Cap-Haitien-Pédophilie : RESEAU CITADELLE remercie tous ses supporteurs.
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Ce jeudi 19 Aout 2010, marque le 3e anniversaire de la rédaction par RESEAU CITADELLE de l'article qui a permis de mettre un terme aux activités d'exploitation sexuelle des enfants de rue de la Ville du Cap-Haitien qui participaient au Projet Pierre Toussaint.
Le 19 Aout 2007, nous avions publié le texte : « Cap-Haitien, le Pédophile et son Centre d'accueil pour les enfants de rue. » Les informations qui y étaient diffusées sous une forme voilée ont été recueillies le 14 Aout 2007 à l' occasion du Festival culturel du Nord. Cette publication initiale nous a permis de suivre le comportement « paniqué » de l'accusé qui a vite adopté des mesures répressives pour faire taire les victimes bavardes. Notre informateur, une victime à laquelle l'accusé savait se confier, nous a fourni des renseignements sur ses intentions et ses initiatives. Ce qui nous a aidés à rester fermes face aux allégations fantaisistes de complot contre Perlitz.
Les prédateurs sexuels oublient souvent la douleur qu'ils infligent à leurs victimes.
Heureuse coïncidence, Douglas Perlitz a reconnu avoir abusé sexuellement des enfants haïtiens le 18 Aout 2010, soit la veille de ce 3e anniversaire de notre premier texte sur la situation. Nous avons pu nous en rendre compte cet après-midi en préparant une intervention sur le sujet dans le journal de 4:00 heure de Radio Métropole.
Nous en profitons pour remercier tous ceux qui d'une manière ou d'une autre nous ont supportés dans notre engagement de longue haleine au coté des victimes et a faire la lumière sur un cas aussi funeste. Grâce à vous, RESEAU CITADELLE a pu mener cette bataille et défier les riches amis et supporteurs « inconditionnels » de Perlitz qui cherchaient à nous discréditer.
Merci.
RESEAU CITADELLE (Le Ré.Cit), le 19 Aout 2010, 19 heures 10.
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19/08/07
Cap-Haïtien, le Pédophile et son Centre d'Accueil pour ''Enfants de rue''.
Par Cyrus Sibert,
La défense de la liberté exige l'intolérance du citoyen face à l'injustice. Même quand les victimes refusent que leur noms soient cités dans la presse, même quand au lieu d'enquêter sur les faits on préfère nous demander plus de preuves et de porter plaintes, on ne saurait passer sous silence cette situation d'injustice à laquelle font face les enfants ''de rue'' et/ou ''dans la rue'' du Cap-Haïtien.
Il existe au Cap-Haïtien, un centre d'accueil qui aussi, constitue un centre d'abus pour les enfants de rue. Dirigé par un américain très connu dans le milieu, ce centre dispose d'un programme bien adapté et offre aux jeunes démunis des rues des possibilités d'épanouissement. On n'a qu'à observer l'évolution de ces jeunes exclus qui fréquentent le centre pour se faire une idée de son utilité. Ils y sont bien encadrés. Les programmes de formation technique et d'encadrement psychologique sont d'une contribution énorme. De jeunes enfants pauvres arrivent à produire et à créer un revenu au point tel de devenir leader économique de leur famille.
On peut facilement apercevoir ces jeunes gens à la plage, dans les lieux de loisir accompagnés de travailleurs sociaux professionnels. Le centre fait tout pour les aider à réussir leur vie. Dans un pays où l'Etat néglige les plus faibles (pauvres, handicapés, enfants et vieillards), dans une société où il n'existe pas de programmes structurés de prise en charge des enfants sans abris, on ne peut qu'apprécier l'effort de ce centre dont nous nous gardons de citer le nom, pour le moment.
Cependant, faute de contrôle de ces initiatives privées par les services de l'Etat, ces genres de centres représentent souvent un espace privilégié pour des détraqués, des pédophiles ou homosexuels. A leurs yeux, les enfants de rue représentent une mine de chair fraîche à exploiter. Les plus petits sont entraînés par ignorance ou manque d'expérience. Il suffit de dire à un enfant : monte dans ma chambre, je vais t'apprendre quelque chose qui te fera du bien. Si tu le fais bien et sans problème et si tu gardes notre secret, je serai ton ami et....
Pour les plus vieux, les adolescents en âge de comprendre, on conclut un marché : Pas de chair, pas de support. Si tu n'acceptes pas de passer la nuit dans mon lit, tu seras obligé de quitter le programme. Le jeune qui refuse n'a d'autre choix que de retourner dans la rue sans encadrement et de voir le programme de financement de ses activités musicales ou sportives suspendu.
Mais on peut toutefois renouer les liens. Il suffit de passer chez le Boss et se laisser abuser toute une nuit. Une nuit de plaisir et de douleur. Du plaisir pour le Boss qui utilise toute sorte de produits aphrodisiaques pour augmenter sa performance et de la douleur pour ce jeune de 15 ans qui explique, avec des larmes aux yeux, sa souffrance : Toute une nuit Cyrus ! Toute une nuit, pour le plaisir de cet homme blanc qui ne veut pas en finir ! Un triste témoignage qui ne pouvait nous laisser indifférent. Voir pleuré un jeune adolescent pris aux pièges d'un pédophile homosexuel à cause de la misère est émouvant.
Quant au Centre, les jeunes victimes le voient comme un acquis. Grâce à son travail, des démunis sont devenus musiciens, artisans, footballeurs, etc. Même quand ils nous racontent ces abus, ils ne veulent pas que ce programme soit suspendu. Le pédophile responsable semble avoir mis dans leur tête l'idée que s'ils rendent public ces faits il n'y aura plus de Centre. Il fallait voir avec quelle insistance on nous demande de ne pas mentionner les noms du Centre, de son responsable et même pas celui des victimes. Toutefois, l'un d'entre eux promet de témoigner s'il y a une enquête sérieuse sur cette affaire.
Alors ce qui est révoltant dans tout cela : Où est l'Etat qui empoche nos taxes ? Pourquoi les responsables haïtiens refusent-ils de contrôler ces centres privés ? Pourquoi on n'y affecte pas des travailleurs sociaux, des étudiants stagiaires, comme on le fait pour les centres de santé ? Pourquoi les responsables méprisent-ils les démunis de ce pays au point de livrer nos enfants aux bouchers de la pédophilie et de l'homosexualité ?
Cyrus Sibert
Cap-Haïtien, Haïti
19 Août 2007
Cap-Haïtien, le Pédophile et son Centre d'Accueil pour ''Enfants de rue''.
Par Cyrus Sibert,
La défense de la liberté exige l'intolérance du citoyen face à l'injustice. Même quand les victimes refusent que leur noms soient cités dans la presse, même quand au lieu d'enquêter sur les faits on préfère nous demander plus de preuves et de porter plaintes, on ne saurait passer sous silence cette situation d'injustice à laquelle font face les enfants ''de rue'' et/ou ''dans la rue'' du Cap-Haïtien.
Il existe au Cap-Haïtien, un centre d'accueil qui aussi, constitue un centre d'abus pour les enfants de rue. Dirigé par un américain très connu dans le milieu, ce centre dispose d'un programme bien adapté et offre aux jeunes démunis des rues des possibilités d'épanouissement. On n'a qu'à observer l'évolution de ces jeunes exclus qui fréquentent le centre pour se faire une idée de son utilité. Ils y sont bien encadrés. Les programmes de formation technique et d'encadrement psychologique sont d'une contribution énorme. De jeunes enfants pauvres arrivent à produire et à créer un revenu au point tel de devenir leader économique de leur famille.
On peut facilement apercevoir ces jeunes gens à la plage, dans les lieux de loisir accompagnés de travailleurs sociaux professionnels. Le centre fait tout pour les aider à réussir leur vie. Dans un pays où l'Etat néglige les plus faibles (pauvres, handicapés, enfants et vieillards), dans une société où il n'existe pas de programmes structurés de prise en charge des enfants sans abris, on ne peut qu'apprécier l'effort de ce centre dont nous nous gardons de citer le nom, pour le moment.
Cependant, faute de contrôle de ces initiatives privées par les services de l'Etat, ces genres de centres représentent souvent un espace privilégié pour des détraqués, des pédophiles ou homosexuels. A leurs yeux, les enfants de rue représentent une mine de chair fraîche à exploiter. Les plus petits sont entraînés par ignorance ou manque d'expérience. Il suffit de dire à un enfant : monte dans ma chambre, je vais t'apprendre quelque chose qui te fera du bien. Si tu le fais bien et sans problème et si tu gardes notre secret, je serai ton ami et....
Pour les plus vieux, les adolescents en âge de comprendre, on conclut un marché : Pas de chair, pas de support. Si tu n'acceptes pas de passer la nuit dans mon lit, tu seras obligé de quitter le programme. Le jeune qui refuse n'a d'autre choix que de retourner dans la rue sans encadrement et de voir le programme de financement de ses activités musicales ou sportives suspendu.
Mais on peut toutefois renouer les liens. Il suffit de passer chez le Boss et se laisser abuser toute une nuit. Une nuit de plaisir et de douleur. Du plaisir pour le Boss qui utilise toute sorte de produits aphrodisiaques pour augmenter sa performance et de la douleur pour ce jeune de 15 ans qui explique, avec des larmes aux yeux, sa souffrance : Toute une nuit Cyrus ! Toute une nuit, pour le plaisir de cet homme blanc qui ne veut pas en finir ! Un triste témoignage qui ne pouvait nous laisser indifférent. Voir pleuré un jeune adolescent pris aux pièges d'un pédophile homosexuel à cause de la misère est émouvant.
Quant au Centre, les jeunes victimes le voient comme un acquis. Grâce à son travail, des démunis sont devenus musiciens, artisans, footballeurs, etc. Même quand ils nous racontent ces abus, ils ne veulent pas que ce programme soit suspendu. Le pédophile responsable semble avoir mis dans leur tête l'idée que s'ils rendent public ces faits il n'y aura plus de Centre. Il fallait voir avec quelle insistance on nous demande de ne pas mentionner les noms du Centre, de son responsable et même pas celui des victimes. Toutefois, l'un d'entre eux promet de témoigner s'il y a une enquête sérieuse sur cette affaire.
Alors ce qui est révoltant dans tout cela : Où est l'Etat qui empoche nos taxes ? Pourquoi les responsables haïtiens refusent-ils de contrôler ces centres privés ? Pourquoi on n'y affecte pas des travailleurs sociaux, des étudiants stagiaires, comme on le fait pour les centres de santé ? Pourquoi les responsables méprisent-ils les démunis de ce pays au point de livrer nos enfants aux bouchers de la pédophilie et de l'homosexualité ?
Cyrus Sibert
Cap-Haïtien, Haïti
19 Août 2007
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"La vraie reconstruction d'Haïti passe par des réformes en profondeur des structures de l'État pour restaurer la confiance, encourager les investisseurs et mettre le peuple au travail. Il faut finir avec cette approche d'un État paternaliste qui tout en refusant de créer le cadre approprié pour le développement des entreprises mendie des millions sur la scène internationale en exhibant la misère du peuple." Cyrus Sibert
Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles?
Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle.
WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.)
Reconstruction d'Haïti : A quand les Réformes structurelles?
Haïti : La continuité du système colonial d'exploitation prend la forme de monopole au 21e Siècle.
WITHOUT REFORM, NO RETURN ON INVESTMENT IN HAITI (U.S. Senate report.)
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