dimanche 29 mai 2011
Un nouveau phénomène en Haiti : Des dominicains fous dans certaines villes du pays.
"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)
samedi 28 mai 2011
Interventions possibles du Président Martelly dans le processus d'amendement de la Constitution (corr.)
Le Président Martelly, de manière intelligente et responsable, n'a pas précipité son intervention dans le processus d'amendement de la constitution. Il a pris le temps de réfléchir sur la décision la plus opportune à prendre. A mon sens, il est en droit de prendre sur cette question, les décisions les plus proches de ses intérêts politiques. Je m'explique.
Le Président Préval a saboté le processus d'amendement de la constitution en ne facilitant pas de véritables débats autour des propositions d'amendement. Après le rejet, par l'ensemble de la classe politique et de la société civile, de sa proposition de nouvelle constitution, il a mis en œuvre tout un mécanisme de confiscation de la procédure et des enjeux des amendements jusqu'à publication dans le journal officiel Le Moniteur.
Tout d'abord, il s'est entendu avec le Président de l'Assemblée Nationale d'alors pour mettre en discussion la proposition d'amendement en fin de session de la 48 ème législature. Cette situation a donné lieu à une séance marathon pour boucler la déclaration d'amendement avant la fin de ce qui devrait être la dernière session de la 48ème législature. Après les discussions d'usage, il s'est révélé que les principaux gagnants de cette première étape étaient: La diaspora, les organisations de femmes et les parlementaires.
Ensuite, il a embarqué les parlementaires dans le respect d'une loi électorale inconstitutionnelle en étendant leur mandat jusqu'au mois de mai 2010. Ce faisant, il a saboté tout le travail déjà réalisé en ajoutant une session supplémentaire à la législature, car en principe, c'est à cette dernière session (celle de 2009) que la Législature aurait dû avec motifs à l'appui, déclarer qu'il y avait lieu d'amender la constitution.
Dans son souci d'éviter tout débat de fond sur l'amendement constitutionnel, le Président Préval et ses complices n'ont même pas pris le soin de travailler sur la version créole de la constitution qui avait été adoptée et publiée en même temps que la version française.
Enfin, le Président Préval n'a rien fait pour publier sur toute l'étendue du territoire (comme l'exige la constitution, art. 282.1 const.) la déclaration d'amendement afin d'encourager et de faciliter les débats publics sur les articles à amender et les nouvelles orientations proposées.
Dans la deuxième phase, de ce que je qualifie de processus arbitraire d'amendement de la Constitution, le Président Préval s'est d'abord assuré du non respect des échéances électorales constitutionnelles et de l'extension de son mandat jusqu'au 14 mai 2011. En d'autres termes, avec la complicité d'un conseil électoral incompétent, négligent et aux ordres et sous les yeux de la communauté internationale, le Président Préval a sciemment conduit à l'entrée en fonction de la 49ème législature dans une période proche de la fin de la première session de ce qui est devenue la 49ème législature. Et, pour s'assurer encore une fois, que les Parlementaires seront obligés d'entreprendre une course contre la montre, et dans le but de court-circuiter de vrais débats, ses partenaires au Parlement ont retardé le plus que possible la fonctionnalité de la 49ème législature et le début des travaux sur la constitution.
Malgré, les efforts des honorables membres de l'Assemblée Nationale qui ont fait de leur mieux pour éliminer les propositions irresponsables de la déclaration d'amendement et du rapport de la commission bicamérale qui a travaillé dessus, le Président Préval allait dans un dernier coup de génie, faire ce qu'il voulait sans se soucier des conséquences.
En effet, quand la loi constitutionnelle votée a été transmise à la Présidence à fin de publication, cette dernière lui a retourné ladite loi parce que les articles amendés n'avaient pas été identifiés. Des parlementaires se sont réunis et ont retouché le texte initialement transmis en reprenant certaines dispositions écartées par l'Assemblée Nationale et en ajoutant quelques unes de leur crue.
Sur les 6 parlementaires devant signer, seuls 4 l'ont fait. Et, drôle de coincidence, ils appartiennent tous au regroupement INITE. Comme par hasard, la Présidence, peut-être pressurée par le temps, n'a pas relu le texte transmis et a ordonné la publication du texte voté en attachant un faux à la correspondance transmise aux Presses nationales.
Le pot aux roses ayant été dénoncé par l'honorable sénateur Steven Benoit, des pas en retrait ont été initiés par les auteurs et promoteurs de cette initiative malheureuse.
Aujourd'hui, la décision appartient au Président Martelly,
Il peut décider de ne pas publier le texte et de reconnaitre la validité de la constitution de 1987 non amendée qui lui confère certains avantages, notamment le sursis d'une année pour son premier ministre; de diligenter une enquête pour fixer les responsabilités et mettre la pression sur la plateforme inité et le groupe des parlementaires du Renouveau (GPR).
Il peut tout aussi bien décider de prendre un acte pour constater le faux constitutionnel et ordonner la cessation de tout effet du faux constitutionnel et la publication du texte véritablement voté par le Parlement. S'il le fait, il fera plaisir à la diaspora et aux femmes; et pourra doter le pays d'une Cour Constitutionnelle et d'un Conseil Electoral Permanent dans les 90 jours; mais rendra vulnérable son premier ministre qui risquera d'obtenir un vote de censure à chaque session ordinaire. Ce ne sera pas la première fois, qu'un texte voté par le Parlement, promulgué par le Président de la République sera publié sous une autre présidence. Rappelons que les décrets sur les collectivités territoriales du 1er février 2006 adoptés par l'exécutif intérimaire Boniface/Latortue et promulgu◙s par le Président Boniface ont tous été publiés par les Presses Nationales après l'entrée en fonction du Président René Préval.
Mais, ce qu'il ne peut faire, contrairement à ce qu'ont dit certains collègues. Il ne peut en aucun cas, garder en vigueur un texte qui n'a pas été voté par le Parlement.
Il a en outre pour obligation de s'assurer que les auteurs, co-auteurs et complices de ce sabotage de la constitution soient identifiés et punis.
Pour conclure
Je recommanderais au Président Michel J. Martelly de prendre un acte pour constater et faire retrait du faux constitutionnel et de consulter l'ensemble de la classe politique et de la société civile pour les mettre en confiance afin d'élaborer 'une nouvelle constitution avec comme base les acquis démocratiques de la constitution de 1987, les nouvelles institutions proposées par la constitution amendée, notamment la Cour Constitutionnel et le Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire. Ce sera difficile, car, les acteurs nationaux se sont méfiés des intentions du Président Préval et pourront également ne pas croire en ses bonnes intentions sur un sujet aussi critique. Mais, c'est à lui de voir, s'il a le leadership nécessaire pour engager la nation dans des débats sérieux et participatifs sur les acquis à consolider et les nouveaux fondements à établir, en d'autres termes, sur les bases sur lesquelles nous voulons bâtir notre nouvelle Haiti.
De toute façon, avant le début des travaux sur la ratification du premier ministre désigné, il devra se prononcer sur la validité et la vigueur de la constitution de 1987 amendée.
Samedi 28-05 / Haiti + Hôpital + Nbrs victimes + Martelly + FNE + Choléra...
Haïti - Santé : Choléra dans l'Ouest, il faut rester vigilant 28/05/2011 15:21:21 | |
Les partenaires de la santé en Haïti ont rapidement répondu à l'augmentation des cas de choléra dans le département de l'Ouest pour s'assurer que les nouvelles infections ne se propagent pas à la capitale, Port-au-Prince, a déclaré hier... | |
http://www.haitilibre.com/article-3047-haiti-sante-cholera-dans-l-ouest-il-faut-rester-vigilant.html | |
Haïti - Politique : Des conseillers électoraux devant la Commission d'enquête Sénatoriale 28/05/2011 13:34:22 | |
Hier vendredi, la commission Sénatoriale d'enquête sur la corruption et les fraudes enregistrées au sein du CEP [...] a entendu les conseillers électoraux Laurette Croyance et Ribel Pierre. À la sortie de son audition, Laurette Croyance a déclarée ne... | |
http://www.haitilibre.com/article-3046-haiti-politique-des-conseillers-electoraux-devant-la-commission-d-enquete-senatoriale.html | |
Haïti - Éducation : Le Fonds National pour l'Education (FNE) a t-il besoin d'un cadre légal ? (MAJ 17h38) 28/05/2011 11:22:34 | |
Concernant le Fonds National pour l'Education (FNE) qui a été lancé jeudi 26 mai à l'Hôtel Karibe Convention Center par le Président Martelly, et qui est financé par deux « contributions » [...] tous ne s'entendent pas, à savoir si... | |
http://www.haitilibre.com/article-3045-haiti-education-le-fonds-national-pour-l-education-fne-a-t-il-besoin-d-un-cadre-legal-maj-17h38.html | |
Haïti - Éducation : Martelly à Carrefour pour inaugurer une école 28/05/2011 09:33:33 | |
Hier vendredi, après avoir inauguré le marché de Savane Pistache, Michel Martelly, le Président de la République, a inauguré l'Ecole Nationale République Centre Africaine à Carrefour... | |
http://www.haitilibre.com/article-3044-haiti-education-martelly-a-carrefour-pour-inaugurer-une-ecole.html | |
Haïti - Social : 12 janvier 2010, 46,190 à 84,961 victimes ? Le bilan mis en doute... 28/05/2011 08:12:54 | |
Un projet de rapport (Building Assessments and Rubble Removal in Quake-Affected Neighborhoods in Haiti) commandé par l'USAID [...] présente des chiffres bien inférieur à ceux publié par le Gouvernement haïtien... | |
http://www.haitilibre.com/article-3043-haiti-social-12-janvier-2010-46-190-a-84-961-victimes-le-bilan-mis-en-doute.html | |
Haïti - Santé : Hôpital de Mirebalais terminé à plus de 50%, ouverture début 2012 28/05/2011 07:15:54 | |
Les travaux de construction de l'hôpital universitaire PIH/ZL-MSPP de Mirebalais, le plus grands des centres de santé et de formation médicale en Haïti [...] se dirige rapidement vers la fin [...] l'hôpital va ouvrir ses portes au début de l'année 2012... | |
http://www.haitilibre.com/article-3042-haiti-sante-hopital-de-mirebalais-termine-a-plus-de-50-ouverture-debut-2012.html |
RESUME POLITIQUE DU MOIS DE MAI 2011 A L'AIDE DE CARICATURES
Envoyé par mon BlackBerry de Digicel
The penalty good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men. Plato
Interventions possibles du Président Martelly dans le processus d'amendement de la Constitution. (Texte de Bertrand Woldson)
Le Président Préval a saboté le processus d'amendement de la constitution en ne facilitant pas de véritables débats autour des propositions d'amendement. Après le rejet de sa proposition de nouvelle constitution par l'ensemble de la classe politique et de la société civile, il a mis en œuvre tout un mécanisme de confiscation de la procédure et des enjeux jusqu'à la publication dans le journal officiel Le Moniteur.
Tout d'abord, il s'est entendu avec le Président de l'Assemblée Nationale d'alors pour mettre en discussion la proposition d'amendement en fin de session de la 48 ème législature. Cette situation a donné lieu à une séance marathon pour boucle rla déclaration d'amendement avant la fin de ce qui devrait être la dernière session de la 48ème législature. Après les discussions d'usage, il s'est révélé que les principaux gagnants de cette première étape étaient: La diaspora, les organisations de femmes et les parlementaires.
Ensuite, il a embarqué les parlementaires dans le respect d'une loi électorale inconstitutionnelle en étendant leur mandat jusqu'au mois de mai 2010. Ce faisant, il a saboté tout le travail déjà réalisé en ajoutant une session supplémentaire à la législature, car en principe, c'est à cette dernière session que la Législature aurait dû avec motif à l'appui, déclarer qu'il y avait lieu d'amender la constitution.
Dans son souci d'éviter tout débat de fond sur l'amendement constitutionnel, le Président Préval et ses complices n'ont même pas pris le soin de travailler sur la version créole de la constitution qui avait été adoptée et publiée en même temps que la version française.
Enfin, il n'a rien fait pour publier sur toute l'étendue du territoire (comme l'exige la constitution, art. 282.1 const.) la déclaratin d'amendement afin d'encourager et de faciliter les débats publics sur les articles à amender et les nouvelles orientations proposées.
Dans la deuxième phase, de ce que je qualifie de processus arbitraire d'amendement de la Constitution, le Président Préval s'est d'abord assuré du non respect des échéances électorales constitutionnelles et de l'extension de son mandat jusqu'au 14 mai 2011. En d'autres termes, avec la complicité d'un conseil électoral incompétent, négligent et aux ordres et sous les yeux de la communauté internationale, le Président Préval a sciemment conduit à l'entrée en fonction de la 49ème législature dans une période proche de la fin de la première session de ce qui est devenue la 49ème législature. Et, pour s'assurer encore une fois, que les Parlementaires seront obligés une nouvelle d'entreprendre une course contre la montre et pour courcicuiter de vrais débats, ses partenaires au Parlement ont retardé le plus que possible la fonctionnalité de la 49ème législature et le début des travaux sur la constitution.
Malgré, les efforts des honorables membres de l'Assemblée Nationale qui ont fait de leur mieux pour éliminer les propositions irresponsables de la déclaration d'amendement et du rapport de la commission bicamérale qui a travaillé dessus, le Président Préval allait dans un dernier coup de génie, faire ce qu'il voulait sans se soucier des conséquences.
En effet, quand la loi constitutionnelle votée a été transmise à la Présidence à fin de publication, cette dernière lui a retourné ladite loi parce que les articles amendés n'ont pas été identifiés. Des parlementaires se sont réunis et ont retouché le texte initialement transmis en reprenant certaines dispositions écartées par l'Assemblée Nationale et en ajoutant quelques unes de leur crue.
Sur les 6 parlementaires devant signer, seuls 4 l'ont fait. Et, drôle de coincidence, ils appartiennent tous au regroupement INITE. Comme par hasard, la Présidence, peut-être pressurée par le temps, n'a pas relu le texte transmis et a ordonné la publication du texte voté en attachant un faux à la correspondance transmise aux Presses nationales.
Le pot aux roses ayant été dénoncé par l'honorable sénateur Steven Benoit, des pas en retrait ont été initiés par les auteurs et promoteurs de cette initiative malheureuse.
Aujourd'hui, la décision appartient au Président Martelly,
Il peut décider de ne pas publier le texte et de reconnaitre la validité de la constitution de 1987 non amendé qui lui confère certains avantages, notamment le sursis d'une année pour son premier ministre; de diligenter une enquête pour fixer les responsabilités et mettre la pression sur la plateforme inité et le groupe des parlementaires du Renouveau (GPR).
Il peut tout aussi bien décider de prendre un acte pour constater le faux constitutionnel et ordonner la cessation de tout effet du faux constitutionnel et la publication du texte véritablement voté par le Parlement. S'il le fait, il fera plaisir à la diaspora et aux femmes; et dotera le pays d'une Cour Constitutionnelle et d'un Conseil Electoral Permanent dans les 90 jours; mais rendra vulnéralble son premier ministre qui risquera d'obtenir un vote de censure à chaque session ordinaire. Ce ne sera pas la première fois, qu'un texte voté par le Parlement
Mais, ce qu'il ne peut faire, contrairement à ce qu'ont dit certains collègues. Il ne peut en aucun cas, garder en vigueur un texte qui n'a pas été voté par le Parlement.
Il a en outre pour obligation de s'assurer à ce que les auteurs, co-auteurs et complices de ce sabotage de la constitution soient identifiés et punis.
Pour conclure
Je recommanderais au Président Michel J. Martelly de prendre un acte pour constater et faire retrait du faux constitutionnel et de consulter l'ensemble de la classe politique et de la société civile pour les mettre en confiance afin d'élaborer 'une nouvelle constitution avec comme base les acquis démocratiques de la constitution de 1987, les nouvelles institutions proposées par la constitution amendée, notamment la Cour Constitutionnel et le Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire. Ce sera difficile, car, les acteurs se sont méfiés des intentions du Président Préval et pourront également ne pas croire en ses bonnes intentions sur un sujet aussi critique. Mais, c'est à lui de voir, s'il a le leadership nécessaire pour engager la nation dans des débats sérieux et participatifs sur les bases sur lesquelles nous voulont bâtir notre nouvelle Haiti.
De toute façon, avant le début des travaux sur la ratification du premier ministre désigné, il devra se prononcer sur la validité et la vigueur de la constitution de 1987 amendée.
Le Matin: Rouzier ? par Daly Valet
par Daly Valet
En 1991, le conteur Jean- Bertrand Aristide, devenu président, a imposé au pays le fabuleux René Préval comme Premier ministre. On connait la suite sinistre des choses. Enfin, jusqu'à cette pagaille institutionnelle et constitutionnelle dans laquelle M. Préval a choisi, de manière compulsive, de laisser la république au terme de son second mandat désastreux de président. En 2011, le chanteur Michel Martelly nous sert le comptable et entrepreneur Daniel Rouzier comme son Premier ministre désigné. Un choix risqué ? Evidemment oui. Dans les circonstances actuelles, il manque à ces deux hommes la profondeur politique qu'il faut pour aller au-delà de l'intangible, surmonter les obstacles humains, « systémiques », institutionnels et pour traduire les professions de foi, les bonnes intentions, en programmes de gouvernement rationnels et en réalisions concrètes.
En termes de gouvernance étatique, 2011 marque, cependant, une évolution par rapport à 1991. Le couple Martelly-Rouzier, au moins dans le discours, semble vouloir privilégier la logique de la reddition des comptes à celle des règlements de comptes, laquelle sous-tendait, essentiellement, l'action de la génération lavalas nouvellement arrivée au pouvoir. Si ce passage de l'affectif à l'effectif dans la gestion des affaires du pays dépasse les mises en scène médiatiques et va au-delà de la rhétorique verbeuse des apprentis politiciens, Haïti aura grandi. Martelly aura été, ainsi, mieux inspiré avec son Daniel Rouzier que ne le fut Aristide avec son René Préval.
Il faut dire que, déjà, et sans préjuger de l'issue du processus de ratification de l'actuel Premier ministre désigné, le pays peut se sentir soulagé de ce que le président Martelly ait jeté son dévolu sur l'homme d'affaires Daniel Rouzier, son contraire en tout. Quand Titid désignait comme Premier ministre un alter-ego, son marassa Ti
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi"
Margaret Mead (1901-1978)
vendredi 27 mai 2011
Haïti - Social : Sophia Martelly, une nouvelle vie, de nombreux changements --- Mère d'une population... et timide.
Haïti - Social : Sophia Martelly, une nouvelle vie, de nombreux changements 27/05/2011 14:39:12 Ce n'est pas une surprise... Au cours de l'entrevue Mme Martelly a déclaré que ce n'est pas une surprise si elle est aujourd'hui la Première Dame d'Haïti « ce n'était pas une surprise du tout parce que j'ai accompagné mon mari à travers sa campagne électorale et j'ai vu l'effervescence de la population », ajoutant que le jour des résultats il y a eu beaucoup d'émotion, « j'étais déjà prête à cette nouvelle. » Mère d'une population... et timide «...je dois vous l'avouer que faire cette entrevue là c'est un grand changement parce que je suis d'une timidité maladive [...] je dois vous dire qu'en tant que mère de famille, je suis mère de quatre enfants, là je sens que je vais être mère d'une population entière. » Moins de liberté... Sophia Martelly a également déclaré que maintenant sa vie a changé, de plus elle croit également qu'accompagner son mari, le Président « sera quelque chose qui va définitivement changer un peu notre vie, pas le fait de l'accompagner, mais le mode de vie va changer, au niveau de la sécurité qui nous entoure, nos déplacements sont contrôlés... nous avons perdu une certaine liberté de nos mouvements. » Lire aussi : http://www.haitilibre.com/article-3029-haiti-social-premiere-visite-a-l-etranger-de-la-premiere-dame-d-haiti.html http://www.haitilibre.com/article-2996-haiti-social-sophia-martelly-rend-hommage-aux-ouvrieres-haitiennes.html BF/ HaïtiLibre ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Vendredi 27-05 / Haiti + Education FNE + Rouzier + CIRH + Sophia Martelly...
____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |