lundi 25 mars 2013
WASHINGTON POST: DES ORGANISATIONS POPULAIRES RESPONSABLES DE L'EXECUTION DE GEORGES HONORAT PARCE QU'IL PARLAIT EN FAVEUR DU GOUVERNEMENT
Finalement, JJJ s'explique sur les franchises. Le public est invité à poser des questions.
De qui franchiz wap pale? Je n'ai jamais eu de Franchises douanieres, ni pour moi, ni pour mes amis, ni pour les membres de ma famille.
Donnez-nous quelques exemples de Franchises que j'ai accordees a des gens? Allez-y
Venez avec des noms sur les franchises.
Je vous ai dit que Andy Apaid avait ses franchises depuis le President Jean-Bertrand Aristide. Digicel et Voila ont recu 15 ans de franchises sous Gerard Latortue.
La loi haitienne indique "15 ans de franchises pour toute compagnie" qui debute.
Encore une fois, venez avec des noms. Je vous attends.
Jean-Junior Joseph doit respecte le droit du public à l'information...
dimanche 24 mars 2013
Jean-Junior Joseph qui fait tout pour de l'argent, attaque Cyrus Sibert en parlant d'argent.
samedi 23 mars 2013
PRESS RELEASE: Child protection advocates to distribute leaflets on Palm Sunday outside St. Cecilia's Church in Boston.
IGNATIUS GROUP____
For immediate release:
Saturday, March 23, 2013
For more information: Paul Kendrick, 207-838-1319, Paul Kellen, 781-526-5878.
WHO: A small group of child protection advocates will hand out leaflets to parishioners outside St. Cecilia's Church in Boston.
WHERE: St. Cecilia's Church, 18 Belvidere Street, Boston, MA
WHEN: Sunday, March 24, 2013; 9:00 am to 11:30 am.
WHY: For many years, Father John Unni and St. Cecilia's parish members provided generous support to the St. Joseph's Family of Homes in Port au Prince, Haiti. During the past two years, allegations of physical and child sexual abuse have resurfaced against Director Michael Geilenfeld. Some of the alleged victims are in the Boston area and they need help now (see letter below).
LETTER TO REV. JOHN UNNI, PASTOR OF ST. CECILIA'S CHURCH IN BOSTON, MA.
March 22, 2013
Rev. John Unni
Pastor
St. Cecilia's Catholic Church
18 Belvidere Street
Boston, MA
Dear Rev. Unni,
I am compelled to stand peacefully, with a sign, outside the Palm Sunday mass at St. Cecilia's Catholic Church in Boston.
I will distribute leaflets to mass attendees, asking them to stand in solidarity with a young, abused and physically challenged young Haitian man who, three months ago, fled Haiti because he fears being further abused at the St. Joseph's Family of Homes in Haiti.
This Haitian man is seeking asylum in the United States. He came to Boston to find safety in the company of friends.
THIS POOR, FRIGHTENED AND ABUSED YOUNG HAITIAN MAN HAS ONLY THE CLOTHES ON HIS BACK.
HE HAS NO MONEY.
HE IS PHYSICALLY CHALLENGED BY CEREBRAL PALSEY.
HE IS DEPENDENT UPON OTHERS FOR A DAILY RATION OF FOOD.
HE HAS NO PERMANENT SHELTER.
Why am I asking you for help, Rev. Unni?
For many years the St. Cecilia's faith community provided generous amounts of time and money to the St. Joseph's Family of Homes in Haiti.
In fact, many of you have known this Haitian man since he was a child. He was a featured and popular dancer while a member of the St. Joseph's Resurrection Dance Theater. He performed more than once at St. Cecilia's parish in Boston.
When, in your presence, this man and other members of the Haiti dance troupe played the drums loudly and danced on your altar, you all rose to your feet in deafening applause.
Two years ago, when allegations of child sexual abuse resurfaced against Michael Geilenfeld, Director of the St. Joseph's Homes, you resigned your position as a board member of the orphanage and withheld parish donations to the St. Joseph's Homes.
(Michael Geilenfeld is a former member of Mother Teresa's "Brothers of the Missionaries of Charity")
Since that time, I have been begging you to redirect some of your caring, passion and treasure towards providing funding for professional counseling for victims who allege they were sexually abused by Geilenfeld, and are now living in the Boston area.
I must admit, Rev. Unni, I am frustrated by your lack of urgency in this matter. I have already told you that a Haiti social justice group in Boston is assisting this man through the long legal immigration process.
But more help is needed, at least in the short term.
The man is physically challenged. He will eventually need to find a group home that can meet his needs.
He needs our love, care and support. He is afraid to return to Haiti.
I don't pretend to have all the answers, Rev. Unni.
However, I do know that efforts to help this man need to be coordinated. I offer my own time to this task.
Perhaps, after the mass on Palm Sunday, a few members of your Haiti Committee will agree to meet with me.
The Poor are the Church.
Respectfully,
Paul Kendrick
Freeport, ME
207-838-1319
Le ministre de la justice Me Jean Renel Sanon sollicite la levée de l'immunité de 3 députés.
Écrit par MYPSamedi, 23 Mars 2013 16:10 www.infohaiti.net
Le ministre de la justice Me Jean Renel Sanon a formellement sollicite la levée de l'immunité des députés Rodriguez Séjour et M'zounaya Bellange Jean Baptiste accusés dans l'assassinat du feu policier Walky Calixte survenu à Martissant le 17 Avril 2012.
Dans une correspondance adressée au bureau de la chambre basse, le ministre de la justice a demandé à la chambre de mettre les deux parlementaires en question à la disposition du juge d'instruction Jean Wilner Morin chargé de ce dossier.
L'information a été confirmée par le président de la chambre des députés Jean Tolbert Alexis qui n'a pas voulu faire de déclarations enregistrées. Il faut rappeler qu'un camarade du policier Walky Calixte, Marcelin Jevousaime, témoin oculaire de son assassinat a été failli être tué dans une embuscade jeudi soir à Arcachon 32, banlieue sud de Port-au-Prince alors qu'il est attendu au cabinet d'instruction pour être entendu sur le dossier en question lundi prochain.
« La chambre des députés ne doit pas constituer un obstacle à la justice dans le cas de l'assassinat du policier défunt Walky Calixte » selon l'ancien président de cette branche du pouvoir législatif, Saurel Jacinthe qui s'est refusé par ailleurs de se prononcer ouvertement sur le dossier. « Personne n'est au-dessus de la loi a dit le parlementaire qui a rappelé qu'il y a toute une procédure dans ce genre de situations ».
Flash! Informations! : Trois Tweets sur la délégation du Nord!!!
1- La délégation du Nord a subventionné une connextion NATCOM en faveur de la DGI du Cap-Haitien afin de satisfaire les contribuables.
2- A partir de ce mardi, la DGI du Cap-Haïtien n'aura plus de problème de connextion Internet pour livrer des matricules aux citoyens.
3- La délégation du Nord entend aider la DGI et la Police à fournir des permis de conduire au Cap-Haitien, comme le Pdt Martelly l'avait promis.
Ne jamais oublier cette photo publiée par TOUT-HAITI (TOUYE-HAITI) afin de détruire l'image d'Haiti au profit du tourisme dominicain.
Pour lire la suite : http://t.co/AXF1p4wH
Radio ToutHaiti.com : Le trait d'union entre les haitiens !
Ecouter la Radio sur: (832) 280-0708 / (832) 551-5063
Tout Haiti Forum:
Michel Chartrand
Sur HPN, Un exemple d'article capable de tuer l'image d'Haiti. --- Haïti-santé:des médecins américains agressés sur une plage de Petit-Goave.
Haïti-santé:des médecins américains agressés sur une plage de Petit-Goave
Des médecins et des infirmières de l'université de Californie qui ont fourni une semaine de soins gratuits à des femmes haïtiennes dans la ville de Petit-Goave ont été agressés vendredi par des habitants d'une localité de la ville, a appris Haiti Press Network.
Les volontaires américains qui ont travaillé au centre sanitaire Henri Gérard Desgranges situé à Chabanne ont dénoncé l'agression sur les ondes de radio Préférence FM.
Malgré le versement d'une somme d'argent, les médecins et les infirmières n'ont pas été autorisés à se rendre sur la plage publique de Cocoyer-beach.
La famille Desgranges, également propriétaire dans cette localité, a condamné énergiquement cet incident qui a failli tourner au drame.
Selon Hugues Desgranges, les membres d'une organisation locale ont même menacé de tuer les Américains parce que ces derniers n'avaient pas assez d'argent pour payer l'accès à la plage.
Devant l'agressivité des membres de l'association, les médecins américains sont vite rentrés au centre-ville. "Nous ne nous attendions pas à cet accueil "", a déclaré le docteur américain David, chef de la délégation
"C'est triste ce qui s'est passé. Ce genre d'incident ne fera que repousser les touristes et ternir l'image de Petit-Goave et celle d'Haïti alors que le pays occupe la dernière place dans le classement mondial du tourisme", a déclaré Hugues Desgranges.
Cela est d'autant plus frustrant que la ville vient de bénéficier gratuitement des soins sanitaires de la part de ces médecins américains qui avaient l'habitude de visiter Cocoyer-beach et de soigner les habitants de la localité.
"Nous déplorons cette d'agression et demandons aux autorités de ramener l'ordre au sein des membres de cette organisation qui se comportent comme une association de malfaiteurs qui, d'après les étrangers, est l'un des plus beaux sites touristiques d'Haïti" a-t-il ajouté.
Haïti-Parc Caracol : Une première expédition via le port du Cap pour la compagnie S&H Global SA
Haïti-Parc Caracol : Une première expédition via le port du Cap pour la compagnie S&H Global SA
La compagnie coréenne S&H Global SA installée au Parc Caracol a effectué mercredi 20 mars, sa première expédition de production vers les Etats-Unis par le port du Cap-Haitien, a appris Haïti Press Network.
« Une grande première qui confirme que l'activité portuaire du Cap Haïtien, pourra désormais s'agrandir de la production de Parc industriel de Caracol dans sa première phase d'activité », a précisé une note de la compagnie.
La première expédition qui a été faite à travers 5 containers, concerne notamment des produits d'assemblage textile. L'expédition doit être renouvelée tous les mercredi, à partir du port du Cap-Haitien, avons-nous appris.
Auparavant, l'expédition de la production de la compagnie, se faisait à partir du port de Puerto Plata en République Dominicaine, a souligné la note.
En raison de l'augmentation de la production, la compagnie coréenne et la Société Nationale des Parcs Industriels (SONAPI) ont convaincu leur client américain, d'utiliser de préférence le port du Cap-Haitien, a ajouté la note.
Le parc industriel Caracol situé dans le nord du pays, a été inauguré le 22 octobre 2012 comprend actuellement 2 locataires qui sont la compagnie coréenne S&H Global SA et Peinture Caraïbes.
Source: RLJ/HPN
Lamothe mise sur les investissements étrangers
Après avoir constaté le niveau des investissements directs étrangers à Aruba, le Premier ministre haïtien est encore plus convaincu qu'Haïti n'avancera pas sans créer des conditions - réforme du cadre des affaires, stabilité politique - pour attirer des investisseurs. Satisfait du travail déjà accompli, le chef du gouvernement estime que les résultats ne seront pas visibles du jour au lendemain.

Des investisseurs, sont entrés au pays, et ils continueront d'arriver. Cette semaine, huit des plus grandes sociétés du Vietnam, ( dont Vinafood, le plus grand exportateur de riz dans le monde,) seront dans nos murs. C'est le Premier ministre Laurent Lamothe qui a annoncé au Nouvelliste au cours de sa visite, jeudi dernier, à Aruba, île qui vit essentiellement du tourisme : « Nous n'avons pas voulu importer seulement du riz, mais nous aurions aimé qu'ils investissent également dans la production du riz, créer des emplois, relancer la production agricole », explique le chef du gouvernement.
Lamothe compte sur les investissements. Ce n'est pas pour rien que l'un des slogans phares du gouvernement est : « Haïti is open for business ». Haiti offre des opportunités d'affaires. Avec l'ancien président des Etats-Unis Bill Clinton, comme allié, le slogan a pris de l'ampleur. Ce dernier a réussi à amener de grands hommes d'affaires au pays. Ils sont venus, ont constaté de par eux-mêmes puis sont retournés chez eux.
« Beaucoup d'entrepreneurs manifestent leur intérêt d'investir dans le pays, notamment à l'Ile-à-Vache. Il faut aussi constater la construction d'hôtels un peu partout dans le pays, a indiqué le Premier ministre. Nous devons parler également des investisseurs locaux (...). On ne va pas ressentir les retombées du jour au lendemain. Cela va prendre plusieurs années, mais l'intérêt est là. »
Selon lui, le gouvernement ne fait que « stimuler l'intérêt de l'international » pour que les investissements soient pérennes. « Haïti est l'un des rares pays où il n'y a pas beaucoup d'investissements étrangers, et il n'y avait pas non plus un intérêt pour les encourager », a souligné Laurent Lamothe au cours de cet entretien exclusif.
Le Premier ministre estime donc qu'une grande étape a été franchie. « A une époque, les investisseurs ne pouvaient même pas entrer au pays à cause des troubles sociopolitiques... de l'instabilité politique. L'un des points les plus importants pour faciliter les investissements, c'est de créer la stabilité. Et je pense qu'en deux ans, le président Martelly a réussi à établir cette stabilité », analyse le Premier ministre.
« Nous déclarons que le pays est ouvert aux investissements, c'est pour envoyer un signal dans le monde entier et dire que nous sommes prêts à recevoir des délégations pour des visites de prospection. Maintenant, c'est notre rôle, que ce soit le gouvernement, le peuple haïtien, le secteur privé, la presse... de travailler de concert pour retenir les investisseurs », ajoute-t-il.
Investissements, oui, mais les conditions administratives sont-elles réunies ? Pas forcément. Laurent Lamothe a encore soutenu que les procédures administratives sont trop lentes. « L'une des raisons pour lesquelles Haïti est si pauvre avec un taux élevé de chômage, c'est parce qu'il est très difficile d'y mettre sur pied une entreprise. Comment peut-on créer d'emplois si l'on n'a pas une firme ? Une personne ne peut pas créer à elle seule 1 000 emplois. Nous travaillons en ce sens sur la réforme du cadre des affaires », a expliqué le Premier ministre.
Le gouvernement, rappelle-t-il, déploie beaucoup d'efforts pour sensibiliser, stimuler les investisseurs et promouvoir l'image d'Haïti. Le tout contribuera à la création d'emplois.
Comme l'a si bien reconnu le chef du gouvernement, les investissements, ce n'est pas une science exacte. Encore moins une course de 100 mètres !
Valéry Daudier, @ValéryDaudier, Le Nouvelliste
Haïti - Économie : Lancement officiel du Fonds d'Investissement de la Caraïbe
Le CIF est un instrument financier visant, non seulement à renforcer les relations entre l'UE et les membres du CARIFORUM, mais également promouvoir les investissements et développer les infrastructures et le secteur privé de la région dans les domaines du transport, eau et assainissement, énergie, prévention de aléas naturels, et des Technologies de l'Information et de la Communication (TIC).
Mme Marie Carmelle Jean-Marie, la ministre de l'Économie et des Finances, qui dirige la délégation haïtienne, dont fait également partie l'Ordonnateur National, M. Jean Edner Nelson, a souligné le renforcement de la prise en charge, au niveau national, du système d'entreprise, considéré nécessaire pour stimuler et encourager les activités d'investissements privés « Dans le cadre de la réforme du système financier, l'État a pris des mesures de modernisation des banques, des assurances et d'autres formes de services financiers, et de réforme du droit financier. Il a mis en place de nouveaux instruments mieux adaptés aux besoins des entreprises », a-t-elle fait remarquer, rassurant ses interlocuteurs, quant à l'adaptation du système financier aux réalités non homogènes des entreprises, qui constitue l'une des problématiques les plus sensibles dans la reconstruction de l'économie nationale.
Le Fonds d'Investissement de la Caraïbe est doté de ressources financières initiales équivalant à 40 millions d'euros et sera géré par la Commission de l'UE et exécuté en partenariat avec les organismes de développement régional, comme la BID, la CAF, etc... Le CIF privilégie en priorité les secteurs tels : l'Inter connectivité, l'énergie, le transport, la communications, l'eau et l'assainissement, les infrastructures sociales, et apportera son soutien aux 15 pays membres du CARIFORUM (ceux du CARICOM), plus la République Dominicaine.
Source: HL/ HaïtiLibre
vendredi 22 mars 2013
Haïti peut devenir un pays émergent
 En Amérique latine, de nombreux pays ont réalisé des avancées impressionnantes en matière de développement humain au cours des dernières décennies, extirpant des centaines de millions de personnes de la pauvreté et les propulsant dans une nouvelle classe moyenne mondiale. Parmi les recommandations du dernier Rapport sur le développement humain 2013, figure indéniablement la prise en compte de politiques sociales fortes de la part des gouvernements sur le long terme. Recommandations que les dirigeants haïtiens n'avaient pas attendu d'inclure dans des initiatives de protection sociale déjà en place. Le Rapport 2013 a été présenté la semaine passée à Mexico par Helen Clark, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Président du Mexique, Enrique Peña Nieto.
« La croissance économique n'est pas la seule réponse au développement humain. Le Rapport fait la part belle aux politiques sociales, au système éducatif et à la santé et prouve que tous les pays, peu importe leur point de départ, leur histoire, leur géographie ou structure sociale, peuvent devenir émergents », déclare Sophie de Caen, Directrice principale du PNUD en Haïti.
Le Rapport indique que « les pays du Sud en plein essor sont, par conséquent, en train de développer des programmes sociaux et de réduction de la pauvreté plus amples dont les politiques pour éliminer les inégalités, les défaillances institutionnelles, les barrières sociales et les vulnérabilités personnelles sont tout aussi vitales que la promotion de la croissance économique ».
Les célèbres programmes de transferts conditionnels d'espèces latino-américains comme par exemple Bolsa Familia au Brésil, ont participé à l'effort de partage égalitaire des opportunités sociales et économiques. Ces programmes ont pour but d'augmenter les revenus de la population ainsi que de développer leur accès à la santé et à l'éducation en procédant à des transferts d'argent dépendamment de certains critères comme les visites dans des cliniques de santé et la scolarisation. Ces programmes sont moins coûteux que les aides financières sociales traditionnelles ; par exemple, Bolsa Familia coûte moins d'un pour cent du produit intérieur brut (PIB).
« Le Rapport jette un nouveau regard sur la situation actuelle du développement mondial et démontre à quel point la progression rapide d'un grand nombre de pays du Sud en matière de développement peut servir d'exemple », déclare Helen Clark.
De son coté, conscient des enjeux pour l'avenir du pays, le Gouvernement haïtien s'est également inspiré des avancées réalisées en Amérique du Sud pour mettre sur pied une stratégie concernant les programmes de cash transferts – la stratégie Ede Pep – qui vise à offrir aux ménages vivant dans l'extrême pauvreté des subsides adaptés aux cycles de vie des membres des ménages. Cette stratégie s'appuie sur la mise en place d'un registre unique de bénéficiaires pour un meilleur ciblage de ces programmes. Près de 100 000 ménages bénéficient déjà de transferts récurrents, via par exemple le programme Ti Manman Cheri. Mis en œuvre par le Fonds d'Assistance Economique et Sociale sous l'égide du Premier ministre et avec l'appui technique du PNUD, Ti Maman Cheri est le premier programme de transferts conditionnels d'espèces en Haïti et vise les mères de familles vivant dans les quartiers précaires et ayant des enfants scolarisés. Si de tels programmes doivent encore largement être renforcés en Haïti, ils jettent les bases d'une plus grande implication du Gouvernement haïtien dans un plan social fort et durable, élément nécessaire selon le Rapport, pour toute nation qui souhaite voir réduire son niveau de pauvreté et accroitre l'épanouissement de sa population.
HL/ HaïtiLibre
Alerte#3 : Dossier vol de médicaments dans un dépot de la paroisse de Vaudreuil #Caphaitien:
Alerte#2 : Dossier vol de médicaments dans un dépot de la paroisse de Vaudreuil #Caphaitien
Dossier vol de médicaments dans un dépot de la paroisse de Vaudreuil #Caphaitien:
Envoyé par mon BlackBerry
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978)
jeudi 21 mars 2013
Haïti-ONU: Michel Forst démissionne, exige la lumière sur l’origine du choléra
Haïti-ONU: Michel Forst démissionne, exige la lumière sur l'origine du choléra
« Haïti et la communauté internationale doivent faire la lumière sur l'origine du choléra dans le pays, a recommandé dans son dernier rapport au conseil des droits humains de l'ONU l'expert indépendant des Nations-Unies sur la situation en Haïti Michel Forst, annonçant sa démission sur son compte twitter pour des raisons personnelles.
Dans ce rapport, M. Forst a indiqué que la question de l'éclatement de l'épidémie en Haïti demeure une question brûlante qui a suscité beaucoup de controverses. Il a donc invité le Conseil de sécurité de l'Onu à répondre à toutes les demandes d'indemnisation.
L'épidémie de choléra a tué plus de 8.000 personnes et a fait plus de 650.000 infectés.
Plusieurs études scientifiques au cours des dernières années ont révélé que la souche de l'épidémie a été introduite en Haïti par les troupes népalaises de l'ONU basées à Mirebalais (Département du centre).
En février, les Nations-Unies avaient rejeté et qualifié de "non recevable", la demande d'indemnisation formulée par certaines organisations locales et internationales en faveur des victimes de l'épidémie de choléra en Haïti
Tout en déplorant « l'exploitation de la question par certaines organisations à des fins politiques», l'ancien expert indépendant des Nations-Unies sur la situation des droits humains dit reconnaître «la nécessité que les victimes ou leurs familles de connaître la vérité et la compensation peut-être même leur octroyée."
M. Forst a aussi appelé à la communauté internationale et le gouvernement haïtien à mettre sur pied un programme d'assistance internationale pour lutter contre la propagation de l'épidémie de choléra en engageant des fonds pour financer l'infrastructure nécessaire pour éradiquer le choléra dans le pays.
Source: WJL/HPN