mercredi 20 février 2019

Ce qu'on doit retenir de ce feuilleton des 7 étrangers dits mercenaires, arrêtés à Port-au-Prince.-

Cinq (5) des sept (7) contractuels de sécurité arrêtés en Haiti, repartent pour les États-Unis.
Le 18 janvier dernier, nous avions publié ce texte sur l’arrestation des étrangers en #Haiti. Par la suite, nous avions décidé de le retirer des plateformes de publication sur les conseils d’amis qui nous ont suggéré d’attendre, vu les rumeurs qui circulaient et la confusion qui régnait autour de cette affaire. Mais,  l’annonce aujourd’hui, du transfert de ces hommes vers les États-Unis, nous pousse à le republier en vue de partager avec le lecteur quelques idées et opinions sur le phénomène de développement des compagnies privées de sécurité à travers le monde. 

Comme nous l’avions dit dans deux (2) tweets publiés en juillet et novembre 2018, le chaos crée son économie et fait appel à ses professionnels. Les mercenaires sont les stabilisateurs du chaos.

Quand des irresponsables retardés comme André Michel, Schiller Louidor, Moise Jean-Charles, Nenel Cassy, Evalière Beauplan et co sèment la terreur et le désordre, ceux qui ont des intérêts en Haiti interviendront pour limiter les dégâts, exercer un certain contrôle de la situation et protéger leurs actifs avoués ou dissimulés. Le peuple et la classe moyenne seront certes livrés à eux mêmes, mais les intérêts seront protégés. 

Par exemple, croyez-vous que nos puissants voisins abandonneront la Banque Centrale d’Haiti située au coeur du champ de bataille entre les gangs, sans protection ni couverture, avec des renseignements de complicité du DGPNH manifestée lors de la dernière séance du Sénat sur le CSPN, des groupes armés qui sillonnent la capitale impunément?

Détrompez-vous! Si vous autres, haïtiens n’avez aucun intérêt dans le pays jusqu’à le détruire à chaque semaine, d’autres en ont. 

Le rapatriement cet après-midi de ces contractuels ou mercenaires vers les États-Unis, sous la forme de prise en charge par la justice américaine, s’appelle une procédure d’exfiltration. Arrivés sur le territoire américain, ils seront libérés sous caution, puis "case dismissed”.  C’est la même procédure qu’on avait appliqué pour les contractuels de la Compagnie BlackWater quand ils étaient impliqués dans des accrochages en Irak.

D’autres mercenaires reviendront en Haiti, si les leaders politiques haïtiens provoquent de nouvelles situations chaotiques. Ils seront sans doute noirs, recrutés dans des pays francophone d’Afrique ou de la caraïbe pour éviter les soupçons. Mais, jamais, ceux qui ont des intérêts en Haiti ne resteront les bras croisés à regarder le DGPNH et les anarco-populistes mettre leurs intérêts en danger. 

En conclusion, un vrai patriote ne conduit pas son pays dans une situation de chaos ou Katchouboumbe, capable de menacer son intégrité nationale. Jean-Bertrand Aristide et René Civil avaient échoué avec le pullulement des gangs dans la capitale haïtienne  on ne voit pas pourquoi Jean-Henry Céant pourrait réussir cette fois avec René Civil. 


"La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent.” Einstein

souhaite que comprendra : Il ne suffit pas de faire des promesses, il faut gouverner différemment.

La violence des gangs dans les zones de non-droit et les actes répétés de pillage ne peuvent que menacer l’intégrité nationale.

#LeReCit


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#Haiti : Les 7 étrangers arrêtés à Port-au-Prince, seraient des contractuels de sécurité privé de la Banque Centrale.-

#LeReCit s’excuse et conseille prudence dans ce dossier traité de façon irresponsable par la #PNH @DG_PNH.

Selon nos informations, les 7 étrangers arrêtés à Port-au-Prince (dont 5 américains), le 17 février 2019 ont passé l’immigration et la douane dans le cadre d’un contrat formel avec la BRH, la Banque Centrale d’#Haiti.

Kroeker Kent Leland, Bajagic Danilo, Jankovic Vlad, Burton Talon, Christopher M. Osman, Dustin Daniel Porte and Estera Michael…. ils sont des anciens militaires américains spécialisés dans la défense, sécurité et enquête, qui devraient évaluer la sécurité de la #BRH, située au coeur du champs de bataille entre des gangs armés à Port-au-Prince.

Le traitement infligé par les responsables de la #PNH est politique et injuste.

Personnellement, je supporte les compagnies de sécurité privée. Car, il est clair qu’en situation de chaos, dans les pays faibles comme #Haiti, ces entreprises sont utiles pour apporter les services inexistants et limiter les dégâts.

Ceux qui ont passé des armées au service de la défense et de la sécurité publique doivent pouvoir travailler dans leur domaine professionnel, mettre leur expertise au service de ceux qui peuvent payer et s’occuper de leur famille. Des anciens policiers haïtiens devraient aussi pouvoir évoluer au niveau de la sécurité privée au niveau national et international.

Je suis aussi partisan du port contrôlé des armes à feu et aussi du droit des familles (des personnes) de se défendre contre des bandits; une présomption de légitime défense à l’intérieur de la propriété privée des citoyens ou des entreprises, dans un pays où les gangs exhibent leurs armes au coté des parlementaires délinquants et/ou irresponsables.

Il faut rejeter cette culture gauchiste anti-arme, anti-militaire, anti-sécurité privée. Car, après environ 15 années dans le journalisme d’investigation, dont 11 comme agent dans le dossier Douglas Perlitz, je peux affirmer que sans une dose d’initiative privée, rien n’avancera en #Haiti.

Ce qu’il faut pour faire avancer #Haiti, ceux sont des entreprises privées dans tous les domaines où l’État échoue... même la gestion des prisons. Car, au niveau public, on connait la réalité : La corruption généralisée constitue un cancer qui bloque tout et tue la nation.

Quand on n’est pas capable, on est incapable ! Alors, dans l’intérêt du pays et par respect pour ses résidents, nous devons être pragmatiques. En conséquences, il faut trouver des solutions pour ne pas condamner les citoyens et les entreprises à la faillite.

Le @DG_PNH Michel Ange-Gédéon doit apprendre à traiter avec élégance des collèges de la sécurité. Car, il sera lui aussi, un jour, un gendarme retraité.

C’est irresponsable de traiter cette affaire de la sorte jusqu’à induire, la presse et le public, en erreur.

C’est extrêmement grave quand la police #PNH @DG_PNH décide de publier les pièces d’identité d’anciens militaires américains du corps des marines @USMC ou des #USSpecialForces qui ont fait la guerre au Moyen Orient. Or, selon la loi haitienne, l’enquête est secrète.

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«Reconnaître ses erreurs est une marque de courage et preuve d’intelligence.»
Citation de Pierre-Marc-Gaston de Levis ; Les réflexions sur les erreurs (1808)

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
#LeReCit @ReseauCitadelle
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18 Février 2019

Le succès du Premier Ministre Céant passe par la fin de son complot permanent contre le Président constitutionnel d’#Haiti.-

Président Jovenel Moise et son Premier Ministre Jean Henry Céant

Le succès du Premier Ministre Céant passe par la fin de son complot permanent contre le Président constitutionnel d’#Haiti.- #LeReCit

Le Premier Ministre nous parait un homme acceptable dans la mesure où il est le notaire du système. Même quand nous sommes d’accord avec le professeur Michel Succar sur le fait que ses pratiques notariales pour le système néo-féodal font de lui un “conservateur opaque” — un constat repris dans le Communiqué de l’Ambassade des Etats-Unis appelant à des négociations pour “un gouvernement responsable et transparent” — il faut reconnaitre qu’il peut servir de pont entre les classes sociales qui constituent l’élite dirigeante, répugnante ou pas. 

Selon nos observations à #LeReCit, @ReseauCitadelle, le PM Jean Henry Céant pourrait réussir s’il n’était pas victime de ce que nous appelons : “Le syndrome de Garry Conille”. Qui est le fait par un Premier Ministre, de se laisser influencer par des prétendus technocrates à grosse tête et des parlementaires ambitieux au point de vouloir le pousser à minimiser le Président de la République, à agir dans son dos, jusqu’à instaurer une situation de méfiance contre-productive qui paralyse l’action gouvernementale.

Si le Premier Ministre Conille s’était contenté de rencontrer des gens radicalement opposés au Président Michel Martelly à son insu, pour l’actuel Premier Ministre, la situation est grave et même inacceptable : Il est en train d’instrumentaliser le dossier Petrocaribe pour aboutir à la mise en accusation du président Jovenel Moise.

Car, comment comprendre cette stratégie d’inclure dans une plainte criminelle sans fondement, le nom de la compagnie COMPHENER qui n’a eu qu’un petit contrat justifié de trois (3) millions de gourdes pour une question de lampadaires?


Les hommes du Palais national sont sans doute trop occupés pour le voir, mais l’acte n’est pas innocent. Il vise à trainer le Chef de l’État qui était personnellement responsable de la COMPHENER à titre de Directeur Général, devant le Parquet, de l’inculper cette fois-ci pour de bon, et de le mettre à la disposition d’un juge d’instruction.

Avec des conseillers comme Me Camille Leblanc, ancien ministre de la justice et actuel avocat de l’ancien président Jean-Bertrand Aristide, au sein de son cabinet, ces genres de manœuvres sont bien calculées.


Entretemps, un groupe de députés commence par brandir la possibilité d’une éventuelle mise en accusation de Chef de l’État pour corruption. Lors des derniers événements, des messages audio entre députés accusant d’autres députés de complot pour renverser le président Jovenel Moise, circulaient sur les réseaux sociaux.

De plus, les preuves sur la participation de la Primature dans le financement de la violence sont connues. Le silence du Premier Ministre Jean-Henry Céant et du Forum Économique sur la tentative d’assassinat du Président de la République est une attitude qui prouve que plus d’un ne se réjouit pas de l’échec de cette tentative de coup d’État qui a causé la mort de plusieurs dizaines de citoyens chez eux, parce qu’ils n’ont pas pu se rendre à l’hôpital pour subir leur dialyse, accoucher ou acheter des médicaments, sans compter les civils non-recensés tués par des projectiles ciblés ou perdus.



Revenons au complot permanent de Jean-Henry Céant, ce candidat malheureux qui a obtenu 0.75% des voix, lors des dernières élections présidentielles :

1- Durant toute l’enquête de la Cour des comptes, il n’a pas cessé de faire la navette au siège de la Cour des comptes. —

[ Une institution à surveiller en termes de technicité des audits et de respect du cadre légal, si l’on considère que plusieurs de ses membres ont été imposés, politiquement, par e Sénateur opposant Dieuseul Simon Desras, lors des négociations avec le président Michel Martelly, en position de faiblesse à ce moment là, parce que mal conseillé par ce qui parait être une 5e colonne infiltrée qui a miné sa chance d’organiser des élections. ] 

2- Il s’est empressé de demander à la DGI de porter plainte et de se constituer partie civile au nom de l’État, sur un rapport partiel, incomplet, et sans arrêt de débet.


On n’a jamais vu cela avant. Une personne ou une institution se constituer partie civile avant que la Cour ne rende un arrêt de débet. Car, c’est l’arrêt de débet qui confirme la faute après avoir jugé les constats faits par les auditeurs de la Cour des comptes, c’est-à-dire après avoir permis aux ordonnateurs ou comptables de deniers publics, la chance de s’expliquer ou de se défendre.

En fait, la plainte prématurée donc illégale de Céant n’est autre qu’une stupidité de putschistes trop obsédés par le fauteuil présidentiel. Elle devrait pouvoir servir à une contre-plainte pour accusations mensongères et diffamatoire.


Dans leur stratégie d’obtenir la mise la mise en accusation du Président Jovenel Moise, le PM Céant et ses hommes ont pris le soin :
- de ne pas porter plainte contre REPSA, cette entreprise du groupe Bigio qui est suspectée d’avoir reçu $32.5 millions pour un contrat de $29.9 millions de dollars #Petrocaribe, dans le cadre du projet de dragage de la baie de Port-au-Prince. 
(Me Camille Leblanc, Maitre à penser du Premier Ministre Céant serait l’avocat des Bigio / Youri Latortue le protecteur des Bigio); 
- de ne pas porter plainte contre Patrick Noramé, l’ancien Directeur du BMPAD, dont les fautes sont clairement établies, preuves à l’appui, dans un rapport de l’ULCC pour corruption et détournement de fonds #Petrocaribe. 
(Me André Michel est l’avocat de Patrick Noramé / Nenel Cassy son protecteur); 
- pas de plainte pour les 80 millions de dollars de contrat du CNE, pour lesquels Robert Marcello est porté disparu — donc présumé assassiné après tout ce temps, parce qu’il a refusé de cautionner cette acquisition d’équipements faite par le biais de la compagnie Auto Plaza de monsieur Reginald Boulos, sponsor officiel du mouvement #Petrochallenge;
- pas de plainte, non plus, contre la Compagnie SOGENER, accusée de surfacturation par une enquête d’État en 2013 et pour laquelle, ses responsables avaient reconnu la faute et demandé un arrangement;


Au chapitre titré “A - SUR LA FAUTE PENALE : FAIT PUNISSABLE”, le Premier Ministre Céant, lui aussi avocat, a inséré subtilement le nom de la compagnie COMPHENER S.A., sa principale cible, dans une plainte non justifiée qui vise personnellement le président Jovenel Moise, qui exerçait la fonction de Directeur Général de la petite compagnie. Tout en protégeant les gros poissons, les clients de ses services de notariat au profit du système, il cherche à faire du Chef de l’État un bouc émissaire.

Ce n’est pas un hasard, si dans la presse internationale, on commence à répéter que le Président de la République, Jovenel Moise, a lui aussi empoché l’argent #Petrocaribe. Le système néo-féodal sait comment influencer certains médias étrangers et organiser des campagnes de propagande mensongère au niveau national et international.


Comme conseil, nous pensons que Me Jean-Henry Céant ferait mieux de suivre l’exemple de M. Gérard Latortue qui malgré ses contactes et sa carrière au niveau des institutions internationales, a su se contenter de son espace de pouvoir à la Primature. Au lieu de polémiquer, de guerroyer avec la présidence avec laquelle il n’était pas toujours d’accord, il a préféré remplir sa fonction historique de Chef du gouvernement, d’agir avec le sens de responsabilité en vue de marquer son temps comme un Grand Premier Ministre. Car, s’il continue de perdre son temps dans des complots visant à accéder prématurément au Palais National, il risque de sortir par la petite porte; la communauté internationale étant au courant de tous ses agissements.


Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
#LeReCit @ReseauCitadelle
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20 Février 2019

mardi 19 février 2019

Vatican’s Secret Rules for Catholic Priests Who Have Children.-

“It’s the next scandal,” said Vincent Doyle, the son of a priest. “There are kids everywhere.”CreditCreditSuzanne Kreiter/Boston Globe, via Getty Images

By Jason Horowitz and Elisabetta Povoledo
Feb. 18, 2019

ROME — Vincent Doyle, a psychotherapist in Ireland, was 28 when he learned from his mother that the Roman Catholic priest he had always known as his godfather was in truth his biological father.

The discovery led him to create a global support group to help other children of priests, like him, suffering from the internalized shame that comes with being born from church scandal. When he pressed bishops to acknowledge these children, some church leaders told him that he was the product of the rarest of transgressions.

But one archbishop finally showed him what he was looking for: a document of Vatican guidelines for how to deal with priests who father children, proof that he was hardly alone.

“Oh my God. This is the answer,” Mr. Doyle recalled having said as he held the document. He asked if he could have a copy, but the archbishop said no — it was secret.

Now, the Vatican has confirmed, apparently for the first time, that its department overseeing the world’s priests has general guidelines for what to do when clerics break celibacy vows and father children.

“I can confirm that these guidelines exist,” the Vatican spokesman Alessandro Gisotti wrote in response to a query from The New York Times. “It is an internal document.”

The issue is becoming harder to ignore. “It’s the next scandal,” Mr. Doyle said. “There are kids everywhere.”

As the Vatican prepares for an unprecedented meeting with the world’s bishops this week on the devastating child sexual abuse crisis, many people who feel they have been wronged by the church’s culture of secrecy and aversion to scandal will descend on Rome to press their cause.

[Read more about the upcoming Vatican meeting.]

There will be the victims of clerical child abuse. There will be nuns sexually assaulted by priests. And there will be children of priests, including Mr. Doyle, who is scheduled to meet privately in Rome with several prominent prelates.

For the church, stories like Mr. Doyle’s draw uncomfortable attention to the violation of celibacy by priests and, for some former clerics and liberals inside the church, raise the issue of whether it is time to make the requirement optional, as it is in other Christian churches.

The Vatican has confirmed that it has general guidelines for clerics who father children, pressuring them to prioritize the welfare of the child and leave the priesthood.CreditSpencer Platt/Getty Images

The children are sometimes the result of affairs involving priests and laywomen or nuns — others of abuse or rape. There are some, exceedingly rare, high-profile cases, but the overwhelming majority remain out of the public eye.

The tradition of celibacy among Roman Catholic clergy was broadly codified in the 12th century, but not necessarily adhered to, even in the highest places. Rodrigo Borgia, while a priest, had four children with his mistress before he became Pope Alexander VI, an excess that helped spur Martin Luther’s Protestant Reformation. Luther wrote mockingly that the pope had as much command over celibacy as “the natural movement of the bowels.”

There are no estimates of how many such children exist. But Mr. Doyle said his support group website, Coping International, has 50,000 users in 175 countries.

He said he was first shown the Vatican guidelines in October 2017 by Archbishop Ivan Jurkovic, the Vatican’s envoy to the United Nations in Geneva.

“You’re actually called ‘children of the ordained,’” Mr. Doyle recalled Archbishop Jurkovic having said. “I was shocked they had a term for it.”

Archbishop Jurkovic declined a request for an interview.

Mr. Gisotti, the Vatican spokesman, said that the internal 2017 document synthesized a decade’s worth of procedures, and that its “fundamental principle” was the “protection of the child.” He said the guideline “requests” that the father leave the priesthood to “assume his responsibilities as a parent by devoting himself exclusively to the child.”

But another Vatican official said that the “request” was a mere formality. Monsignor Andrea Ripa, the under secretary in the Congregation for the Clergy, which oversees more than 400,000 priests, said in a brief interview that “it is impossible to impose” the dismissal of the priest, and that it “can only be asked” for by the priest.

But he added that the failure to ask to be relieved of priestly obligations was reason for the church to take action: “If you don’t ask, you will be dismissed.”

The Irish bishops have their own guidelines, and made them public in 2017. Mr. Doyle, who once studied for the priesthood and has sought to cooperate with church leaders, played a role in developing them, said Martin Long, a spokesman for the Irish Bishops’ Conference.

The Irish church’s principles do not explicitly require clerics to leave the priesthood but state: “A priest as any new father, should face up to his responsibilities — personal, legal, moral and financial.”

Pope Francis’ remarks on the issue are limited. In his 2010 book, “On Heaven and Earth,” which he co-wrote when he was the archbishop of Buenos Aires, Francis argues that a priest who in a moment of passion violates a vow of celibacy could potentially stay in the ministry, but one who fathers a child could not.

An image provided by Vincent Doyle, showing him with his biological father, Rev. John J. Doyle, in Longford, Ireland, in 1986.

“Natural law comes before his right as a priest,” he writes, adding that a priest’s first responsibility would be to his child, and that “he must leave his priestly ministry and take care of his child.”

Canon lawyers say that there is nothing in church law that forces priests to leave the priesthood for fathering children. “There is zero, zero, zero,” on the matter, said Laura Sgro, a canon lawyer in Rome. “As it is not a canonical crime, there are no grounds for dismissal.”

Mr. Doyle, along with some other children of priests and some former priests themselves, say they do not believe that dismissal from the priesthood is always in the child’s best interests, and that sometimes it potentially deprives a family of a livelihood.

“I don’t believe unemployment is a response to paternity,” Mr. Doyle said.

Some children of priests, however, wish their fathers were forced out of the ministry.

Rev. Pietro Tosi was 54 when he raped Erik Zattoni’s mother, who was 14, Mr. Zattoni said. Her family tried to force the priest to recognize their son, but he refused. The family was evicted from their parish-owned home in a tiny town outside Ferrara, Italy, where they often bumped into each other.

“He never said anything,” said Mr. Zattoni, now 37.

In 2010, Mr. Zattoni sued Father Tosi, demanding to be recognized. A court-ordered DNA test demonstrated that he was in fact the priest’s son. The Vatican eventually instructed Father Tosi’s bishop to admonish him and remind him of his responsibilities as a father, but did not demand his removal from the priesthood.

After a national news program highlighted his case, hundreds of Italians filled a Ferrara piazza in 2013 to show support for Mr. Zattoni and press Francis to take up his case.

Father Tosi died in 2014, still a priest.

“The justice I got,” Mr. Zattoni said, “came through a court sentence based on DNA.”

The children of priests are increasingly turning to DNA tests to prove that their parents are either priests or nuns.

“It’s a breakthrough, and anybody can do it,” said Linda Lawless, 56, an amateur genealogist in Australia, and herself the daughter of a priest, who has helped members of Coping International.

Her mother kept her paternity secret, but Ms. Lawless remembered noticing as a child that her mother was “absolutely terrified” whenever priests visited the house. Last year, she used a DNA test and the increasingly comprehensive databases and family trees of the genealogical website Ancestry.com to confirm that her biological father was a priest.

“That’s when the secret came out,” she said.

A version of this article appears in print on , on Page A8 of the New York edition with the headline: A Priest With Progeny? Church Has Guidelines for ThatOrder Reprints | Today’s Paper | Subscribe

#LeReCit

Révoltant, le retour d’#Haiti sur la liste noire du tourisme mondial et des tour-opérateurs internationaux.- #LeReCit


La gouvernance lâche, hésitante et la stratégie d’autodestabilisation pratiquées par #Tetkale pour des questions de contrôle sont la cause de cette décision qui aura un impact sur l’emploi et l’économie haïtienne, dans une période où le pays à besoin de devises étrangères. #LeReCit #Haiti

En France, il y a la violence des #giletsjaunes, mais, il y a aussi des #CRS et des gouvernants qui ne lésinent pas sur les règles constitutionnelles et démocratiques. En #Haiti, aucun exemple n’est tracé. Les bandits continuent de menacer la population sur les ondes des médias impunément et mettent leur menace à exécution. C’est aussi une conséquence du travail irresponsable de certains médias. Ils en payeront le prix.

Le @DG_PNH peut s’enorgueillir du résultat de sa politique de polémiques continues avec la présidence.

Aussi, le Premier Ministre @JeanHenryCeant peut savourer le résultat de sa stratégie lavalassienne de financement des gangs pour mieux instrumenter leur capacité de violence à des fins politiciennes.

Depuis hier, 19 février 2019, des firmes pour lesquels nous travaillons comme agent/consultant, nous annoncent l’impossibilité pour leurs cadres de voyager en #Haiti. “Rendez-vous : Puerto Plata, République Dominicaine.” 


Merci, messieurs les politiciens haïtiens!

Aussi, cette situation entraine un retard sérieux dans le processus de dédommagement des victimes d’abus sexuels au Cap-Haitien qui ont passé toute leur vie à souffrir dans ce pays. Car, pour commencer à leur envoyer de l'argent, il y a toute la paperasse à faire.

Voilà la situation dans laquelle ceux qui disent qu’ils aiment #Haiti l’ont enfoncée. Impossible pour des citoyens qui ne volent pas dans la caisse de l’État, d’évoluer.

On est obligé de tout faire en République Dominicaine, malgré les préjugés et les mépris envers les haïtiens.


C’est révoltant! 

Des hommes armés à la solde de Moise Jean-Charles terrorisent la population de Milot impunément depuis 19 ans. Plusieurs étrangers à destination de la Citadelle ont été contraints de faire-demi tour. Malgré les appels au secours de la population, rien n’est fait.

Le développement est impossible sans le respect du droit de propriété et l’égalité de tous les citoyens devant la loi.

Les programmes d’investissements dans des secteurs comme le tourisme, l’agriculture #KaravanChanjman, routes, ports, n’ont aucun avenir sans le Droit.

Ils sont en train de gaspiller nos années de lutte pour le changement en #Haiti.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
#LeReCit @ReseauCitadelle
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19 Février 2019

Le mot Vertières entre dans un dictionnaire français pour la 1ère fois.-

Le mot Vertières entre dans un dictionnaire français pour la 1ère fois.-

ROSNY LADOUCEUR : 18 FEBRUARY 2019

Historique! C’est Dany Laferrière, académicien et brillant écrivain occupant le fauteuil numéro 2 sous la coupole, qui l’a annoncé. « J’ai fait entrer Vertières dans un dictionnaire français pour la première fois ». Vertières, explique-t-il au micro de Pascal Paradou sur Radio France Internationale (RFI) est ce « petit lieu qui a vu la seule et vraie révolution nègre » où l’esclave a réussi à chambarder toutes les valeurs du colonialisme établies pour devenir citoyen.

Vertières, situé au Cap-Haïtien, la deuxième ville haïtienne, occupe une place importante dans l'histoire du pays et dans celle de la lutte contre l'esclavagisme, le colonialisme et le ségrégationnisme. C'est le 18 novembre 1803, que la grande "Bataille de Vertières" eut lieu sur ce petit bout de terrain, entre les troupes françaises commandées par Rochambeau et celles du général Jean-Jacques Dessalines, né esclave.

Ce fut la dernière bataille de l'expédition de Saint-Domingue, suite à laquelle, le 1er janvier 1804, est née la première République noire du monde: Haïti.

Dany Laferrière, auteur du récit « L’énigme du retour » (Prix Médicis 2009), intervenait à l’émission « De vives voix », consacrée à la langue française dans le monde et aux cultures orales. Membre de la Commission du Dictionnaire de l’Académie Française, Dany Laferrière présentait avec Laurent Catach, la neuvième édition de ce vieux dictionnaire passé au numérique.

Cette version numérisée, ont-ils indiqué, contiendra 25, 000 mots nouveaux et sera consultable dans le monde entier. « Un scoop », a déclaré Dany.

À lire aussi : Le mot Vertières n’existe dans aucun dictionnaire français.

Loop News

dimanche 17 février 2019

Et si on prenait Jean-Henry Céant au mot? #LeReCit #Haiti



Et si on prenait Jean-Henry Céant au mot? #LeReCit

Ce samedi 16 février 2019, le Premier Ministre Jean-Henry Céant est intervenu sur les médias sur la conjoncture politique de violence et de tentative de coup d’État contre le Président Jovenel Moise.

Il en a profité pour annoncer une série de mesures en vue d'améliorer la situation du peuple, de réformer la gouvernance, d'assainir les finances publiques, de combattre la contrebande sur la frontière... Il est allé jusqu’à annoncer le prix du riz sur le marché et une réduction de 30% du budget de la Primature.

Mise à part la démagogie sur la “plainte de l’État sur #Petrocaribe” — car, il est clair qu’il ne peut y avoir de plainte sans arrêt de débets — on peut dire que le Premier Ministre a fait rêver tous ceux qui sincèrement souhaitent le changement en Haiti. Étant au courant du fait qu’il était invité par le Palais national à faire ces déclarations, nous pouvons dire qu’il y a une entente au sommet de l’État pour concrétiser ces nouvelles promesses.

En ce sens, à tous ceux qui nous écrivent pour exprimer leur scepticisme en qualifiant les huit (8) points de Monsieur Céant de “Pipi de chat”, #LeReCit a répondu : Donnons-lui la chance de prouver sa bonne ou mauvaise foi.

Car, dans la vie, il faut toujours donner à votre adversaire l’opportunité de prouver ses intentions. Surtout quand vous disposez de la force de frappe suffisante pour l’anéantir.

Sur ce point, l’échec du complot -- concocté entre des membres du secteur privé des affaires, des partisans jaloux ou frustrés du #PHTK, des traites du clan Martelly, ces parlementaires corrompus et/ou liés à la drogue, de la mafia liée au banditisme, au kidnapping, au crime organisé et à toute forme d’extrémisme -- est une victoire pour la démocratie.

Il faut saluer la position ferme de la communauté internationale de ne pas accepter le renversement du président constitutionnellement élu, Jovenel Moise, même quand plus d’un reconnait qu’il a une grande responsabilité dans le pourrissement de la situation.

La démocratie haïtienne en est sortie renforcée. Car, tout cet argent jeté dans la violence, sans obtenir le résultat escompté, laissera toujours un mauvais souvenir.

Ne perdez pas votre temps à mentir sur les ondes des médias en ce qui concerne la participation du chef de gang Arnel, la tentative avortée d’assassiner le président de la République, ni l’incendie du drapeau américain. Car, d’expérience, nous savons que l’Ambassade des Etats-Unis dispose des moyens pour enquêter sur ces actes, de collecter tous les détails, les preuves et évidences avant de définir quelle politique à définir vis-à-vis de des secteurs impliqués.

Pour preuve, dans sa déclaration sur la situation, l’Ambassade a appelé à « un dialogue et des compromis véritables pour aboutir à un gouvernement transparent et responsable pouvant au mieux répondre aux besoins et aux aspirations du peuple haïtien. »..... une façon de dire à monsieur Céant : Surveillez-vous, nous sommes au courant de toutes vos combines!

Au moment de rédiger ce texte, le Communiqué de l’Ambassade n’est plus disponible sur son site internet. Ce qui pourrait signifier : le message étant passé, les États-Unis donnent au Notaire une dernière chance pour divorcer avec ses pratiques Lavalas consistant à utiliser la violence des gangs criminels de la capitale haïtienne comme levier politique. Cependant, l’Ambassade n’a toujours pas sorti une note d’explication en vue d’atténuer les deux remarques fortes qu'elle a insinuées : “Le gouvernement du Notaire est Irresponsable et obscur”.

A ce carrefour, nous pouvons conclure que la démocratie haïtienne en est sortie renforcée. Le secteur privé, la classe politique et la société civile organisée n’ont qu’un seul choix pour accéder au pouvoir : Élections! Ils feraient mieux de sortir de l’ombre, de prendre part à la politique active, de charmer le peuple par des activités économiques et sociales et de l’encourager à aller voter les jours du scrutin.

Entretemps, prenons le PM Céant au mot ! Surveillons le, mais laissons le justifier les prochaines frappes argumentaires de la vigilance citoyenne.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
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17 Février 2019

L'ex-cardinal McCarrick, accusé d'abus sexuels, exclu de l'état ecclésiastique.-


16/02/2019

C'est la première fois dans la longue histoire de l'Eglise catholique qu'un cardinal est défroqué pour des motifs d'abus sexuels.

Le pape François a rendu à l'état laïc l'ex-cardinal américain Theodore McCarrick, 88 ans, accusé d'abus sexuels sur au moins un adolescent il y a plus d'un demi-siècle, a indiqué samedi un communiqué du Vatican. C'est la première fois dans la longue histoire de l'Eglise catholique qu'un cardinal est défroqué - soit rendu à la vie laïque - pour des motifs d'abus sexuels.

Le pape a reconnu comme définitive une sentence en ce sens de la Congrégation pour la doctrine de la foi, institution du Vatican qui veille au respect du dogme catholique, a précisé un communiqué du Saint-Siège.

La promesse de "tolérance zéro"

Cette punition tombe à point nommé avant une réunion cruciale, rassemblant du 21 au 24 février les présidents des conférences épiscopales du monde entier au Vatican, où ils plancheront notamment sur la responsabilité des prélats ayant gardé sous silence des agressions sexuelles de mineurs par le clergé.

La révélation en 2018 d'énormes scandales aux Etats-Unis, au Chili ou encore en Allemagne, ont sérieusement entaché la crédibilité de l'Eglise catholique. Le pape François, qui entend appliquer sa promesse de "tolérance zéro", a promis ces derniers mois qu'il serait intransigeant avec la haute hiérarchie ecclésiastique.

Démis de son titre de cardinal en juillet

L'ex-archevêque émérite de Washington avait déjà été interdit en juillet dernier d'exercer son ministère et avait ensuite renoncé à son titre honorifique de cardinal. Avec son exclusion officielle de l'Église, l'homme reclus actuellement dans l'État américain du Kansas redevient tout simplement M. Theodore McCarrick.

Le Saint-Siège avait demandé en septembre 2017 une enquête à l'archevêché de New York, suite au témoignage d'un homme accusant le prélat d'avoir abusé sexuellement de lui dans les années 70. Face aux "graves indices" ressortis de l'enquête, le pape avait démis fin juillet Mgr McCarrick de son titre de cardinal. L'affaire avait ébranlé la hiérarchie de l'Eglise catholique américaine, juste avant la publication d'un rapport ravageur sur des abus massifs commis en Pennsylvanie.

Le seul cas d'abandon du titre suprême de cardinal remonte d'ailleurs à 1927, lorsque le pape Pie XI avait accepté la démission du cardinal français Lois Billot, qui avait renoncé de lui-même à sa toque pourpre pour des motifs politiques.

samedi 16 février 2019

#Haiti —Incendie du drapeau #USA : Contre l’hypocrisie des radicaux André Michel, Schiller Louidor, Moise Jean-Charles et des bourgeois qui les financent.

#Haiti —Incendie du drapeau #USA : Contre l’hypocrisie des radicaux André Michel, Schiller Louidor, Moise Jean-Charles et des bourgeois qui les financent.

Car, le 7 décembre 2014, lors de manifs anti-@LaurentLamothe, ils avaient brandi VLADIMIR POUTINE et des propos ANTI-USA. (1)

La réalité : Ces gens adoptent de plus en plus des pratiquent terroristes. Ils utilisent des militants religieux anti-USA. Ayant été des communistes formés par le KGB sur les techniques insurrectionnelles, ils admirent POUTINE et placent #Haiti au coeur d'une lutte géopolitique.

D’ailleurs, ces hommes avaient harcelé et menacé des diplomates américains, le 2 décembre 2014, jusqu’à les forcer d’abandonner une réunion avec le MOPOD, au local du parti @fusionhaiti.
A ce moment là, l'Ambassadrice Parmela White a été secourue par des policiers de la #PNH. (2)

LE DANGER: En vue d'accaparer le pouvoir, des groupes politiques radicaux s’associent aux bourgeois mafieux et Drug Dealers pour terroriser le pays. Ainsi, ils utilisent des techniques terroristes et un discours anti-USA susceptibles d’attirer d’autres TERRORISTES...

La prévention du terrorisme en #Haiti passe par un combat systématique contre toutes formes de pratiques quasi-terroristes. Car, l’histoire prouve que les cellules terroristes se construisent et se renforcent sous prétextes politiques, religieux, nationalistes ou identitaires.

La militance politique en #Haiti doit évoluer à l’intérieur du cadre démocratique. Même quand dans une nation, les révoltes populaires seront toujours légitimes; le caractère conspirationnel des violences financées ouvertement par de riches corrompus, est inacceptable.


#LeReCit

https://www.facebook.com/reseaucitadelle/posts/10218891965988846?

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
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16 Février 2019
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1- Une main invisible derrière les agitations en #Haiti : L'Alliance #Lavalas- #Aristide- #Poutine se précise…
http://reseaucitadelle.blogspot.com/2014/12/une-main-invisible-derriere-les.html

2- Flash! Des diplomates américains, harcelés, menacés et forcés de quitter une réunion en Haiti.- http://reseaucitadelle.blogspot.com/2014/12/flash-des-diplomates-americains.html

vendredi 15 février 2019

Communiqué US Ambassade : Douche froide pour Jean-Henry Céant, qualifié d’irresponsable et d’obscur.-

Douche froide pour le premier ministre Jean-Henry Ceant, qualifié d’irresponsable et d’obscur dans ce communiqué de l’Ambassade des Etats-Unis en Haiti.- [Se pou rezon sa yo rayi #LeReCit. nou toujou wè pi lwen….,"entre les lignes”.]

La déclaration de l'Ambassade des États-Unis ignore le notaire devenu Premier Ministre et appelle à des négociations pour un «gouvernement transparent et responsable».— Yo bare Ceant. Si man se pou rezon sa Dimitri jete’l.

Le paragraphe anti-Céant de la déclaration :

« Un dialogue et des compromis véritables pour aboutir à un gouvernement transparent et responsable peuvent au mieux répondre aux besoins et aux aspirations du peuple haïtien. À cet égard, le gouvernement des États-Unis se félicite de l’appel du Président Moise au dialogue national.»
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Lisez le Communiqué.-

Le gouvernement des États-Unis partage le souhait du peuple haïtien de bâtir un avenir meilleur pour Haïti. Un dialogue et des compromis véritables pour aboutir à un gouvernement transparent et responsable peuvent au mieux répondre aux besoins et aux aspirations du peuple haïtien. À cet égard, le gouvernement des États-Unis se félicite de l’appel du Président Moise au dialogue national.

Depuis le 7 février, le peuple haïtien est victime de violences croissantes qui ont entraîné la mort de civils innocents et la destruction de biens publics et privés. Le Gouvernement des États-Unis exhorte tous les citoyens, les partis politiques et les organisations de la société civile, à s’exprimer de manière pacifique. La violence ne fait qu’aggraver l’instabilité et la souffrance du peuple haïtien. Nous félicitons la police nationale haïtienne pour son travail dans le cadre du maintien de la paix et de la stabilité tout en veillant à ce que les citoyens haïtiens exercent leur droit à se faire entendre.

Nous encourageons tous les représentants légalement élus d’Haïti, ainsi que tous les Haïtiens qui recherchent une solution politique pacifique conforme à la constitution haïtienne, à engager un dialogue inclusif – sans recourir à une action violente. Nous encourageons également la mise en œuvre intégrale de mesures de politique économique saines au profit du peuple haïtien. Une gestion des ressources améliorée et transparente favorisera la croissance économique à long terme, permettra d’améliorer le climat des investissements et de générer des emplois. Nous exhortons le gouvernement à redoubler d’efforts pour lutter contre la corruption et responsabiliser les personnes impliquées dans le scandale PetroCaribe.

Nous réaffirmons notre engagement envers le peuple haïtien et continuerons d’œuvrer aux côtés d’Haïti vers un pays plus sûr, plus prospère et plus démocratique pour tous les Haïtiens.

https://ht.usembassy.gov/fr/declaration-de-lambassade-des-etats-unis-sur-haiti/

#Haiti - Instabilité politique : Seules des sanctions internationales ciblées, peuvent dissuader les oligarques.-


Depuis plus d'une semaine le pays fait face à une violence politique financée par des clans mafieux. Le Core groupe rejette le coup d’État, l’économie détruite, des étrangers partent, les monopolistes s’en réjouissent.

Le retour au calme passe par des sanctions internationales contre tous ceux qui menacent le processus démocratique dans le pays.

Les déclarations violentes pro-Maduro, faites par des leaders politiques extrémistes comme André Michel et Moise Jean-Charles, reflètent la position des oligarques qui les financent. Le Président d’Haiti @MoiseJovenel qui vient juste de voter contre Maduro est ainsi déstabilisé par proxy ou par procuration.

En 2017, @MarcoRubio accusait de corruption, le bureau de la #DEA en Haiti. Ce 11 janvier 2019, l’ex-commissaire de police Innocent Jean Edinord, dit recherché par la #DEA, a failli assassiner le président @MoiseJovenel. Pourtant, il travaillait ouvertement, durant tout ce temps, dans une firme de sécurité à Port-au-Prince qu’on attribue au Sénateur Youri Latortue. A quoi joue @USEmbassyHaiti, l’Ambassade des Etats-Unis en #Haiti?

S’agit-il d’une politique de double jeu de @USEmbassyHaitii?

On peut difficilement comprendre que tout le monde sait tout dans capitale haïtienne, sauf les représentants du président Donald Trump @realDonaldTrump.

N’est ce pas Bizarre?

De même, aujourd’hui, tout le monde est informé de ceux qui financent la violence pro-Maduro en #Haiti…. sauf l’Ambassade des États-Unis en #Haiti. @USEmbassyHaiti @StateDept
Pourtant, cette destruction de l’économie haitienne par ces oligarques mafieux, liés à la drogue, qui financent des politiciens anti-USA et pro-Maduro, risque de provoquer une crise humanitaire et migratoire sur la Floride. Y a t-il deux (2) politiques US🇺🇸 en #Haiti?


Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
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15 Février 2019

jeudi 14 février 2019

Le président @MoiseJovenel a eu une intervention correcte ce soir. Il lui reste à passer à l’action :

Le président @MoiseJovenel a eu une intervention correcte ce soir. Il lui reste à passer à l’action :

1- changer tous les chefs de Parquet timides ou complices qui refusent de lancer l’action publique contre les bandits;

2- un Bureau National d’Enquête pour investiguer tout......
enquête économique, politique ou sociale pour prévenir les crises, se renseigner sur les revendications du peuple et désamorcer les soulèvements par la négociation;
Ce Bureau aidera à enquêter sur l’exécution des ordres du président. Fini les « Tout va bien président»
Il faudra aussi enquêter sur le services fournis à la population, l’accueil: DGI, Immigration, Archives, Douane, EDH, circulation, etc

3- acheter des équipements blindés de transport des unités de la police #PNH dans les zones dangereuses.

4- les revendications des policiers.

5- se pencher sur les revendications des fonctionnaires.
N.B: Il n’y a pas de pouvoir fort sans renseignement, sans force de sécurité solide, sans fonction publique enthousiasmée.

6- combattre la contrebande et la corruption, toujours se renseigner sur les produits de base.

7- communiquer les contraintes du pouvoir: quels sont les difficultés rencontrées. Ce pouvoir refuse de le faire. Il préfère vanter l’action du président, faisant de lui un superman sans contrainte.
C’est normal que le peuple soit insatisfait; un magicien doit agir sans attendre.

8- il faut mobiliser le peuple. Plus de «Prezidan ap travay». Dans un pays à +70% de chômage, un slogan comme «Se travay nap travay» qui parle du travail de l’autre sans mettre en perspective les chomeurs ne passera pas. « Ansanm nap travay»!
Lisez le livre #NewPower
Sur ce point, comme nous l’avions proposé en février 2017, il faut penser à un ministère de l’emploi, une permanence sur le problème de l’emploi en #Haiti.

9- il faut divorcer avec cette tendance étatiste à tout promettre au peuple. #Haiti est un pays pauvre qui n’arrive même pas à couvrir ses frais de fonctionnement. Contentons nous de nettoyer, se sécuriser (promesse de police communale), de garantir le droit de propriété...

10- De créer un cadre atteignant pour attirer des investisseurs, le retour sécurisé de la diaspora, le cadastre, une bonne circulation routière. Ces réalisations sont capables de relancer l’économie.
La démagogie en #Haiti réside dans l’étatiste de gauche ou de droite.

11- L’État ne fera rien! Il n’en a pas les moyens! Même dans les pays riches, l’État ne peut pas tout faire. Alors, pourquoi faire croire au peuple haitien que l’État va résoudre ses problèmes? Cessons cette histoire!
Ça suffit pour aujourd’hui! Nous y reviendrons!

J’allais oublier.
12- Il faut soigner l’image du président @MoiseJovenel. Car, les videos d’1 chef d’État qui rend visite à un ami musicien, en pleine répétition, verre de whisky à la main, ne peuvent pas se retrouver sur les réseaux sociaux; surtout en ce contexte de vie chère.
Cette vidéo a fait plus de tort que les déclarations incendiaires de André Michel ou Moise Jean-Charles. On n’a pas rendu service au président, en publiant ces vidéos présentant un @MoiseJovenel jouisseur alors qu’il avait promis de travailler sans répit contre la faim.


Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
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14 Février 2019

Refus du PM Céant de démissionner; rapportez l’Arrêté de nomination.- #LeReCit


Suivant un Tweet du journaliste Jacqueline Charles  de Miami Herald, « Le PM vient de confirmer qu’il fait l’objet d’intenses pressions du Palais National pour remettre sa démission. Le PM affirme qu’il ne démissionnera pas.»

Si selon la Constitution haïtienne, le Président de la République ne peut pas nommer un Premier Ministre sans consulter les présidents des deux chambres, si ce dernier ne peut pas exercer sa fonction sans un vote du Parlement, il n’y a pas moyen pour un Premier Ministre de rester en poste sans l’accord du Chef de l’État.

D’ailleurs, depuis l’amendement de la Constitution en 2011, les premiers ministres sont installés avant même de se présenter devant le Parlement, sur simple arrêté présidentiel, après consultations des présidents des deux (2) chambres. 

Ainsi, il suffit au Chef de l’État de rapporter l’Arrêté nommant Monsieur Jean Henry Céant Premier Ministre, d’ouvrir des discussions avec les présidents des 2 chambres, pour que ce dernier se retrouve dans une impasse en termes de droit, de qualité ou d’habilité à exercer le pouvoir. Il pourrait même être poursuivi pour usurpation de titre.

Dans la conjoncture actuelle, il est clair que le #CSPN comme plus haute instance de sécurité publique d’#Haiti livre le pays aux politiciens violents qui détruisent, incendient et tuent, des méthodes terroristes, dans le but de réaliser un coup d’État, par des pressions et des intimidations sur la personne du Président constitutionnellement élu de la République. 

Or, selon l’article 136 de la Constitution, « Le Président de la République, Chef de l'Etat, veille au respect et à l'exécution de la Constitution et à la stabilité des institutions. Il assure le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’Etat. »

Si le Premier Ministre refuse d’assumer ses responsabilités, il est du devoir constitutionnel de Chef de l’État de rétablir le plein fonctionnement du CSPN, de protéger la sécurité publique et l’intégrité du territoire national.

Toutefois, par sagesse démocratique, il serait mieux de le sommer formellement d’assumer ses responsabilités.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
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14 Février 2019