jeudi 31 octobre 2013
Cyrus Sibert compte porter plainte contre #JustinMetellus et Martin Pierre.
mercredi 30 octobre 2013
Education-Nord : Griefs des syndicats d'enseignants et de la société civile
- Comportement non professionnel et revanchard contraire aux grands principes qui régissent la fonction publique qui sont La compétence, l'impartialité, l'honnêteté, le respect de la légalité.
- Transfert arbitraire, en octobre 2012, moins d'un mois après son installation, sur la base d'accusations politiques mensongères, notamment conspiration contre le gouvernement en place, de trois directeurs de lycée : Mme Maryse Pierre, M Abraham Louis Harry et M Jean Emmanuel Jasmin respectivement directrice du Lycée Philippe Guerrier, directeur du lycée de Breda et directeur du lycée Duty Boukman.
- Boycottage systématique des lycées Boirond Tonnerre et Jeunes filles du Cap-Haitien
- Mise à l'écart du directeur du lycée et du censeur de la vacation PM au lycée Jean Baptiste Cinéas du limbe (tous deux normaliens supérieurs) pour les remplacer par M Jean Georges un professeur frère de Arylex Jean son bras droit et le censeur par un ami
- Les dispositions qui n'ont pas tenu compte des prescrits du manuel de gestion et qui sont à l'origine des tensions soutenues au lycée Philippe Guerrier, lycée François Cappoix de limonade et lycée Duty Boukman à l'école nationale Charles Lebossé du Cap-Haitien, au BDS Cap II, au BDS de l'Acul du Nord, au BDS de Port- Margot ...
- Menaces de toute Sorte, intimidations, injures graves sur les ondes de certaines stations de radio de la ville notamment radio télé venus envers les agents éducatifs qui osent critiquer les pratiques arbitraires du Directeur Départemental.
- Le cas du suppléant Alexandre M Bien Aime qui avait engrossé une fille de 9e AF au lycée Philippe Guerrier est rétabli dans ses fonctions par le directeur départemental en dépit d'une décision administrative prise par le directeur d'alors, qui lui avait transféré à Port-margot
- Utilisation des services de repris de justice tant au niveau du Budexe qu'à la direction départementale. Gary Chery, Gonald Desir etc.
- Quid des 8 millions de gourdes débloqués pour peinturer les lycées ? 4 millions au cours de l'année académique 2012-2013 et 4 millions pour la nouvelle année académique. Seulement 4 lycées des 23 que compte le département ont pu bénéficier 100000 gourdes chacun. Il s'agit des Lycées Philippe Guerrier, Boukman, Breda et Jean baptiste Cineas du limbe.
- Où sont passés les kits scolaires envoyés pour les enfants ?
- Pourquoi ouvrir un compte personnel avec les fonds de la DDN à la caisse populaire Fraternité du Cap-Haitien
- Nombreuses sont les écoles inexistantes qui grossissent la liste du programme psugo et dont les bénéficiaires sont des alliés du directeur départemental (Charles Duna dont l'école serait à plaisance…
- la mutation de M Metellus à un poste moins exigent que celui-ci
- l'installation d'une personne plus à même de servir les intérêts de l'éducation
- Prendre les mesures susceptibles de corriger les nombreuses irrégularités à l'origine des protestations.
ET QUI A ETE REMIS A UNE COMMISSION D'ENQUETE DU MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE.
Contradictions dans les déclarations de Martin Pierre contre Cyrus Sibert
Dossier - Haïti-Observateur : La vérité a triomphé en faveur de Laurent Lamothe
Le propriétaire du journal Haiti Observateur, Leo Joseph, a pris l'engagement de publier dans son journal en ligne une déposition sous serment qui prouve qu'il avait difusé des informations mensongères concernant le Premier Ministre Laurent Lamothe et son ancien partenaire d'affaires, Patrice Baker, en échange d'un abandon des poursuites engagées par ces derniers en 2012 contre lui devant des tribunaux américains.
Lamothe et Baker ont poursuivi le journal en ligne suite à un article qui les avait accusés d'utiliser le gouvernement haïtien pour faire pression sur la Haitel , un réseau de télécommunications en faillite, pour qu'elle vende ses actifs en dessous de leur valeur marchande à Nord Citadel, une compagnie d'investissements souhaitant investir en Haïti.
En échange de l'abandon de la poursuite, le journal en ligne a décidé de publier dans son intégralité une déclaration sous serment faite par Michael Charles , le fondateur et associé gérant de Nord Citadel, confirmant pour l'essentiel que les allégations contre M. Lamothe et M. Baker ont été entièrement fabriquées .
Citant des passages de l'affidavit (déclaration sur serment), Charles a réfuté les allégations du journal Haiti Observateur, selon lesquelles le premier ministre a été impliqué dans la promotion de la vente. " Ni Nord citadel ni moi-même, n'avions jamais reçu de pressions, de quelque nature que ce soit, de la part de M. Lamothe, ... ou de quelque autre personne liée au gouvernement haïtien . "
La déposition sous serment indique également que M. Joseph a dénaturé les sources qu'il a utilisées pour la rédaction de l'article. Il a affirmé qu'il avait interrogé M. Charles , le citant comme la source principale de ses allégations à l'encontre du Premier ministre, tandis que selon Charles, ladite interview n'avait jamais eu lieu, admettant cependant qu'il avait eu seulement une conversation téléphonique avec M. Joseph sur l'heure et le lieu d'un éventuel entretien.
Dans un autre passage de cette déclaration sous serment, Charles dément que les affirmations de Joseph que, lui, Charles, ait été traité en prince en Haïti par des fonctionnaires du gouvernement haïtien dans leur tentative de sceller la vente de Haitel. Charles a déclaré: " Je n'ai jamais été en Haïti dans ma vie. "
Citant Charles comme source , l'allégation centrale de Haiti Observateur, était que le premier ministre avait exercé des pressions sur Nord Citadel pour que cette compagnie dépose un acompte substantiel pour l'achat de la Haitel et qu'ils avaient « convenu d'un prix d'achat de $25 millions , même si les actifs de la Haitel valaient environ 80 millions de dollars.
Dans la déclaration sous serment , Charles a nié avoir jamais fait ces fausses déclarations au journal Haiti Observateur de Joseph simplement parce que l'interview n'a jamais eu lieu.
Selon un haut responsable de la Direction Général des Impôts (DGI), "la vente de la Haitel n'a jamais eu lieu , au contraire compte tenu de la faillite de la société , elle sera mise aux enchères dans les prochains mois".
Le Premier Ministre Lamothe a longtemps expliqué que ni lui ni son ancien partenaire n'avait intenté l'action en justice contre l'Haiti Observateur de M Joseph pour obtenir une compensation monétaire.
Lamothe a déclaré qu'il s'est senti complètement justifié dans ces déclarations de départ.
"Parce qu'en acceptant de publier cette declaration sous serment qui prouve sans l'ombre d'un doute que nous étions sincères dès le début et que M. Joseph ne racontait que des mensonges, l'objectif du procès a été plus qu'atteint "
Dans un jugement rendu en Février par un tribunal du district américain de Miami, le juge avait estimé que le journaliste et le journal en ligne avaient agi avec malveillance en publiant l'article. L'affaire a été portée en appel et l'abandon des poursuites mettra un terme au processus .
D'autres documents présentés pendant le processus soulignent également que le Haïti Observateur a été financièrement lié au propriétaire de la Haitel et le journaliste peut avoir accepté d'écrire et de publier l'article en agissant de connivence avec Frank Cine, le propriétaire d'alors de l'entreprise de télécommunications en faillite.
Salim Sukar , l'un des avocats haïtiens du Premier ministre a fait remarquer que la «vérité a prévalu » et que « le rejet de l'affaire devrait servir de leçon à tous les journalistes qui doivent se soucier de vérifier les faits et de respecter les normes éthiques avant de publier des déclarations malveillantes ».
Source: Rick Bajandas
____________________
mardi 29 octobre 2013
DOING BUSINESS 2014: HAITI CLASSEE 177 SUR 189 #businessinhaiti #cfi
Pour une réponse à la hauteur de l'offense.
Les dirigeants aiment accuser les journalistes tenaces! En 2009, le ministre Exumé avait accusé Valéry Numa de liens avec la drogue.---
Alors qu'il était interrogé en direct dans une émission à forte écoute de la station sur le fait que seules des comparses étaient jusqu'ici écrouées dans le cadre d'un dossier de drogue, le ministre a fait savoir à l'intervieweur Valéry Numa qu'il pourrait lui aussi être interpellé, son nom étant cité comme l'une des personnes ayant reçu de l'argent dans le cadre du dossier. Il a en même temps déclaré qu'il ne croyait pas à l'implication du journaliste, mais qu'il a fait référence à des rumeurs le concernant juste pour lui expliquer qu'on ne pouvait pas procéder à des arrestations sur la base de simples rumeurs.
En référence à l'incident, l'Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH), l'un des principaux regroupements de propriétaires de médias du pays, a dénoncé "l'attitude indigne d'un responsable d'Etat qui lance une vendetta contre un membre de la presse ou contre toute la presse tenue pour responsable de ses erreurs ou du traitement inadéquat d'un dossier".
Dans un communiqué signé de son président, M. Jacques Sampeur, l'ANMH considère qu'aucun ministre, aucun fonctionnaire public, quel que soit son titre ne saurait mettre en question des acquis tels que la liberté de la presse et la liberté d'expression garanties par la Constitution et les Lois de la République.
"Les menaces du ministre de la justice contre le journaliste Valéry Numa vont- au-delà du confrère et pèsent sur la liberté d'expression, sur le droit et le devoir d'informer", estime l'ANMH.
Qualifiant de grotesque la sortie du ministre Jean Joseph Exumé, l'association de propriétaires de médias considère qu'elle envoie "un mauvais signal à l'opinion publique inquiète d'un état d'esprit de complot au sommet contre le reste de la société".
"L'ensemble de la corporation doit interpréter cette nouvelle menace contre la presse comme un message clair indiquant à chacun de nous que la liberté de la presse est une quête permanente, sa défense, un combat de tous les jours", conclut le communiqué de l'ANMH.
Les responsables de S.O.S Journalistes et de l'Association des Journalistes Haïtiens, MM. Guyler C. Delva et Jacques Desrosiers, ont eux aussi condamné les propos du ministre, appelant à des excuses publiques à l'endroit de Valéry Numa.
Intervenant mercredi matin en marge de la cérémonie d'ouverture à Port-au-Prince d'un colloque sur l'Etat civil et l'identification, le ministre Jean Joseph Exumé a expliqué qu'il n'avait pas voulu porter atteinte à l'image du journaliste. Il voulait tout simplement lui faire comprendre que les autorités ne peuvent pas mettre la main au collet de quelqu'un du simple fait que des rumeurs font référence à sa personne.
Le journaliste Valéry Numa a pour sa part annoncé avoir saisi un cabinet d'avocats pour obtenir réparation des préjudices moraux dont il a été l'objet. [jmd/RK]
http://ikaly.ht/haiti/2/1007-le-ministre-de-la-justice-me-jean-joseph-exume-objet-de-severes-critiques-de-la-part-des-associations-de-journalistes-et-de-medias.php
Justice: Laurent Salvador Lamothe et Patrice Baker blanchis dans l’affaire Haïtel
Laurent Salvador Lamothe et Patrice Baker ont gagné le procès qui leur opposait au journal en ligne, « Haïti Observateur ». Les deux citoyens ont attaqué le journal en diffamation pour avoir publié un article accusant le Premier ministre, Laurent Salvador Lamothe, et son associé d'alors, Patrice Baker, d'avoir voulu vendre la Haïtel à la Compagnie Nord Citadel pour 25 millions de dollars, alors que sa valeur réelle était de 80 millions de dollars américains.
Cet article avait aussi mentionné que Laurent Lamothe, le président de la République et quelques parlementaires influents, étaient de la combine et avaient fait pression sur M. Michael Charles, gérant de la Compagnie Nord Citadel basée à New York, pour que ce dernier fasse un dépôt de 10 millions U.S sur un compte privé en Haïti.
Lors d'une médiation tenue entre les deux parties le 28 octobre, elles ont convenu que les responsables du journal, notamment Léo Joseph devait rétablir la vérité en publiant l'intégralité des déclarations de Michael Charles, lesquelles devraient prouver que le journal avait menti et porter préjudice à M. Lamothe et M. Baker.
Les dépositions de Jehan Colimon et Michael Charles, témoins à décharge, qui font partie de la compagnie North Citadelle, devant le tribunal du « Southern district of Florida » ont prouvé que les informations autour de la vente de la Haïtel pour la rondelette somme de 25 millions de dollars, publiées dans les colonnes d'Haïti observateurs, le 15août 2012, sont archifausses.
M. Colimon a informé « le tribunal du Southern District of Florida » de s'être entretenu avec Léo Joseph, le jour de la parution de l'article, et l'avoir indiqué que les informations qu'il détenait de Franck Ciné étaient fausses et discréditaient « Haïti Observateur ». Aussi a-t-il expliqué que Léo Joseph lui a répondu : « vous devez me comprendre. Depuis la création de la Haïtel, Franck Ciné nous a toujours accordé des publicités. Quand nous avions eu des déboires financiers, il nous a toujours soutenus ».
M. Colimon a, entre autres, déclaré, sous serment, : « Je me suis donc rappelé que, dans le courant de l'année 2008, quelque temps avant la publication de cet article, 20 mille dollars US ont graduellement été versés sur un compte personnel de Léo Joseph ». aussi soutient-il qu'il avait alors compris que Léo Joseph savait que les informations communiquées par Franck Ciné étaient fausses mais qu'il avait décidé, quand bien même, de les publier pour répondre aux bonnes grâces accordées par Franck Ciné.
Source: Miami Herald
HPN,
Les anti-Martelly volent au secours de Justin Métellus...
La force de RéseauCitadelle sur le web...justifie les attaques!
Réaction de Cyrus Sibert, suite aux attaques des Lycées de Cap-Haïtien. (Texte de Cyrus Sibert)
Le Premier Ministre d'Haïti sort vainqueur dans une action en justice contre un journal en ligne
Le propriétaire du journal Haiti Observateur, Leo Joseph, a pris l'engagement de publier dans son journal en ligne une déposition sous serment qui prouve qu'il avait difusé des informations mensongères concernant le Premier Ministre Laurent Lamothe et son ancien partenaire d'affaires, Patrice Baker, en échange d'un abandon des poursuites engagées par ces derniers en 2012 contre lui devant des tribunaux américains.
Lamothe et Baker ont poursuivi le journal en ligne suite à un article qui les avait accusés d'utiliser le gouvernement haïtien pour faire pression sur la Haitel , un réseau de télécommunications en faillite, pour qu'elle vende ses actifs en dessous de leur valeur marchande à Nord Citadel, une compagnie d'investissements souhaitant investir en Haïti.
En échange de l'abandon de la poursuite, le journal en ligne a décidé de publier dans son intégralité une déclaration sous serment faite par Michael Charles , le fondateur et associé gérant de Nord Citadel, confirmant pour l'essentiel que les allégations contre M. Lamothe et M. Baker ont été entièrement fabriquées .
Citant des passages de l'affidavit (déclaration sur serment), Charles a réfuté les allégations du journal Haiti Observateur, selon lesquelles le premier ministre a été impliqué dans la promotion de la vente. " Ni Nord citadel ni moi-même, n'avions jamais reçu de pressions, de quelque nature que ce soit, de la part de M. Lamothe, ... ou de quelque autre personne liée au gouvernement haïtien . "
La déposition sous serment indique également que M. Joseph a dénaturé les sources qu'il a utilisées pour la rédaction de l'article. Il a affirmé qu'il avait interrogé M. Charles , le citant comme la source principale de ses allégations à l'encontre du Premier ministre, tandis que selon Charles, ladite interview n'avait jamais eu lieu, admettant cependant qu'il avait eu seulement une conversation téléphonique avec M. Joseph sur l'heure et le lieu d'un éventuel entretien.
Dans un autre passage de cette déclaration sous serment, Charles dément que les affirmations de Joseph que, lui, Charles, ait été traité en prince en Haïti par des fonctionnaires du gouvernement haïtien dans leur tentative de sceller la vente de Haitel. Charles a déclaré: " Je n'ai jamais été en Haïti dans ma vie. "
Citant Charles comme source , l'allégation centrale de Haiti Observateur, était que le premier ministre avait exercé des pressions sur Nord Citadel pour que cette compagnie dépose un acompte substantiel pour l'achat de la Haitel et qu'ils avaient « convenu d'un prix d'achat de $25 millions , même si les actifs de la Haitel valaient environ 80 millions de dollars.
Dans la déclaration sous serment , Charles a nié avoir jamais fait ces fausses déclarations au journal Haiti Observateur de Joseph simplement parce que l'interview n'a jamais eu lieu.
Selon un haut responsable de la Direction Général des Impôts (DGI), "la vente de la Haitel n'a jamais eu lieu , au contraire compte tenu de la faillite de la société , elle sera mise aux enchères dans les prochains mois".
Le Premier Ministre Lamothe a longtemps expliqué que ni lui ni son ancien partenaire n'avait intenté l'action en justice contre l'Haiti Observateur de M Joseph pour obtenir une compensation monétaire.
Lamothe a déclaré qu'il s'est senti complètement justifié dans ces déclarations de départ.
"Parce qu'en acceptant de publier cette declaration sous serment qui prouve sans l'ombre d'un doute que nous étions sincères dès le début et que M. Joseph ne racontait que des mensonges, l'objectif du procès a été plus qu'atteint "
Dans un jugement rendu en Février par un tribunal du district américain de Miami, le juge avait estimé que le journaliste et le journal en ligne avaient agi avec malveillance en publiant l'article. L'affaire a été portée en appel et l'abandon des poursuites mettra un terme au processus .
D'autres documents présentés pendant le processus soulignent également que le Haïti Observateur a été financièrement lié au propriétaire de la Haitel et le journaliste peut avoir accepté d'écrire et de publier l'article en agissant de connivence avec Frank Cine, le propriétaire d'alors de l'entreprise de télécommunications en faillite.
Salim Sukar , l'un des avocats haïtiens du Premier ministre a fait remarquer que la «vérité a prévalu » et que « le rejet de l'affaire devrait servir de leçon à tous les journalistes qui doivent se soucier de vérifier les faits et de respecter les normes éthiques avant de publier des déclarations malveillantes ».
Source: Rick Bajandas
____________________