mercredi 28 avril 2021

La résistance au changement de la Constitution falsifiée en 2010, vue sous l’angle de la domination ethnosociale mulâtre : Pas de diaspora!

J’ai toujours assumé mes responsabilités. Cette fois, je pense qu’il est anormal d’accepter que le racisme systémique ou la question de couleur en Haiti, soit un sujet tabou. Car, en réalité, il existe sur la terre de Dessalines, une caste économiquement privilégiée, dont l'élément fondamental d’acceptation et de promotion sociale est la couleur claire de la peau. C’est d’ailleurs la situation sur l'île entière, en Haïti et en République dominicaine. Je refuse de m'auto-censurer sur cette question qui fait tant de préjudices. C’est connu que sur l'île des taïnos et des noirs, la peau sombre est méprisée et détermine des avantages socio-économiques. En ce contexte mondial de contestations contre tous les identifiants racistes, Haïti doit se mettre au pas. 

Depuis un certain temps, nous replaçons au cœur des débats le racisme systémique qui provoque l'instabilité en Haïti. Depuis la fin du 18e siècle, l’haitien à peau claire s’obstine à mépriser le pouvoir légitime de l’Haitien à peau sombre. C’est une vérité historique. Le Général de Division Toussaint Louverture a dû faire la guerre du Sud pour contraindre le Général de brigade  André Rigaud, un mulâtre à peau claire, d’obéir à ses ordres. Cela reste une constante historique. L'oligarchie à peau claire conteste toujours le leadership des dirigeants noirs qui cherchent à implémenter leur vision politique. 


Détrompez-vous! Nous ne sommes pas dupes. Ceux qui ont mis en place ce système et qui continuent de le défendre sont dans l’ombre, souvent bien établis dans des capitales étrangères où ils assurent le fonctionnement de lobby réactionnaire contre tout changement en Haïti. Après + 200 ans d’exploitation d’Haiti, ils ont amassé assez de richesses pour se la couler douce dans les milieux huppés de ce monde. C’est la continuité du lobby des colons français auprès de Napoléon pour obtenir l’expédition Leclerc en vue de rétablir l’esclavage en Haïti; ou une compensation en faveurs des anciens colons hypothéquant l’économie haïtienne d'une foutue dette de l’indépendance. D’ailleurs, le Président Boyer, n’a t-il pas pris refuge à Paris, comme un agent exfiltré pour regagner son vrai pays, suite à une mission à l'étranger?


Ceux qui résident dans le pays ne sont que des sous-fifres qui se font aussi manipuler par la couleur de leur peau : “Sacrifiez-vous au nom de votre groupe ethno-social, même quand en réalité vous vivez dans des quartiers assiégés par des bidonvilles, dans la crasse, autour des tas d'immondices, sans énergie, sans services publics, sans hôpitaux pour répondre à une urgence médicale!”. Tel est le message d'encouragement des puissants riches, souvent absentéistes-gardiens du système exclusivisme, comme au temps de la colonie. En ce sens, même quand ils sont souvent trop cons pour le comprendre, le combat pour sortir Haïti de l’Etat-Plantation vers l’ État-Nation, est dans leur intérêt. 


Toutefois, la situation personnelle de ces individus que nous appelons des sous-mulâtres exploités, ne doit pas nous empêcher de voir le système instauré depuis Alexandre Pétion et Jean-Pierre Boyer. 


Sur le plan historique et systémique, tout l’enjeu de la nouvelle constitution, aux yeux des leaders de ce secteur que l’homme politique et écrivain martiniquais schoelcher appelle la “faction jaune” --  i.e. l’oligarchie mulâtre, c’est qu’elle instaurera en Haïti un pouvoir autonome émanant uniquement du vote de la majorité populaire. 

 

Cette nouvelle constitution qui sera votée le 27 juin prochain, anéantira la dictature des mains invisibles, des réunions de salons dans les hauteurs de Pétion-ville. Car, celui que le peuple élira, aura le pouvoir d’installer son gouvernement sans marchandage, en vue d'implémenter ses promesses de campagne. 

 

Ce sera différent d’aujourd’hui, où malgré un vote majoritaire et populaire au niveau national, un président élu doit supplier l’oligarchie de lâcher prise afin qu’il puisse installer un gouvernement.

 

Aussi, cette constitution, intégrera-t-elle la diaspora haïtienne avec sa double nationalité, son apport technique, son savoir-faire, ses expériences de modernité dans les pays riches, sa capacité financière et ses réseaux mondiaux pour concurrencer la bourgeoisie rétrograde et rentière. 

 

C’est tout le système de domination exclusiviste instauré dans le pays, après l’assassinat de Jean-Jacques Dessalines, qui est menacé. On comprend pourquoi un homme comme Jerry Tardieu, qui a passé 4 ans à la Chambre des députés à travailler sur une nouvelle constitution, est contre ce référendum constitutionnel.

 

De plus, il faut signaler que si la République Dominicaine sert de base arrière pour les membres de la “faction jaune” haïtienne, cette mulâtrie qui grâce à la couleur de la peau profite sans contrainte la République voisine, s’y rend, investit, envoie ses enfants à l’école sans difficulté dans les lycées français ou dans des écoles  américaines de Santo Domingo…. notre diaspora, originaire en majorité des villes de province, des sections rurales et des mornes d'Haiti, constitue la base arrière de la majorité nationale. 


Elle est une force que cette constitution permettra de transformer en ressources géopolitiques, en vue de renforcer l’influence d'Haïti sur la scène internationale et de faire entendre notre voix. 

 

Personnellement, je propose une géopolitique noiriste et/ou indigéniste. On reviendra sur ce point.


Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 28 Avril 2021 WhatsApp: 509-3686-9669 @ReseauCitadelle reseaucitadelle@yahoo.fr

dimanche 25 avril 2021

Haiti et la stratégie d’encerclement de la « faction jaune », dans leur objectif d’un système « exclusiviste politique ».- #LeReCit

Après l’assassinat de l’Empereur Jean Jacques Dessalines, la « faction jaune instaura en Haiti un système apartheid qualifié d’ «exclusivisme social ». Ce qui a provoqué des réactions radicales de Christophe, Soulouque, jusqu’à Duvalier. Cette idéologie raciste a survécu sous la forme d’« exclusivisme économique. »

Et, depuis quelque temps, l’oligarchie profite de l’espace démocratique pour mettre en place une domination politique, un « exclusivisme politique», dont la première manifestation est leur mépris et leur arrogance à l’encontre des élus du peuple, tout en trouvant un moyen pour nous faire répéter que « Haïti a choisi d’être pauvre! », qu’ils sont les seuls capables de travailler à la « valorisation d’Haiti », que le Chef de l’État qui n’a aucune influence sur le système qu’ils ont mis en place à partir de leur crime d’assassinat de Dessalines, est responsable de nos problèmes.

Alors que, comme il est dit dans le livre « Idéologie, Histoire et Politique en Haiti » du professeur Mac-Ferl Morquette, le bilan historique de l’exercice du pouvoir par cette « faction jaune » donne le reigne de l’obscurantisme, du nihilisme, de la corruption, du populisme ‘’papa-bon coeur’’.
A partir des premières pages lues, dans le livre susmentionné, j’ai pu comprendre que les seules transformations économiques et sociales qu’a connues Haïti, ont été l’oeuvre des leaders noiristes comme Christophe (1804 - 1820), Philippe Guerrier (1844-1845), Salomon (1879 - 1888), Florvil Hyppolite (1889- 1896), Estimé ( 1946-1950), et Duvalier (1957-1986 - surtout social, malgré ses méthodes radicales pour se maintenir au pouvoir) #LeReCit

jeudi 22 avril 2021

"Vérification des titres de propriétés” du Groupe Blackout : Jovenel Moïse marche sur les traces de Jean-Jacques Dessalines, assassiné en 1806 pour avoir voulu "vérifier les titres de propriétés des mulâtres".- #LeRéCit

"Vérification des titres de propriétés” du Groupe Blackout : Jovenel Moïse marche sur les traces de Jean-Jacques Dessalines, assassiné en 1806 pour avoir voulu "vérifier les titres de propriétés des mulâtres".- #LeRéCit
Un rappel historique à la page 41 du Livre “Idéologie, Histoire et Politique en Haïti", du professeur Mac-Ferl Morquette, m’aide à déduire que la décision du Président Jovenel Moïse de questionner les contrats de vol des entreprises de l’Etat comme les usines électriques de l’EDH, ressemble à la volonté de Jean-Jacques Dessalines de vérifier les titres de propriétés des mulâtres. Une ordonnance pour laquelle l’Empereur fut assassiné. Selon cette analyse dans le livre, il faut considérer ce crime suivant une approche marxiste à savoir l’appropriation de la base économique du jeune Etat d'Haiti par un petit groupe, en fonction de leur caractère mulâtre, fils d’anciens colons, aux préjudices des masses d’anciens esclaves noirs…“ceux dont les pères sont en Afrique”. Si en 1806, l’idéologie mulatrisme avait servi de justification à un prétendu droit d'héritage des terres de la nouvelle République au point d’assassiner le Père de la Patrie, aujourd’hui l’astuce idéologique est le “déni de la réalité ethno-sociale” qui constitue la base même du système de domination, de privilèges et d’arrogance de ce petit groupe d’oligarques, au mépris de la majorité nationale. Il n’y a pas de compétitivité économique en Haiti. On est riche parce qu’on est de peau claire, parce qu’on est membre d’une famille membre de cette classe dominante qui paralyse l’Etat (justice, administration publique, Cour des comptes, Commission de passation de marchés publics), les banques, conserve les monopoles, empêche à la diaspora d’importer des biens et services, etc, etc... Le pire, ils ont pu trouver des intellectuels pour nous faire répéter "Haïti a choisi d’être pauvre!” ou “le Président — sans pouvoir réel sur le système — est responsable de tous les problèmes du pays.” Ils osent critiquer le peuple haitien qui a payé la dette de l’indépendance, blâmer l’Etat qui malgré tout est le plus grand employeur du pays, assure l'éducation nationale quasi gratuite, aménage le peu de promotion sociale de fils des masses, subventionne la francophonie par l'enseignement du français dans les écoles nationales, forme des cadres qui iront travailler dans les pays riches… Le minimum qui existe en Haïti est l'œuvre de cet État fondé par Jean-Jacques Dessalines. Malgré tout, l'élite la plus répugnante, composée de contrebandiers et de délinquants fiscaux, croit pouvoir masquer la réalité en se payant les services d’ "intellectuels faussaires” sans aucune conscience de leur histoire ni de leur origine sociale. Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 22 Avril 2021 WhatsApp: 509-3686-9669 @ReseauCitadelle reseaucitadelle@yahoo.fr

lundi 15 mars 2021

Haïti doit suivre la LIBERTÉ DIPLOMATIQUE de la Jamaïque et cesser d'être l'ESCLAVE DIPLOMATIQUE des occidentaux.-

Haïti doit suivre la LIBERTÉ DIPLOMATIQUE de la Jamaïque et cesser d'être l'ESCLAVE DIPLOMATIQUE des occidentaux.-


Depuis plus de 48 heures, soit le 13 mars 2021,  la Russie a fait une offre publique d’appuis techniques pour aider Haïti à se stabiliser, à rétablir l’ordre public et la continuité ininterrompue de son processus démocratique constitutionnel.


En effet, le vendredi 12 mars 2021, une unité de la police nationale d'Haïti est tombée dans une embuscade causant la mort de 5 policiers et plus de 8 blessés; un policier serait porté disparu. Une opération qui montre au grand jour les faiblesses de la Police haïtienne au niveau technique, d'équipements, organisationnel et opérationnel. Les bandits ont pu récupérer un véhicule blindé et une mitrailleuse M50 qui les habilitent à intervenir n'importe où dans la capitale haïtienne pour kidnapper des gens et semer le deuil. 


A l’heure où je rédige ce papier, je suis sûr que certains conseillers et surtout des agents infiltrés sont en train de dire au Chef de l’État qu’il ne doit pas accepter l’offre de la Russie. Je serais d’accord avec eux, si les pays dits amis d'Haïti avaient agi en conséquence pour aider à combattre les gangs.


Mais en réalité, les États-Unis font semblant de ne même pas pouvoir arrêter les armes de guerre exportées de son territoire vers Haïti. Un officier américain d’origine haïtienne, sniper des forces spéciales, a eu la possibilité d’embarquer sur un vol commercial American Airlines, ses matériels de guerre et de débarquer à l'aéroport de Port-au-Prince, Haïti sans être inquiété. Il n’a été arrêté que grâce à l’intervention d’agents douaniers haïtiens qui le voyaient anormal. 


Qui croira que des douaniers haïtiens peuvent faire ce qui est impossible pour les agents de la TSA américaine?


La réalité, c’est que parmi les pays amis d'Haïti, il y a des hypocrites qui cherchent à renverser le président Jovenel Moïse, à l’humilier en l'empoisonnant sous de fausses accusations, comme ce fameux faux mandat fabriqué par des juges putschistes dans le cadre d’un dossier vide de plainte contre X.


En 2004, les États-Unis savaient pertinemment les pays qui déstabilisaient Jean-Bertrand Aristide. Ils n’ont rien fait parce qu’ils comptaient profiter du changement de régime qui en résulterait afin d’arrêter des gens, reprendre le contrôle de la situation avec un Premier Ministre exporté vers Haïti à partir de Boca Raton (Florida) et plus tard, de Jacques Bernard, “Gouverneur électoral” qui assurera l'élection de René Préval au premier tour, en violation de la loi électorale en vigueur. Comme on l’a vu, la mission de ce dernier était de vendre toutes les entreprises publiques à l’oligarchie connue sous le nom “Groupe de Bourdon” et la mise sous tutelle permanente d'Haïti à travers la #MINUSTAH.


Comme on a pu le constater, en plus du choléra qu’elle a introduit en Haïti, la MINUSTAH n’a rien fait pour combattre les gangs armés. Elle n’a fait que suivre la théorie du général français Loup Francart à savoir “Maîtriser la violence”, alors que les haïtiens ont besoin de l'anéantir pour pouvoir attirer des investissements et assurer le développement économique.


La #MINUSTAH servait de fenêtre néocoloniale pour tous ces pays obsédés par l'échec de la Révolution haïtienne de 1803. Haïti est ainsi prise au piège de la stratégie du chaos permanent, utilisée en Libye, en Syrie où des puissances étrangères utilisent des proxies comme moyens d’affaiblissement, de contrôle et d'anéantissement de certains États du Sud. 


En ce sens, ces grandes puissances qui s’autoproclament “amis d'Haïti", n’aideront jamais à solutionner le problème en Haïti. Au contraire, elles s’en servent pour y imposer une violence permanente, vider le pays de sa jeunesse, de ses cadres, de sa classe moyenne, tout en y prenant contrôle à travers des criminels d’une bourgeoisie voleuse et salope qui leur sert de néo-colons depuis 1806, suite à l’assassinat de Jean-Jacques Dessalines.


L’objectif de ce texte est de dire au président Jovenel de ne pas se laisser manipuler par les mauvais conseils de ses conseillers. Car, la Jamaïque  a reconnu Cuba et établi des relations diplomatiques avec le régime de Fidel Castro, en pleine guerre froide, depuis 1971, malgré les pressions des États-Unis. En 1972, elle a établi des relations diplomatiques avec la Chine Communiste. Elle a vendu ses minerais de bauxite à l’URSS durant la guerre froide, lui fournissant de l’aluminium pour la construction de ses avions de guerre. D’autres pays de la Caraïbe comme Barbade, Guyana, Trinidad et Tobago ont fait la même chose en 1973. (Tiré du livre "Dragon in the Caribbean” de Richard L. Bernal, p.70-71)


Récemment, la République Dominicaine, malgré ses liens plus forts que Haïti, avec les États-Unis a décidé d’utiliser ses droits d’État souverain pour établir des relations diplomatiques avec la Chine, malgré les pressions diplomatiques de Washington, du Sénateur Marco Rubio et encore pire, du cynique en diplomatie, le Président Donald Trump.


Haïti doit cesser d'être le “toutou diplomatique” des occidentaux!


Il faut cesser avec cette mentalité enfantine de pays incapable de s’affirmer sur la scène internationale, indépendamment des diktats des partenaires traditionnels. Le temps est venu de diversifier nos partenaires en fonction de nos intérêts de nation indépendante.  Car, en termes de résultats, il est clair que les occidentaux ont plus de respect pour les pays qui font preuve d'indépendance et de liberté diplomatique. Ils reçoivent plus et sont plus développés que nous, laquais des américains, des canadiens et des français.


Car, quand des gens meurent, quand des femmes et des enfants sont violés, c' est de la responsabilité des dirigeants de trouver des solutions rapidement. Cela ne suffit pas de s’adresser continuellement à la population sur facebook sur les médias traditionnels sans apporter des solutions rapides. La communication politique a des limites. En Haïti nous avons tendance à en abuser. 


Avec cette offre de la Russie, la solution est disponible, elle est sur la table. En conséquence, chaque personne tuée ou kidnappée à partir de ce 14 mars 2020  sera de la responsabilité directe du président Jovenel Moïse et inclusivement des membres de son gouvernement.


Cyrus Sibert,

#LeReCit @reseaucitadelle

reseaucitadelle@yahoo.fr

15 mars 2021

WhatsApp : + 509 3686 9669





Lisez aussi : 

#Haïti, tentative permanente de coup d’Etat ou la persistance des pratiques du RÉSEAU FOCCART.-

https://reseaucitadelle.blogspot.com/2021/02/haiti-tentative-permanente-de-coup.html



vendredi 12 mars 2021

Ponzi and Pyramid Schemes Spread Across Caribbean.-

https://insightcrime.org/news/caribbean-ponzi-pyramid-schemes/

CARIBBEAN / 9 MAR 2021 BY KATYA BLESZYNSKA A new investigative report shows Ponzi and pyramid schemes have proliferated across Caribbean countries during the pandemic, and authorities have been unable to keep up. The report — by the Caribbean Investigative Journalism Network (CIJN) — looked at cases of fraud in Guyana, Trinidad and Tobago, Barbados, Antigua and Barbuda, Jamaica and the British Virgin Islands. The schemes “have already cost would-be investors in the hundreds of millions of dollars,” the report’s authors wrote. A Guyana couple was arrested in August 2020 for allegedly running an unlicensed and unregistered investment company called “Accelerated Capital Firm Inc.,” which collected $27 million from around 17,000 people, the Guyana Chronicle reported. The pair, who are awaiting trial, faces around 80 counts of conspiring to obtain money under false pretenses, according to prosecutors. Similar schemes, in which people are encouraged to invest tantalizingly small amounts of money — from $5 to $25 — to receive an eightfold return, have also appeared in Guyana under names like “Freedom Family” and “Bless and be Blessed.” A Trinidad and Tobago company called “Drugs Sou Sou” is under investigation for a similar investment scheme. A 42-year-old contractor who was struggling to make payroll said the company offered him returns of up to 600 percent, according to the CIJN report. Such investment schemes have also proliferated in other regions of Latin America. In Cuba, authorities recently caught wind of a Ponzi scheme disguised as a game called “La Bola.” It asked people to invest 500 Cuban pesos ($20) and then convince 14 others to do so. The scheme proved popular. By February 15, one Havana police station alone had allegedly recorded more than 300 complaints related to the scam. These schemes are not new in the Caribbean. In the 1990s and 2000s, Antigua was home to one of the world’s largest Ponzi schemes — the “Stanford Ponzi” — in which $8 billion was stolen from investors worldwide. Texas financier Allen Stanford ran the fraud from his offshore bank in Antigua. Over the course of 20 years, Stanford used investors’ money to fund his real estate projects, business ventures and billionaire lifestyle. He was convicted in 2012 in the United States, where he is currently serving a 110-year prison term. A fraudulent investment company called “Cash Plus” emerged in Jamaica in 2002. The scheme — which ensured lenders up to 120 percent in annual returns, with 10 percent paid back monthly — collapsed in 2008, owing $10 billion to more than 40,000 investors. It took almost a decade to form a case against the company’s owner Carlos Hill, who was acquitted in 2017 for lack of evidence. Many Caribbean nations have struggled to combat these schemes. Laws are outdated and can contain loopholes, according to the CIJN report. In Guyana, for example, pyramid selling is prohibited, but the law “only covers goods and services and not financial investments.” Following the “Cash Plus” scandal, Jamaica amended its financial laws in 2013 to explicitly ban Ponzi and pyramid schemes. Trinidad and Tobago and Antigua and Barbuda have no targeted legislation in place, according to CIJN. InSight Crime Analysis The economic crisis and job volatility caused by the pandemic may have made such schemes more attractive to people with few resources who suddenly find themselves in need. In late February, the Caribbean Development Bank revealed that the GDP of its 19 borrowing member countries contracted by an average of 12.8 percent in 2020, due to the drop in commodity exports and tourism. Past financial schemes sought to ensnare rich investors, but fraudsters are increasingly preying on economically vulnerable communities. Moreover, financial fraud is a low priority of Caribbean governments that are scrambling to reduce COVID-19 cases, secure vaccines and salvage battered economies. Guyana Attorney General Anil Nandlall told CIJN “the issue needs to be pursued as a matter of urgency” regionally by the Caribbean bloc of countries known as Caricom and the Caribbean Financial Action Task Force. Proposals to update legislation and provide recourse for victims of these schemes must also be put forward. Barbados Finance Minister Ryan Straughn is pushing for regulation overseeing the country’s legal peer-to-peer lending systems to be extended to cover Ponzi schemes. But he admits that convictions in such cases would be tricky. “Unfortunately, unless there is some kind of contract or documentation, then ultimately it would be John Brown’s word against John Public…the lack of information makes it difficult to prosecute,” Straughn told CIJN. Across the Caribbean, as well as among Caribbean populations in the United States, pyramid schemes are often disguised as communal savings clubs known as “sou-sous.” The clubs often have innocuous names like “partners,” “box hands” or “blessing looms.” The clubs — derived in West-Africa — are used by people who don’t have easy access to banks. A factor that has made these schemes so prevalent in the Caribbean is the tactic of infiltrating and scamming religious, ethnic and minority communities, which is known as “affinity fraud.” With the Stanford Ponzi, tight-knit Jewish communities across Latin America were disproportionately affected, while in Barbados, schemes known as “blessing circles” have proliferated in churches in the form of charity donations. Many of these groups have promoted themselves to marginalized communities as a way for them to build wealth and become financially empowered. The pandemic has caused a number of financial crimes to prosper in Latin America, including usurious lending operations and fraudulent investment schemes. A high-profile actress in Argentina made headlines after authorities alleged she was involved in “telares de abundancia” or “abundance looms,” which are pyramid schemes cleverly marketed as online female solidarity groups that piggyback on the country’s movements to legalize abortion and reduce gender violence. https://insightcrime.org/news/caribbean-ponzi-pyramid-schemes/?fbclid=IwAR0Patnz5jyHCmizcfQEbTJlmFhNcqRhWiWzJMkelZyRu5syc9h7ftwM5vE

samedi 20 février 2021

#Haïti, tentative permanente de coup d’Etat ou la persistance des pratiques du RÉSEAU FOCCART.-

[ Car, le problème des acteurs politiques haïtiens, c’est l’absence de perspective historique. Ils agissent en fonction du “primum vivere”, sans considérer le temps long. ]

Pour mieux comprendre ce qui se passe actuellement en Haïti, il faut lire l’histoire du fameux “Réseau Foccart” en Afrique.

Jacques Foccart, un ancien agent français du Service d’action civique (SAC), a privatisé la diplomatie française en Afrique.


Ce que dit la France ouvertement, sa diplomatie officielle, n’a été qu’une apparence trompeuse. Sans valeur. Seul comptait ce que décidait le puissant homme d’affaires blanc, originaire des Antilles et proche des dirigeants  politiques de France.


Les coups d’État, les guérillas, les massacres, les millions de civils africains tués ont tous été financés et équipés par ce monsieur qui a manipulé la politique française en Afrique. Souvent au profit des intérêts privés. Une diplomatie dans la diplomatie, un État dans l'État. 


Le retour de Winter Etienne aux Gonaïves, cet agent agitateur très connu pour ses prouesses dans l’Artibonite, puis exfiltré, n’est pas un hasard. Ce n'est pas  une mince affaire. 


C’est connu! Le président Jovenel Moïse est en conflit ouvert avec de puissants hommes d’affaires proches de la France. Ces derniers sont capables de manipuler la diplomatie française en Haïti et surtout d’utiliser à des fins privées, les “assets” français en Haïti; c’est-à-dire tout le dispositif humain, équipement et réseau dont dispose le renseignement extérieur français dans ce pays.


J’ai vu et je connais encore beaucoup d’éléments dans le camp adverse. Ce sont des agitateurs et des professionnels de la déstabilisation, de la guérilla urbaine, d’opérations de sabotage et d’intimidation.


Parmi les ennemis du Président Jovenel, vous avez les Vorbe. Les connexions entre cette famille et la diplomatie française en Haïti sont connues. C’est d’ailleurs un cas général en Haïti. Par des postes de Consul Honoraire, la bourgeoisie haïtienne prend en otage la politique étrangère de plusieurs pays dits “amis d’Haïti”; une position stratégique pour désinformer les grandes capitales du monde, facilitant les choses pour certains membres de l’oligarchie, même lorsqu’ils sont fautifs.


Boulos est devenu l’un des ennemis jurés du Chef de l’État. Mais, avec les Vorbe, il a des liens familiaux. D’autres entreprises françaises qui ont vu leurs marges de bénéfice réduire suite à certaines décisions du président Jovenel agissent dans l’ombre. C’est le cas de certains importateurs de produits pétroliers qui répandent le mensonge sur le Chef de l’État. Ils sont aidés par des Services de Relations Publiques et des journalistes étrangers métamorphosés en agents d'influence; même quand ils prêchent - hypocritement - la neutralité journalistique dans le but de neutraliser leurs collègues haïtiens trop incompétents pour découvrir leur petit jeu.


Il se développe ainsi une complicité entre oligarchie, représentation diplomatique et presse étrangère. La solidarité entre expatriés l’oblige. Alors, on s’intoxique, on se fait l’écho de ce qui est dit dans les milieux bourgeois d’Haïti, les restaurants de Pétion-ville, dans des hôtels, sur la plage, etc.



Actions pratiques de déstabilisation 


Je ne peux pas dire si les actes de déstabilisation auxquels nous assistons en Haïti sont autorisés par la République française. Mais, je peux affirmer que certains membres de l’oligarchie utilisent les mêmes “assets” du renseignement français en vue de déstabiliser le gouvernement du Président Jovenel Moïse.


Le retour de Winter Etienne;

la reconstitution des groupes armés à Raboteau;

des gangs un peu partout dans l’Artibonite;

deux anciens officiers de l’armée d’Haiti, dans l’Artibonite ou dans la capitale haïtienne;

certains groupes armés dans la zone métropolitaine de Port-au-prince, surtout ceux de Martissant, dans la zone de Carrefour, des territoires habituellement occupés par des opérateurs généralement au service de la France;

sont autant d'éléments qui justifient notre conclusion. 


On peut ne pas connaître tous les secrets d’une opération clandestine. Mais, les hommes utilisés, les équipements et surtout le mode opératoire, peuvent aider à détecter la vérité. 


En 2004, ils avaient aussi utilisé des éléments de la police pour déstabiliser l’institution Policière. #Fantome509 est un nom nouveau, mais pas une stratégie nouvelle. Ils vont aussi essayer d’infiltrer le Palais National. De faire le maximum de destructions possibles en vue de forcer la main aux américains. 


Il y a aussi ces zones contrôlées par des groupes armés qui rappellent le Mouvement de Pernal. Ces faux mouvements de militaires démobilisés. Cette stratégie consistant à placer des groupes armés sur des artères stratégiques comme les grands axes routiers, au bord de mer, dans l’environnement de l’aéroport. Les commandos mobiles qui attaquent des postes de police ou des bureaux de l’État à l’Arcahaie, à Mirebalais et dans le Sud.


En tant que patriote, on ne peut pas accepter la répétition sans cesse de mouvements de déstabilisation de notre pays juste parce que certains membres de l’oligarchie refusent de considérer Haïti comme un État-Nation, mais plus comme une plantation, leur plantation...


Car, le problème des acteurs politiques haïtiens, c’est l’absence de perspective historique. Ils agissent en fonction du “primum vivere”, sans considérer le temps long. Notre histoire de peuple indigène! Cela les entraîne dans des acrobaties destructrices de notre pays, notre patrie. 


L’étranger s’associe à la bourgeoisie apatride et voleuse pour nous manipuler, en nous dressant les uns contre les autres. Et, plus j’étudie l’histoire des colonies, plus je suis conscient de cette manipulation constante visant à garder mon pays Haïti et mon peuple dans un chaos permanent.


Il ne faut pas sous-estimer l’histoire. Aujourd’hui, le monde n’est plus orienté vers des confrontations idéologiques de gauche ou de droite, mais plutôt des conflits entre civilisations, basés sur l’identité, sur le temps long. 

Emmanuel Macron, le Président français se voir comme défenseur de l’occident gréco-romaine;

Rajic Erdogan de Turquie, comme défenseur de la civilisation ottomane;

Vladimir Putin, comme défenseur de la Grande Russie de Pierre Legrand;

Donald Trump, se réclamant de Andrew Jackson, se voit comme leader des États-Blancs-Unis, un pays fondé par des planteurs blancs pour des blancs;

Le PCC (Parti Communiste Chinois) est plus un Parti pour la Civilisation Chinoise; les leaders chinois s’étant donnés comme mission de rétablir la suprématie de leur civilisation;

L’Angleterre abandonne l’Union européenne pour retourner à son ancienne vision d’Empire global de Commonwealth;


Alors, nous autres haïtiens devons aussi penser en temps long. Car, trop longtemps, nous avions utilisé des revendications conjoncturelles pour agir et détruire sans considérer le temps long. C’est ce que font ceux qui exécutent ce projet secret de mise en échec de la révolution de 1804. 


La majorité des intellectuels haïtiens semblent ignorer que les démons du colonialisme existent encore. Si les puissances européennes ont clamé leur ambition en Amérique du Sud et dans la Caraïbe, c’est grâce à la Doctrine de Monroe suivie de la Guerre des États-Unis contre l’Espagne. Deux siècles, c’est deux jours dans la vie d’une nation. Nous devons être vigilants. Pas de négativité, ni d’agressivité. Mais de l’intelligence !


Si vous croyez que c’est fini, rechercher dans un dictionnaire français le mot “Vertières”. On ne parle pas de la bataille de Vertières dans les manuels d’histoire français. Depuis la naissance de notre État, un président français a visité notre pays Haïti en 2010, soit 206 ans après, suite au tremblement de terre du 12 janvier 2010. Une visite obligée face à l’ambiance de tristesse au niveau international pour ce qui est arrivé en Haiti. D’ailleurs, vu qu’il y a plusieurs policiers, militaires, diplomates et coopérant français sous les décombres, on peut se demander s’il était venu pour les haïtiens ou pour les français victimes.


Personnellement, je regrette les manifestations qui ont été organisées le 1er janvier 2004, lors de la célébration du bicentenaire de l’indépendance d’Haïti. Je me réjouis du fait qu’au Cap-Haitien nous n’avions pas profané le bicentenaire de la bataille de Vertières. Il n’y a pas eu non plus de manifestation, le premier janvier 2004. Mais, dans d’autres villes du pays, aux Gonaïves et dans la capitale haïtienne, il y a eu des manifestations. Cependant, soyons honnêtes de reconnaître que nous avons souhaité leur succès comme preuve de résistance.  Toutefois, nous devons avoir le courage de reconnaître que c’était une erreur grave. Je l’ai dit mainte fois à des amis et compagnons de lutte.


En ce temps laà, des leaders plus expérimentés avaient dit aux jeunes : c’est une bonne décision de transformer le bicentenaire de notre indépendance en période de combat, à l’instar de nos ancêtres il y a 200 ans. Mais cette fois, c’est pour une nouvelle révolution fondée sur un Nouveau Contrat Social. Mais, au lendemain du départ du président Aristide, le 29 février 2004, nous avons constaté que beaucoup d’entre eux nous mentaient. 


Les anciens colons ont utilisé le sale caractère d’Aristide et ses agissements d’apprenti dictateur comme moyen de provocation pour nous pousser à saboter la célébration du bicentenaire de notre indépendance, le tout couronné par le déploiement de soldats français que nous avions accueilli en libérateurs. 


Cela ne devrait pas se produire. Nous nous sommes laissés manipulés par ceux qui ont toujours voulu l’échec de notre révolution anti-esclavagiste, de notre indépendance comme première République noire indépendante.


Depuis lors, nous assistons à l’effacement de l’ épopée nationale. Toutes les fêtes nationales sont systématiquement profanées par des manifestations motivées par des litiges conjoncturels, ignorant leur dimension historique. C’est facile à reproduire! Car, il y aura toujours une nouvelle génération frustrée à soulever contre de nouveaux dirigeants. Surtout quand ces dirigeants sont de plus en plus incapables, incompétents ou impuissants. Donc, à la fin de ce siècle, aucun haïtien n’aura le souvenir d’une célébration nationale grandiose de la bataille de Vertières.


Et si Aristide était un élément provocateur, sélectionné à son insu, sur la base de ses dossiers cliniques, pour justement nous entraîner dans une situation de chaos permanent?


En 1990, Jean-Bertrand Aristide est arrivé au pouvoir à la faveur des français. On rapporte qu’un émetteur clandestin, placé dans l’enceinte de l’Ambassade de France l’avait déclaré vainqueur des élections du 16 décembre, avant même que l’on finisse de compter les bulletins. S’il n’y avait aucun doute qu’il allait remporter le scrutin, il faut prendre en compte la motivation française. 


Lors du coup d’État de 1991, Aristide, a été secouru par Monsieur Jean-Raphaël Dufour, l’Ambassadeur français en Haïti qui a risqué sa vie pour le récupérer des mains des militaires en colère. En 1994, son retour a été négocié à Paris; d’où le fameux “Accord de Paris”. Donc, la France a activement soutenu un prêtre défroqué, anarco-populiste, au détriment d’autres leaders plus rationnels et plus stables comme Me Gérard Gourgues, Leslie François Manigat, Professeur Victoire Benoit, Professeur Serge Gilles, etc.


Cet apprenti dictateur materné par la France a été à la base de l’humiliation lors de la célébration du bicentenaire de notre révolution. Étrangement, après 2004, la France et Jean-Bertrand Aristide qu’on croyait ennemis, donnent l'impression d’avoir trouvé un accord de non-agression. La Fanmi Lavalas n’exige plus la restitution de la “Dette de l’indépendance”, et la France n’agite plus les mauvais dossiers contre Jean-Bertrand Aristide dans les milieux diplomatiques.


De plus, tous ces agents, les intellectuels qui proposaient un Nouveau Contrat Social, les agitateurs, ceux qui nous ont manipulé en tant que jeunes, ont trahi leur promesse, une fois Jean-Bertrand Aristide renversé. Ils ont profité du pouvoir de façon éhontée. 



Ma cause!


C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de contrecarrer ces agissements insurrectionnels, surtout quand les gouvernants ne sont pas aussi abominables que Jean-Bertrand Aristide.


Cela doit cesser! Il faut mettre un terme à ce cycle infernal de chaos permanent visant à garder Haïti à sa place, et l’empêcher d’évoluer. Il est temps d'être un pays normal.


Ceux qui sont dans le camp d’en face, doivent échouer dans ce nouveau projet de coup d’État. Cet échec leur permettra de comprendre que 2004 n’a pas été uniquement une question d’actes violents de quelques militants frustrés, aigris, assoiffés de pouvoir; mais un mouvement de jeunes qui espéraient instaurer un Nouveau Contrat Social en Haïti. Il y avait aussi des intellectuels et surtout des jeunes intellectuels qui par leur réussite professionnelle prouvent qu’ils pouvaient contribuer grandement au développement de leur pays, si les leaders avaient tenu leur promesse.


Je le répète! Certes, les leaders nous ont trahi. Ils étaient plus motivés par des franchises douanières, des rentes, des privilèges… Mais, leur échec aujourd’hui représentera une forme de justice aux yeux de tous les déçus. Comme Napoléon à Waterloo ou Hitler dans la campagne de Russie, ils doivent échouer. Cela leur permettra de se réévaluer. Et en termes de perspective historique, leur échec aidera à stopper le cycle de l’instabilité en Haïti.


En attendant que la France mette de l’ordre dans sa politique envers Haïti, nous avons l’obligation historique de combattre les agissements de ces hommes d’affaires, ces politiciens, agitateurs, mercenaires, travailleurs de presse, qui habituellement agissent sous les ordres de ses services secrets. 



La bonne nouvelle !


 Aujourd’hui, la Police Nationale d’Haïti est mieux entraînée et mieux équipée qu’en 2003. Ce n’est pas la même situation d’une police sous-équipée, mal-entraînée, paralysée par des hommes de gangs indisciplinés placés en son sein et commandée par des officiers non-qualifiés. Après 13 années d'entraînement, de formation et de renforcement institutionnel par la Mission des Nations Unies,  #MINUSTAH, la Police haïtienne est capable de s’imposer sur dans son espace opérationnel. Et, grâce aux réseaux sociaux, nous sommes à l’heure de la guerre hybride. Ce qui signifie que la communication a une influence considérable sur la fin des évènements. Les médias traditionnels n'ont plus le monopole dont ils jouissaient. Et surtout, l’actuel Président Jovenel Moïse n’est pas un lâche, prêt à abandonner, ni à se faire humilier dans des négociations interminables et infructueuses.


Ainsi, toutes les conditions sont réunies pour leur flanquer une bonne leçon, une correction historique pour un nouveau départ!


Cyrus Sibert,

#LeReCit @reseaucitadelle

reseaucitadelle@yahoo.fr

6 février 2021

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Texte publié au soir du 6 février 2021 sous le titre : #Haiti- Tentative de Coup d’État : Des agents français remarqués dans les rangs des insurgés.- #LeReCit

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