vendredi 11 octobre 2013

Une politique nationale pour dynamiser le logement et l'habitat

Auteur:Dieudonné Joachim
De belles villas construites dans des zones non planifiées, sans voie de pénétration et autres infrastructures de base. On en voit partout dans le pays. Le secteur du logement-habitat n'a jamais été traité de manière institutionnelle. Le sinistre du 12 janvier 2010 a mis à nu le dysfonctionnement du secteur. Le déficit de logement est criant et l'Etat ne peut plus continuer à ignorer un secteur à si fort potentiel de création d'emplois. Le développement économique du pays dépend en grande partie du décollage du logement et de l'habitat.
Des visiteurs consultent des documents de l'UCLBP et de ses partenaires lors de la journée portes ouvertes le 7 octobre dernier
Des visiteurs consultent des documents de l'UCLBP et de ses partenaires lors de la journée portes ouvertes le 7 octobre dernier
Le document qui traite de la « Politique nationale du logement et de l'habitat (PNLH) » est déjà une réalité. Les partenaires en sont bien conscients, avons-nous appris. Il ne manque que des petits détails. « Avant la fin du mois en cours il sera publié ». C'est ce qu'a confié l'ingénieur-architecte Odnell David, chargé de la Division logement à l'Unité de construction de logements et de bâtiments publics (UCLBP). 

« Rien ne sera négligé. Les problèmes fonciers, les stratégies de financement pour avoir accès au crédit...Et même la création d'un fonds de garantie. L'Etat aménagera des espaces prévus pour la construction en mettant à la disposition des investisseurs les infrastructures de base », a souligné le responsable de la division logements à l'UCLBP. Pour lui, c'est une étape indispensable dans le développement du secteur. On doit éviter que les entrepreneurs répercutent les coûts d'opération sur le consommateur final. 

Pour attirer des investissements massifs, développer le logement et l'habitat en général, l'Etat doit consentir des efforts considérables, dont la transparence, la bonne gouvernance... « C'est un secteur prioritaire pour le gouvernement. Et nous avons déjà reçu des signaux clairs de grands bailleurs de fonds internationaux en ce qui a trait au financement », a déclaré Odnell David, qui fait remarquer qu'une croissance soutenue de l'économie passe par l'expansion du logement et de l'habitat. 

La politique nationale du logement et de l'habitat a été présentée pour la première fois au public lors d'une journée portes ouvertes organisée par l'UCLBP, à Pétion-Ville, à l'occasion de la célébration de la journée mondiale de l'habitat dans le pays. Le thème retenu pour 2013 : « Mobilité urbaine ». Le 7 octobre les couloirs de l'UCLBP étaient ouverts pour faire mieux connaître aux visiteurs les actions entreprises dans le secteur logement-habitat. 

Ainsi, la PNLT qui sera bientôt appliquée sur le territoire haïtien comprend cinq axes principaux. La stratégie institutionnelle qui clarifie le rôle des différents acteurs qui interviennent dans le secteur. A ce niveau il est prévu un leadership affermi et bien défini de l'Etat surtout en ce qui a trait à l'aménagement du territoire. Il faut également compter la stratégie technique, celle qui concerne le financement, la gestion des risques, la bonne gouvernance. 

De 2003 à 2012 le taux d'urbanisation est passé de 40 à 48%. Une tendance à l'urbanisation continue. En 2050 le taux d'urbanisation serait de 70% en Haïti, selon les projections de l'Institut haïtien de statistiques et d'informatique (IHSI) reprises par l'ingénieur-architecte Odnell David. Donc, de 1950 à 2050 le taux d'urbanisation pourrait connaître un accroissement de 11 à 70%. 

A ses yeux, le besoin de logements dans les zones urbaines va en augmentant sans cesse. « La célébration récente de la Journée mondiale de l'habitat nous a permis de jeter un regard sur l'état de nos villes », a fait savoir Odnell David en insistant sur la cohérence de la PNLT avec les objectifs de la réforme de l'Etat axée sur sa présence au niveau de l'ensemble du territoire. 

La vision est claire dans la PNLT, souligne M. David. Il s'agit d'encourager la production de logements décents et à des prix abordables dans des espaces aménagés et urbanisés, où Haïtiennes et Haïtiens pourront se loger, travailler, circuler, se divertir et participer au développement socio-économique du pays. A la question de savoir s'il ne craint pas une mise en oeuvre biaisée de la PNLT, Odnell David a rejeté cette éventualité d'un revers de main. Il a annoncé également la mise en place de plans d'action qui accompagneront le document. 

La PNLH doit, dès sa publication, orienter les efforts des autorités pour renforcer les pôles de développement et le rééquilibrage des régions. Selon Odnell David, la situation du logement caractérisée par la faible capacité financière d'une grande partie de la population, une croissance démographique accélérée et une capacité de production limitée a ainsi amené l'Etat à adopter cette politique axée sur deux des quatre axes majeurs du Plan stratégique de développement d'Haïti (PSDH): le logement qui s'inscrit dans la refondation sociale et l'habitat dans la refondation territoriale. 

La PNLH établit les orientations stratégiques et les lignes de politique en fonction des priorités de l'Etat et des zones de développement économique prioritaires. Elle appelle à la définition de normes de construction de logements et établit le cadre d'organisation de l'habitat en tenant compte de l'équité sociale. La PNLH s'attache également à obtenir la participation effective des membres de la communauté dans le choix des solutions aux besoins qu'ils auront eux-mêmes identifiés et à adapter le cadre institutionnel, financier et réglementaire au défi de la construction. 


La mise en oeuvre d'une telle politique requiert la participation de tous les secteurs, ajoute Odnell David. Diverses institutions doivent contribuer à sa matérialisation. L'ensemble du territoire est concerné, toutes les couches ont leur pierre à apporter parce que les conséquences impliqueront la population entière. « Le gouvernement, le Parlement, l'université, la société civile, les autorités locales, l'UCLBP ne pourront réussir ce pari seuls », a conclu le responsable de la division logements à l'UCLBP.

Le Nouvelliste,

jeudi 10 octobre 2013

Tension continue au Lycée Philippe Guerrier du #CapHaitien #Haiti.

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Education dans le Nord : Témoignages de plusieurs enseignants...

Témoignages de plusieurs enseignants dénonçant les gabegies, abus et décisions arbitraires du Directeur départemental de l'Education Nationale, Justin Métellus. 

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!! "You can fool some people sometimes, But you can't fool all the people all the time."
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Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Un bourreau sexuel nommé Suppléant au Lycée Philippe Guerrier du Cap-Haitien.



Le Professeur Alexandre M. BIEN-AIME, renvoyé du Lycée Philippe Guerrier en 2011 pour exploitation sexuelle sur une jeune fille de la 9e AF, a été nommé Suppléant de ce même Lycée Philippe Guerrier en 2013, par #JustinMetellus 

L'expérience Martelly ou la constance d'une présidence laborieuse.

Auteur:Hérold Israël

Au lendemain du séisme dévastateur du 12 janvier 2010, ce fut une classe politique fatiguée, désabusée et minée par des divisions internes qui se propose de braver la coalition présidentielle de continuité mise en place par René Préval. Comme elle n'a pas su se rallier autour d'un leader et comme pour une raison ou une autre, le Président Préval, par son mépris pour la communication politique, n'a pas su vendre cette disparate coalition à l'opinion, il y eut soudainement un besoin de changement. 

En suivant l'expérience d'après-86, on admettra que les élections présidentielles représentent toujours le mécanisme de sanctions par excellence de la population, donc une porte d'entrée pour les outsiders; mais personne ne s'attendait à ce coup d'éclat de 2011, marquant l'élection à la tête du pouvoir exécutif d'un fils redoutable de la génération sacrifiée. Un esprit turbulent, comme porteur d'un message de répit, un artiste boute-en-train qui, plus de deux décennies durant a fait danser les Haïtiens de tous les recoins du pays. Animé d'un amour charnel pour son pays, Michel Martelly s'est porté candidat et est devenu, contre les attentes, notre président. 

On l'avait d'abord attendu sur le terrain de l'engagement face à ses responsabilités, il a passé le cap. On lui a alors donné rendez-vous sur celui de la pratique des résultats, il ne demandait que ça. Epaulé par son ami et collaborateur Laurent Lamothe qui est devenu son premier Ministre après le départ prématuré de Conille, la fonction est depuis administrée comme un corps besogneux, avec parfois des périples et des nuits sans sommeil comme pour rattraper le temps perdu. 

L'objectif premier : améliorer le sort des plus faibles, remettre le pays sur les rails, créer un cadre de développement durable, sortir Haiti de l'ornière de la misère et de la mendicité. Mais certains en Haiti, pour une raison ou une autre, hésite à bien digérer cette nouvelle réalité nationale et espèrent le pire à chaque fois au point où certains ministres et directeurs généraux performants hésitent à faire état de leurs considérables réalisations. On peut leur reprocher, au début, un manque de mesure politique, se contentant d'abord du branding Martelly et des résultats au goût de leur unique employeur : le peuple. On peut leur reprocher aussi la spontanéité et l'anticonformisme d'un caractère rebelle. Mais la volonté de toujours bien faire et de garder la stabilité nécessaire à l'exécution du programme prime toujours à la fin. C'est une donne assez intéressante au regard de notre histoire de peuple. 

On raconte même au début du mandat que le président avait l'air d'être encore en campagne, ce fut non seulement un temps de rodage, mais aussi une manifestation constante de ralliement et d'invitation à bord. Une fois rattrapé, on le « chauffe » et comme c'est la réalité historique, on espère les erreurs, les bavures, les gaffes et les excès de zèle pour rebattre les cartes et repartir de zéro alors que les autres pays de la région manient, tant bien que mal, leur petite entrée au XXIe siècle. 

Ces derniers jours, le duo Martelly/Lamothe se présente comme un champion de l'ouverture avec des collaborateurs des quatre horizons. Entouré des plus madrés de sa génération, il tend la main ça et là. Donc, qu'est-ce qui empêche aujourd'hui à Haiti de démarrer sur de nouveaux sentiers, sinon l'incompréhension et l'orgueil nubiens? 

Tout le monde ne peut être à la solde de TètKale, c'est évident. Mais tout le monde devrait au moins se conformer au sacro-saint principe de base de la démocratie moderne : le respect du mandat, expression de la souveraineté nationale et de la stabilité. On a tout à perdre à vouloir tout régler par le chauffage permanent et par le rache manyòk qui en découle, alors que la rue continue d'applaudir les efforts constants de cette présidence. 

La farouche détermination à changer les choses et à capitaliser sur des progrès tangibles est un buzz naturel à l'intérieur du gouvernement et c'est sans doute sur ce terrain que l'histoire le jaugera. Cette passion à fleur de peau qui s'est mariée aux revendications populaires pour devenir un dynamique projet politiqueest ancrée sur des résultats palpables.Ni d'amitié, ni d'appartenance politique et les faits sont là. Qui du ministre ou du chargé de mission, seules les actions satisfaisantes en faveur de la population garantissent les postes.Encore une donne intéressante au regard de l'histoire. 

Dans un pays marqué par des pouvoirs totalitaires, point n'est besoin de dire que les vieux routiers de la politique et certains directeurs d'opinion n'allaient pas laisser la partie rose à cette jeune équipe composée, en majorité, de recrues animées dès la campagne d'un ardent esprit de renouveau visant à moderniser les approches. La mise en place de garde-fous et d'une vigilance contre toute velléité dictatoriale est compréhensible. Mais ce qui cloche, c'est le jugement d'intention. La condamnation par anticipation. On ne peut pas condamner une équipe pour un forfait qu'elle n'a pas commis, en plus que, par ses actions, elle veut entièrement prouver le contraire. On ne peut amorcer le chambardement de l'ordre régalien par esprit de prévention tout comme on ne peut avoir de démocratie sans opposition, sans divergence de vue, sans des sources indépendantes d'information. 

Au-delà de ce besoin d'équilibre et de constant débat, une liste de réalisations, en seulement deux années, témoignent de la nature progressiste et du dynamisme hors pair de cette présidence et c'est à chacun d'assumer ses responsabilités. 

Les bonds effectués au niveau de l'Etat de droit, de l'éducation, de la protection de l'environnement, de la sécurité, des travaux publics embellissent le palmarès de ces deux premières années et sont de solides arguments de conviction avec un bonus inestimable au niveau du tourisme et de l'image du pays à l'étranger. 

La relocalisation de plus de 1 millions de familles vivant désespérément sous des tentes depuis 2010. La reconquête des places publiques rénovées par la jeunesse et les étudiants sont des signes de normalité commode. 

La création du CSPJ trop longtemps attendu, la nomination des juges à la Cours de cassation (sans président depuis plus de 7 ans). 

Des infrastructures vielles de quatre décennies, tel l'aéroport de Port-au-Prince, ont dû attendre jusqu'à cette date pour être rénovées et s'adapter à l'ère où nous vivons. 

La démarche pratique et éreintante vers l'éducation accessible pour tous telle que prescrite par la Constitution de 1987. La mise en place efficiente du PSUGO. La construction de lycées et d'écoles nationales à travers tous le pays. 

La création du Conseil supérieur de l'administration et de la fonction publique. La réforme de l'administration publique amorcée en vue de l'adapter aux réalités nouvelles. 

Le renforcement des capacités de la PNH à tous les niveaux. La motivation des troupes en prenant en compte leurs besoins et leur situation personnelle favorisant une nette amélioration de la situation sécuritaire et une diminution considérable des cas d'enlèvement. La création d'unités spécialisées telle que la POLITOUR. 

La mise en place de pôle de développement du Sud et du grand Nord. 

L'incitation continue à la production locale et agricole. 

L'assainissement des douanes avec une nette augmentation des recettes à l'appui. 

La permanence active en vue d'éviter des pertes massives en cas de catastrophes naturelles 

La perspicacité dans la lutte contre la faim et la pauvreté extrême. La revitalisation du MAST avec, entre autres,l'effort continu d'un social de proximité (cantines populaires, boulangeries communautaires, etc.). La dynamisation du FAES engagé de plus en plus dans des programmes sociaux à impact direct. La mise en place d'un système de concordance de l'action sociale du gouvernement, Ede Pèp. 

La réfection de routes et de voies de pénétration à travers tout le pays. La construction de places publiques modernes. La mise en place de lampadaires dans les coins les plus reculés du pays. 

L'intention n'est point de faire un bilan, ni un rapport sur les réalisations. Il s'agit plutôt d'apporter, à la lumière de l'histoire, la nature des efforts consentis et les progrès réalisés en seulement deux années, sans compter les délais du début liés aux difficultés de nomination d'un Premier ministre. Les projections faites pour les trois prochaines années sont riches en ambitions et témoignent de la vision moderne de ce président qui a besoin de plus de compréhension pour jouer son rôle de pont vers une Haiti relevée de la crasse où nous nous trouvons depuis des décennies. Aux critiques, il répond par l'action, par le travail. Cette constance ne sera pas négligée au palmarès. Il est important de souligner que cette nouvelle équipe a changé à jamais la vision et la lecture qu'on avait jusque-là du mode de gouvernance en Haiti. Jamais plus un président haïtien ne sera jugé à partir de son éloquence, son conformisme et son niveau de culture de mandarin, mais en fonction de sa capacité à stimuler ses collaborateurs à oeuvrer dans une culture de la besogne et des résultats sur le terrain.

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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

mercredi 9 octobre 2013

Présidence d'Haiti - E-Bulletin Vol. 1 No. 33

  
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Washington salue des efforts anti corruption sans précédent en Haïti.

Par Rachel Belt

PORT -AU- PRINCE, Haïti ( HCNN ) - De hauts fonctionnaires du Département d' Etat américain a déclaré mercredi que l'actuel gouvernement haïtien a pris plus de mesures pour lutter contre la corruption que tous ses prédécesseurs et a appelé à davantage de progrès en terme de transparence, au moment où Washington réfléchit sur les moyens de financer directement le gouvernement de ce pays des Caraibes, pour la première fois, depuis de longues années.

Le Coordonnateur spécial pour Haïti au Département d'Etat , Thomas C. Adams, a reconnu que le gouvernement haïtien a pris des mesures sans précédent pour lutter contre la corruption et assurer la transparence , mais il a noté que le Parlement haitien devrait approuver des projets de loi soumis par le gouvernement, susceptibles de faciliter les poursuites judiciaires nécessaires.

"Ce gouvernement a soumis plus de cas anti- corruption que ses prédécesseurs quels qu'ils soient," a déclaré Adams devant des députés Américains lors d'une audition mercredi à Washington.

"La faiblesse est qu'ils ne sont pas poursuivis avec succès parce qu'il faut une nouvelle loi anti- corruption," a déclaré Adams arguant de la loi actuelle rend les poursuites difficiles.

Le haut diplomate américain a fait ces commentaires lors d'une audition par la Commission des Affaires Etrangères de la Chambre des Représentants à Washington pour évaluer l' efficacité de l'aide américaine en Haïti, pays présenté comme le plus grand bénéficiaire de l'aide américaine dans la région .

Le gouvernement haïtien a présenté au Parlement, il y a plus d'un an , un projet de loi pour durcir les mesures anti-corruption et augmenter le temps de prison pour les corrupteurs et leurs complices.

HCNN , 9 octobre 2013

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Casier judiciaire de Gonald Désir, bras droit de #JustinMetellus










Casier judiciaire de Gonald Désir, bras droit de #JustinMetellus, co-responsable des gabegies lors des examens d'Etat à partir du BUDEXE. Avec l'aide et de Yvon Altéon, Monsieur Métellus cherche à placer, son ami-délinquant, comme Secrétaire du PHTK dans le Nord. 
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Le président dominicain a présenté ses excuses aux Dominicains d'origine haïtienne


"Le président dominicain Danilo Medina a fait des déclarations publiques pour demander excuse et pardon aux Dominicains d'origine haïtienne". 

Cette petite phrase de l'ambassadeur dominicain en Haïti, Ruben Silié Valdez, est assez significative de l'évolution de la situation mais elle est pourtant passée inaperçue, et on se demande bien pourquoi.

La petite phrase a été "lâchée" au moment où l'ambassadeur Silié promettait de transmettre au président Medina la note de protestation du Mouvement patriotique de l'opposition démocratique sur "la situation d'apatridie" créée en territoire dominicain par l'arrêt 168-13 de la Cour constitutionnelle. 

La phrase a été reprise ce mercredi mais elle a été amputée de la partie traitant du "pardon", les conseillers du président lui auraient dit que le choix et l'utilisation du thème « pardon » pourraient être interprétés comme une sorte d'aveu de culpabilité et un geste de désapprobation manifeste de la décision de la Cour suprême. 

« Le président, lit-on aujourd'hui dans une note de presse, a présenté ses excuses mais il n'a pas demandé pardon" aux organisations représentant les Dominicains d'origine haïtienne qu'il a rencontrées lundi au Palais national pendant près d'une heure pour analyser les conséquences de la situation créée par l'arrêt de la Cour constitutionnelle (TC ). 

"J'ai pu constater que les descendants d'Haïtiens vivent un drame humain", avait par ailleurs regretté le président Danilo Medina ce mardi après une rencontre avec les représentants des organisations de défense des Dominicains d'origine haïtienne'. 

"Ces personnes nées dans le pays vivent effectivement un drame humain auquel il faut être sensible", a réitéré le Chef de l'État dominicain qui indique les avoir informés du fait que l'exécutif n'a pas l'autorité pour remettre en question les décisions de la Cour constitutionnelle et de la Junte centrale électorale. 

De l'avis des observateurs, ces propos du président dominicain, quoique modérés, illustrent la pression croissante subie par les autorités dominicaines depuis la publication par la Cour constitutionnelle de l'arrêt 168-13 qui, aujourd'hui encore, continue de faire des vagues. 

"Il faut intensifier les pressions, aussi bien de l'intérieur que de l'extérieur d'Haïti et de la République dominicaine", a conseillé un haut cadre de la CARICOM ayant requis l'anonymat. 

HA/Radio Métropole Haïti

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L'utilisation de matière fécale est inacceptable. Une mobilisation sociale suffit. @MichelJMartelly

L'utilisation de matière fécale au Lycée Philippe Guerrier  est inacceptable. Une mobilisation sociale suffit.  
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Mieux coordonner l'action des ONG






Plusieurs centaines d'organisations non gouvernementales ont répondu, mardi, à l'appel du gouvernement. Réunies en forum à l'hôtel Karibe Convention Center, les autorités entendent coordonner les actions de ces ONG et les porter à agir en fonction du Plan stratégique de développement d'Haïti. Laurent Lamothe plaide pour un partenariat avec elles.

Un forum sur la coordination des ONG. Une grande première en Haïti. Le gouvernement veut améliorer l'efficacité de l'aide externe. Environ 550 ONG sont officiellement reconnues par les autorités. Mais il en existe beaucoup plus sur le territoire. Le Premier ministre a demandé à ces organisations d'avoir de la transparence dans leur fonctionnement. Le hic. Elles n'ont pas l'habitude de rendre des comptes. En tout cas pas aux autorités gouvernementales, encore moins aux parlementaires. 

« Nous n'avons rien contre elles, mais nous voulons savoir ce qu'elles font et s'assurer que ce qu'elles font entre dans le cadre des priorités du gouvernement, a indiqué Laurent Lamothe. Nous ne voulons pas de duplicatas ». Le chef du gouvernement a annoncé le lancement d'un logiciel informatique où chaque ONG peut voir ce que fait l'autre et l'état d'avancement de ses projets dans le pays. La population pourra aussi suivre le travail de ces organisations. Les autorités sont donc à la recherche de la transparence dans le fonctionnement de ces organisations qui reçoivent beaucoup d'argent au nom du pays. 


Laurent Lamothe dit accorder une attention particulière au fonctionnement des ONG dans le pays. « L'ONG ne peut pas être en compétition avec l'Etat haïtien sur les financements des projets », a-t-il lancé. 

« C'est dans le souci de mobiliser tous les moyens possibles et disponibles au service du développement national que les organisations non gouvernementales nous interpellent, a-t-il dit dans son discours de circonstance. Elles nous interpellent parce que nous savons qu'elles sont là, qu'elles mobilisent des moyens importants tant techniques que financiers, qu'elles disposent d'une grande capacité de mobilisation et de pénétration. L'expérience vécue pendant de longues années nous en donne la preuve, la catastrophe du 12 janvier 2010 nous en a convaincus. » 

Selon le chef de la Primature, ce forum traduit une préoccupation récurrente d'associer les efforts des ONG et de manière complémentaire à ceux engagés par son gouvernement. « Eviter le gaspillage et les duplications ne peut être un objectif difficile à partager », a-t-il plaidé. 

Le gouvernement, a poursuivi Laurent Lamothe, s'est donné un Plan stratégique de développement d'Haïti (PSDH) et un Programme triennal d'investissement (PTI), que ce soit par le CAED ou tout autre mécanisme qui privilégie la concertation, la coordination, « l'équipe en place recherche résolument l'accompagnement, l'alignement, et, dans le cas spécifique des ONG, la complémentarité ». 

Egalement ministre de la Planification et de la Coopération externe, Laurent Lamothe a fait savoir que des dispositions légales sont en train d'être envisagées pour, d'une part, faciliter les procédures de reconnaissance et « ainsi porter toutes les organisations engagées dans des gestes humanitaires ou de développement à intégrer le partenariat nouveau que nous voulons développer avec elles et, d'autre part, renforcer les mécanismes de coordination si nécessaires à un suivi systématique des programmes et projets. » 


Ce forum, a-t-il dit, « doit donc nous donner l'opportunité d'un dialogue constructif à la recherche de solution et de mécanismes pour un partenariat durable et des résultats incontestables sur le rythme et la qualité du développement national. » 

La réponse qu'il faut donner aux ONG qui interviennent dans l'humanitaire, la place et le rôle de ces ONG dans le mécanisme de coordination gouvernementale sont les deux thèmes qui ont été débattus en séance plénière à l'occasion de ce premier forum. 


Selon l'ambassadeur d'Espagne accrédité en Haïti, Manuel Hernandez Ruigòmez, « Ce premier forum national représente une preuve complémentaire des avancées que le gouvernement réalise en matière de l'amélioration de la coordination et de l'alignement des ONG avec les priorités gouvernementales ». 


Au cours de ce forum à l'hôtel Karibe, le gouvernement a présenté un projet de loi sur le fonctionnement et la régularisation des ONG qui sera bientôt déposé au Parlement. La Primature a aussi remis aux responsables des ONG une copie du Plan stratégique de développement d'Haïti et le Programme triennal dans l'investissement 2014-2015.

Auteur:Robenson Gefffrard, rgeffrard@lenouvelliste.com

Le Nouvelliste,

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mardi 8 octobre 2013

#CapHaitien Arrêt de travail au Lycée Philippe Guerrier...


#CapHaitien Arrêt de travail au Lycée Philippe Guerrier, le 7 octobre 2013, contre les actes arbitraires du Directeur de l'Education dans le Nord#JustinMetellus. Ce fut le cas au Lycée Bréda de Haut du Cap. Les activités scolaires ont aussi été paralysées dans la commune de Port-Margot.... Crise annoncée au Lycée Boukman de Bel-Air.