Plusieurs
membres du MOPOD, de l'Initiative Citoyenne, et des militants Lavalas
ont été remarqués le mardi 10 juin dernier devant les Bureaux de la
Police et du Tribunal civil de la ville du Cap-Haitien dans le but de
pressurer la autorités judiciaires afin d'obtenir la libération de M.
Evens François alias Ti-Toro, accusé de viol sur une jeune fille de 16
ans.
M. Evens François (39 ans) (Ti-Toro), déporté par l'Administration Américaine pour détournement de mineure suivi de viol et M. Roosevelt Jacques (31 ans) ont contraint la jeune fille de 16 ans à l'acte sexuel. Après le forfait, la jeune fille a eu l'idée juste d'aller porter plainte au commissariat de police du Cap-Haitien. La BPM (Brigade de Protection des Mineurs) et la DCPJ (Direction Centrale de la Police Judiciaire) ont enquêté et procédé à l'arrestation des deux présumés bandits, qui selon des témoignages, ne sont pas à leur premier coup d'essai, deux récidivistes notoires.
Suite aux pressions des militants du MOPOD, de l'Initiative Citoyenne, et des militants Lavalas, le Commissaire corrompu Josthène Lazare, Substitut au Parquet de Cap-Haitien, a accepté de libérer illégalement les deux présumés violeurs, en échange d'une somme d'argent estimée à 500 mille gourdes.
Aujourd'hui, dans la 2eme ville du pays, ces militants du MOPOD/I.C./LAVALAS toujours promptes à présenter leur mouvement comme une alternative font pression sur la victime et multiplient des démarches auprès des journalistes pour que l'affaire soit banalisée et passée sous silence.
Cyrus Sibert, RéseauCitadelle,
Cap-Haitien, Haïti
16 juin 2014
M. Evens François (39 ans) (Ti-Toro), déporté par l'Administration Américaine pour détournement de mineure suivi de viol et M. Roosevelt Jacques (31 ans) ont contraint la jeune fille de 16 ans à l'acte sexuel. Après le forfait, la jeune fille a eu l'idée juste d'aller porter plainte au commissariat de police du Cap-Haitien. La BPM (Brigade de Protection des Mineurs) et la DCPJ (Direction Centrale de la Police Judiciaire) ont enquêté et procédé à l'arrestation des deux présumés bandits, qui selon des témoignages, ne sont pas à leur premier coup d'essai, deux récidivistes notoires.
Suite aux pressions des militants du MOPOD, de l'Initiative Citoyenne, et des militants Lavalas, le Commissaire corrompu Josthène Lazare, Substitut au Parquet de Cap-Haitien, a accepté de libérer illégalement les deux présumés violeurs, en échange d'une somme d'argent estimée à 500 mille gourdes.
Aujourd'hui, dans la 2eme ville du pays, ces militants du MOPOD/I.C./LAVALAS toujours promptes à présenter leur mouvement comme une alternative font pression sur la victime et multiplient des démarches auprès des journalistes pour que l'affaire soit banalisée et passée sous silence.
Cyrus Sibert, RéseauCitadelle,
Cap-Haitien, Haïti
16 juin 2014
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire