jeudi 28 janvier 2021

Unicef prise en flagrant délit de désinformation sur la violence terroriste en Haïti.-

Trois écolières changent leurs vêtements pour ne pas de faire repérer
par des militants de l’opposition radicale.  

Contre l'Hypocrisie complice du système des Nations Unies @UN en #Haïti !


La désinformation peut-être aggravante ou atténuante. Dans un communiqué publié ce 28 janvier 2021, l’@UNICEFHaiti dit déplorer "l’insécurité qui met en danger la vie des enfants sur le chemin de l’école, alors qu’ils savent pertinemment qu’il s’agit d’une stratégie terroriste mise en œuvre par l’opposition, à l’instar de #BokoHaram, pour paralyser le pays, fermer les écoles et contraindre les citoyens à se révolter contre le pouvoir, jusqu’au coup d’État recherché. 


Ce n’est un secret pour personne, les responsables de cette opération le disent clairement sur les médias et les réseaux sociaux. Donc, toutes les personnes qui travaillent en Haïti sont au courant. Personne ne peut prétexter cause d’ignorance.


En effet, depuis 2017, des extrémistes de l’opposition menacent ouvertement de s’en prendre aux écoliers. Ils l’ont dit et répété sur les médias, lors des manifestations. Comme promis, des individus à motocyclettes ont attaqué plusieurs établissements scolaires, déchiré les vêtements des écoliers, ce qui a forcé d’autres écoliers à se déguiser pour rejoindre leur centre d’examens, sans attirer l’attention des terroristes.


Face à ces violences de nature terroriste, les organisations du système international en #Haïti n’ont jamais condamné ce genre de pratiques, ni appelé l’opposition à respecter les règles du jeu démocratique sous peine de sanction.


Cela prouve le degré de pénétration du racisme dans le système international. Car, le 6 janvier dernier tout le monde a observé la réaction unanime de cette communauté contre les agissements des supporters de #Trump qui ont mis en péril la démocratique américaine. 


Pourtant, sur le cas d’#Haïti c’est un mutisme total…et même complice. Un silence synonyme de permission de terroriser la population.


Ce communiqué de l’@UNICEFHaiti @UNICEF publié ce 28 janvier 2020 n’est autre que de la désinformation. Une tentative d'atténuer les actes terroristes en les qualifiant d'insécurité. Un lecteur qui se place au bout du monde, loin de la réalité haïtienne peut l’interpréter comme une insécurité sur le (banditisme violence de droits communs. ????) Une note encourageante pour cette opposition qui refuse d’aller d’entendre parler d'élection, dans sa stratégie terroriste contre la population haïtienne. Ce faisant, l’@UNICEF supporte des pratiques terroristes contre des enfants haïtiens.


La nation haïtienne est habituée au double standard de la communauté internationale. Car, au début du 19e siècle, alors que les occidentaux glorifiaient les "droits de l’homme et du citoyen", ils voulaient rétablir l’esclavage en Haïti et dans la caraïbe. Ce qui est inacceptable ailleurs est toujours bon pour les haïtiens.


Donc, la vérité que cachent les représentants de la Communauté souvent trop liés aux représentants de la bourgeoisie locale qui les invitent à la plage, dans des restaurants, dans leurs villages et ….., les écoliers haïtiens sont pris pour cibles par un mouvement insurrectionnel qui utilise des techniques terroristes. Grâce au silence complice de l’international qui n’a jamais condamné ces pratiques ni utilisé ses leviers diplomatiques pour contraindre les auteurs à respecter les règles du jeu démocratique, ce genre d’actes terroristes se multiplient en Haïti.


Alors que les écoliers ont décidé cette semaine de manifester devant l’Ambassade des États-Unis, les missionnaires de l’ONU se sentant embarrassés, ils sont obligés de réagir par un communiqué réducteur qui cache au monde la scandaleuse vérité : En Haïti, l’opposition politique se livre à des pratiques terroristes de type #BokoHaram.


Mesdames et messieurs, vous avez du sang sur les mains!


Cyrus Sibert,

#LeReCit @reseaucitadelle

reseaucitadelle@yahoo.fr

28 janvier 2021

WhatsApp : + 509 3686 9669

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