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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978)
Martelly ne doit pas compter sur la Minustah pour mettre en place une nouvelle force publique
Seul le conseil de sécurité de l'ONU peut décider sur la participation ou de la Minustah à la mise en place d'une nouvelle force publique en Haïti. C'est ce qu'affirme le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU en Haïti.
Le diplomate chilien a toutefois fait remarquer que le dossier des forces armées d'Haïti ne sera pas soulevé lors de la prochaine réunion du conseil de sécurité, de l'Organisation mondiale.
« j'ai présenté au Conseil les recommandations du rapport du Secrétaire général, et qu'il n'y avait aucune référence à des forces armées haïtiennes dans ce document qui date du mois d'aout », affirme, le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU en Haïti.
Il précise que la décision que va prendre le Conseil ces prochains jours ne considère pas cette question d'armée parce qu'elle n'était pas à l'agenda. Mais s'il y des choses qui se produisent qui doivent être portées à l'attention du Conseil de sécurité, s'il y a par exemple des avancées importantes, des accords politiques, que toutes les institutions fonctionnent très vite, quoi que ce soit qui puisse demander que le Conseil se réunisse, une réunion peut être convoquée pour examiner une nouvelle situation. Dans moins de trois jours le conseil de sécurité des Nations Unies doit statuer sur le mandat de la mission arrivé à terme le 15 octobre prochain. Entretemps certains secteurs réclament vivement le départ immédiat de la mission du pays, alors que d'autres en souhaitent, un retrait progressif comme cela est envisagé par certains pays contributeurs. EJ/Radio Métropole Haïti
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