[ En clair, tout ce prétendu scandale n’est que l’amplification par Me Claudy Gassant d’un incident banal de contrôle policier en République Dominicaine qui n’a rien avoir avec la corruption en Haiti.
Pour preuve la Chancellerie Dominicaine qui est la première institution concernée dans ce genre de situation “ l’ignore”, comme dit le Listin Diaro.
Me Claudy Gassant, à la recherche de publicité, de spectacle et surtout de vengeance, quand on sait que sa femme a travaillé au Consulat de Santiago et qu’il existe un contentieux personnel (de famille) avec l’une des personnes qu’il a indexée. De plus, il y a cette logique narcissique “toujours moi; rien que moi; il faut qu’on parle de moi, même au détriment des autres et du prestige de l’Etat d’ Haiti”.
Normalement, il devrait être blâmé par ses supérieurs pour conduite inappropriée et, au pire, révoqué pour incompétence. ] — Note de #LeReCit
Lisez cet article, publié dans le journal listindiario.com
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Le ministère Dominicain des Affaires étrangères ignore le scandale en Haïti.-
Ramón Pérez Reyes Saint-Domingue, RD
Le ministère dominicain des Affaires étrangères n'a pas été informé du scandale de corruption impliquant un groupe de fonctionnaires de l'ambassade d'Haïti à Saint-Domingue.
C'est ce qu'a déclaré César Duvernay, directeur de la communication du ministère des Affaires étrangères, qui a souligné qu'il s'agit d'un cas qui correspond à la justice et que le ministère des Affaires étrangères ne fait qu'observer tout ce qui s'est passé.
«Nous n'avons pas, nous n'avons reçu aucune communication à ce sujet. Seulement ce que nous avons dans les médias et, évidemment, ce qui motive la justice dominicaine. Vous savez que c'est un cas qui est en justice dominicaine », a expliqué Duvernay en référence à la rétention d'un véhicule à Mme Judith Exavier, une fonctionnaire du consulat haïtien à Santiago.
Le véhicule dans lequel la dame voyageait était au nom d'un véhicule lié au réseau de César l'abuseur. «Que Mme Judith Exavier n'est pas accréditée. Officiellement, ses lettres de brevet ne lui ont pas été envoyées et c'est pourquoi la division des visas lui a donné le visa, car il est tenu d'avoir une copie de la carte d'identité consulaire et n'a pas été élaboré pour elle, car il est délivré après qu'il lui a été envoyé le exéquatur à l'ambassade », a déclaré Duvernay.
Il a insisté sur le fait que l'affaire était uniquement pour la justice. "C'est une situation manifestement judiciaire, et ce qui a à voir avec le pays, et du point de vue des enquêtes que ces entités haïtiennes font, c'est une affaire qui leur appartient en tant que telle”.
Un scandale a éclaté cette semaine à Port-au-Prince avec de graves accusations de commerce illégal, sur la base du statut des fonctionnaires de son ambassade à Saint-Domingue. Il implique, outre Exavier, d'autres fonctionnaires consulaires.
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