4e Première Pierre pour la construction de l'aéroport du Cap-Haitien. Par Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haïti. Le Ré.Cit. (Réseau Citadelle) : www.reseaucitadelle .blogspot. com Ce Lundi 23 Aout 2010, le gouvernement haïtien procédera à la pose d'une nouvelle ''Première Pierre'' pour la reconstruction de l'Aéroport du Cap-Haitien. Les 3 autres ayant été placées par les gouvernements du General Avril et de Gérard Latortue Le Ministre du Tourisme Patrick Delatour a fait le déplacement pour la circonstance. Le Ministre des TPTC pourrait être présent. Dans la soirée du dimanche 22 Aout 2010, le Maire de la ville Michel Saint-Croix avait annoncé la présence de matériels lourds pour le lancement des travaux à partir de ce 23 Aout 2010. Nous souhaitons que cette 4e ''Première Pierre'' sera la dernière et que les monopolistes de Port-au-Prince nous laisseront avoir un aéroport au Cap-Haitien, nouveau pôle économique incontournable d'Haïti. Déjà plus de 3 lignes aériennes assurent le transport Cap-Haitien/Fort-Lauderdale chaque jour avec des avions de 30 places. Les ressortissants du Nord se révoltent de plus en plus contre l'obligation qui leur est imposée de transiter par l'aéroport de Port-au-Prince pour visiter leur ville natale du Grand Nord. RESEAU CITADELLE avait contribué en ce sens, en inscrivant sur son blog depuis 2 ans, un message invitant les compatriotes de la diaspora à boycotter l'Aéroport de la capitale. RESEAU CITADELLE (Le Ré.Cit), le 23 Aout 2010, 11 heures 05. ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
lundi 23 août 2010
4e Première Pierre pour la construction de l’aéroport du Cap-Haitien.
Haïti – Séisme- Urbanisme : Une situation alarmante au Cap-Haïtien, deuxième ville du pays.
Jonas Laurince Dans un article publié sur le blog du Réseau Citadelle et partagé dans le forum Haïti-Nation, Cyrus Sibert – avec photos à l'appui – présente la situation actuelle de la ville du Cap-Haïtien en matière d'urbanisme. La deuxième ville du pays, tout comme la capitale Port-au-Prince, est une vitrine de constructions anarchiques qui non seulement enlaidissent la ville - malgré l'interdiction de l'ISPAN - mais également exposent la vie de ses habitants au danger d'un éventuel séisme. Les clichés qui accompagnent cet article présentent une ville en pleine activité avec ses constructions d'immeubles de plusieurs étages et des maisonnettes qui côtoient des grosses pierres sur les flancs des mornes, à l'image de Port-au-Prince. Rappelons que ce sont ces types d'immeubles abritant des bureaux administratifs, des écoles et universités, des magasins et autres qui on causé le plus de victimes lors du séisme du 12 janvier à la capitale haïtienne. « La semaine du 14 février 2010 est marquée par plusieurs cas de glissements de terrain, d'éboulements et détachements de grosses pierres au Cap-Haitien », rapporte l'auteur de l'article. Le lundi 15, poursuit-il, quatre écoliers ont trouvé la mort à « La Petite École » suite à un glissement de terrain sur le mur de leur salle de classe. Jeudi 18, dans les hauteurs de la rue 12, au flanc d'un morne surplombant l'ouest de la ville, à proximité du Collège Notre Dame, une grosse pierre menaça de se détacher et d'anéantir des dizaines de maisonnettes construites anarchiquement à sa base. Le vendredi 19 février 2010, sous la pression des terres érodées, un mur de clôture s'est effondré sur l'une des toilettes du Collège Notre Dame. D'après l'auteur, les grosses pierres, extraites des montagnes par des particuliers, constituent une véritable épée de Damoclès sur la tête de la deuxième ville du pays. Au Cap-Haïtien, les anciennes maisons coloniales faites en bois sont de plus en plus remplacées par des maisons en dur. Ce qui multiplie davantage le risque que des parpaings et des dalles de béton n'aplatissent les Capois en cas de tremblement de terre, comme c'est le cas à Port-au-Prince. De plus, les rues du Cap sont très étroites. Ville déjà détruite par un séisme en 1842, Cap-Haïtien est bâtie sur une faille sismique, connue sous le nom de « Faille du Nord ». Le glissement de terrain du dimanche 14 février a créé la panique au sein de la population qui croyait à un tremblement de terre. Les Capois ont même organisé une marche pour implorer la grâce divine. Mais ils continuent à construire de manière anarchique. jonaslaurince@yahoo.fr Photo par Cyrus Sibert, RESEAU CITADELLE JL/HPN ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
dimanche 22 août 2010
Wyclef Jean conteste la décision du CEP.
____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
samedi 21 août 2010
Peut-on organiser des élections crédibles avec René Préval? By Cyrus Sibert
Peut-on organiser des élections crédibles avec René Préval? By Cyrus SibertPar Cyrus SIBERT Cap-Haïtien, le 02 Décembre 2008 ; (Ré.Cit.).- "Ce qui compte, ce n'est pas ceux qui votent, c'est ceux qui comptent les votes." (Joseph Staline). Le 4 novembre 2008, le monde observait l'élection de Barack OBAMA à la présidence des États-unis d'Amérique. L'afro-américain a pu, grâce à un système politique méritocratique remporter les élections. Ceux qui s'attendaient à un coup de force des conservateurs de l'establishment, ont eu la grande surprise: le mérite est l'idée directrice de l'hyperpuissance mondiale, les institutions sont adaptées en ce sens, leur renforcement a toujours été le souci des dirigeants américains. Elles sont là pour neutraliser les réflexes primaires des groupes ou des clans. Même là où le capital règne en maître, le peuple et son vote, légalement exprimé en toute liberté, constituent la base d'une démocratie. Les élections ne sont pas un moyen de maintenir au pouvoir des régimes en faillite, des dirigeants voyous, comme on le voit dans plusieurs pays du tiers monde dont Haïti. Les lois sur le financement des partis empêchent aux riches et à la mafia d'imposer leurs candidats à coup d'argent sale. Le système de collecte de fonds de campagne reflète l'idée démocratique. Il permet aux citoyens de contrôler le système, grâce à leur contribution. On enquête sur la vie des candidats. Même avec des imperfections, on constate un souci de grande moralité dans le système électoral des États-unis. On est loin de ces élections de chez nous dont les candidats sont des repris de justice, des criminels de droits commun, des corrompus, des narcotrafiquants, des bandits de grands chemins, financés par la mafia et l'argent sale de la drogue, du kidnapping ou par des fonds occultes de pays amis comme le Taiwan. Les élections ne constituent pas un moyen de recycler les voyous et les nuls irresponsables qui à leur actif n'ont rien que la débauche et la perversion. L'Institution électorale, pierre angulaire du projet démocratique haïtien. Le mode de renouvellement des dirigeants à la tête de l'État constitue la pierre angulaire de la stabilité en Haïti. L'histoire des régimes dictatoriaux démontre le souci des tyrans de bloquer le cheminement des élites à des postes stratégiques au niveau de l'État. On cherche, comme aujourd'hui, à faire main basse sur la machine électorale. On se souvient encore de ces élections dirigées depuis le Ministère de l'intérieur, de ces résultats imposés par l'armée ou par la police – exemple 21 mai 2000. Les citoyens n'ont pas eu droit de vote. On utilisait toutes sortes de tactiques pour empêcher le vote populaire légalement exprimé et crier victoire avant même la proclamation officielle des résultats. En conséquence, le changement de régime et de politique se fait dans la rue. Dans l'impossibilité de s'exprimer, la subversion reste l'alternative. D'où l'instabilité que connaît Haïti depuis son indépendance. Les observateurs de la communauté internationale critiquent souvent les insurgés et les rebelles, les accusant d'être à la base des chambardements. Nous estimons ces critiques superficielles et irresponsables, car les observateurs ne sont pas sans savoir les dispositions de planification des fraudes électorales. Ils sont souvent complices. Le 14 novembre 2008, lors d'un point de presse du Chef Civil a.i. de la MINUSTAH Oumar BA dans le Nord, nous avions appris que l'appui de la MINUSTAH au Conseil Electoral Provisoire s'arrête à la sécurité et à la logistique. La Mission n'entend pas superviser tout le processus. C'est une affaire haïtienne. En réponse à la question: Pourquoi n'observez vous pas tout le processus, c'est à dire du recrutement du personnel de l'appareil aux opérations de vote? La réponse est: Notre travail s'arrête à la sécurité et à la logistique (transport et entreposage). Une réponse inquiétante, vu que tout le monde est au courant des projets de main mise de la Présidence sur le Conseil Electoral Provisoire; déjà il est bruit que certains dossiers déposés par des jeunes diplômés pour intégrer l'appareil électoral au niveau des Bureaux Electoraux Communaux (BEC) du Nord sont portés disparus. L'ancien premier Ministre Jacques Edouard Alexis, à travers les cinq Ministères qu'il contrôle, finance déjà sa campagne électorale. Le Ministère de l'Intérieur se prépare à diriger comme aux temps des Duvalier, les élections. Les BED (Bureaux Electoraux Départementaux) seront aux mains des hommes du régime. Les présidents de bureau de vote seront des hommes d'Alexis. Toute la machine électorale actuelle sera dominée par le pouvoir en place. On s'achemine vers des élections officielles de jadis. La démocratie n'avancera pas. Comme en 2000, les pressions du Palais national sur l'institution électorale en vue d'obtenir des élections officielles accoucheront la polarisation de l'espace politique, des conflits, des affrontements et l'instabilité. Quel intérêt a un citoyen moral à participer à des joutes qui ne viseront qu'à redorer l'image des criminels, des trafiquants de drogue et des corrompus? Dans le Nord, il est évident que les élections sénatoriales catapulteront Moise Jean-Charles, un homme accusé par une enquête de l"OEA d'incendies criminelles, impliqué dans le meurtre de Guy Salvant, le frère du Député de Limonade- Quartier Morin Hugues Célestin et Nawoon Marcelus ancien député Lavalas de la Grande Rivière du Nord accusé par l'Ambassade des Etats-unis de trafic de drogue. Car le CEP étant une succursale de Jacques Edouard Alexis, le peuple ne pourra pas s'exprimer en faveur d'autres candidats populaires. La pédagogie des élections Pourtant, les élections devraient constituer l'axe central du processus démocratique en Haïti. L'organisation de joute électorale devrait donner à la nation la possibilité de changer de politique sans violence, mais à travers les urnes. Le filtrage des candidats à partir de leur casier judiciaire et de leur niveau moral devrait servir d'exemple et encourager les jeunes à rejeter la délinquance. Les débats entre candidats devraient jouer un rôle d'éducation et de sensibilisation des citoyens face aux grands défis de la nation. Les confrontations idéologiques devraient permettre de réduire les élans populistes d'explications faciles et de rejeter les approches manichéennes. En Haïti, nous sommes loin de cet objectif. Nous avons une démocratie sans le droit. Les résultats des élections de 1990 que l'on se tue à qualifier dans les milieux diplomatiques, de 1ère élection crédible dans l'histoire d'Haïti, ont été publiés sur les ondes de Radio France Internationale et les foules du candidat populaire Lavalas n'ont pas permis le respect scrupuleux de la loi électorale en ce qui concerne les protestations, le contrôle des procès-verbaux, etc. En 2006, la rue a encore une fois imposé le Président Préval avec 48% des votes exprimés, alors que la loi électorale réclamait 50% plus 1. Nous sommes loin d'avoir des élections crédibles en Haïti. Le processus électoral en reste une mascarade pour légitimer les criminels, les corrompus, les apprentis dictateurs et leur pouvoir personnel. Conclusion Le Président René Préval refuse de respecter les échéances constitutionnelles. Depuis son élection à la tête de l'Etat d'Haïti, il y a tout fait pour ne pas organiser des élections. Plusieurs diplomates qui le supportent ont abondé dans le même sens, répétant qu'Haïti organise trop d'élections. Ainsi, il n'a pas organisé les élections indirectes qui devaient renforcer la tradition électorale en élisant un Conseil Electoral Permanent, comme le veut la constitution en vigueur. Le parlement n'est pas renouvelé. Il avance vers un disfonctionnement de fait, car en 2010, le Sénat sera amputé de 2/3. Devant ce constat des dérives de la part du Chef de l'Etat, le consensus trouvé pour sa nomination par la communauté internationale en 2006 ne tient plus. En lieu et place du renforcement de la démocratie, il s'entête à manœuvrer, à affaiblir les institutions, dans le but de garder le pouvoir directement ou indirectement. La stratégie des démocrates devrait être de continuer la logique de blocage du processus électoral, jusqu'à la fin du mandat du Président René Préval. Car, il est connu de tous que le Palais national s'active à contrôler les Bureaux Electoraux Départementaux, les bureaux au niveau communal et les bureaux de vote. Le premier Ministre sortant Jacques Edouard Alexis, à partir de cinq (5) Ministères dont l'Intérieur qu'il contrôle promet des élections officielles. A travers le pays, on recrute des bandits comme candidats, membres de l'appareil électoral et/ou hommes de gangs pour les prochaines violences électorales. Avec la position géographique d'Haïti comme voie de transit pour les narcotrafiquants et les criminels de tout poil, on devrait mettre sur pied une procédure de ''vetting'' sur les candidats afin de réduire les nombres de bandits au pouvoir. La fin du mandat de René Préval et son départ diminueront la pression de ses hommes corrompus sur le système électoral. Une formule Président Provisoire et Premier Ministre Michèle D. Pierre-Louis serait un consensus idéal, pour la poursuite du processus constitutionnel et le rétablissement de la neutralité électorale et de l'esprit de négociation qui existait en 2006, celle qui avait permis à un homme comme René Préval de devenir Président d'Haïti, pour un second mandat. On pourrait profiter de cette nouvelle situation spéciale pour poser à partir d'accords entre les protagonistes de la classe politique et de la société civile, l'amendement de la Constitution ou de l'adoption d'une nouvelle Constitution. La réforme judiciaire et l'organisation des élections sont deux éléments fondamentaux pour la bonne gouvernance et la stabilité en Haïti. On comprend mal que les Nations Unies qui se disent en mission de stabilisation en Haïti refuse de s'engager à fond dans l'institutionnalisation des institutions électorales et judiciaires. "Ce qui compte, ce n'est pas ceux qui votent, c'est ceux qui comptent les votes." (Joseph Staline). RESEAU CITADELLE (Ré.Cit.), le 02 Décembre 2008, 12 heures 05. ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Hip-hop Jean's legacy in Haiti: focusing on country's youth.
HAITI | PRESIDENTIAL ELECTIONHip-hop Jean's legacy in Haiti: focusing on country's youthAfter days of examining applications, a list of 19 people eligible to run for president was released.Wyclef Jean's presidential bid rejected Video of Wyclef Jean moments before his bid for president of Haiti was rejected. Miami Herald Staff By JACQUELINE CHARLESjcharles@MiamiHerald.comPETIONVILLE, Haiti -- Alexis and Manigat, the former first lady, are professors and founders of the private Quisqueya University in the capital.
But even as youth remain a factor, it will not be an easy political ride to the presidency. Only one-third of the population resides in Port-au-Prince and there is still debate on whether the urban youth here is much different from those in rural communities. How important of a player a perennial candidate like Chavannes Jeune, a popular pastor in Haiti's protestant and peasant movement, remains a factor.
Also lingering is what role will Fanmi Lavalas -- the party of former President Jean-Bertrand Aristide -- play in the elections. Even though the party could not participate in the election under its own banner because of internal conflicts, at least a dozen former Lavalas party members threw their names into the race and at least half made the final cut.
The official exclusion of Fanmi Lavalas as a political party has been a point of contention among international supporters and within the ranks of the now-splintered group.
While some have interpreted it to mean the death of the political party, others say the philosophy of the movement tout moun se moun (everybody is somebody), which the party used, remains relevant in the Haitian political drama.
``Lavalas was never a party. It was a movement, which is now in deep crisis and divided among distinct factions led by some of its old barons,'' said Robert Fatton, a Haiti expert at the University of Virginia.
``They all want the Lavalas vote without appealing to Aristide. So, yes, Lavalas as we knew it is dying a slow death.''
Now the real drama begins as candidates fight over the same base, and also battle to remain relevant by the time the Nov. 28 presidential election arrives. ``I still see these elections as being critical to providing Haiti a sense of continuity and recovery from the earthquake, and moving forward to what everybody seems to believe is a very solid action plan for recovery,'' Maguire said. ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Haïti – Élection : Consternations...Wyclef fait-il partie du jeu de Préval ?
Haïti – Élection : Consternations...Wyclef fait-il partie du jeu de Préval ? Par Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haïti. Le Ré.Cit. (Réseau Citadelle) : www.reseaucitadelle.blogspot.com
Ce samedi 7 Aout 2010, marque sans doute la fin des inscriptions pour les élections présidentielles. «KADEJAK sur Haïti, notre pays est devenu un jeu d'enfant » est la phrase qui résume la consternation de la population face à des déclarations de candidature qui traduisent l'indécence, l'opportunisme et le caractère autiste de plusieurs compatriotes qui préfèrent semer la confusion dans l'électorat au risque de provoquer l'abstention et de ridiculiser d'avantage la démocratie et la présidence d'Haïti au niveau international. Marc Bazin aurait pu être un candidat de plus s'il n'était pas emporté par la mort. On se demande qu'est-ce qui fait croire à tous ces gens qu'ils peuvent briguer la magistrature suprême de l'Etat ? Notre classe politique fait-elle preuve de maturité pour appuyer la reconstruction d'Haïti ? Dans la ville du Cap-Haïtien, à chaque coin de rue, des jeunes discutaient de la candidature de Wyclef Jean. Tout en reconnaissant les efforts de la super star du hip-hop en faveur d'Haïti, ils sont nombreux les septiques et ceux qui voient en lui le candidat des Port-au-princiens ; car, disent-ils, Wyclef n'a rien fait dans les villes de province : « Cap-Haïtien, n'a jamais été dans son agenda ». Toutefois, ils voient en lui un possible coup dur pour le statu quo, pour la minorité dominante ou du moins pour la classe politique. Reste à savoir si l'homme de Brooklyn ne se laissera pas amadouer par l'élite économique monopolistique traditionnelle pour tirer son épingle du jeu sans procéder à des réformes structurelles en profondeur. En fin de journée, l'inscription de M. Jacques Édouard Alexis, n'a surpris personne. L'ancien premier Ministre étant depuis longtemps infecté du virus de la présidence à tout prix, il trouverait un moyen pour participer aux joutes électorales. Toutefois, malgré scepticisme, analyses pessimistes et réticences de la part de la population en ce qui concerne la candidature de Wyclef Jean, "la continuité" représentée par Jude Célestin n'ayant convaincu que peu de gens, si les candidats d'en face ne parviennent pas trouver un accord électoral, le gros des électeurs risque de faire un saut vers l'inconnu en votant Wyclef Jean dès le premier tour. La seule solution serait de prendre le risque de l'exclure de la compétition. Ce qui serait une décision risquée pour un régime en prise à des mouvements de protestation. Des mouvements faibles pour le moment, faute d'un leadership capable de faire renaitre l'espoir, toutefois l'exclusion de Wyclef Jean pourrait renforcer la protestation et emporter René Préval, ses amis et ses complices. Le Slogan « FACE A FACE » utilisé par les partisans de la Star New-yorkaise annonce déjà les couleurs : Sa Candidature n'est pas un jeu, et cela en dépit des faux pas, de la maladresse politique et de son manque d'expérience visible. A moins que la présence de Wyclef Jean dans la joute électorale ne soit qu'un élément du « jeu pour la continuité » --- en affaiblissant le camp anti-électoral et en orientant les médias et l'opinion publique dans le sens de la décision du pouvoir en place d'organiser des élections avec l'actuel Conseil Électoral Provisoire décrié et surtout en éclipsant Jean-Bertrand Aristide --- ironie du sort, Préval qui avait utilisé la foule pour forcer le CEP de Gérard Latortue à le proclamer Président, est sur le point de subir la pression de la foule des rappeurs et de sinistrés désespérés pour la proclamation du candidat de New York à la tête de l'Etat. L'avenir d'Haïti est incertain, mais les prochaines semaines seront, à coup sûr, riches en dénouements et surprises. Déjà, on enregistre des cas d'assassinats politiques. Il n'est que d'attendre. RÉSEAU CITADELLE (Le Ré.Cit), le 08 Aout 2010, 14 heures 35. ____________________ Pour vos activités Import-Export : TOTAL SHIPPING & TRANSPORT, Ltd., 57, Rue 14 I-J Cap-Haitien, Haiti, Tél: (509) 3740-4040, ralphdgeorges@gmail.com |
Rencontre entre le president Preval et le candidat Wyclef Jean, ce jeudi 19 aout
Le 19 aout 2010 No : 2010/CP0003
Rencontre entre le président René PREVAL et le candidat à la présidence Monsieur Jeannel Wyclef JEAN
A l'invitation de la présidence, le candidat inscrit à la présidentielle Jeannel Wyclef JEAN a rencontré le chef de l'Etat, René PREVAL, en la résidence privée de celui-ci, ce jeudi 19 aout. Les deux hommes se sont entretenus pendant plus d'une heure.
Le Président de la République voulait s'informer personnellement des menaces de mort dont M. JEAN fait l'objet ces derniers jours. Il lui a promis que le gouvernement va tout mettre en œuvre pour assurer sa sécurité ainsi que celle de ses concurrents à la course présidentielle.
Le président PREVAL a donné au candidat la garantie qu'il fera tout pour que de bonnes élections, honnêtes et transparentes, se réalisent dans le pays tout en souhaitant que le candidat vainqueur, des prochaines joutes, travaille avec les autres pour que le prochain quinquennat soit profitable à tous les haïtiens.
A cette rencontre empreinte de convivialité, le candidat à la présidence Jeannel Wyclef JEAN s'était fait accompagné d'un membre de sa famille, de ses équipes politique et juridique.
Le président et le candidat, qui se sont quittés sur une poignée de main chaleureuse, n'écartent pas la possibilité de se rencontrer à nouveau lors des prochaines phases du processus électoral.
Par ailleurs, le bureau de communication du candidat Jeannel Wyclef JEAN tient à mettre en garde la presse haïtienne ainsi que l'opinion publique sur des rumeurs concernant son éventuelle éviction de la course électorale alors que la liste des candidats agréés n'est pas encore publiée. Le candidat appelle la population au calme et attend avec confiance la liste officielle du CEP pour ce 20 aout 2010.
Fin du texte Pour authentification Contactez le bureau de communication au 34540501 / 36057009 |
jeudi 19 août 2010
Cap-Haitien-Pédophilie : RESEAU CITADELLE remercie tous ses supporteurs.
Cap-Haitien-Pédophilie : RESEAU CITADELLE remercie tous ses supporteurs.
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Cap-Haïtien, le Pédophile et son Centre d'Accueil pour ''Enfants de rue''.
Par Cyrus Sibert,
La défense de la liberté exige l'intolérance du citoyen face à l'injustice. Même quand les victimes refusent que leur noms soient cités dans la presse, même quand au lieu d'enquêter sur les faits on préfère nous demander plus de preuves et de porter plaintes, on ne saurait passer sous silence cette situation d'injustice à laquelle font face les enfants ''de rue'' et/ou ''dans la rue'' du Cap-Haïtien.
Il existe au Cap-Haïtien, un centre d'accueil qui aussi, constitue un centre d'abus pour les enfants de rue. Dirigé par un américain très connu dans le milieu, ce centre dispose d'un programme bien adapté et offre aux jeunes démunis des rues des possibilités d'épanouissement. On n'a qu'à observer l'évolution de ces jeunes exclus qui fréquentent le centre pour se faire une idée de son utilité. Ils y sont bien encadrés. Les programmes de formation technique et d'encadrement psychologique sont d'une contribution énorme. De jeunes enfants pauvres arrivent à produire et à créer un revenu au point tel de devenir leader économique de leur famille.
On peut facilement apercevoir ces jeunes gens à la plage, dans les lieux de loisir accompagnés de travailleurs sociaux professionnels. Le centre fait tout pour les aider à réussir leur vie. Dans un pays où l'Etat néglige les plus faibles (pauvres, handicapés, enfants et vieillards), dans une société où il n'existe pas de programmes structurés de prise en charge des enfants sans abris, on ne peut qu'apprécier l'effort de ce centre dont nous nous gardons de citer le nom, pour le moment.
Cependant, faute de contrôle de ces initiatives privées par les services de l'Etat, ces genres de centres représentent souvent un espace privilégié pour des détraqués, des pédophiles ou homosexuels. A leurs yeux, les enfants de rue représentent une mine de chair fraîche à exploiter. Les plus petits sont entraînés par ignorance ou manque d'expérience. Il suffit de dire à un enfant : monte dans ma chambre, je vais t'apprendre quelque chose qui te fera du bien. Si tu le fais bien et sans problème et si tu gardes notre secret, je serai ton ami et....
Pour les plus vieux, les adolescents en âge de comprendre, on conclut un marché : Pas de chair, pas de support. Si tu n'acceptes pas de passer la nuit dans mon lit, tu seras obligé de quitter le programme. Le jeune qui refuse n'a d'autre choix que de retourner dans la rue sans encadrement et de voir le programme de financement de ses activités musicales ou sportives suspendu.
Mais on peut toutefois renouer les liens. Il suffit de passer chez le Boss et se laisser abuser toute une nuit. Une nuit de plaisir et de douleur. Du plaisir pour le Boss qui utilise toute sorte de produits aphrodisiaques pour augmenter sa performance et de la douleur pour ce jeune de 15 ans qui explique, avec des larmes aux yeux, sa souffrance : Toute une nuit Cyrus ! Toute une nuit, pour le plaisir de cet homme blanc qui ne veut pas en finir ! Un triste témoignage qui ne pouvait nous laisser indifférent. Voir pleuré un jeune adolescent pris aux pièges d'un pédophile homosexuel à cause de la misère est émouvant.
Quant au Centre, les jeunes victimes le voient comme un acquis. Grâce à son travail, des démunis sont devenus musiciens, artisans, footballeurs, etc. Même quand ils nous racontent ces abus, ils ne veulent pas que ce programme soit suspendu. Le pédophile responsable semble avoir mis dans leur tête l'idée que s'ils rendent public ces faits il n'y aura plus de Centre. Il fallait voir avec quelle insistance on nous demande de ne pas mentionner les noms du Centre, de son responsable et même pas celui des victimes. Toutefois, l'un d'entre eux promet de témoigner s'il y a une enquête sérieuse sur cette affaire.
Alors ce qui est révoltant dans tout cela : Où est l'Etat qui empoche nos taxes ? Pourquoi les responsables haïtiens refusent-ils de contrôler ces centres privés ? Pourquoi on n'y affecte pas des travailleurs sociaux, des étudiants stagiaires, comme on le fait pour les centres de santé ? Pourquoi les responsables méprisent-ils les démunis de ce pays au point de livrer nos enfants aux bouchers de la pédophilie et de l'homosexualité ?
Cyrus Sibert
Cap-Haïtien, Haïti
19 Août 2007
Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles?
Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle.
WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.)
From Haiti, expressions of relief and gratitude.
From Haiti, expressions of relief and gratitude.Michael P. Mayko, Staff WriterPublished: 11:02 p.m., Wednesday, August 18, 2010The telephone call brought sighs of relief, a sense of dignity to their destitute lives and gratitude that the U.S. government took the time to listen a group of Third World street urchins.
The call Wednesday from Paul Kendrick, an advocate for Haitian children victimized by sexual predators, was to a home where several of Douglas Perlitz's alleged victims are living. His message: Perlitz had pleaded guilty and acknowledged he had molested eight of the boys.
"If I had to describe the mood, it was one of dignity," said Kendrick, a Fairfield University graduate who has spent the last 18 months advocating on behalf of the Haitian street boys who claimed they were abused by Perlitz in Cap-Haitien, the second largest city in one of the poorest countries in the world. "They were just so proud that the government of the U.S. listened to them and that some caring people in the U.S. stood with them during the ups and downs of this case," he said.
To contact the boys, Kendrick was helped by the man who had first raised alarms about what Perlitz was doing in his Project Pierre Toussaint, Cyrus Sibert, a Haitian journalist.
Sibert told the Connecticut Post Wednesday that the guilty plea "is great news for the victims and myself. This will bring to an end all types of pressure and intimidations from people who accuse us of lying."
He expressed hope that Perlitz backers both in Connecticut and Haiti "will come to realize that they were all wrong in supporting his cause and from now on they will instead contribute to repair the damages done to those kids."
It's now time to move forward, Kendrick said.
"What matters now is that we reach out and help (the children)," Kendrick said.
Those words were echoed by Jean Myrthil Joseph, an inspector with the Haitian National Police who led that country's investigation into Perlitz's activities and sought an arrest warrant there.
"We are overwhelmed with Perlitz's plea," he said in a statement e-mailed to the Connecticut Post. "What matters to us is that our work has led to his guilty plea and our efforts did not go in vain. This is good news for the institution and it shows that our investigative techniques have bore fruits. We hope that the victims will be compensated."
Marguerite Laurent, a lawyer who heads the Haitian Lawyers Leadership Network, went further, calling for more investigating and reporting on sexual abuse of children in Haiti.
"Being the first of its kind in the U.S., this case sets a good precedent and deterrent -- warning all who prey on the helpless in Haiti masking it with false benevolence that impunity no long rules," she said in an e-mailed statement. "It's not often there's good news for Haiti's children, but this news is most welcomed and duly appreciated."
"We hope this matter is not dropped after the December sentencing of Perlitz," she said. "There are many more Douglas Perlitz-type charity and priest-folks in Haiti right now, being coddled and protected by Haiti innkeepers, hotel owners, non-government organization relief workers, making money from the rentals of rooms in which our tiny children are being systematically raped, abused and trained ... to service pedophiles." ____________________ "La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Honored Fairfield U. alum admits sex abuse at Haitian charity.
Honored Fairfield U. alum admits sex abuse at Haitian charity.Michael P. Mayko, Mmayko@ctpost.comPublished: 01:06 p.m., Thursday, August 19, 2010NEW HAVEN -- The once-inspiring story of a Fairfield University graduate who gave up the good life to help clothe, feed and educate homeless Haitian boys came to a shattering end Wednesday when Douglas Perlitz, the founder of the humanitarian project, acknowledged sexually abusing at least eight of his underage students.
Perlitz's guilty plea to one charge of traveling from John F. Kennedy International Airport to Haiti with the intention of engaging in sex with an underage boy ended a tumultuous year. His Project Pierre Toussaint in Cap-Haitien, Haiti's second largest city, was shuttered. Perlitz was arrested and indicted. The indictment was dismissed due to lack of evidence that a crime was committed in Connecticut, and new charges were filed in the federal courthouse in Brooklyn, N.Y.
In between, Haiti, particularly Port-au-Prince, its capital city, was devastated by a January earthquake.
Perlitz told Judge Janet Bond Arterton at U.S. District Court in New Haven Wednesday that he would waive his right to further challenge the bringing of a charge in Connecticut. Seventeen minutes later, he admitted his guilt by reading a three-paragraph statement.
A thin, sandy-haired man with a medium build, Perlitz, 40, admitted he traveled to Haiti on June 6, 2005.
"One of the dominant purposes of that trip was to engage in illicit sexual conduct with one of the minor boys in Project Pierre Toussaint," he said.
While Perlitz admitted engaging in sex with only one boy, he did not dispute Assistant U.S. Attorney Krishna Patel's claim that she had evidence Perlitz engaged in sex with at least eight underage boys and as many as 13.
When Arterton asked him if he agreed with Patel, David Grudberg, who with William F. Dow III represents Perlitz, said, "In signing the plea agreement, I think he does."
What Grudberg said they disagree with is Patel's claim that Perlitz provided things of value, including schooling, housing, clothing, money and electronic gifts, to those boys who engaged in sex with him.
Under the terms of the agreement, Perlitz faces anywhere from eight years and one month in prison to 19 years and seven months in prison when he is sentenced Dec. 21 by Arterton. Federal law provides no parole. Whatever sentence Perlitz gets will be the amount of time he serves, minus 54 days granted every year for good behavior. Additionally, he faces a fine of up to $250,000, as well as restitution to his victims.
Once he is released from prison, he must register as a sex offender, as well as spend anywhere from five years to the rest of his life being supervised by the U.S. Probation Department. Should he commit any crime while on supervision, he could be sent back to prison for another five years.
Patel, who headed the prosecution team, said she intends to bring victims and witnesses from Haiti to testify at the sentencing hearing.
Outside the courthouse, Dow countered that "even the thinnest piece of paper has two sides. We look forward to presenting our side of the matter during the sentencing hearing." Perlitz's side will involve details on hundreds of boys, abandoned by their parents, who were given the opportunity to eat, shower and learn a trade or profession by attending the three-phase Project Pierre Toussaint program begun by Perlitz in 1997 with a grant from the Order of Malta, a Roman Catholic charity.
The Rev. Paul Carrier, Perlitz's mentor and the former Fairfield University director of campus ministry and community service, touted the program both in Fairfield County and to the national media. Carrier helped raise millions in donations from Fairfield University, its campus chapel and in Fairfield County churches. Carrier, along with wealthy Fairfield County Catholics, created the Haiti Fund with a board of directors to raise money for Perlitz's program.
In February, Fairfield University officials reported they could not document how about $120,000 of the $775,000 they helped raise for Project Pierre Toussaint from 1997 to 2007 was spent. Federal investigators have been looking into this aspect of the case as well as information that two of Perlitz's supporters in the now-defunct Haiti Fund helped remove two computers from his home in Haiti while private investigators were looking into allegations of sexual abuse.
Neither Carrier nor anyone else has been charged with wrongdoing. A spokesman for the U.S. Attorney's office said the investigation is ongoing.
The allegations of sexual abuse came to light in August 2007, when some students began writing graffiti alleging sexual abuse by Perlitz on building walls in Cap-Haitien. Several then went public with the story to Cyrus Sibert, a Haitian journalist and host of a radio talk show.
That led to an investigation by the Haitian National Police with help from the United Nations. Those two groups then approached the U.S. State Department for help in prosecuting Perlitz.
Unlike his previous court appearance, Perlitz, dressed in the khaki shirt and pants that is the typical garb of a person held at the privately run Wyatt Detention Center in Rhode Island, stood alone before the judge. No members of his family, which includes a brother who lives in New Canaan, nor his supporters among the Fairfield County Roman Catholic community, were present.
"Timing and logistics had a lot to do with that," Dow said after the proceeding.
Dow also pointed out that Perlitz pleaded guilty to a single charge that resolves all criminal allegations against him in the United States and not the 24 that were contained in the most recent indictment. That indictment was dismissed after Grudberg and Dow convinced the judge that no crime was committed by Perlitz in Connecticut.
The prosecution team then brought new charges in federal court in Brooklyn, alleging Perlitz traveled from JFK International Airport to Haiti to engage in sex with a minor. They also contemplated bringing similar travel charges involving airports in California, Colorado, Florida, Michigan and New Jersey.
But it was the Brooklyn charge and Perlitz's impending transfer from the privately run Rhode Island detention facility to the federal Metropolitan Detention Center in Brooklyn, N.Y., that some believe may have helped sway Perlitz to plead guilty. The Brooklyn facility houses a large number of black men awaiting trial in New York's federal courts, said Marguerite Laurent, who heads the Haitian Lawyers Leadership Network.
"We believe not only the imminent transfer to a New York jail, but perhaps the idea of meeting concerned Haitians who live in New York, the second largest enclave of Haitians living in the United States, and who are willing to be present for defenseless Haiti children in a New York courthouse, was such an unappealing factor to Perlitz he decided to come clean and plead guilty," Laurent said in an e-mail to the Connecticut Post. ____________________
"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles? Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle. WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.) |
Le pédophile avait fondé une école.
19/08/2010 | Mise à jour : 07:36 Réactions (4) Douglas Perlitz, 40 ans, fondateur et directeur de l'école Pierre Toussaint de Cap-Haïtien, dans le nord d'Haïti, a reconnu devant le tribunal fédéral de New Haven (Connecticut, nord) qu'il s'était rendu dans ce pays avec l'intention d'y avoir des relations sexuelles illégales. Entre 2001 et 2008, selon les documents du tribunal, il s'est rendu à plusieurs reprises en Haïti "où il a eu des relations sexuelles avec huit victimes mineures". Selon le communiqué du procureur David Fein, Perlitz "approchait des enfants pauvres dans la rue en Haïti, leur promettant des avantages comme de la nourriture, un logement, des vêtements et une éducation, pour profiter de ce rapport de confiance et abuser des enfants qui étaient sous sa garde". Il est passible de 30 ans de prison. Sa sentence sera prononcée le 21 décembre. |