité du pouvoir attribué à la fonction politique varie avec le pourcentage de voix obtenu lors des élections. Ceteris paribus le suffrage de Michel Martelly surplombe, haut les mains, les autres. Vox populi , vox dei. Par ces motifs, il est hors de question pour le Parlement voire pour les Partis minoritaires s'associant sous la rubrique GPR, de s'opposer au choix du PM d'un Président élu selon une majorité qualifiée c'est à dire selon un ratio de 2/3 du nombre total de vote l'habilitant à dominer la scène politique. Il est question d'une résolution politique prise par 16 sénateurs au moins et 30 députés rejetant la candidature de Me Bernard Gousse, avant même de prendre connaissance de ses dossiers. Quelle indécence ! Quelle incongruité ! Quel manque de savoir-vivre !


Sénateur Evalière Beauplan
Un militant Lavalassien mordu, signataire de la résolution
rejetant de maniere inconditionnelle la candidatur de Gousse

La résolution en date du 8 juillte 2011, portant la signature de certains Parlementaires rejetant d'emblée la candidature de Me Bernard Gousse à la Primature, est nulle et non avenue. Elle n'a aucune valeur juridique pour la bonne et simple raision qu'elle est truffée d'allégations contre Me Bernard Gousse qui n'a jamais fait l'objet d'aucune plainte ni de jugement préalable par une Juridiction compétente l'accusant d'avoir commis les exactions que lui reproche la résolution. Il s'agit d'un cas d'espèce dans les annales du Parlement sanctionnant la légèreté de la 49e législature et son outrecuidance. Nos Parlementaires viennent d'empiéter sur les attributions du Judiciaire non seulement en portant des accusations écrites sans les preuves mais encore en pénalisant Me Gousse pour les crimes qu'on lui reproche par le rejet de sa candidature avant même le dépôt de ses pièces.



Sorel Jacinthe
Président de la Chambre des Députés


Jupiter rend fou ceux qu'il veut perdre. La 49e Législature après avoir précipité méchamment Daniel dans la fosse aux lions vient de trouver une autre victime expiatoire en la personne de Me Bernard Gousse, Nouveau PM désigné qu'ils ne daignent même pas recevoir. Cette nouvelle tentative d'avortement du PM choisi par l'Exécutif, vise à niquer le président Michel Martelly et paniquer ses partisans. Les Chefs d'accusation de la résolution du Parlement participent de la plus vile effronterie parce qu' elle ne répond pas aux normes légales. Elle est dénuée de tout indice significatif et de preuves tangibles. L'Opération Bagdad en question fut-elle une vengeance personnelle de Me Bernard Gousse contre ses ennemis politiques ou une décision d'Etat prise dans le cadre de la pacification de certaines zones livrées aux mains des bandits? L'Opération Bagdad est-elle consignée dans les Minutres du Tribunal de première instance de Port-au-Prince comme une tentative criminelle dont l'auteur intellectuel fut Me Bernard Gousse? Le Sénateur Moise Jean Charles taxe cette résolution de POLITIQUE. Mais les décisions politiques relèvent-elles du Législatif ? Le rôle du Partement n'est-il pas de faire les lois et de veiller à leurs applications? Fort heureusement le Président de la Chambre des Députés, Sorel Jacinthe, dans sa sagesse, admet que le choix du Premier Mininiste demeure l'exclusivité du Président de la République. Il attend de pied ferme le PM désigné Me Bernard Gousse pour le dépôt légal de ses pièces. Ce jeu de Ti-Ta-o vise à placer le 3e larron, Me Jean Henri Céant sur la chaise musicale de la Primature.

Haïti - Élections : Résultats définitifs officiels du second tour

Nous avons du mal à comprendre l'exubérance enfantine de nos parlementaires qui ont été élus par les mêmes circonscriptions qui ont accordé 67,57% des bulletins de vote au 56e Président d'Haïti, selon le principe du suffrage universel. Dans un univers probabiliste les électeurs qui ont élu les Parlementaires du Sud-est, de la Croix des Bouquets, de Miragoâne etc. ont déposé également leurs bulletins dans une proportion de 67,57% en faveur de Michel Joseph Martelly. Sur quelle base les parlementaires du GPR justifient-ils leur opposition au choix du PM du Président Michel Martelly.


Les fans de Martelly lors de la proclamation des résultats

Si le vote du peuple était Lavalas le gagnant à la Présidence et à la Primature serait Jean Henri Céant. Malheureusement sur la courbe en cloche de Gauss Jordan illustrant la performance des candidats tant dans les sondages préliminaires que pour les résultats définitifs, le score lilliputien de Jean Henri Céant l'a toujours placé dans la zone de rejet. La politique étant un jeu de bascule, il est tout à fait normal que la primature échet au Camp d'en face. En dehors des exigences constitutionnelles, le Parlement ne peut invoquer aucun autre critère pour rejeter une candidature à la Primature. Accuser Me Bernard Gousse d'anti-Lavalas n'est pas une infraction reconnue par le Code Pénal haitien ni une faute d'accord sanctionnée par la grammaire politique haitienne. Au contraire il s'agit d'un rituel commun à toutes les chapelles politiques d'avoir ses partisans dans les postes-clés.





Michel Martelly« Repons peyizan »
Pourcentage de vote : 67.57%
Nombre de voix : 716.986

Le Peuple a voté le changement. Il est mal séant de combattre un candidat à la Primature du Président élu au suffrage universel, à cause de son appartenance poliitique. Sur quel fondement légal, sinon que l'arbitraire, le GPR décrète-t-il que la candidature de Me Bernard Gousse est rejetée d'avance. D'autres critères de recrutement relatifs à sa compétence, son casier judiciaire, son expérience de travail etc. seraient à retenir.En une telle occurence, il n'y a pas lieu d'exprimer son attitude revancharde. Il faut faire preuve d'une certaine sérénité dans le traitement des dossieres nationaux. Le contexte politique actuel n'est pas pro-Lavalas. Le peuple vient juste de le confirmer par son vote massif en faveur de Repons Peyizan. En quoi consiste cette remise en question du GPR ? Il revient au Chef de l'Etat en vertu des Pouvoirs qui lui sont conférés par la Constitution de rétablir l'équilibre.



Michel Martelly élu à plus de 2/3 des suffrages.
Sa Majorité est qualifiée et exempte de toute entorse du Parlement.

La faute incombe à la Constituante de 1987 qui dans son souci de combattre la dictature de l'Exécutif a versé dans l'excès contraire en édifiant la dictature parlementaire par l'insertion de l'Article 137 de la Constitution accordant aux deux Chambres un Droit sur le choix et la ratification du PM. Cette innovation a chambardé le théatre politique haitien et représente une entrave au choix d'un Echantillon d'Hommes compétents à la Villa d'Accueil, à cause d'une politique de nivellement par le bas. D'ailleurs des Parlementaires aigris en font leur cheval de bataille. Compte tenu du vote à majorité qualifiée, en usage au Conseil des Pays Européens et conformément aux principes du Droit Constitutionnel, avec ses 67,57% , le Président Michel Joseph Martelly peut aisément vaincre les obstacles dressés par les dissidents, choisir carrément son Premier Ministre, former son cabinet ministériel ,faire la déclaration de sa politique général et remettre le pays sur ses rails, sans tenir compte de ce parlement parjure. Sa majorité qualifiée de plus de 2/3 l'habilite aussi à réclamer une révision consitutionnelle en donnant une râclée aux Parlementaires têtus !



Jean Erich René
erichrené@bell.net
Ottawa le 9 juillte 2011
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"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert
Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles?
Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle.
WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.)