@LaurentLamothe a géré #Haiti avec les parlementaires, dans la plus grande transparence, à travers un Comité Bicaméral (Sénateurs/Députés) de Pilotage.— Okenn moun pa ka di yo pat konnen !!! Invité de la commission de l’Economie et des Finances de la Chambre des députés, ce lundi, en tant que ministre de la Planification et de la Coopération externe, le Premier ministre Laurent Lamothe a présenté le budget, les actions et les différents projets de politique de développement, dont les fonds communaux, que mène le ministère.
#Haiti - Février 2014 - Video : Le Sénateur Youri Latortue participant au programme “Gouvènman Lakay w” en sa qualité de coordonnateur des projets d’infrastructures #PetroCaribe dans la ville des Gonaives. L'homme politique de l'Artibonite avait salué les réalisations du Premier Ministre, Laurent Salvador Lamothe tout en qualifiant son travail d'extraordinaire.
Faut-il rappeler que Monsieur Jacky Lumarque qui était simple membre d’une Commission Présidentielle sur l’Éducation n’a pas pu se présenter aux élections faute de décharge, parce qu’il était considéré comme ordonnateur de deniers publics.
En effet, le 19 juin 2015, dans une note rendue publique, “Le Conseil électoral provisoire informe la population en général et les partis politiques en particulier, que le sieur Jacky LUMARQUE a été retiré de la liste des candidats agréés à participer aux élections présidentielles des 25 octobre et 27 décembre 2015, pour absence de décharge, de sa gestion comme Coordonnateur du Groupe de travail sur l’éducation et la formation ( GTEF), en violation de l’article 90 du Décret électoral, alinéa (h)."
Si Jacky Lumarque était ordonnateur de deniers publics, que dire de Monsieur Youri Latortue qui a coordonné plusieurs projets d’infrastructures dans l’Artibonite? N’est-il pas concerné par l’enquête sur la gestion des fonds PetroCaribe?
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
9 Aout 2017
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Laurent Lamothe rencontre le comité de développement de la ville des Gonaïves.-
[ Le premier ministre Laurent S. Lamothe a rencontré, mercredi, les membres du comité de développement de la ville des Gonaïves sur l'utilisation qu'ils feront des 5 millions de dollars qui y seront investis dans le cadre du carnaval national qui doit s’y tenir du 2 au 4 mars 2014. Le comité s’est également entretenu avec le premier ministre sur l'État d'avancement des travaux d'infrastructures dans la cité de l'Indépendance. ]
Publié le 2014-01-15 | Le Nouvelliste
National -
Le président Michel J. Martelly a annoncé le 1er janvier 2014 que son gouvernement allait mettre à la disposition de la ville des Gonaïves une valeur de 5 millions de dollars américains pour des projets de développement. Deux semaines après cette promesse, l'argent se fait toujours attendre. Les Gonaïviens, encore impatients de voir le début de ces travaux, questionnent encore cette promesse du président de la République. Ces interrogations n'ont pas mis beaucoup de temps pour trouver une réponse apparemment satisfaisante.
Lors d'une rencontre tenue mercredi avec les membres du comité de développement de la ville des Gonaïves , le chef du gouvernement a confirmé que les 5 millions de dollars sont prêts et que les travaux vont commencer dans les jours à venir. Une nouvelle qui n'a pas manqué de réjouir les membres de ce comité formé uniquement des fils du département de l'Artibonite. De son côté, le conseiller spécial du président et également coordonnateur général du plan de développement des Gonaïves, Youri Latortue, a fait savoir que les pourparlers entre le premier ministre et les membres du comité vont bon train et que les travaux vont démarrer sous peu.
Selon lui, cette rencontre est la deuxième dans le cadre de la mise en œuvre de ce plan de développement. «Le but de la rencontre d'aujourd'hui était de trouver une meilleure formule afin d'utiliser ces 5 millions de dollars dans des projets de développement durables, a-t-il dit. Nous sommes tombés d'accord sur un modèle qui consiste à répartir cet argent dans des projets d'infrastructures et du carnaval. Il nous reste une dernière rencontre ce vendredi afin de démarrer les travaux dans les meilleurs délais.»
Dans le cadre des projets de développement et pour préparer le carnaval dans des conditions idéales, le coordonnateur général du comité a, en outre, fait savoir qu'un montant de 2 500 000 gourdes de cette somme sera alloué à des projets de réparation des sites historiques et touristiques, notamment la rénovation des trois ''Lakou'' des Gonaïves: Soukri, Badjo et Souvenance qui sont des sites historiques et mystiques importants dans l'histoire de la cité de l'Indépendance . « Il y a également dans ce plan de développement un projet de rénovation de 1 000 maisons au niveau du département de l'Artibonite, a-t-il ajouté. La ville des Gonaïves pourra bénéficier d'un parcours touristique historique important après le carnaval.»
Youri Latortue a, en outre declare, que même après le carnaval, des travaux d'infrastructures continueront dans son département. « Certains projets à court terme termineront avant le carnaval; d'autres projets vont continuer après le carnaval pour donner à la ville des Gonaïves un nouveau visage, a-t-il dit. Nous sommes prêts pour le carnaval national et nous attendons tous les fêtards dans la ville. Plus d'une dizaine de sites historiques seront à découvrir et nous allons offrir notre hospitalité à tous les Haïtiens qui seront dans nos murs au cours de cette période.»
L'agent exécutif intérimaire des Gonaïves, Steevens Saint-Fleur, s'est montré très satisfait. « Cette rencontre nous a permis de mettre en place un comité de coordination formé des élus locaux et d'autres citoyens du département comme le député d'Ennery, Cholzer Chancy, le conseiller du président Youri Latortue et le délégué de la ville des Gonaives, a-t-il dit.
Nous allons investir cet argent dans des projets qui peuvent mettre la ville des Gonaïves en valeur.» Concernant les 5 millions de dollars, M. Saint-Fleur a déclaré que le premier ministre a précisé lors de cette rencontre que l'argent est déjà disponible. D'après M. Saint-Fleur, la ville des Gonaïves est une ville à vendre. «Presque toutes ses rues sont asphaltées, a-t-il précisé. Nous avons l'électricité 24/24. Nous avons profité de cette rencontre avec le premier ministre pour présenter les différents axes stratégiques du plan de développement du département de l'Artibonite, spécialement de la ville des Gonaïves .»
Pour le délégué départemental de l'Artibonite et également membre du comité de développement, Jean Michel Auguste, '' c'est pour la première fois que son département va bénéficier d'un tel investissement'' dans des travaux d'infrastructures. « Nous sommes très satisfaits des avancées et nous avons présenté au premier ministre les principaux besoins des Gonaïviens, a-t-il précisé. Nous avons privilégié des infrastructures routières, la rénovation des sites touristiques, l'aménagement de la place d'armes et la construction d'un parc dans la ville des Gonaïves pour les enfants.»
Pour le carnaval, Jean Michel Auguste croit qu'ils vont monter un comité tout juste après cette rencontre et qui aura pour tâche de travailler avec le Comité national du carnaval 2014. « Nous sommes certains que la fête sera une vraie réussite dans le département de l'Artibonite et pour tous ceux qui viendront visiter la ville des Gonaïves», a-t-il conclu.
#Haiti - #Rep.Dom. : Bataille idéologique contre l’extrême droite dominicaine….les faits historiques rétablis et traduits en espagnol.-
@ReseauCitadelle et des jeunes étudiants haïtiens en République Dominicaine décident d’affronter l’extrême droite dominicaine par une “Campagne de vérité sur l’histoire de l’Ile Kiskeya”.
Au 21e siècle, à l’heure des nouvelles technologies de l’information, il est possible de repousser et de déconstruire les interprétations mensongères de l’extrême droite dominicaine. Celui qui domine l’interprétation des faits au point de donner du sens aux événements, a un pouvoir d’influence considérable sur l’avenir : (Tiré de l’ouvrage du Dr. Serge Philippe Pierre « Pouvoir, manipulation et reproduction du pouvoir, une analyse sémi-narrative du discours de François Duvalier ». )
On ne comprend pas pourquoi les intellectuels haïtiens, la grande presse d’#Haiti, l’Église haïtienne, les vodouisants, l’éducation nationale, en un mot l’appareil idéologique national, abandonnent l’interprétation de l’histoire de l’Ile Kiskeya à l’extrême droite dominicaine.
Pourquoi, on n’enseigne pas cette belle histoire aux jeunes haïtiens? Pourquoi laisser à l’extrême droite dominicaine l’opportunité de la réécrire en nous décrivant de la façon la plus méprisable?
Alors que nous négligeons ce travail d’éducation, chez nos voisins, on apprend à des générations de dominicains à nous détester, à nous combattre, à nous mépriser, à nous humilier, à nous anéantir, en falsifiant l’histoire de l’Ile — notre histoire.
Pourtant, les faits sont là. Ils sont disponibles sur internet, dans les livres d’histoire.
L’extrême droite dominicaine ne fait que profiter de notre insouciance, de notre paresse, pour fabriquer des récits historiques qui ne correspondent pas aux faits.
Nous remercions le jeune Serge Fécu qui a fait ce travail de traduction en espagnol. Car, la bataille idéologique est notre premier rempart.
Si nous avions bien fait notre travail idéologique, les masses dominicaines auraient compris le danger de ce discours anti-haïtien. Car, les dominicains qui détestent les haïtiens noirs aujourd’hui, sont des héritiers historiques des fils d’espagnols qui avaient détesté les noirs dominicains et les indigènes dominicains en 1821 au point de vouloir rétablir l’esclavage.
Nous vous invitons à lire la traduction en langue espagnole et à la partager avec le plus grand nombre de dominicains possible.
@CyrusSibert // WhatsApp : 509-3686-9669
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#Haït-#Rep.Dom.: La trascendencia cronológica del odio de la extrema derecha dominicana con la piel clara desde 1821 hacia los indígenas, hacia los afro-dominicanos y los haitianos negros hoy en día.-
[ Los dominicanos que odian a los haitianos negros hoy son éstos mismos heredos históricos del linaje español que siempre habían menospreciado a los afro-dominicanos y los indígenas en 1821 hasta querer restablecer la esclavitud. ] —————- @ReseauCitadelle ha sensibilizado a la opinión pública de la comunidad del Caribe y la región entera sobre la situación de los inmigrantes “haitianos negros" en la República Dominicana.- (Por CyrusSibert)
En la noche del Jueves 3 de Agosto (EST), dos representantes de la red ciudadela (francés : Reseau Citadelle) han participado a un panel de periodistas caribeños en directo desde la radio Grenada y los medios de comunicaciones Grenada Broadcast con el propósito de sensibilizar la opinión pública de la región sobre la situación de los haitianos negros en la República Dominicana.
Según un planteamiento histórico, habíamos explicado que el nacimiento de la "dominicanidad" de Juan Pablo Duarte que se convirtió en una ideología de identidad colorista, una ideología de urgullo basado en el odio de los haitianos, una ideología anti-negro que buscas a blanquear la nación dominicana. Es una doctrina que opta por la segregación y el apartheid social...
Hemos aprovechado para poner énfasis en el hecho de que la parte Este de la isla siempre ha sido la bastión de los colonialistas, de los explotadores esclavagistas, siempre ha sido la bastión de los que odian los descendientes de africanos, bastión de los anti-haitianos.
Colonos franceses que huyeron después de ser derrotados por el ejército negro indígena en la batalla de "Vertières" del 18 de Noviembre de 1803 se refugiaron en la parte Este de la isla para conspirar contra la independencia de Haití. El acoso, las conspiraciones de esos colones y su categórico rechazo a respetar a respetar la voluntad histórica de los negros de Haití a " vivir libre or morir" causó ésta decisión extrema del general Jean-Jacques Dessalines ordenando el borrado de sus linajes en la parte Oeste de la isla, para usar una expresión de Maquiavelo, mientras la concesión de la nacionalidad haitiana a todos extranjeros blancos que habían apoyado la revolución anti-esclavista. Ya qué frente a los rumores de un posible retorno de la esclavitud promocionando por los antiguos colonos con fin de socavar la moral de los negros liberados, independientes y dueños de sus destinos. Este acto radical, las conquistas del Este, la ocupación haitiana y el apoyo del movimiento independentista dominicano han sido necesarios para que quede claro a los explotadores esclavistas que la situación en Haití es irreversible, obligándolos a salir a la mar y retirándose del territorio a destinación de Puerto Rico, hacia Cuba, la Louisiana y las pequeñas Antillas francesas.
Sería un error tan grande abordar y considerar la situación de los haitianos en la República Dominicana cómo un simple asunto migratorio. Se trata de una constancia histórica. Los hechos son numerosos; y el último en fecha es ésta vergonzosa práctica discriminatoria en el proceso de regularización de los migrantes ilegales. Mientras que los solicitantes extranjeros blancos o chinos u otros migrantes con la piel clara tienen fácil acceso a sus aplicaciones para tener el estatus de residencia, los haitianos y todos los inmigrantes con la piel oscura están bloqueados por un nudo gordiano, un subterfugio administrativo que es disque buscar sus nombres en un ordenador desconectado del red administrativo del Estado, para luego pedirles que esperen eternamente mientras poniendo en marcha operaciones ciegas de deportación.
Por lo tanto, nos beneficiamos acordar que: 1- En contraste con las mentiras de los colonialistas y racistas, éstos descendientes de Nicolas Ovando o de Rochambeau quienes siguen presentar a la ocupación haitiana cómo un desastre por el pueblo dominicano, en 1821, el ejército haitianode Jean Pierre Boyer fue acogido por afro-dominicanos que temían por sus libertades frente a los dominicanos con la piel clara, particularmente esclavistas. Por lo que en el 1821, la palabra independencia no era sinónimo de abolición de la esclavitud. A modo de prueba, pese a la independencia de los Estados Unidos, los negros y criollos seguían siendo esclavos. Fueron necesarios los 22 años de ocupación haitiana para que se abolirá la esclavitud en la parte Este de la isla.
2- En 1861, lo que supone 17 años después de la salida del ejército haitiano de la República Dominicana, 17 años después de independencia dominicana, dominicanos con la piel clara han permitido el regreso de España en la parte Este de la isla y amenazaron de restablecer la esclavitud o de deportar los criollos y los dominicanos con la piel oscura hacia Cuba y Puerto Rico. Para liberar a la República Dominicana del yugo de España, en 1863, los afro-dominicanos, anti-colonialistas y independentistas han lanzado la guerra de "Restauración" contra las fuerzas españolas. La República de Haití contribuyó apoyando a la guerrilla independentista de Gregorio Luperon y de Santiago Rodríguez, el cuál lanzó sus acciones militares desde El territorio haitia, en la ciudad de Ouanaminthe. Tal como lo hicimos en favor del General Simón Bolívar por la creación des los Estados Independientes De América del Sur, em favor de Grecia y mucho antes por los Estados Unidos, Haití con sus soldados trajeron una contribución de mayor importancia en favor de la independencia definitiva de la República Dominicana.
3- Haití ha sido siempre presente en la historia dea República Dominicana: a) Hemos abolido la esclavitud en la República Dominicana; b) Hemos ayudado a destruir las fuerzas colonialistas en la parte Este de la isla; c) Hemos apoyado les fuerzas independentistas en detrimento de las fuerzas colonialistas pro-españoles que querían la anexión del territorio dominicano por España o por los Estados Unidos; d) La bandera Dominicana fue creada y cosida en la República de Haití; e) La República Dominicana es una nación hermana de la República de Haití. Las dos repúblicas son creadas por indígenas que estuvieron solidarizándose durante 3 siglos de esclavitud, de opresión colonialista y racista. f) De Cacique Henry hasta Jean-Jacques Dessalines, juntos, los pueblos de la isla Quisqueya han combatido el colonialismo y la esclavitud franco-españoles. Los dos pueblos indígenas de la isla, indu y negros (orgulloso de ser) siempre lucharon en favor de la libertad y la independencia. Después de la derrota del ejército de Napoleón, luego la independencia de Haití, otros movimientos de independencia y de libertad han surgido sobre la faz de la tierra, conforme con los derechos humanos, cómo éste derecho fundamental de "ser libre"). Gregorio Luperon y Santiago Rodríguez, Charlemagne Péralte se hicieron una cultura de lucha por la libertad y la independencia. g) las iniciativas segregacionistas anti-haitianas adoptadas por la minoría de la extrema derecha que detiene el poder en la República Dominicana, esquizofrénica porque rechaza categóricamente la evidencia de su filiación negra. Ésta minoría representa el resurgimiento de la reacción neocolonialista, y hasta neo-esclavista contra los indígenas libres de la isla.
Por lo tanto, nuestros colegas periodistas han prometido llevar ese asunto ante instancias como "The Caribbean Hotel Tourism Association (CHTA), CARIFORUM y sobre todo la Comisión Europea de los Derechos Humanos del UE-ACP, que son instancias importante por la imagen y la economía de la República Dominicana, a partir de los cuáles ciertas presiones pueden ser ejercidas.
El lema ya es adoptado: no escatimar ninguna ocasión para plantear ésta situación inaceptable contra los migrantes haitianos en la República Dominicana. Los valientes periodistas del Caribe, por ejemplo el periodista dominicano Marino Zapete entre otros, debemos siempre tener una pregunta al respecto cuándo encuentran un dirigente dominicano en cualquier parte del mundo, en todos los foros en que participan.
Cyrus Sibert, Cabo-Haitiano, Haití
5 de Agosto 2017
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La semaine dernière, je reçus un appel d’un collègue professeur qui feignait de solliciter mon opinion sur l’opportunité d’établir en Haïti un musée de la dictature. Vu que c’est un projet que j’ai toujours caressé depuis mon départ d’Haïti, je ne pus retenir mon excitation face à la possibilité que la diligence de mon ami ait raison de ma procrastination dans la concrétisation de l’idée. Mais mon enthousiasme se transforma rapidement en désillusion lorsque mon collègue me confia qu’à son avis, Michèle Bennett ferait une bonne conservatrice pour un tel musée. Je lui répondis qu’une telle suggestion était une insulte à mon intelligence. Et mon ami de renchérir : Mais vous trouvez normal que les enquêtes successives sur les fonds PetroCaribe soient menées par des sénateurs qui ont, en d’autres temps, pillé les caisses publiques ? L’analogie n’admettait pas de réplique.
Cette question, purement rhétorique, de mon ami, me fit réaliser l’ampleur du drame haïtien. Pour que notre pays sorte de l’ornière du sousdéveloppement, il faudra que la lutte contre la corruption soit menée de manière éthique et indiscriminée. Lutter contre la corruption revient à rendre justice aux enfants des bidonvilles qui, alors qu’ils sont condamnés à crever de faim, auront à payer les dettes encourues par l’État pour financer le luxueux train de vie de fonctionnaires et d’officiels qui confondent la caisse publique avec leur portefeuille. De ce fait, la lutte contre la corruption ne pourra se faire de n’importe quelle manière. Pour que la justice puisse triompher, ceux qui la rendent doivent avoir les mains propres. Sinon, nous continuerons d’être la risée du reste du monde en faisant siéger des disciples des consolidards comme juges à des rééditions amnésiques et loufoques du procès de la consolidation.
Les sénateurs qui, aujourd’hui, utilisent la lutte contre la corruption comme instrument de visibilité et de vengeance politique ont trop de squelettes dans leur placard pour être pris au sérieux. Lorsque, enfin, Haïti sera prêt à combattre la corruption, ces parlementaires auront à répondre aux questions de la justice. En conséquence, le fait par eux d’être en charge de telles enquêtes constitue un pied-de-nez fait aux citoyens et aux institutions de ce pays. Malheureusement, la société civile haïtienne a atteint un tel degré d’inertie que ceux qui sont au pouvoir peuvent tout se permettre. Dans un pays qui oublie avant même que ses blessures ne se cicatrisent, il arrive souvent que des loups travestis en bergers exterminent le troupeau sous le regard permissif d’une citoyenneté démissionnaire.
Il y a une autre raison, plus fondamentale, pour obtenir la cessation de cette parodie. Vu que les protagonistes de ces enquêtes ont les mains sales, qu’adviendrait-t-il de la crédibilité de leur travail si un jour nous décidions de combattre la corruption pour de bon, auquel cas ils ne manqueraient pas de se retrouver derrière les barreaux ? Ce n’est pas par hasard que dans les pays qui se respectent, ceux qui sont impliqués dans la lutte contre la corruption sont généralement au-dessus de tout soupçon. Si la Cour des comptes faisait son travail et décidait d’auditer l’administration publique de 1986 à nos jours, ou si nous exigions que nos officiels expliquent la provenance de leurs biens, les sénateurs en charge de l’enquête sur les fonds Petrocaribe ne sauraient à quel saint se vouer. Voilà pourquoi nous ne devons pas, en tant que citoyens, laisser des corrompus siéger à la cour de la lutte contre la corruption. Un jour, le moment viendra de passer à la caisse. Personne n’en sera exempté. Ce sera le dernier acte d’une comédie qui n’aura que trop duré. En attendant, les sénateurs-enquêteurs doivent avoir la décence d’arrêter de tourner le fer dans la plaie.
La Police de Turks and Caicos vient d’annoncer sur sa page Facebook l’inculpation de monsieur Arthur Forbes, 61 ans, accusé de viol sur la personne de Marjorie, une ressortissante haïtienne à Turks and Caicos. Le résultat de l’enquête policière a permis de retenir 3 chefs d’accusation contre ce responsable du Tribunal du Travail de l’Ile Britannique. La victime avait déposé une plainte le mercredi 16 mars 2017.
L’affaire sera entendue au mois de septembre 2017. L’accusé est maintenu en liberté contre un cautionnement de 10,000 dollars américains.
Nous vous invitons à relire les reportages de @ReseauCitadelle sur ce sujet.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
8 Aout 2017
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#Haiti - Adoption: The phenomenon of family rejection, abuse, trafficking and even rape following the death of an adoptive parent. (Text by Cyrus Sibert)
Norralie is the first name of a young Haitian lady, stuck between a rock and a hard place. In 1979, she was rescued by an American at the Limbé Hospital, not far from the city of Cap-Haitien. An American businessman residing in Haiti, took to the idea of rescuing this sick baby girl who was most likely abandoned by her biological parents; undoubtedly, desperate Haitian peasants with no other choice.
This foreigner was a good man who showered her with love and affection. He behaved like a good father, imposing on all the respect of his black adoptive daughter. All the members of his large, well-to-do family had to treat his daughter with class, justice and fairness. He made all the arrangements for her physical and intellectual fulfillment.
But, unfortunately, the "Good Samaritan" succumbed to a serious illness. From that moment, everything changed. After her father's death, Norralie found herself trapped in a "black" nightmare, rejected by her white, adoptive mother.
"My adopted father took to his grave all the family love I was entitled to," she told us.
Her life became a living hell. She no longer had any family privileges. She was refused everything: food, clothing, education, affection ... "My money is not for you," was the response she received from her adoptive mother following her request to be allowed to finish high school. She was removed from her father's estate, abandoned to her fate ..., undergoing all forms of mistreatment and abuse from her "mother" and especially from her new partner, since she had remarried.
Everything was her fault. Even when she was molested at the age of 12 by the new head of household, her adoptive mother made her believe that it was her fault and that she had encouraged it. Instead of intervening to protect her, she was instead considered as a rival, sharpening the device of moral and physical destruction. Thus, this adoptive mother decided to campaign against the child to all the friends of the adoptive father and other members of the family who continued to hold her in consideration, in memory of the deceased. The molestation most likely increased this rejection.
This young found herself completely isolated: no family, no money, education interrupted, no legal standing in Haiti. Using the language she learned when she was a child, she was able to survive with difficulty until she made her way to take refuge in her father's country, the United States of America; the beautiful country that she used to visit when she was very small. Since her adoptive mother had never given up on her campaign to isolate this young girl from the Haitian-American social circle which had welcomed her in 1979 and had seen her grow up, she had no choice but to take refuge elsewhere , far from Haiti, in search of a new life.
Here she is, still stuck. Out of spite, her adoptive mother has hidden many things from here. Refusing to give her any papers that might help her take advantage of the nationality of her adoptive father, who during his lifetime had taken steps in this direction. Her "mother" has made it her mission to erase everything, rewriting family history. Even going so far as to tell unpleasant stories about the life and death of her adoptive father, in order to to destroy the image that this young girl had of him.
Yet, in her will, the adopted paternal grandmother, the mother of the adoptive father, left her 10,000 American dollars. This helped finance her efforts to come to the United States.
Even as a wife and mother of two children, this Haitian woman continues to live in an endless nightmare. Sometimes she has no interest in life ... too much misery, too much suffering, too much humiliation. She does not know what to do.
A simple fact summarizes her tragedy: It is something to see, when, out of habit, she still refers to her adoptive mother as “my mother”. Hesitation travels through her whole being, caught between her childish habits that bind her to this woman and the real life she lived by her side.
@ResidentCitadelle investigates this case that raises questions about the situation of Haitian children in the families they are adopted into. For, a white host family can become hell after the death of the white "Good Samaritan" who took the initiative to adopt a black child. Moreover, from experience, we know that acts of rape and / or trafficking are accompanied by permanent abuse of the victims. The rapists, their accomplices and those who protect them always engage in a permanent campaign of denigration of the victims. They act in such a way as to destroy their image, to constantly attack their credibility, to psychologically confine them to the bottom of a well, to isolate them sufficiently so as to prevent honest people from taking them seriously the day they decide to speak.
Accompanying the victims in their desire to leave this well is our mission! The worst part of all this is when they tell you that they have reported their situation to people who should protect them ... Officials, friends of the family who, instead of interceding in favor of the victims , have turned their backs on them.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 30 juillet 2017 WhatsApp: 509-3686-9669 @reseaucitadelle reseaucitadelle@yahoo.fr
The haitian workforce in the Dominican Republic: decades of loyalty, decades of a humanitarian crisis yet to be solved.-
By Serge Junior Fécu @Lenational
The Dominican Republic is in good part dependent on the haitian workforce which they maintain illegal for decades. The illegal haitian immigrants work at a 90% or more in the plantations and constructions and some percentage in other important fields like tourism and the call center industry. Some of them arrive in the country legally and later become illegal while the majority have been brought for decades per group seasonally to cut sugar cane and stayed over generations, creating generations of undocumented immigrants with no existence, no rights, no insurance, no benefits required by law.
An anti haitian system is historically established in this country to keep the haitian workforce illegal, with no chance for their kids born in a country they're giving their blood to. Immigration will take them in mass anytime they want and you can always see the smiling face of many dominicans being proud when these violations are happening. In fact, mass deportation is a violation to the international norms. They even deport black dominicans since color is a determinant survival factor in this country, and black dominicans are facing racist acts everyday, I believe they do the best they can to show they're not haitian by either changing the hair color, putting efficient products to look as white as possible, bleaching or just hurrying to speak to show no accent in their dominican spanish. If you're confounding a black dominican and you dare speaking creole, this can be very uncomfortable, even aggravating cause they like people to think mistaking them to haitians. Cause a perception of ugliness is created in regards to the haitian identity, where if a dominican call you "haitian" (haitiano), be sure it's an insult. (But I should tell calling me haitian is always pleasant to me, cause that's exactly my identity!)
Well, this is not what I'm here to blame, black dominicans should manage and stand against this if they don't feel comfortable, but I'm here to raise awareness on decades of humanitarian disaster my compatriots and many relatives of mine have been facing being that so important workforce, helping this economy to grow in all its forms.
In every corner, every city in the Dominican Republic, there's haitian; if not, you can believe there's no plantations for agriculture or there's no constructions, or tourism is not moving as they would need them as french-speaking.
What is truly really hard for me to understand is why haitian immigrants have been this crucial and a depending and reliable workforce for decades the Dominican Republic, why they need them but it's a big deal to give them legal papers, and it's a big deal to give them integration in the dominican system? While Canada now has one of these immigrants as one of its Ministers, right from Somalia and not born in Canada...
Why is it a big deal legalizing haitians immigrants while if they're all deported, the next apartment or hotel construction will be discontinued for lack of workforce? They're the ones building them! Why is it a big deal give them legal paper while you their workforce is crucial, while they can't refuse that workforce? But they just refuse to believe they're humans and have the rights to be treated fair? Why do dominican authorities allow a resorts that I know to hire illegal haitians because they receive a 100% french-speaking tourists, while they could issue a mere work permit to this reliable and crucial workforce to perform their job legally and pay tax and enjoy all benefits required by law?
I do understand the D.R territory and system cannot absorb the other 10 millions of people on the other side of the island, same as the United States couldn't absorb all Mexicans but they convene on norms, they know immigrants have rights, they know they're humans, they don't keep using and abusing mexicans or any certain immigrant workforce while closing all doors to get legal documentations, while closing all doors to have a better future with their families. No!
This humanitarian crisis needs to reach to an end, either they eradicate the haitian workforce, saying they don't want our compatriots anymore in the plantations and see who would feed the country, or they say they don't want them in the constructions, in the call centers and tourism as French and english speaking and we see what happen or they come up with a solution if they finally believe it'd be worthy giving haitian immigrants the chance of integration as an important component in the dominican economy.
This is not dictating them how to rule their country cause the International Community doesn't have the right to interfere and nobody else than the D.R itself of they wanna improve their image through the world as a great tourism destination, this is just raising awareness since immigrants all over the world have the rights to have the future they're looking, including illegal dominicans in other countries. They deserve to be respected and dignified as human.
This is not dictating how to rule their country, but our compatriots can cry out of loud as victims of a discriminating system after all they do and will continue to do as a loyal workforce. This is not dictating how dominicans should rule their country, but just a reminder to comply with international conventions signed as part of the United Nations, the OAS, they need to make improvements to be able to join the CARICOM as wanted.
This is a reminder to respect the international norms on immigration cause their country will gain in many forms solving this long humanitarian disaster created by both irresponsibility of haitian and dominican authorities over decades.
#Haiti : @ReseauCitadelle a sensibilisé l’opinion publique caraïbéenne sur la situation des haïtiens noirs en République Dominicaine.-(Texte de @CyrusSibert)
Le jeudi soir du 3 août 2017, deux membres de @ReseauCitadelle ont participé à un panel de journalistes caribéens sur Radio grenadabroadcast.com, en vue de sensibiliser l’opinion publique de la région sur la situation des haïtiens noirs en République Dominicaine.
Suivant une approche historique, nous avions expliqué la naissance de la “dominicanité” de John Pablo Duarte qui est en fait une idéologie identitaire, anti-haïtienne, anti-noire, coloriste, cherchant à blanchir la nation dominicaine, une doctrine politique qui tend vers le ségrégationisme et l’apartheid social…. Nous en avons profité pour mettre l’accent sur le fait que la partie Est de l’île a toujours servi de base arrière aux colonialistes, aux esclavagistes, à ceux qui détestent les descendants d’africains, donc aux anti-haïtiens.
Des colons français en fuite après leur défaite face à l’Armée indigène noire lors de la bataille de Vertières le 18 novembre 1803, s’étaient réfugiés à l'Est de l'île pour conspirer contre l’indépendance d’Haïti. Leur harcèlement, leur conspiration et leur refus de respecter la volonté historique des noirs d’Haïti de “vivre libre ou mourir”, a causé cette décision extrême du Général Jean-Jacques Dessalines d’ordonner l’effacement de leur lignée dans la partie occidentale de l’île, pour reprendre une expression de Machiavel, tout en octroyant la nationalité haïtienne à des étrangers blancs qui avaient supporté la révolution anti-esclavagiste. Car, face aux rumeurs de retour de l’esclavage que les anciens colons alimentaient en vue de saper le moral des noirs devenus libres, indépendants et maîtres de leur destin, cet acte radical, les conquêtes de l’Est, l’occupation haïtienne et le support du mouvement indépendantiste dominicain, ont été nécessaires pour faire comprendre aux esclavagistes que la situation en Haïti est irréversible, les forçant à prendre la mer, à s’éloigner du territoire à destination de Porto Rico, de Cuba, de la Louisiane et des petites Antilles françaises.
C’est une erreur de considérer la situation des haïtiens en République Dominicaine comme une simple question migratoire. Il s’agit d’une constance historique. Les faits sont nombreux; et, le dernier en date est cette pratique discriminatoire dans le processus de régularisation des immigrants illégaux. Tandis que les chinois, les philippins et d’autres illégaux à peau claire ont accès facilement à leur dossier et obtiennent leur statut de résident, les haïtiens et tous les autres immigrants à peau noire sont bloqués par un goulot d’étranglement, un subterfuge administratif consistant à chercher leur nom dans un ordinateur déconnecté du réseau administratif d’Etat, pour ensuite les demander d’attendre éternellement tout en mettant en branle des opérations aveugles de déportation.
Aussi, avions-nous profité pour rappeler que :
1- Contrairement aux mensonges des colonialistes et des racistes, ces descendants de Nicolas Ovando ou de Rochambeau qui continuent de présenter l’occupation haïtienne comme un désastre pour le peuple dominicain, en 1821, l’armée haïtienne de Jean-Pierre Boyer fut accueillie par des dominicains à peau foncée qui avaient peur pour leur liberté face à des dominicains à peau claire et esclavagistes. Car, en 1821, indépendance n’était pas synonyme d’abolition de l’esclavage. Pour preuve, malgré l’indépendance aux Etats-Unis, des noirs et des créoles étaient maintenus en esclavage. Il a fallu les 22 années d’occupation haïtienne pour que l’esclavage soit aboli dans la partie Est de l’Ile.
2- En 1861, soit 17 ans après le départ de l’armée haïtienne de la République Dominicaine, 17 ans après l’indépendance de la République Dominicaine, des dominicains à peau claire, des colonialistes, ont permis le retour de l’Espagne dans la partie Est de l’Ile et menacèrent de rétablir l’esclavage ou de déporter les créoles et les noirs dominicains vers Cuba et Porto Rico. Pour libérer la République Dominicaine de l’Espagne, en 1863, des dominicains à peau foncée, des anti-colonialistes et des indépendantistes ont lancé la guerre de “Restauration” contre les forces espagnoles. La République d’Haïti supporta la guérilla indépendantiste de Gregorio Luperon et de Santiago Rodriguez qui lança ses actions militaires à partir du territoire haïtien, dans la ville haïtienne de Ouanaminthe. Comme nous l’avions fait en faveur du Général Simon Bolivar pour la création des Etats indépendants de l’Amérique du Sud, de la Grèce et longtemps avant aux États-Unis, Haiti et des soldats haïtiens apportèrent une contribution considérable à l’indépendance définitive de la République Dominicaine.
3- Haiti a toujours été présente dans l’histoire de la République Dominicaine: a) Nous avions aboli l’esclavage en République Dominicaine; b) Nous avions contribué à la destruction des forces colonialistes dans la partie Est de l’Ile; c) Nous avions supporté les forces indépendantistes au détriment des forces colonialistes pro-espagnoles qui souhaitaient l’annexion du territoire Dominicain par l’Espagne ou par les Etats-Unis; d) Le drapeau Dominicain fut créé et cousu en Haiti. e) La République Dominicaine est une nation sœur de la République d'Haïti. Les deux républiques sont fondées par des indigènes qui se sont solidarisés durant 3 siècles d'esclavage, d'oppression colonialiste et raciste. f) Du Cacique Henry à Jean Jacques Dessalines, ensemble, les peuples de l’Ile Kiskeya ont combattu le colonialisme et l’esclavagisme franco-espagnols. Les peuples indigènes de l’Ile, indiens et nègres (fier de l’être), ont toujours combattu en faveur de la liberté et de l’indépendance. Après la défaite de l’armée de Napoléon, suivie de l’indépendance d’Haïti, d’autres mouvements d’indépendance et de liberté ont vu le jour sur cette terre. Gregorio Luperon, Santiago Rodriguez, Charlemagne Péralte ont continué dans cette culture de lutte pour la liberté et l’indépendance. g) Les initiatives ségrégationnistes anti-haïtiennes lancées par la minorité dirigeante de la République Dominicaine, schizophrène parce qu’elle refuse d’accepter l’évidence de sa filiation nègre, représentent la résurgence de la réaction néocolonialiste et même néo-esclavagiste contre les indigènes libres de l’Ile.
En conséquences, nos confrères journalistes promettent de porter l’affaire par devant des instances comme le Caribbean Hotel Tourism Association (CHTA), le CARIFORUM et surtout la Commission Européenne des Droits Humains de l’UE-ACP, des instances importantes pour l’image et l’économie de la République Dominicaine, à partir desquelles certaines pressions peuvent-être exercées.
Le mot d’ordre adopté : Ne rater aucune occasion pour soulever cette situation inacceptable des haïtiens en République Dominicaine. Les journalistes courageux de la Caraibe doivent toujours avoir une question sur ce sujet pour les dirigeants dominicains partout où ils les rencontrent, dans tous les forums auxquels ils participent.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 5 Aout 2017 WhatsApp: 509-3686-9669 @reseaucitadelle reseaucitadelle@yahoo.fr
Discriminación hacia nacionales haitianos cuándo van a buscar resultado del plan de regularización. Miren los extranjeros que no son haitianos, no hacen ni fila y vienen a cogerlos para ir hablar en privado mientras que cada vez que verifican por un haitiano, el resultado es nada más: "todavía!". ¡Ni uno sale! Y en mis ojos, los extranjeros "no haitianos" se sientan en otra parte, alguien viene a buscar sus pasaportes para verificar en la oficina de abajo del Ministerio de Interior y Policía.
Luego de que los pasaportes de los extranjeros que no son haitianos fueron recogidos, el hombre que estaba haciendo el fiasco disque verificando en la computadora "no conectada" a Internet llamó a esos extranjeros "no haitianos" para bajar y entrar en la oficina.
Es la situación de los braceros haitianos acogidos en el famoso plan de regularización, esos valientes que construyen este país, que trabajan en las construcciones, agricultura, todas las áreas duras y feas.
Cada vez que uno viene a verificar, nada está disponible aunque detenga el dinero para pagar o que sea extranjero no haitiano. Yo no dudo de que el gobierno dominicano sabe lo que está pasando pero que sepa que el mundo está mirando esos abusos. Son ustedes mismos que mantienen mucha gente en situación irregular, porque se los dejan pasar sin documentos pagando a cada punto de control, y muchos haitianos han gastado mucho cuarto desde el año 2008 para aplicar por una residencia dominicana y nunca las han firmado y entregado ; luego vienen con el plan de regularización, muchas familias que han perdido importante suma de dinero en el proceso de residencia se han acogida al plan, gastando otra cantidad de dinero y ahora es un fiasco, y la migración está detrás de ellos, haciendo todo tipo de abuso que va encontra de las normas internacionales.
¡Pero que sean justos señores, porque el mundo está en gran movimiento! La migración no es sólo una cuestión de haitianos moviendo hacia la República Dominicana o otros países latinos, la migración es también los dominicanos que están laborando con dignidad en todas partes del mundo incluyendo Haití ; la migración son también los gringos que dejan América del Norte y Europa para implantarse en el Sur. La migración no es menos de eso. Ahora mismo hay más de 40 millones de inmigrantes dentro de la movilidad del mundo y a cualquiera que entienda mal la migración haitiana se quedó fuera del entendimiento de esta movilidad mundial que es parte de la globalización.
#Haiti - Enquête PetroCaribe : L’importance des Tableaux de décaissements !!!
“ Ils sont rares les décaissements effectués à 100% par un seul gouvernement.”
Comme nous l’avions dit dans le texte “ Enquête #PetroCaribe : De quoi le Sénateur Beauplan a t-il peur? Qu’est ce qu’il nous cache?”, les décaissements pour l’exécution des projets sont souvent répartis sur une durée assez longue qui implique la gestion de plusieurs gouvernements.
En ce qui concerne le Premier Ministre Laurent Lamothe, contrairement à la propagande mensongère, orchestrée par des gens de mauvaise foi qui cherchent à faire croire qu’une fois les projets lancés, la totalité des fonds a été décaissée, ce qui sous-entend la possibilité de détourner le montant total du projet à des fins personnelles…. les calendriers de décaissements ou le “Tableau de Contrôle Financier des Projets" prouvent le contraire :
Seule une partie des fonds a été décaissée en faveur des firmes d’exécution, sur les recommandations des firmes de supervision. Le reste a été engagé par d’autres gouvernements.
En ce sens, on ne saurait accuser un ministre ou un premier ministre de détourner le montant total des fonds qu’il n’a pas décaissé. Ce n’est pas parce que le montant total du projet de construction du marché de Fontamara — qui comprend le marché proprement dit, un port-débarcadère, un parking pour voiture, des chambres froides pour conserver les fruits de mer — coute 15,647,900 dollars U.S. que cela signifie le Premier Ministre Laurent Lamothe a décaissé les 15,647,900 dollars U.S.
Même quand à partir de plusieurs Résolutions du Conseil des Ministres, Monsieur Lamothe a engagé environ 600 millions de dollars U.S., cela ne signifie pas qu’il a décaissé 600 millions de dollars.
Ainsi, pour déterminer le montant exact des fonds qu’il a décaissé, il faut consulter le Tableau de Contrôle Financier de chaque Projet. Cet exercice est nécessaire en vue d’avoir une idée précise des décaissements effectués par Laurent Lamothe et ceux réalisés par ses successeurs et même ses prédécesseurs.
Par exemple dans le tableau de décaissement pour la Construction du Marché de Fontamara, les decaissements sont ainsi répartis :
Mars 2013 : 3,716,376.75
Paiement #1 — Déc 2014 : 1,644,487.76
Paiement #2 — Déc 2014 : 453,198.98
Paiement #3 — Mars 2015: 1,316,525.61
Paiement #4 — Avril 2015: 749,997.00
Paiement #5 — Mai 2015 : 431,445.10
Paiement #6 — 658,972.55
Montant Total Payé : 8,971,003.75
Balance sur Compte : 6,676,896.25 (Dette de l’État envers la firme d’exécution)
Nous publions quatre (4) Tableaux de Contrôle Financier de 4 projets différents: 1- Lycée Toussaint Louverture , 2- Lycée Alexandre Pétion , 3- Construction Marché de Fontamara , 4- Construction d’infrastructures socio-communautaires au Warf-Jeremie.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
2 Aout 2017
WhatsApp: 509-3686-9669
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reseaucitadelle@yahoo.fr
#Haiti : Des employés Nord de la Loterie accusent Margareth Fortuné de corruption .-
La directrice générale de la Loterie de l’Etat haïtien aurait entretenu des relations de proximité et rançonné les tenanciers de Borlette à un point que l’Etat n’a plus l’autorité morale pour collecter des taxes en vue de payer les employés auxquels il doit plusieurs mois d’arriérés de salaire.
[Audio] Note de protestation du syndicat des employés de la Loterie de L’Etat Haitien dans le Nord d’#Haiti.
Les Fortuné semblent avoir gagné le rapport de force face au Président de la République, Jovenel Moise, une victoire qui leur donne le droit de faire ce qu’ils veulent dans l’administration publique suivant leur logique de balkanisation de l’Etat.
La nouvelle politique de fermeté, d’austérité, de transparence et de lutte contre la corruption semble ne pas les concerner :Un ETAT FORTUNÉ dans l’ETAT HAITIEN.
#Haiti : Mon opinion sur la prestation du Sénateur Nenel Cassy à Radio Scoop FM.-(Texte de Cyrus Sibert)
Mise à part cette tentative d’intimidation du journaliste Gary Pierre Paul Charles et ce fameux chiffre irréaliste de 3 millions de personnes sur la piste de l’ancienne aviation militaire à la clôture de la campagne électorale de Fanmi Lavalas en 2016, globalement, je pense que le Sénateur Nenel Cassy a fait une bonne prestation sur Radio Scoop FM.
Il s’est montré calme et a donné la garantie que la Commission de suivi de l’Enquête sur PetroCaribe fait un travail plus professionnel avec un souci de la vérité. Il a même parlé de service d’experts pour vérifier les faits et évaluer les données.
Avec un sens de responsabilité, Monsieur Cassy conseille aux journalistes de ne pas se lancer dans des accusations sans preuves tout en signalant que les membres de la Commission sénatoriale se donnent pour règle de ne pas faire des révélations ni accuser un ancien responsable sans avoir consulté les dossiers, sans lui avoir donné la possibilité de s’expliquer et de se défendre. Cependant, tous ceux qui doivent-être sanctionnés, le seront avec rigueur.
Le Sénateur Cassy annonce déjà que dans la conclusion de leur rapport, une recommandation exigera que les deux (2) résolutions adoptées sous la Présidence de Jocelerme Privert soient prises en compte dans le cadre d’une enquête complémentaire.
Souhaitons que ces paroles ne seront pas différentes des actes.
À compter de ce mardi 1er août, le salaire minimum de 350 gourdes entre en vigueur, pour ceux qui fournissent 8 heures de travail par jour dans les industries d’assemblage tournées vers l’exportation et autres industries manufacturières tournées vers l’exportation,(Article 5 Segment F de l’arrêté publié le 28 juillet 2017 dans le numéro spécial 23 du journal officiel « Le Moniteur »].
Salaires minimum, extraits de l’Arrêté :
Article 1 (Segment A) :
Salaire minimum fixé à 400 gourdes par journée de 8 heures de travail dans : production privée d’électricité ; institutions financières (banques, maisons de transfert, sociétés d’assurance) ; télécommunications ; commerce import-export ; supermarchés ; bijouteries ; galeries d’art ; magasins de meubles, de mobilier et d’appareils électroménagers ; cabinet de médecins, polycliniques […]
Article 2 (Segment B) :
Salaire minimum fixé à 350 gourdes par journée de 8 heures de travail dans les secteurs : bâtiments et travaux publics (BTP) ; entreprises de location de camions et d’engins lourds ; entreprises de location de matériaux de construction ; entreprises de transport de matériaux de construction ; quincailleries ; autres institutions financières (coopératives, caisses populaires, industries manufacturières tournées vers le marché local […]
Article 3 (Segment C) :
Salaire minimum fixé à 290 gourdes par journée de 8 heures de travail dans les : hôtels et restaurants ; agriculture, sylviculture, élevage et pêche ; industrie de transformation de produits agricoles ; commerce de détails, sauf supermarchés, bijouteries, magasins de produis cosmétiques et de vêtements […]
Article 4 (Segment E) :
Salaire minimum fixé à 290 gourdes par journée de 8 heures de travail , comme personnel de service à domicile.
Article 5 (Segment F) :
Salaire minimum de 350 gourdes par journée de 8 heures de travail dans les industries d’assemblage tournée vers l’exportation et autres industries manufacturières tournées vers l’exportation [Contesté et revendication syndicale de 800 Gourdes]
Article 6 (Segment G) :
Salaire minimum de 300 gourdes par journée de 8 heures de travail dans les agences de sécurité privée et les entreprises de distribution de produits pétroliers.
Article 7 (Segment H) :
Salaire minimum de 350 gourdes par journée de 8 heures de travail dans les écoles professionnelles privées et les institutions privées de santé employant plus de 10 personnes et qui offrent des services d’hospitalisation.
Pour connaître tous les secteurs et toutes les entreprises concernées, téléchargez l’arrêté : http://www.haitilibre.com/docs/arrete-salaire-minimum-juillet-2017.pdf
#Haiti-Approfondissement de l’Enquête #PetroCaribe : De quoi le Sénateur Beauplan a t-il peur? Qu’est ce qu’il nous cache? (Texte de Cyrus Sibert)
Hier, 31 juillet 2017, le journaliste Garry Pierre Paul Charles a lu sur les ondes de Radio Scoop, une lettre du Sénateur Évalière Beauplan dans laquelle il explique pourquoi sa Commission ne peut pas étendre l’enquête à l’administration du Président Jocelerme Privert.
Le Sénateur du Nord d’Ouest a fait tout un sophisme avec le “fameux mandat de l’Assemblée” pour justifier sa décision d’épargner les responsables de l’Administration Privert et spécifiquement, Patrick Noramé, soupçonné d’avoir détourné une partie des fonds au profit de parlementaires corrompus dont certains sont membres de la Commission.
Le nom du Sénateur Nenel Cassy est cité dans cette affaire. Le Sénateur Beauplan, dirigeant du Parti Fanmi Lavalas de son état, y est aussi impliqué. Car, il n’est plus un secret que Monsieur Noramé a été placé au BMPAD pour enrichir des parlementaires qui supportaient Jocelerme Privert et assurer le financement du parti de Jean-Bertrand Aristide, donc en vue de financer les élections du Parti du Sénateur Évalière Beauplan.
Aussi, une analyse logique des arguments présentés par ce dernier pour écarter l’ex-ministre des finances — des “Cadeaux Anonymes — Yves Bastien et Monsieur Patrick Noramé prouve t-elle que l’homme exécute un plan visant à dissimuler des informations sur la gestion des fonds PetroCaribe.
1- D’entrée de jeu, le nom de la Commission est très explicite : Il s’agit d’une “Commission d’enquête anti-corruption sur PetroCaribe”, nom d’une “Commission d’enquête sur la Gouvernance Préval/Martelly". On ne voit pas avec quel argument logique le Sénateur Beauplan justifiera sa décision d’épargner le Ministre Yves Bastien et surtout, Patrick Noramé qui est accusé d’avoir détourné des fonds PetroCaribe en faveur des Sénateurs proches de Privert —dont bon nombre sont membres de la commission , et du financement illégal du Parti Fanmi Lavalas.
2- La “Commission Beauplan” fait office d’instance d’Appel du travail de la “Commission Latortue”. C’est ce qu’ils ont dit quand madame Marie-carmelle Jean-Marie avait décidé de bouder leur invitation : “Si elle refuse de se présenter, les faits qui lui sont reprochés, resteront dans le rapport; aucune modification n’y sera apportée.”
En ce sens, l’Appel autorise à ré-instruire, à approfondir et même à re-qualifier, si nécessaire. L’instance d’Appel n’est pas liée par l’instruction antérieure. Dès qu’il s’agit du même sujet : “Gestion des fonds PetroCaribe”, les nouveaux Commissaires ont intérêt à avoir le plus d’informations que possible.
3- En majorité, seulement 30% du montant des projets autorisés par le Conseil des Ministres durant la Présidence Préval/Martelly ont été décaissés pendant leur quinquennat. 70% de la majorité de ces projets ont été décaissés ou désaffectés après leur départ. L’administration du Président Privert est ainsi responsable des décaissements complémentaires ou des désaffectations. Une commission d’enquête sur la “Gestion des Fonds Petrocaribe” doit connaitre comment ces fonds autorisés par les administrations Préval/Martelly ont été décaissés par leurs successeurs. Pourquoi ont-ils décidé de désaffecter le reste des fonds destinés à des projets en cours d’exécution, cela après que l’Etat eut consenti 30% de décaissement ?
4- Le principe de la Continuité de l’État empêche de délimiter les opérations administratives à un gouvernement. Car, comme nous l’avons vu, contrairement aux mensonges des adversaires politiques, il est rare les décaissements faits à 100%. Dans la majorité des cas, les Premiers Ministres Jean Max Bellerive, Laurent Lamothe et Evans Paul n’ont débloqué que l’avance légale de démarrage de 30% des montants des projets. La Commission d’enquête du Sénat ne peut pas fermer les yeux sur les 70% restants qui ont été décaissés ou désaffectés par le Ministre des Finances Yves Bastien et le Directeur de la BMPAD Patrick Noramé. Aussi, faut-il considérer l’Etat des comptes à la fin de l’enquête Sénatoriale.
Dans sa lettre, le Sénateur Beauplan prend en témoin la Communauté internationale. Eh bien, jamais au niveau international, une Commission d’enquête sur la corruption ne s’était donnée des limites au mépris des renseignements complémentaires et/ou supplémentaires. En effet, le Sénateur du Nord-ouest est en train de prouver au monde entier sa capacité à exécuter une politique de deux poids de mesure, en bon démagogue.
#Haiti - Adoption : Le phénomène de rejet familial, d’abus, de traite et même de viol, suite au décès d’un parent adoptif.-(Texte de Cyrus Sibert)
“Mon père adoptif a emporté dans sa tombe, tout l’amour familial auquel j’avais droit.” ———— Norralie est le prénom d’une jeune dame haïtienne, coincée par son destin. En 1979, elle fut secourue par un américain à l’Hôpital de Limbé, non loin de la ville du Cap-Haïtien. Un homme d’affaire américain résident en Haïti, a eu l’idée de récupérer ce bébé de sexe féminin, malade, abandonné par ses parents naturels; sans doute, des paysans haïtiens désespérés.
L’étranger fut un homme bon qui lui donna amour et affection. Il se comporta en bon père de famille, imposant à tous, le respect de sa fille adoptive noire. Tous les membres de sa grande famille blanche et aisée devaient traiter sa fille avec classe, justice et équité. Il prenait toutes les dispositions pour son épanouissement physique et intellectuel.
Mais, malheureusement, le “Bon Samaritain” succomba suite à une grave maladie. Depuis lors, tout a changé. Après le décès de son père, Norralie s’est retrouvée piégée dans un cauchemar de “black" rejetée par sa mère adoptive blanche.
“Mon père adoptif a emporté dans sa tombe, tout l’amour familial auquel j’avais droit”, nous a t-elle confié.
Sa vie est devenue un enfer. Elle n’a plus aucun privilège familial. On lui refuse tout : nourriture, vêtements, éducation, affection… “Mon argent n’est pas pour toi”, a t-elle reçu comme réponse de sa mère adoptive suite à sa requête de pouvoir poursuivre ses études. Elle a été écartée de la succession de son père, abandonnée à son sort…, en subissant toutes formes de traites ou d’abus venant de sa “mère” et surtout du nouveau conjoint de cette dernière, vu qu’elle s’est remariée.
Tout était de sa faute. Même quand elle a été violée à l’âge de 13 ans par le nouveau chef de la famille, sa mère lui faisait croire qu’elle l’avait cherché. Au lieu d’intervenir pour la protéger, elle l’a plutôt considérée comme une rivale, aiguisant le dispositif de destruction morale et physique. Ainsi, elle décide de faire campagne contre l’enfant auprès de tous les amis du père adoptif et d’autres membres de la famille qui continuaient de la considérer, en souvenir du défunt. Le viol a sans doute amplifié la réaction de rejet.
La fillette s’est retrouvée complètement isolée : pas de famille, pas d’argent, éducation interrompue, pas de filiation légale en Haïti. Utilisant cette langue qu’elle a apprise quand elle était enfant, elle a pu survivre difficilement jusqu'à se frayer un chemin pour se réfugier dans le pays de son père, aux Etats-Unis d’Amérique; ce beau pays qu'elle avait l’habitude de visiter quand elle était toute petite. Sa mère adoptive n'ayant jamais cessé sa campagne mensongère visant à l'isoler du cercle social haïtiano-américain qui l’avait accueilli en 1979 et l’a vu grandir, elle n’avait pas d’autre choix que de se réfugier ailleurs, loin d’Haïti, en quête d'une nouvelle vie.
La voilà encore coincée. Par haine, la mère adoptive lui cache bien de choses. Elle refuse de lui remettre les papiers qui pourraient lui permettre de tirer avantage de la nationalité de son père adoptif, qui de son vivant, avait fait des démarches en ce sens. Sa “maman” se lance dans une entreprise visant à tout effacer, à réécrire l’histoire familiale. Elle lui a même raconté des histoires désagréables sur la vie et le décès de son père adoptif, en vue de lui pousser à le détester.
Pourtant, dans son testament, sa grand-mère adoptive, la mère du père adoptif, lui légua 10 mille dollars Américains. Ce qui a contribué à financer son projet de rejoindre la terre natale de son feu père tant aimé.
Même devenue femme et mère de deux enfants, cette haïtienne continue de vivre dans ce cauchemar sans fin. Parfois, elle ne voit aucun intérêt pour la vie… trop de misère, trop de souffrance, trop d’humiliation. Elle ne sait plus quoi faire.
Un fait simple résume sa tragédie : Il fallait voir sa tête, quand par réflexe, elle utilise le mot “MAMAN” pour designer sa mère adoptive. L’hésitation traverse tout son être devant ce dilemme entre ses habitudes d’enfant qui la lient à cette femme et sa vie réelle à ses côtés.
@ReseauCitadelle enquête sur ce cas d’espèce qui soulève des questions sur la situation des enfants haïtiens dans les familles où ils ont été adoptés. Car, une famille d’accueil blanche peut devenir un enfer après le décès du “Bon Samaritain” blanc qui aura pris l’initiative d’adopter un enfant noir. De plus, d’expérience, nous savons que les actes de viol et/ou de traite sont accompagnés d’un abus permanent consistant à détruire les victimes. Les violeurs, leurs complices et ceux qui les protègent se livrent toujours à une campagne permanente de dénigrement des victimes. Ils agissent ainsi en vue de détruire leur image, d’attaquer en permanence leur crédibilité, de les enfermer psychologiquement au fond d’un puit, de les isoler suffisamment en vue d’empêcher que des honnêtes gens les prennent au sérieux, le jour où ils décideront de parler.
Accompagner les victimes dans leur volonté de sortir de ce puit est notre mission! Le pire dans tout cela, c’est quand elles vous disent qu’elles avaient rapporté leur situation à des gens qui devraient les protéger…Des responsables, des religieux, des amis de la famille qui, au lieu d’intercéder en faveur des victimes, leur ont tourné le dos.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 30 juillet 2017 WhatsApp: 509-3686-9669 @reseaucitadelle reseaucitadelle@yahoo.fr
L’ex-Premier Ministre Jacques Edouard Alexis opine sur
1- L’enseignement supérieur;
2- La “Caravane du Changement”;
3- Le retour de l’Armée;
4- L’Arrêté Présidentiel sur les privileges des anciens Présidents (non-rétroactivité des lois); et..
5- L'Enquête Sénatoriale PetroCaribe.
Il en profite pour dénoncer la présence de trafiquants de drogue et de voleurs au Parlement.
Originaire de l’Artibonite, l’Agronome Alexis confirme que la Caravane a un impact positif dans son département, selon les témoignages….l’arrière petit-fils du Roi Henry Christophe semble connaitre les parlementaires de son département mieux que tout le monde.
@Cyrus Sibert se présente et fait progresser l’ingéniosité quand on ne l’espère le plus.-(Texte de Bendgy TILIAS)
Je ne le connais pas trop bien pour parler de sa personne voire le glorifier, mais en prenant le soin de lire quelques uns de ses écrits combien cartésiens je me suis dit qu'au-delà des divergences politiques et/ou idéologiques il mérite un tonnerre d'applaudissements ostentatoires pour les efforts consentis jusqu'à survoler au comos des approches fondées sur la base des arguments souvent négligé par mes congénères qui prennent plaisir à lancer des propos à l'encontre de ce dernier en guise de démonter ses arguments, les réfuter pour ensuite contre-argumenter.
La stérilité de production dans nos rangs contribuent largement à l'habileté de Cyrus pour produire plus rapidement et sans anicroche. On le critique du fait que 80% de ses écrits parlent de Laurent Lamothe ce qui entrave souvent l'objectivité de ses textes, mais on se tait quand il a contribué à l'enquête conduisant à l'arrestation de Douglas et au dédommagement des adolescents victimes de sodomisation dans la commune de Cap-Haïtien!
On ne peut se taire face au dernier en date qui met sur le tabloïd des grands débats nationaux la question de la non-rétroactivité de l'arrêté de Jovenel Moïse portant sur les privilèges de certains anciens chefs d'État, un aspect auparavant négligé.
Quelqu'un du Cap qui donne la piste aux grands de la république de Port-au-Prince! Ça c'est un pas vers la reconquête du prestigieux titre de source primaire de lumière.
Bravo @Cyrus Sibert Bravo @réseau citadelle
3h37 AM après une conversation avec Me Nicolas St MARTIN
Bendgy TILIAS Responsable des Relations publiques pour le GASDDHA (Groupe d'Appui Social pour le Développement Durable en Haïti) #Korechanjman
[Audio] #Haiti : Le Journaliste Gary Pierre Paul Charles dénonce les CORROMPUS dans la COMMISSION SENATORIALE ANTI-CORRUPTION.
Un Sénateur de la République (Nènel Cassy) aurait reçu 37,636,981.00 de gourdes du BMPAD en 2016 sous la Présidence de Jocelerme Privert. Patrick Noramé était alors Directeur du BMPAD. C’est la raison pour laquelle son nom a été écarté de la liste des anciens comptables des fonds PetroCaribe qui doivent se présenter par devant la Commission du Sénateur Beauplan.
Nous avions dès le début mis en garde contre ces manoeuvres politiciennes de corruption qui pourraient empêcher à ladite Commission de faire un travail sérieux. De plus, qui enquêtera sur les 700 millions de gourdes décaissées sous la Présidence du Président Privert suite à l’imitation (contre-façon, falsification) de la signature du Premier Ministre d’alors Enex Jean-Charles?
Si Youri Latortue se servait de la Commission pour préparer sa candidature à la Présidence en essayant d’écarter injustement de potentiels adversaires, la bande Lavalas à Privert : Nenel Cassy, Evalière Beauplan, Antonio Cheramy, Ricard Pierre compte l’utiliser pour se venger du Président de la République Jovenel Moise en commençant par attaquer son Chef de Cabinet, l’ex-ministre des finances Wilson Laleau.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti 27 juillet 2017 WhatsApp: 509-3686-9669 @reseaucitadelle reseaucitadelle@yahoo.fr