Grâce à l'intervention de la première Dame Sophia Martelly, des étudiants diplomés en médecine en dehors d'Haiti arrivent à intégrer le système médical haïtien. La 1ère Dame Sophia Martelly avait intercédé en leur faveur auprès du Ministère de la Santé Publique (MSPP).
Dr Paul, est le nom d'un jeune haïtien diplômé en République Dominicaine. Il nous a raconté qu'ils étaient un groupe à parler à la Premiere Dame Sophia Martelly lors d'une Cérémonie de graduation. "Elle nous avait accordé 5 minutes, puis déclaré que cela doit changer, car Haiti a besoin de compétences."
Depuis lors, c'est facile pour des jeunes médecins qui ont étudié à l'étranger de faire leur stage dans le système de Santé haitien.
Dr Paul, nous raconte qu'en République voisine on paie mieux les médecins résidants (25 milles pesos, chaque mois, a date précise). Pourtant, Haiti étant leur pays, ils préfèrent travailler chez eux pour moins d'argent dans des conditions difficiles, afin de contribuer au changement.
Notons que depuis longtemps, on avait aperçu le verrouillement de la profession médicale par des gens de mauvaise foi qui rendaient impossible, l'intégration des jeunes. Même les boursiers de l'Etat haïtien à Cuba, n'y ont pas été intégrés. Ils étaient obligés de se rendre dans les pays latinoamericains pour survivre.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
Envoyé par mon BlackBerry
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978)
Dr Paul, est le nom d'un jeune haïtien diplômé en République Dominicaine. Il nous a raconté qu'ils étaient un groupe à parler à la Premiere Dame Sophia Martelly lors d'une Cérémonie de graduation. "Elle nous avait accordé 5 minutes, puis déclaré que cela doit changer, car Haiti a besoin de compétences."
Depuis lors, c'est facile pour des jeunes médecins qui ont étudié à l'étranger de faire leur stage dans le système de Santé haitien.
Dr Paul, nous raconte qu'en République voisine on paie mieux les médecins résidants (25 milles pesos, chaque mois, a date précise). Pourtant, Haiti étant leur pays, ils préfèrent travailler chez eux pour moins d'argent dans des conditions difficiles, afin de contribuer au changement.
Notons que depuis longtemps, on avait aperçu le verrouillement de la profession médicale par des gens de mauvaise foi qui rendaient impossible, l'intégration des jeunes. Même les boursiers de l'Etat haïtien à Cuba, n'y ont pas été intégrés. Ils étaient obligés de se rendre dans les pays latinoamericains pour survivre.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haiti
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"Ne doutez jamais qu'un petit nombre de citoyens volontaires et réfléchis peut changer le monde. En fait, cela se passe toujours ainsi" Margaret Mead (1901-1978)
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