mardi 24 juin 2014

Ala Pay! Haiti-CEP : Après Radio Vision 2000 ( Léopold Berlanger), Radio kiskeya (Carole Jacob).-

(Carole Jacob, la soeur de Lilianne Pierre-Paul et Belle-soeur de Antony Barbier du MOPOD, une nouvelle source de controverse.)

La situation politique en Haïti se confirme de jour en jour dans une sorte d'immobilisme calculé, une spirale intelligemment soignée qui mine toutes les bases de notre démocratie en gestation. On dirait, chaque pion damé consiste à créer beaucoup plus de controverses en vue d'aboutir à la non tenue des élections à une échéance raisonnable pour éviter la caducité du Parlement.

D'aucuns parlent de la théorie du chaos perfectionnée par la classe politique en Haïti. Avant j'observais avec un air amusé, d'autant plus que le jeu avait l'air marrant. Mais soudainement, je me sens concerné. Est-ce qu'il y a quelque part un laboratoire de fabrication de crises à fournir cette idée quatre las? Carole Jacob pour rejoindre Me Néhémie Joseph, Monsieur Berlanger et Max Mathurin.

Carole Jacob, Anthony Barbier sur une même liste de quatre (4) personnes qu'auraient proposées les Sénateurs au CSPJ, lors des différentes rencontres de négociations post El Rancho pour intégrer le CEP. 

Affaibli par un matraquage visant à lui faire passer pour une super marionnette dans l'opinion publique, Me Arnel Alexis Joseph aurait cédé et accepte de liquider l'un des membres que le CSPJ avait choisi pour faciliter l'entrée dans l'arène de Carole Jacob ; qui n'est autre que la belle sœur de l'autre (Anthony Barbier), mari de Lilianne Pierre-Paul. Lilianne qui a su pendant des années garder une certaine distance tant par rapport aux pouvoirs que par rapport aux politiciens deviendrait-elle subitement, une actrice de la crise, un élément du problème. Car ici, personne n'est innocent dira-t-on.

En devenant, si on est honnête, un élément identifié du problème, elle trimballe avec elle, la station indépendante, Radio Kiskeya, dont elle est copropriétaire. Elle trimballe avec elle l'ANMH dont elle est la Présidence actuelle. Que Dieu nous en préserve !

Mais mon intérêt va encore plus loin. Anthony Barbier s'identifie depuis quelques temps avec le MOPOD et demeure l'un des rares intellectuels de son rang à flirter de si près avec l'anarchie lavalasienne qu'il a pourtant dénoncé dans le temps au sein d'un mouvement de 184 vents. Il a vu des casses de pare-brises, il a inhalé du gaz ces derniers jours, il a crié fò l ale hier et aujourd'hui. Il a rejoint le MOPOD. Il a raté une entrée au CEP par le CSPJ. A défaut de lui, une belle sœur. MOPOD, mais ce regroupement s'est toujours prononcé contre la tenue des élections. Est-ce un signe de répit ? Il y a matière à réflexion.

Les jours s'égrènent si vite. Dans un temps, le Président du Sénat avait proposé un recul du temps à 1987 pour un conseil inspiré. Puis vint la démarche 4 las contre 5 coeurs. Aujourd'hui l'entrée dans l'arène de Carole Jacob, sœur de Lilianne, belle-sœur d'Anthony Barbier semble ne pas se faire pour faciliter les choses. Car déjà le pouvoir crie à la provocation pure et simple. Bonjour la controverse et les jurons. Moi je dirais une autre bombe à retardement avec des ramifications assez complexes qui vont attiser encore les passions.

Avant j'observais et tout cela était amusant. Maintenant je me sens concerné car soudainement, je me rends compte qu'au fur et à mesure que le temps passe, les problèmes de ce pays augmentent, la misère prend place comme un virus dans les veines, sous nos yeux. Est-ce vrai demanderait Sister M à Eddy François qu'on est pris dans le sèp ?

HJJ
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!

"You can fool some people sometimes, 

But you can't fool all the people all the time."
 (

Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.

) dixit Abraham Lincoln.

dimanche 22 juin 2014

Extradition par l’Argentine d’un témoin-clé dans l’affaire Jean Domnique / Jean Claude Louissaint.-


Le nommé Philippe Markenton dont le nom a été maintes fois cité dans le dossier Jean Dominique/ Jean Claude Louissaint, a été rapatrié samedi après-midi d’Argentine où il s’était réfugié depuis plusieurs années, à bord d’un vol de la ligne aérienne panaméenne Copa.

Des membres de la Direction centrale de police judiciaire (DCPJ) avaient été dépêchés en Argentine pour escorter Markenton de Buenos Aires à Port-au-Prince où il est désormais à la disposition de la justice.
Markenton faisait l’objet d’un mandat international et, de ce fait, était activement recherché par Interpol, aprrend-on de sources judiciaires. Les recherches allaient s’intensifier après le rapport à la Cour d’Appel de Port-au-Prince du juge instructeur Ivickel Dabrézil sur l’état d’avancement du dossier et les inculpations éventuelles, dont celles de proches de l’ancien président Jean-Bertrand Aristide. Ce dernier est lui-même implicitement visé dans le rapport qui fait référence au témoignage de son ancien chef de sécurité, Oriel Jean, selon qui il aurait instruit la sénatrice Mirlande Libérus de régler son compte à Jean Dominique. Les avocats de Mme Libérus ont interjeté appel contre le rapport.
Les premières instructions du dossier de l’assassinat de Jean Dominique et de Jean Claude Louissaint le 3 avril 2000 à Radio Haiti, avaient mis en cause Philippe Markenton pour l’ensemble des informations qu’il disposait sur le double meurtre, ce qui avait laissé croire qu’il ne pouvait en être tout à fait étranger. La police judiciaire aurait à l’époque manifesté un certain intérêt pour lui à l’instigation d’une ambassade étrangère qui l’utilisait comme informateur et à qui il aurait fourni un luxe de détails sur le double assassinat.
De nombreux autres présumés témoins de l’assassinat de Jean Dominique ont mystérieusement disparu ou ont trouvé la mort dans des circonstances qui n’ont jamais encore été élucidées. On ignore quelles dispositions spéciales ont été prises à la DCPJ en vue de garantir la sécurité de Markenton.
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Haïti/Diffamation :ToutHaïti condamné à payer 4 millions de dollars à la compagnie Vorbes et Fils.-


Jun 21, 2014 Posted by  In ActualitéshotNationalesnews Comments 0
touthaiti
Edens Debas et Patrick Morisseau du journal en ligne ToutHaïti ont été condamnés pour diffamation dans l'affaire les opposant à la compagnie Vorbes et Fils, à cause d'un article mensonger publié, accusant cette compagnie spécialisée dans la construction de soudoyer les autorités gouvernementales  pour obtenir des contrats.

Ils prétendaient que les autorités haïtiennes recevaient 150 mille dollars américains  par KM de route, de ladite compagnie. Ils devront verser le montant de 4 millions de dollars  en dommages et intérêts pour les torts causés à Vorbes et Fils.

Le jugement s'est tenu dans un tribunal de Miami. Selon une source proche de la Famille Vorbes qui requiert l'anonymat, M. Jean Marie Vorbes et la compagnie Vorbes et Fils ont intenté cette action en Justice aux États-Unis, à cause de la faiblesse accélérée de la justice haïtienne, mais également pour éviter toute politisation de l'affaire qui aurait pu empêcher à la justice de suivre son court.

Cette source poursuit qu'" aux USA, les droits de tous sont garantis, que vous soyez riche ou pauvre. Vous avez des droits!"

 Cette décision devrait interpeller les journalistes et autres travailleurs de la presse, notamment en ce qui a trait au respect des principes déontologiques qui gouvernent le fonctionnement de ce corps de métier.  Nous avons tenté d'entrer en contact avec la rédaction de ToutHaïti, mais ce fut sans succès, Directeinfo reste ouvert pour toute réaction et/ou informations supplémentaires des responsables de ce journal en ligne.

Directeinfo a par ailleurs déjà publié plusieurs articles sur ce dossier, en voici les liens d'accès:
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lundi 16 juin 2014

Cap-Haitien - Viol : Le MOPOD et l'Initiative Citoyenne ont pressuré la justice en faveur d'un violeur. (Texte de Cyrus Sibert)

Le MOPOD et de l'Initiative Citoyenne ont pressuré la justice capoise en faveur d'un violeur.

Plusieurs membres du MOPOD, de l'Initiative Citoyenne, et des militants Lavalas ont été remarqués le mardi 10 juin dernier devant les Bureaux de la Police et du Tribunal civil de la ville du Cap-Haitien dans le but de pressurer la autorités judiciaires afin d'obtenir la libération de M. Evens François alias Ti-Toro, accusé de viol sur une jeune fille de 16 ans.

M. Evens François (39 ans) (Ti-Toro), déporté par l'Administration Américaine pour détournement de mineure suivi de viol et M. Roosevelt Jacques (31 ans) ont contraint la jeune fille de 16 ans à l'acte sexuel. Après le forfait, la jeune fille a eu l'idée juste d'aller porter plainte au commissariat de police du Cap-Haitien. La BPM (Brigade de Protection des Mineurs) et la DCPJ (Direction Centrale de la Police Judiciaire) ont enquêté et procédé à l'arrestation des deux présumés bandits, qui selon des témoignages, ne sont pas à leur premier coup d'essai, deux récidivistes notoires.

Suite aux pressions des militants du MOPOD, de l'Initiative Citoyenne, et des militants Lavalas, le Commissaire corrompu Josthène Lazare, Substitut au Parquet de Cap-Haitien, a accepté de libérer illégalement les deux présumés violeurs, en échange d'une somme d'argent estimée à 500 mille gourdes.

Aujourd'hui, dans la 2eme ville du pays, ces militants du MOPOD/I.C./LAVALAS toujours promptes à présenter leur mouvement comme une alternative font pression sur la victime et multiplient des démarches auprès des journalistes pour que l'affaire soit banalisée et passée sous silence.

Cyrus Sibert, RéseauCitadelle,
Cap-Haitien, Haïti
16 juin 2014

Evans Francois alyas Ti-Roro ak Roosevelt: 2 kadejakè ki vyole Timoun nan Okap.-

Me koman yo rele kadejakè yo ki vyole jenn tifi 16 lane nan Okap se: Roosevelt Jacques ak Evans Francois alyas Ti-Toro. 2 mesye sa yo guen abitid vyole timoun nan ri 13. Lajistis Etatzini depote Ti-Toro paske lapolis te bare li ap fè bagay ak Timoun piti nan machin. Nèg sa yo panse nou pral aksepe yo ap vyole timoun Okap san nou pa di anyen.
__,_.


dimanche 15 juin 2014

Ti moun 16 lane Ti-Toro vyole a, eske se chyen li ye, eske li pa moun?.--

Se ak anpil tristès nap gade papa pitit, politisyen ak kandida kap fè demach pou Ti-Toro, yon depote kadejakè, ki vyole yon tifi 16 lane.

La jistis vil Okap ap plede libere kadejakè pou lajan.

Anpil moun ap kritike lajistis Okap paske komisè Lazare libere pou lajan, Ti-Toro, yon depote, kadejakè, ki vyole yon ti fi 16 zan.


__._,_.___
.

La jistis vil Okap ap plede libere kadejakè pou lajan.-

Anpil moun ap kritike lajistis Okap paske komisè Lazare libere pou lajan, Ti-Toro, yon depote, kadejakè, ki vyole yon ti fi 16 zan.
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vendredi 13 juin 2014

Le Gouvernement salue le rapport du Brides sur la proportion de femmes dans les postes de décision



Port-au-Prince, le vendredi 13 juin 2014.- Le Gouvernement de la République s'est félicité des résultats du rapport de la firme de sondage Brides, relevant, sous l'administration Martelly et le Gouvernement Lamothe, 30.71% de femmes occupant des postes de décisions dans l'administration publique.Cette proportion de femmes dans les postes de décision est le résultat de la politique du Gouvernement mise en œuvre, à travers le ministère à la Condition féminine et aux Droits des Femmes et le bureau de la ministre déléguée chargée des droits de l'homme et de la lutte contre la pauvreté extrême, pour l'égalité entre les hommes et les femmes, l'égalité professionnelle, la lutte contre les violences faites aux femmes.

Tout en saluant ce rapport, le Gouvernement réitère sa volonté de continuer à garantir les droits des femmes et de les accroître à tous les niveaux pour l'émergence d'une société plus juste, égalitaire, basée sur les valeurs républicaines.

Bureau de communication
de la Primature

Le Gouvernement salue le rapport du Brides sur la proportion de femmes dans les postes de décision


Port-au-Prince, le vendredi 13 juin 2014.- Le Gouvernement de la République s'est félicité des résultats du rapport de la firme de sondage Brides, relevant, sous l'administration Martelly et le Gouvernement Lamothe, 30.71% de femmes occupant des postes de décisions dans l'administration publique.Cette proportion de femmes dans les postes de décision est le résultat de la politique du Gouvernement mise en œuvre, à travers le ministère à la Condition féminine et aux Droits des Femmes et le bureau de la ministre déléguée chargée des droits de l'homme et de la lutte contre la pauvreté extrême, pour l'égalité entre les hommes et les femmes, l'égalité professionnelle, la lutte contre les violences faites aux femmes.

Tout en saluant ce rapport, le Gouvernement réitère sa volonté de continuer à garantir les droits des femmes et de les accroître à tous les niveaux pour l'émergence d'une société plus juste, égalitaire, basée sur les valeurs républicaines.

Bureau de communication
de la Primature

On tente d'évincer le meilleur Directeur Départemental du Nord : ROMMEL PIERROT.-

Rommel Pierrot qui fait un travail extraordinaire est en difficulté avec le clan Altéon pour avoir refusé de renouveler illégalement l'assurance d'un véhicule du Palais National à la demande de Yvon Alteon.

La loi ayant recommandée que les véhicules du Palais National soient immatriculés par l'Administration du Palais National, non par un particulier, le Directeur de l'OAVCT dans le Nord a refusé.

Comme promis, ce vendredi, un jeune homme est arrivé avec une lettre de nomination pour être installé comme Directeur de l'OAVCT Nord en remplacement de Rommel Pierrot.

Dezod sa yo pap bon pou Pouvwa TET KALE a.

Car, Rommel Pierrot est connu comme un homme intègre, discipliné qui fait fonctionner l'OAVCT Nord avec transparence et efficacité.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
13 juin 2014
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Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
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Lavalas risque de démobiliser les policiers de la PNH.- (Texte de Cyrus Sibert)

 Photo : Comme les FADH, la PNH est menacée par les anarco-populistes Lavalas.- (Texte de Cyrus Sibert)  La nouvelle stratégie des anarcho-populistes consiste à provoquer la Police Nationale d'Haïti. En moins d'un mois, des chefs de file, extrémistes de l'opposition, se sont comportés en agresseurs face à des policiers en service. Le 8 mai 2014, le Sénateur Moise Jean-Charles circulant à bord d'une voiture de location s'est interposé contre un contrôle de routine des policiers affectés à Gressier, sur la route de Léogane, provoquant ainsi une confusion qu'il allait ensuite exploiter en accusant la PNH de tentative d'assassinat sur sa personne. A l'Arcahaïe, le 30 mai dernier, la réaction défensive d'un agent de l'APENA, paniqué face à une foule déterminée à envahir l'espace pénitentiaire, a été une occasion supplémentaire pour les politiciens de mettre l'institution policière sur le banc des accusés. Après avoir saccagé le Tribunal de Paix de la localité, des partisans Lavalas, regroupés au sein du  FOPAK, exprimaient leurs désirs ardents de lyncher des policiers. Ils scandaient entre autres: « Si polisye tounen makout, nap boule yo ». Un comportement criminel déjà expérimenté contre des agents de la Police haïtienne lors de la guérilla urbaine lancée pour forcer la communauté internationale à ramener le Leader du Parti Lavalas de son exil en Afrique du Sud. On ne saurait oublier des dizaines de jeunes policiers lynchés dans des quartiers populaires de la capitale durant l'opération Bagdad.  Naturellement, les anarchistes n'aiment pas les forces de l'ordre. Ce n'est pas par hasard que les Forces Armées d'Haïti (FADH) ont été démobilisées sous la présidence de Jean-Bertrand Aristide. Nombreux sont les indices prouvant l'impossibilité de cohabitation entre Anarcho-populistes et des forces publiques efficaces et opérationnelles.  1- Le programme de formation accélérée de policiers haïtiens par des instructeurs américains dans des bases aux Etats-Unis a été combattu avec acharnement par l'ex-président Jean-Bertrand Aristide et les barons du régime Lavalas. Certains des policiers formés à Missouri ont été maltraités à leur retour. Face au refus de coopération des autorités haïtiennes, l'administration Clinton n'a eu d'autre choix que de suspendre le programme.  2- Les policiers de la première Compagnie SWAT vous diront que la première décision de M. Aristide, dès son retour au Palais National en 2001, fut la destruction des fourgons blindés octroyés par les Etats-Unis. Ces équipements qui représentaient un atout pour cette unité de la Police furent détruits au Palais National. M. Aristide et ses conseillers Lavalas avaient peur de cette unité surentrainée par des experts américains. Aujourd'hui, la majorité de ces jeunes ont pris refuge aux Etats-Unis où leur niveau de formation leur permet de travailler dans des entreprises privées de sécurité.  3- Lavalas au pouvoir a toujours œuvré pour maintenir la PNH dans une situation d'incapacité opérationnelle. Alors que dans le store de Dany Toussaint, les matériels existaient en abondance, les policiers déployés sur le terrain n'ont jamais eu les équipements indispensables à leur protection. Des équipements fournis en don par les Etats-Unis ont été détournés au profit des groupes de fanatiques et/ou des maisons de commerce appartenant à des personnalités liées à M. Aristide. C'est le cas d'un stock de Radios de Communication GPS, évalué à 6 millions de dollars US, qui n'a jamais été distribué aux agents de la PNH. Alors que des gangs circulaient avec des fusils d'assaut ou des armes de poing sophistiquées, l'agent de la PNH n'avait qu'un revolver avec un magasin de 6 balles et sans réserve.  4- Le salaire des policiers sous le régime Lavalas était un scandale : 4,000 gourdes. C'était difficile d'instaurer une chaine de commandement viable, car souvent un criminel à la solde de M. Aristide avait le droit de se rendre dans un commissariat pour commander directement des policiers en poste. Dans le Nord d'Haïti, un agent 2 fut placé Directeur Départemental de la Police. Un jour après avoir été installée comme Directrice Départementale de la Police dans le Nord-Est, une juge fut promue Directrice Générale de la Police.  Bref, Lavalas n'a jamais fait confiance aux agents de la force publique. Il s'est toujours efforcé à créer des situations révoltantes pour rappeler au policier qu'il est inférieur aux chimères, aux bandits Lavalas, et même aux agents les moins gradés mais proches de M. Aristide. L'assassinat de Marie Christine Jeune, l'installation du Policier Chili - Agent 2 - à la tête de la Direction Départementale Nord de la Police, et la nomination d'une juge comme Directrice Générale de la Police Nationale sont des preuves établissant la vision Lavalassienne de la Police Nationale d'Haïti.  L'une des critiques des Lavalassiens consiste à dénoncer la militarisation de la Police Nationale d'Haïti. Le renforcement de cette institution ayant été fait sur la base de concours donc hors des mécanismes de contrôle des réseaux Lavalas, l'institution policière est mal vue par M. Aristide et ses alliés anarcho-populistes. Si ces hommes arrivent à accéder au pouvoir, l'avenir des milliers de jeunes qui ont choisi de servir leur pays comme policiers risque d'être similaire à celui des militaires démobilisés.  On n'a qu'à regarder le passé du régime Lavalas, l'idéologie anarcho-populiste de ce mouvement, l'incompatibilité entre les pratiques Lavalassiennes et l'ordre public, y compris cette phobie de voir un Coup-d'Etat partout. En effet, seuls des hommes et des femmes qui croient dans un Etat de droit, dans l'ordre et la discipline représentent une garantie pour l'existence de la Police haïtienne. Avec les anarcho-populistes, la PNH risque de finir comme les FADH. Les harcèlements répétés des leaders politiques proches de M. Aristide, suivis de condamnations d'organisations de droits humains montées de toutes pièces par des amis de M. Aristide sont des signes avant-coureurs à prendre au sérieux.  Faut-il rappeler ce paragraphe dans le bilan du Premier Ministre Lamothe sur les 6 mois de Gouvernance pour l'année 2014: « Des dispositions ont ...été prises pour renforcer la PNH. 83 Pick Up pour les opérations de terrain, 6 camions blindés pour les unités spéciales, 5 bus pour le transport des troupes et 5 camions anti-émeutes, ainsi que 102 motos dont 22 pour l'unité BIM, 3 camions pour le transport UDMO et CIMO et 5 bateaux pour les gardes côtes ont été distribués aux forces de l'ordre. »  Cyrus Sibert, RéseauCitadelle, Cap-Haitien, Haïti 12 juin 2014


Comme les FADH, la PNH est menacée par les anarco-populistes Lavalas.- 

La nouvelle stratégie des anarcho-populistes consiste à provoquer la Police Nationale d'Haïti. En moins d'un mois, des chefs de file, extrémistes de l'opposition, se sont comportés en agresseurs face à des policiers en service. Le 8 mai 2014, le Sénateur Moise Jean-Charles circulant à bord d'une voiture de location s'est interposé contre un contrôle de routine des policiers affectés à Gressier, sur la route de Léogane, provoquant ainsi une confusion qu'il allait ensuite exploiter en accusant la PNH de tentative d'assassinat sur sa personne. A l'Arcahaïe, le 30 mai dernier, la réaction défensive d'un agent de l'APENA, paniqué face à une foule déterminée à envahir l'espace pénitentiaire, a été une occasion supplémentaire pour les politiciens de mettre l'institution policière sur le banc des accusés. Après avoir saccagé le Tribunal de Paix de la localité, des partisans Lavalas, regroupés au sein du FOPAK, exprimaient leurs désirs ardents de lyncher des policiers. Ils scandaient entre autres: « Si polisye tounen makout, nap boule yo ». Un comportement criminel déjà expérimenté contre des agents de la Police haïtienne lors de la guérilla urbaine lancée pour forcer la communauté internationale à ramener le Leader du Parti Lavalas de son exil en Afrique du Sud. On ne saurait oublier des dizaines de jeunes policiers lynchés dans des quartiers populaires de la capitale durant l'opération Bagdad.

Naturellement, les anarchistes n'aiment pas les forces de l'ordre. Ce n'est pas par hasard que les Forces Armées d'Haïti (FADH) ont été démobilisées sous la présidence de Jean-Bertrand Aristide. Nombreux sont les indices prouvant l'impossibilité de cohabitation entre Anarcho-populistes et des forces publiques efficaces et opérationnelles.

1- Le programme de formation accélérée de policiers haïtiens par des instructeurs américains dans des bases aux Etats-Unis a été combattu avec acharnement par l'ex-président Jean-Bertrand Aristide et les barons du régime Lavalas. Certains des policiers formés à Missouri ont été maltraités à leur retour. Face au refus de coopération des autorités haïtiennes, l'administration Clinton n'a eu d'autre choix que de suspendre le programme.

2- Les policiers de la première Compagnie SWAT vous diront que la première décision de M. Aristide, dès son retour au Palais National en 2001, fut la destruction des fourgons blindés octroyés par les Etats-Unis. Ces équipements qui représentaient un atout pour cette unité de la Police furent détruits au Palais National. M. Aristide et ses conseillers Lavalas avaient peur de cette unité surentrainée par des experts américains. Aujourd'hui, la majorité de ces jeunes ont pris refuge aux Etats-Unis où leur niveau de formation leur permet de travailler dans des entreprises privées de sécurité.

3- Lavalas au pouvoir a toujours œuvré pour maintenir la PNH dans une situation d'incapacité opérationnelle. Alors que dans le store de Dany Toussaint, les matériels existaient en abondance, les policiers déployés sur le terrain n'ont jamais eu les équipements indispensables à leur protection. Des équipements fournis en don par les Etats-Unis ont été détournés au profit des groupes de fanatiques et/ou des maisons de commerce appartenant à des personnalités liées à M. Aristide. C'est le cas d'un stock de Radios de Communication GPS, évalué à 6 millions de dollars US, qui n'a jamais été distribué aux agents de la PNH. Alors que des gangs circulaient avec des fusils d'assaut ou des armes de poing sophistiquées, l'agent de la PNH n'avait qu'un revolver avec un magasin de 6 balles et sans réserve.

4- Le salaire des policiers sous le régime Lavalas était un scandale : 4,000 gourdes. C'était difficile d'instaurer une chaine de commandement viable, car souvent un criminel à la solde de M. Aristide avait le droit de se rendre dans un commissariat pour commander directement des policiers en poste. Dans le Nord d'Haïti, un agent 2 fut placé Directeur Départemental de la Police. Un jour après avoir été installée comme Directrice Départementale de la Police dans le Nord-Est, une juge fut promue Directrice Générale de la Police.

Bref, Lavalas n'a jamais fait confiance aux agents de la force publique. Il s'est toujours efforcé à créer des situations révoltantes pour rappeler au policier qu'il est inférieur aux chimères, aux bandits Lavalas, et même aux agents les moins gradés mais proches de M. Aristide. L'assassinat de Marie Christine Jeune, l'installation du Policier Chili - Agent 2 - à la tête de la Direction Départementale Nord de la Police, et la nomination d'une juge comme Directrice Générale de la Police Nationale sont des preuves établissant la vision Lavalassienne de la Police Nationale d'Haïti.

L'une des critiques des Lavalassiens consiste à dénoncer la militarisation de la Police Nationale d'Haïti. Le renforcement de cette institution ayant été fait sur la base de concours donc hors des mécanismes de contrôle des réseaux Lavalas, l'institution policière est mal vue par M. Aristide et ses alliés anarcho-populistes. Si ces hommes arrivent à accéder au pouvoir, l'avenir des milliers de jeunes qui ont choisi de servir leur pays comme policiers risque d'être similaire à celui des militaires démobilisés.

On n'a qu'à regarder le passé du régime Lavalas, l'idéologie anarcho-populiste de ce mouvement, l'incompatibilité entre les pratiques Lavalassiennes et l'ordre public, y compris cette phobie de voir un Coup-d'Etat partout. En effet, seuls des hommes et des femmes qui croient dans un Etat de droit, dans l'ordre et la discipline représentent une garantie pour l'existence de la Police haïtienne. Avec les anarcho-populistes, la PNH risque de finir comme les FADH. Les harcèlements répétés des leaders politiques proches de M. Aristide, suivis de condamnations d'organisations de droits humains montées de toutes pièces par des amis de M. Aristide sont des signes avant-coureurs à prendre au sérieux.

Faut-il rappeler ce paragraphe dans le bilan du Premier Ministre Lamothe sur les 6 mois de Gouvernance pour l'année 2014:
« Des dispositions ont ...été prises pour renforcer la PNH. 83 Pick Up pour les opérations de terrain, 6 camions blindés pour les unités spéciales, 5 bus pour le transport des troupes et 5 camions anti-émeutes, ainsi que 102 motos dont 22 pour l'unité BIM, 3 camions pour le transport UDMO et CIMO et 5 bateaux pour les gardes côtes ont été distribués aux forces de l'ordre. »

Cyrus Sibert, RéseauCitadelle,
Cap-Haitien, Haïti
12 juin 2014
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
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 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Les anarchistes Lavalas risquent de démobiliser les policiers de la PNH.- (Texte de Cyrus Sibert)


 Photo : Comme les FADH, la PNH est menacée par les anarco-populistes Lavalas.- (Texte de Cyrus Sibert)  La nouvelle stratégie des anarcho-populistes consiste à provoquer la Police Nationale d'Haïti. En moins d'un mois, des chefs de file, extrémistes de l'opposition, se sont comportés en agresseurs face à des policiers en service. Le 8 mai 2014, le Sénateur Moise Jean-Charles circulant à bord d'une voiture de location s'est interposé contre un contrôle de routine des policiers affectés à Gressier, sur la route de Léogane, provoquant ainsi une confusion qu'il allait ensuite exploiter en accusant la PNH de tentative d'assassinat sur sa personne. A l'Arcahaïe, le 30 mai dernier, la réaction défensive d'un agent de l'APENA, paniqué face à une foule déterminée à envahir l'espace pénitentiaire, a été une occasion supplémentaire pour les politiciens de mettre l'institution policière sur le banc des accusés. Après avoir saccagé le Tribunal de Paix de la localité, des partisans Lavalas, regroupés au sein du   FOPAK, exprimaient leurs désirs ardents de lyncher des policiers. Ils scandaient entre autres: « Si polisye tounen makout, nap boule yo ». Un comportement criminel déjà expérimenté contre des agents de la Police haïtienne lors de la guérilla urbaine lancée pour forcer la communauté internationale à ramener le Leader du Parti Lavalas de son exil en Afrique du Sud. On ne saurait oublier des dizaines de jeunes policiers lynchés dans des quartiers populaires de la capitale durant l'opération Bagdad.  Naturellement, les anarchistes n'aiment pas les forces de l'ordre. Ce n'est pas par hasard que les Forces Armées d'Haïti (FADH) ont été démobilisées sous la présidence de Jean-Bertrand Aristide. Nombreux sont les indices prouvant l'impossibilité de cohabitation entre Anarcho-populistes et des forces publiques efficaces et opérationnelles.  1- Le programme de formation accélérée de policiers haïtiens par des instructeurs américains dans des bases aux Etats-Unis a été combattu avec acharnement par l'ex-président Jean-Bertrand Aristide et les barons du régime Lavalas. Certains des policiers formés à Missouri ont été maltraités à leur retour. Face au refus de coopération des autorités haïtiennes, l'administration Clinton n'a eu d'autre choix que de suspendre le programme.  2- Les policiers de la première Compagnie SWAT vous diront que la première décision de M. Aristide, dès son retour au Palais National en 2001, fut la destruction des fourgons blindés octroyés par les Etats-Unis. Ces équipements qui représentaient un atout pour cette unité de la Police furent détruits au Palais National. M. Aristide et ses conseillers Lavalas avaient peur de cette unité surentrainée par des experts américains. Aujourd'hui, la majorité de ces jeunes ont pris refuge aux Etats-Unis où leur niveau de formation leur permet de travailler dans des entreprises privées de sécurité.  3- Lavalas au pouvoir a toujours œuvré pour maintenir la PNH dans une situation d'incapacité opérationnelle. Alors que dans le store de Dany Toussaint, les matériels existaient en abondance, les policiers déployés sur le terrain n'ont jamais eu les équipements indispensables à leur protection. Des équipements fournis en don par les Etats-Unis ont été détournés au profit des groupes de fanatiques et/ou des maisons de commerce appartenant à des personnalités liées à M. Aristide. C'est le cas d'un stock de Radios de Communication GPS, évalué à 6 millions de dollars US, qui n'a jamais été distribué aux agents de la PNH. Alors que des gangs circulaient avec des fusils d'assaut ou des armes de poing sophistiquées, l'agent de la PNH n'avait qu'un revolver avec un magasin de 6 balles et sans réserve.  4- Le salaire des policiers sous le régime Lavalas était un scandale : 4,000 gourdes. C'était difficile d'instaurer une chaine de commandement viable, car souvent un criminel à la solde de M. Aristide avait le droit de se rendre dans un commissariat pour commander directement des policiers en poste. Dans le Nord d'Haïti, un agent 2 fut placé Directeur Départemental de la Police. Un jour après avoir été installée comme Directrice Départementale de la Police dans le Nord-Est, une juge fut promue Directrice Générale de la Police.  Bref, Lavalas n'a jamais fait confiance aux agents de la force publique. Il s'est toujours efforcé à créer des situations révoltantes pour rappeler au policier qu'il est inférieur aux chimères, aux bandits Lavalas, et même aux agents les moins gradés mais proches de M. Aristide. L'assassinat de Marie Christine Jeune, l'installation du Policier Chili - Agent 2 - à la tête de la Direction Départementale Nord de la Police, et la nomination d'une juge comme Directrice Générale de la Police Nationale sont des preuves établissant la vision Lavalassienne de la Police Nationale d'Haïti.  L'une des critiques des Lavalassiens consiste à dénoncer la militarisation de la Police Nationale d'Haïti. Le renforcement de cette institution ayant été fait sur la base de concours donc hors des mécanismes de contrôle des réseaux Lavalas, l'institution policière est mal vue par M. Aristide et ses alliés anarcho-populistes. Si ces hommes arrivent à accéder au pouvoir, l'avenir des milliers de jeunes qui ont choisi de servir leur pays comme policiers risque d'être similaire à celui des militaires démobilisés.  On n'a qu'à regarder le passé du régime Lavalas, l'idéologie anarcho-populiste de ce mouvement, l'incompatibilité entre les pratiques Lavalassiennes et l'ordre public, y compris cette phobie de voir un Coup-d'Etat partout. En effet, seuls des hommes et des femmes qui croient dans un Etat de droit, dans l'ordre et la discipline représentent une garantie pour l'existence de la Police haïtienne. Avec les anarcho-populistes, la PNH risque de finir comme les FADH. Les harcèlements répétés des leaders politiques proches de M. Aristide, suivis de condamnations d'organisations de droits humains montées de toutes pièces par des amis de M. Aristide sont des signes avant-coureurs à prendre au sérieux.  Faut-il rappeler ce paragraphe dans le bilan du Premier Ministre Lamothe sur les 6 mois de Gouvernance pour l'année 2014: « Des dispositions ont ...été prises pour renforcer la PNH. 83 Pick Up pour les opérations de terrain, 6 camions blindés pour les unités spéciales, 5 bus pour le transport des troupes et 5 camions anti-émeutes, ainsi que 102 motos dont 22 pour l'unité BIM, 3 camions pour le transport UDMO et CIMO et 5 bateaux pour les gardes côtes ont été distribués aux forces de l'ordre. »  Cyrus Sibert, RéseauCitadelle, Cap-Haitien, Haïti 12 juin 2014
La nouvelle stratégie des anarcho-populistes consiste à provoquer la Police Nationale d'Haïti. En moins d'un mois, des chefs de file, extrémistes de l'opposition, se sont comportés en agresseurs face à des policiers en service. Le 8 mai 2014, le Sénateur Moise Jean-Charles circulant à bord d'une voiture de location s'est interposé contre un contrôle de routine des policiers affectés à Gressier, sur la route de Léogane, provoquant ainsi une confusion qu'il allait ensuite exploiter en accusant la PNH de tentative d'assassinat sur sa personne. A l'Arcahaïe, le 30 mai dernier, la réaction défensive d'un agent de l'APENA, paniqué face à une foule déterminée à envahir l'espace pénitentiaire, a été une occasion supplémentaire pour les politiciens de mettre l'institution policière sur le banc des accusés. Après avoir saccagé le Tribunal de Paix de la localité, des partisans Lavalas, regroupés au sein du FOPAK, exprimaient leurs désirs ardents de lyncher des policiers. Ils scandaient entre autres: « Si polisye tounen makout, nap boule yo ». Un comportement criminel déjà expérimenté contre des agents de la Police haïtienne lors de la guérilla urbaine lancée pour forcer la communauté internationale à ramener le Leader du Parti Lavalas de son exil en Afrique du Sud. On ne saurait oublier des dizaines de jeunes policiers lynchés dans des quartiers populaires de la capitale durant l'opération Bagdad.

Naturellement, les anarchistes n'aiment pas les forces de l'ordre. Ce n'est pas par hasard que les Forces Armées d'Haïti (FADH) ont été démobilisées sous la présidence de Jean-Bertrand Aristide. Nombreux sont les indices prouvant l'impossibilité de cohabitation entre Anarcho-populistes et des forces publiques efficaces et opérationnelles.

1- Le programme de formation accélérée de policiers haïtiens par des instructeurs américains dans des bases aux Etats-Unis a été combattu avec acharnement par l'ex-président Jean-Bertrand Aristide et les barons du régime Lavalas. Certains des policiers formés à Missouri ont été maltraités à leur retour. Face au refus de coopération des autorités haïtiennes, l'administration Clinton n'a eu d'autre choix que de suspendre le programme.

2- Les policiers de la première Compagnie SWAT vous diront que la première décision de M. Aristide, dès son retour au Palais National en 2001, fut la destruction des fourgons blindés octroyés par les Etats-Unis. Ces équipements qui représentaient un atout pour cette unité de la Police furent détruits au Palais National. M. Aristide et ses conseillers Lavalas avaient peur de cette unité surentrainée par des experts américains. Aujourd'hui, la majorité de ces jeunes ont pris refuge aux Etats-Unis où leur niveau de formation leur permet de travailler dans des entreprises privées de sécurité.

3- Lavalas au pouvoir a toujours œuvré pour maintenir la PNH dans une situation d'incapacité opérationnelle. Alors que dans le store de Dany Toussaint, les matériels existaient en abondance, les policiers déployés sur le terrain n'ont jamais eu les équipements indispensables à leur protection. Des équipements fournis en don par les Etats-Unis ont été détournés au profit des groupes de fanatiques et/ou des maisons de commerce appartenant à des personnalités liées à M. Aristide. C'est le cas d'un stock de Radios de Communication GPS, évalué à 6 millions de dollars US, qui n'a jamais été distribué aux agents de la PNH. Alors que des gangs circulaient avec des fusils d'assaut ou des armes de poing sophistiquées, l'agent de la PNH n'avait qu'un revolver avec un magasin de 6 balles et sans réserve.

4- Le salaire des policiers sous le régime Lavalas était un scandale : 4,000 gourdes. C'était difficile d'instaurer une chaine de commandement viable, car souvent un criminel à la solde de M. Aristide avait le droit de se rendre dans un commissariat pour commander directement des policiers en poste. Dans le Nord d'Haïti, un agent 2 fut placé Directeur Départemental de la Police. Un jour après avoir été installée comme Directrice Départementale de la Police dans le Nord-Est, une juge fut promue Directrice Générale de la Police.

Bref, Lavalas n'a jamais fait confiance aux agents de la force publique. Il s'est toujours efforcé à créer des situations révoltantes pour rappeler au policier qu'il est inférieur aux chimères, aux bandits Lavalas, et même aux agents les moins gradés mais proches de M. Aristide. L'assassinat de Marie Christine Jeune, l'installation du Policier Chili - Agent 2 - à la tête de la Direction Départementale Nord de la Police, et la nomination d'une juge comme Directrice Générale de la Police Nationale sont des preuves établissant la vision Lavalassienne de la Police Nationale d'Haïti.

L'une des critiques des Lavalassiens consiste à dénoncer la militarisation de la Police Nationale d'Haïti. Le renforcement de cette institution ayant été fait sur la base de concours donc hors des mécanismes de contrôle des réseaux Lavalas, l'institution policière est mal vue par M. Aristide et ses alliés anarcho-populistes. Si ces hommes arrivent à accéder au pouvoir, l'avenir des milliers de jeunes qui ont choisi de servir leur pays comme policiers risque d'être similaire à celui des militaires démobilisés.

On n'a qu'à regarder le passé du régime Lavalas, l'idéologie anarcho-populiste de ce mouvement, l'incompatibilité entre les pratiques Lavalassiennes et l'ordre public, y compris cette phobie de voir un Coup-d'Etat partout. En effet, seuls des hommes et des femmes qui croient dans un Etat de droit, dans l'ordre et la discipline représentent une garantie pour l'existence de la Police haïtienne. Avec les anarcho-populistes, la PNH risque de finir comme les FADH. Les harcèlements répétés des leaders politiques proches de M. Aristide, suivis de condamnations d'organisations de droits humains montées de toutes pièces par des amis de M. Aristide sont des signes avant-coureurs à prendre au sérieux.

Faut-il rappeler ce paragraphe dans le bilan du Premier Ministre Lamothe sur les 6 mois de Gouvernance pour l'année 2014:
« Des dispositions ont ...été prises pour renforcer la PNH. 83 Pick Up pour les opérations de terrain, 6 camions blindés pour les unités spéciales, 5 bus pour le transport des troupes et 5 camions anti-émeutes, ainsi que 102 motos dont 22 pour l'unité BIM, 3 camions pour le transport UDMO et CIMO et 5 bateaux pour les gardes côtes ont été distribués aux forces de l'ordre. »

Cyrus Sibert, RéseauCitadelle,
Cap-Haitien, Haïti
12 juin 2014
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

Scandale au Parquet de Cap-Haitien : un violeur remis en liberté contre pot de vin.-

Le commissaire Jocelerne Lazare, substitut du Commissaire du gouvernement au Tribunal Civil du Cap-Haitien, est accusé d'avoir libéré de façon arbitraire "Ti Toro" ainsi connu, un bandit arrêté pour viol sur une jeune fille de 16 ans.

Ce jeune homme, expulsé des Etats-Unis pour viol et qui a récidivé en Haiti, aurait versé un pot de vin de 500 mille gourdes au Commissaire Lazare pour que son dossier soit classé sans suite.

La justice est de plus en plus décriée à cause de ces scandales répétés impliquant le parquet de la 2e ville du pays dans ce genre de libérations arbitraires, de bandits connus, au mépris des victimes.

Une pratique qui paralyse le travail de la police.

Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
13 Juin 2014
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.

jeudi 12 juin 2014

Comme les FADH, la PNH est menacée par les anarco-populistes Lavalas.- (Texte de Cyrus Sibert)

La nouvelle stratégie des anarcho-populistes consiste à provoquer la Police Nationale d'Haïti. En moins d'un mois, des chefs de file, extrémistes de l'opposition, se sont comportés en agresseurs face à des policiers en service. Le 8 mai 2014, le Sénateur Moise Jean-Charles circulant à bord d'une voiture de location s'est interposé contre un contrôle de routine des policiers affectés à Gressier, sur la route de Léogane, provoquant ainsi une confusion qu'il allait ensuite exploiter en accusant la PNH de tentative d'assassinat sur sa personne. A l'Arcahaïe, le 30 mai dernier, la réaction défensive d'un agent de l'APENA, paniqué face à une foule déterminée à envahir l'espace pénitentiaire, a été une occasion supplémentaire pour les politiciens de mettre l'institution policière sur le banc des accusés. Après avoir saccagé le Tribunal de Paix de la localité, des partisans Lavalas, regroupés au sein du FOPAK, exprimaient leurs désirs ardents de lyncher des policiers. Ils scandaient entre autres: « Si polisye tounen makout, nap boule yo ». Un comportement criminel déjà expérimenté contre des agents de la Police haïtienne lors de la guérilla urbaine lancée pour forcer la communauté internationale à ramener le Leader du Parti Lavalas de son exil en Afrique du Sud. On ne saurait oublier des dizaines de jeunes policiers lynchés dans des quartiers populaires de la capitale durant l'opération Bagdad.

Naturellement, les anarchistes n'aiment pas les forces de l'ordre. Ce n'est pas par hasard que les Forces Armées d'Haïti (FADH) ont été démobilisées sous la présidence de Jean-Bertrand Aristide. Nombreux sont les indices prouvant l'impossibilité de cohabitation entre Anarcho-populistes et des forces publiques efficaces et opérationnelles.

1- Le programme de formation accélérée de policiers haïtiens par des instructeurs américains dans des bases aux Etats-Unis a été combattu avec acharnement par l'ex-président Jean-Bertrand Aristide et les barons du régime Lavalas. Certains des policiers formés à Missouri ont été maltraités à leur retour. Face au refus de coopération des autorités haïtiennes, l'administration Clinton n'a eu d'autre choix que de suspendre le programme.

2- Les policiers de la première Compagnie SWAT vous diront que la première décision de M. Aristide, dès son retour au Palais National en 2001, fut la destruction des fourgons blindés octroyés par les Etats-Unis. Ces équipements qui représentaient un atout pour cette unité de la Police furent détruits au Palais National. M. Aristide et ses conseillers Lavalas avaient peur de cette unité surentrainée par des experts américains. Aujourd'hui, la majorité de ces jeunes ont pris refuge aux Etats-Unis où leur niveau de formation leur permet de travailler dans des entreprises privées de sécurité.

3- Lavalas au pouvoir a toujours œuvré pour maintenir la PNH dans une situation d'incapacité opérationnelle. Alors que dans le store de Dany Toussaint, les matériels existaient en abondance, les policiers déployés sur le terrain n'ont jamais eu les équipements indispensables à leur protection. Des équipements fournis en don par les Etats-Unis ont été détournés au profit des groupes de fanatiques et/ou des maisons de commerce appartenant à des personnalités liées à M. Aristide. C'est le cas d'un stock de Radios de Communication GPS, évalué à 6 millions de dollars US, qui n'a jamais été distribué aux agents de la PNH. Alors que des gangs circulaient avec des fusils d'assaut ou des armes de poing sophistiquées, l'agent de la PNH n'avait qu'un revolver avec un magasin de 6 balles et sans réserve.

4- Le salaire des policiers sous le régime Lavalas était un scandale : 4,000 gourdes. C'était difficile d'instaurer une chaine de commandement viable, car souvent un criminel à la solde de M. Aristide avait le droit de se rendre dans un commissariat pour commander directement des policiers en poste. Dans le Nord d'Haïti, un agent 2 fut placé Directeur Départemental de la Police. Un jour après avoir été installée comme Directrice Départementale de la Police dans le Nord-Est, une juge fut promue Directrice Générale de la Police.

Bref, Lavalas n'a jamais fait confiance aux agents de la force publique. Il s'est toujours efforcé à créer des situations révoltantes pour rappeler au policier qu'il est inférieur aux chimères, aux bandits Lavalas, et même aux agents les moins gradés mais proches de M. Aristide. L'assassinat de Marie Christine Jeune, l'installation du Policier Chili - Agent 2 - à la tête de la Direction Départementale Nord de la Police, et la nomination d'une juge comme Directrice Générale de la Police Nationale sont des preuves établissant la vision Lavalassienne de la Police Nationale d'Haïti.

L'une des critiques des Lavalassiens consiste à dénoncer la militarisation de la Police Nationale d'Haïti. Le renforcement de cette institution ayant été fait sur la base de concours donc hors des mécanismes de contrôle des réseaux Lavalas, l'institution policière est mal vue par M. Aristide et ses alliés anarcho-populistes. Si ces hommes arrivent à accéder au pouvoir, l'avenir des dizaines de milliers de jeunes qui ont choisi de servir leur pays comme policiers risque d'être similaire à celui des militaires démobilisés.

On n'a qu'à regarder le passé du régime Lavalas, l'idéologie anarcho-populiste de ce mouvement, l'incompatibilité entre les pratiques Lavalassiennes et l'ordre public, y compris cette phobie de voir un Coup-d'Etat partout. En effet, seuls des hommes et des femmes qui croient dans un Etat de droit, dans l'ordre et la discipline représentent une garantie pour l'existence de la Police haïtienne. Avec les anarcho-populistes, la PNH risque de finir comme les FADH. Les harcèlements répétés des leaders politiques proches de M. Aristide, suivis de condamnations d'organisations de droits humains montées de toutes pièces par des amis de M. Aristide sont des signes avant-coureurs à prendre au sérieux.

Faut-il rappeler ce paragraphe dans le bilan du Premier Ministre Lamothe sur les 6 mois de Gouvernance pour l'année 2014:
« Des dispositions ont ...été prises pour renforcer la PNH. 83 Pick Up pour les opérations de terrain, 6 camions blindés pour les unités spéciales, 5 bus pour le transport des troupes et 5 camions anti-émeutes, ainsi que 102 motos dont 22 pour l'unité BIM, 3 camions pour le transport UDMO et CIMO et 5 bateaux pour les gardes côtes ont été distribués aux forces de l'ordre. »

Cyrus Sibert, RéseauCitadelle,
Cap-Haitien, Haïti
12 juin 2014
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RESEAU CITADELLE : LE COURAGE DE COMBATTRE LES DEMAGOGUES DE DROITE ET DE GAUCHE , LE COURAGE DE DIRE LAVERITE!!!
"You can fool some people sometimes, 
But you can't fool all the people all the time."
 (
Vous pouvez tromper quelques personnes, parfois, 
Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
) dixit Abraham Lincoln.