mardi 2 octobre 2012

La raison populaire un outil politique qui défie les déstabilisateurs

La raison populaire un outil politique
qui défie les déstabilisateurs

L'échec de la manifestation du dimanche et la marée humaine qui accompagnait le président Martelly de l'aéroport au palais est un signe évident que la nation haïtienne dans toute ses composantes est en avance sur la classe politique qui  traine encore les approches politiques qui ne font plus recette en 2012.

Cette opposition fait la surenchère en tout et sur tout. Elle fait une propagande que les politiques savait faire pendant la deuxième guerre mondiale à savoir le « début c'est déjà la fin ». Le peuple avec tout son lot de tracas, ne cède pas à la sirène du découchage et préfère à vaquer librement à ses petites occupations de survivance. La population dans son désarroi  le plus profond est lucide et entend divorcer avec la méthode de la chair à canon. La leçon de cette sagesse politique doit porter tout un chacun à comprendre la dynamique politique sur les vrais enjeux des populations.

Nous avons en mémoire les diverses allégations avancées par les opposants au Martellisme qui est une force idéologique montante en ce qu'il charrie   comme obligation de résultat, dynamisme agissant, la transparence dans les affaires de l'Etat. Cette masse critique qui est en train de construire à l'intérieur du peuple inquiète les immobilistes. Le rythme politique imprimé par le président Martelly laisse tous les compétiteurs dans une autodéstabilisation parce qu'ils sentent venir leur retraite politique définitive.

Nous disons que tout domaine de la vie sociale comme la politique a ces principes encore que la politique haïtienne a des spécificités à elle-même. Donc, il est de bon sens que ces acteurs politiques aillent dans la direction de la modernité politique versus construction des institutions publiques.

Nous craignons dans cette confusion le manque d'intérêt pour la stabilisation politique d'Haïti dans les Caraïbes et toute l'Amérique Latine. Le peuple haïtien ne veut plus faire les frais d'une certaine presse internationale anti-Haïti, anticipe avec maturité les offres de désordres et de
troubles politiques des Moise Jean Charles, Paul Denis et les autres suiveurs.

Le message est clair, le divorce du peuple avec les vieilles méthodes est commencé. Maintenant, la nation haïtienne veut penser son avenir et son pays.  Messieurs, mesdames  les opposants, Prenez garde de ne pas être  à cote de la marche de l'histoire. 

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