Les mesalliances ont coute tres cher a Haiti. Entre Aristide et le chapeau legal FNCD mis de cote en 1991 qui va creer la crise du 13 Aout 1991, entre Preval et la Convergence, entre Preval et l'OPL, ces mesalliances ont toujours cree le chaos et l'instabilte politique. Il faut les eviter et clarifier les choses des le depart. Peyi a pa kapab achte chat nan makout anko.
Suite au reportage de radio Kiskeya anoncant une alliance entre les hommes de l'INITE dans le Nord et Madame Manigat, je reprends radio Kiskeya: "Ipokrit yo sezi" (les hypocrites sont surpris de voir ça), ont lancé à l'unisson, pour traduire l'ampleur du rassemblement, la constitutionnaliste et ses partisans renforcés par ceux du candidat au Sénat de la plateforme au pouvoir INITE, l'ex-Député Lavalas Nahoun Marcellus, en ballottage favorable dans le nord. cliquez ici pour lire le rapport de presse: http://radiokiskeya.com/spip.php?article7577 Suite aux differentes positions de Madame Manigat en tant que citoyen je pose la question au candidat: Quelle est votre position officielle par rapport a l'INITE. Aves-vous realise dans le Nord une alliance avec les hommes de l'INITE? Si oui comment allez-vous reconsilier cette position par rapport a vos jugements recents sur ces hommes au pouvoir (voir documentation plus bas). Merci pour votre reponse.
Stanley Lucas
Mercredi, 20 octobre 2010 10:10
Myrlande Manigat marquera une rupture d'avec le gouvernement Préval
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=RDNP&sid=0&critere=0&id=18365&p=4
La candidate à la présidence du Rassemblement des Démocrates Nationaux
Progressistes (RDNP), Myrlande Manigat, promet une rupture d'avec la
politique du gouvernement Préval. L'ex sénatrice envisage une modification
du plan de reconstruction, le retrait de la Minustah et la dissolution du
CNE.
Intervenant à l'émission " Face au public " de Télé Métropole, Mme Manigat a
critiqué le plan de reconstruction à ses yeux trop émotionnel. Rejetant la
formule celui qui paie commande, la secrétaire générale du RDNP préconise
une attitude basée sur le sérieux, la compétence et la préservation de la
dignité nationale.
Cependant elle met en garde contre toute confrontation avec la communauté
internationale. Dans ce contexte Myrlande Manigat entend négocier le retrait
progressif des casques bleus de la Mission des Nations Unies pour la
Stabilisation en Haïti (Minustah).
Tout en rappelant que la présence de ces soldats étrangers est anormale, la
candidate précise qu'un retrait trop rapide peut déboucher sur un chaos.
Interrogé sur le fonctionnement du Centre National des équipements (CNE)
Myrlande Manigat a déploré l'instrumentalisation de cette entreprise
publique. Elle envisage de dissoudre le CNE qui fonctionne comme un état
dans l'état.
Considérant le CNE comme une duplication des TPTC, Mme Manigat croit qu'il
faut transférer les matériels au ministère des travaux publics.
Un audit du CNE et de plusieurs organismes de l'Etat devra être réalisé par
la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Adminstratif (CSCCA). Un
renforcement du CSCCA est un préalable à la clarification des finances
publiques insiste Mme Manigat.
LLM / radio Métropole Haïti
Mercredi, 2 juin 2010 04:59
Myrlande Manigat est contre un départ anticipé du chef de l'Etat
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=RDNP&sid=0&critere=0&id=17796&p=6
Très critique envers le président Préval, la secrétaire générale du
Rassemblement des Démocrates Nationaux Progressistes (RDNP), Myrlande
Manigat, n'est pas moins opposée à un départ anticipé du chef de l'Etat.
Même si elle considère le président Préval comme le responsable de la
confusion qui a permis la forte mobilisation de l'opposition, Myrlande
Manigat réaffirme son attachement aux prescrits de la constitution.
Elle souhaite donc que M. Préval boucle son mandat le 7 février 2011 tout en
admettant que des prescrits constitutionnels peuvent être appliqués en cas
de vacance présidentielle.
La secrétaire générale du RDNP émet des réserves sur la formation d'un
gouvernement de transition. Elle juge qu'il n'y a pas aujourd'hui une
alternative crédible. Il faut être raisonnable, martèle Mme Manigat qui veut
éviter que des troubles politiques se greffent sur les troubles sociaux.
Mme Manigat ne veut pas prendre l'option du renversement de Préval parce
qu'elle sait que les forces politiques jouent un rôle important dans
l'organisation de la vie politique en Haïti. En dépit des prescrits
constitutionnels l'ex sénatrice juge qu'il est imprudent de se lancer dans
cette voie si on ne maîtrise pas les forces politiques.
La secrétaire générale du RDNP critique le chef de l'Etat qui selon elle n'a
pas su mener à bien la phase d'urgence après le séisme. Les militants du
RDNP continueront à prendre part à la mobilisation des 5 formations de
l'opposition, non pour réclamer la démission de René Préval mais l'adoption
de dispositions permettant de garantir des élections honnêtes et crédibles.
LLM / Radio Métropole Haïti
Lundi, 17 mai 2010 13:34
Myrlande Manigat approuve le mouvement anti-Préval
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=RDNP&sid=0&critere=0&id=17729&p=6
La secrétaire générale du Rassemblement des Démocrates Nationaux
Progressistes, (RDNP), Myrlande Hyppolite Manigat dit supporter le mouvement
orchestré depuis quelques semaines, contre le pouvoir en place. Cependant,
la constitutionaliste ne demande pas le départ anticipé du Président
Préval.
Intervenant à la rubrique le point sur le 100, la secrétaire générale du
RDNP, estime que la mobilisation anti-Préval est justifiée compte tenu des
violations de la constitution perpétrées par le régime en place.
« Je ne réclame pas son départ, je dis que son départ serait une bonne chose
», précise madame Manigat de la Plateforme des patriotes haïtiens (PLAPH).
Tout en présentant son soutien au mouvement populaire, elle croit que le
départ du Chef de l'État, est inéluctable et que ce sera une bonne chose
pour le pays.
Selon, madame Manigat, cette mobilisation, qui prend de l'ampleur, doit être
prise au sérieux parce qu'elle permet à une frange de la population qui ne
s'implique pas habituellement dans la politique de s'exprimer concernant le
départ du président.
Depuis plusieurs semaines, les manifestations anti-gouvernementales se
multiplient au pays, notamment en province. Les manifestants réclament le
départ du Président de la République qui selon eux ne respecte pas la
constitution de 1987.
EJ/Radio Métropole
Jeudi, 19 juin 2008 11:24
Le RDNP critique l'action de certains acteurs politiques
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=RDNP&sid=0&critere=0&id=13837&p=9
La secrétaire générale du Rassemblement des Démocrates Nationaux
Progressistes (RDNP), Myrlande H. Manigat, indique que son parti n'a jamais
été invité à prendre part aux consultations visant la désignation d'un
nouveau premier ministre. " Nous n'avons pas été associés à ce qui se fait,
nous sommes tenus à l'écart et nous restons à l'écart", dit-elle faisant
remarquer qu'elle ne sollicite pas une invitation. " Nous ne sommes pas prêt
à participer maintenant ", déclare Mme Manigat.
Interrogée sur la position du RDNP face à la conjoncture, Mme Manigat assure
que les parlementaires ont, au cours de ces trois derniers mois, exercé
leurs prérogatives constitutionnelles. " La première interpellation d'un
premier ministre a eu lieu en 1967, il n'y a rien de nouveau", ajoute
t-elle.
Mme Manigat se déclare contre les exigences de l'article 11 de la
constitution mais en tant que légaliste, réclame le respect de la
constitution. Elle note également la rigidité de l'article 157 de la
constitution, et s'interroge sur des commentaires inappropriés de certains
députés. " Il y a beaucoup de non-dits, d'interférences et d'accusations",
insiste t-elle regrettant des marchandages.
En ce qui concerne l'influence des partis politiques dans le processus de
ratification du premier ministre, Mme Manigat fait remarquer que son parti
n'avait pas donné de consigne à ses 4 élus.
Elle soutient que groupe majoritaire ne doit pas être confondu avec le thème
majorité parlementaire qui doit être compris dans le sens de parti . " Il y
a des groupes circonstanciels tel la Concertation des Parlementaires
Progressistes (CPP), il s'agira de voir si après le processus de
ratification du premier ministre le groupe pourra se maintenir", ajoute
t-elle.
Réagissant aux rumeurs sur l'éventualité que le CPP se transforme en parti
politique, Mme Manigat assure que les paramètres seront différents. " On ne
pourra pas créer un parti au parlement mais à l'extérieur", rappelle la
secrétaire générale du RDNP.
Intervenant à la rubrique " Invité du jour" de radio Métropole, Mme Manigat
a indiqué qu'on est à une phase d'apprentissage de la vie démocratique. Elle
se prononce pour le choix d'une personnalité compétente pour occuper le
poste de premier ministre refusant de citer des noms de personnes présentant
un bon profil. " Il n'est pas intéressant de choisir des petits copains",
lance t-elle.
Mercredi, 20 octobre 2010 10:10
Myrlande Manigat marquera une rupture d'avec le gouvernement Préval
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=RDNP&sid=0&critere=0&id=18365&p=4
La candidate à la présidence du Rassemblement des Démocrates Nationaux
Progressistes (RDNP), Myrlande Manigat, promet une rupture d'avec la
politique du gouvernement Préval. L'ex sénatrice envisage une modification
du plan de reconstruction, le retrait de la Minustah et la dissolution du
CNE.
Intervenant à l'émission " Face au public " de Télé Métropole, Mme Manigat a
critiqué le plan de reconstruction à ses yeux trop émotionnel. Rejetant la
formule celui qui paie commande, la secrétaire générale du RDNP préconise
une attitude basée sur le sérieux, la compétence et la préservation de la
dignité nationale.
Cependant elle met en garde contre toute confrontation avec la communauté
internationale. Dans ce contexte Myrlande Manigat entend négocier le retrait
progressif des casques bleus de la Mission des Nations Unies pour la
Stabilisation en Haïti (Minustah).
Tout en rappelant que la présence de ces soldats étrangers est anormale, la
candidate précise qu'un retrait trop rapide peut déboucher sur un chaos.
Interrogé sur le fonctionnement du Centre National des équipements (CNE)
Myrlande Manigat a déploré l'instrumentalisation de cette entreprise
publique. Elle envisage de dissoudre le CNE qui fonctionne comme un état
dans l'état.
Considérant le CNE comme une duplication des TPTC, Mme Manigat croit qu'il
faut transférer les matériels au ministère des travaux publics.
Un audit du CNE et de plusieurs organismes de l'Etat devra être réalisé par
la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Adminstratif (CSCCA). Un
renforcement du CSCCA est un préalable à la clarification des finances
publiques insiste Mme Manigat.
LLM / radio Métropole Haïti
Mercredi, 2 juin 2010 04:59
Myrlande Manigat est contre un départ anticipé du chef de l'Etat
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=RDNP&sid=0&critere=0&id=17796&p=6
Très critique envers le président Préval, la secrétaire générale du
Rassemblement des Démocrates Nationaux Progressistes (RDNP), Myrlande
Manigat, n'est pas moins opposée à un départ anticipé du chef de l'Etat.
Même si elle considère le président Préval comme le responsable de la
confusion qui a permis la forte mobilisation de l'opposition, Myrlande
Manigat réaffirme son attachement aux prescrits de la constitution.
Elle souhaite donc que M. Préval boucle son mandat le 7 février 2011 tout en
admettant que des prescrits constitutionnels peuvent être appliqués en cas
de vacance présidentielle.
La secrétaire générale du RDNP émet des réserves sur la formation d'un
gouvernement de transition. Elle juge qu'il n'y a pas aujourd'hui une
alternative crédible. Il faut être raisonnable, martèle Mme Manigat qui veut
éviter que des troubles politiques se greffent sur les troubles sociaux.
Mme Manigat ne veut pas prendre l'option du renversement de Préval parce
qu'elle sait que les forces politiques jouent un rôle important dans
l'organisation de la vie politique en Haïti. En dépit des prescrits
constitutionnels l'ex sénatrice juge qu'il est imprudent de se lancer dans
cette voie si on ne maîtrise pas les forces politiques.
La secrétaire générale du RDNP critique le chef de l'Etat qui selon elle n'a
pas su mener à bien la phase d'urgence après le séisme. Les militants du
RDNP continueront à prendre part à la mobilisation des 5 formations de
l'opposition, non pour réclamer la démission de René Préval mais l'adoption
de dispositions permettant de garantir des élections honnêtes et crédibles.
LLM / Radio Métropole Haïti
Lundi, 17 mai 2010 13:34
Myrlande Manigat approuve le mouvement anti-Préval
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=RDNP&sid=0&critere=0&id=17729&p=6
La secrétaire générale du Rassemblement des Démocrates Nationaux
Progressistes, (RDNP), Myrlande Hyppolite Manigat dit supporter le mouvement
orchestré depuis quelques semaines, contre le pouvoir en place. Cependant,
la constitutionaliste ne demande pas le départ anticipé du Président
Préval.
Intervenant à la rubrique le point sur le 100, la secrétaire générale du
RDNP, estime que la mobilisation anti-Préval est justifiée compte tenu des
violations de la constitution perpétrées par le régime en place.
« Je ne réclame pas son départ, je dis que son départ serait une bonne chose
», précise madame Manigat de la Plateforme des patriotes haïtiens (PLAPH).
Tout en présentant son soutien au mouvement populaire, elle croit que le
départ du Chef de l'État, est inéluctable et que ce sera une bonne chose
pour le pays.
Selon, madame Manigat, cette mobilisation, qui prend de l'ampleur, doit être
prise au sérieux parce qu'elle permet à une frange de la population qui ne
s'implique pas habituellement dans la politique de s'exprimer concernant le
départ du président.
Depuis plusieurs semaines, les manifestations anti-gouvernementales se
multiplient au pays, notamment en province. Les manifestants réclament le
départ du Président de la République qui selon eux ne respecte pas la
constitution de 1987.
EJ/Radio Métropole
Jeudi, 19 juin 2008 11:24
Le RDNP critique l'action de certains acteurs politiques
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=RDNP&sid=0&critere=0&id=13837&p=9
La secrétaire générale du Rassemblement des Démocrates Nationaux
Progressistes (RDNP), Myrlande H. Manigat, indique que son parti n'a jamais
été invité à prendre part aux consultations visant la désignation d'un
nouveau premier ministre. " Nous n'avons pas été associés à ce qui se fait,
nous sommes tenus à l'écart et nous restons à l'écart", dit-elle faisant
remarquer qu'elle ne sollicite pas une invitation. " Nous ne sommes pas prêt
à participer maintenant ", déclare Mme Manigat.
Interrogée sur la position du RDNP face à la conjoncture, Mme Manigat assure
que les parlementaires ont, au cours de ces trois derniers mois, exercé
leurs prérogatives constitutionnelles. " La première interpellation d'un
premier ministre a eu lieu en 1967, il n'y a rien de nouveau", ajoute
t-elle.
Mme Manigat se déclare contre les exigences de l'article 11 de la
constitution mais en tant que légaliste, réclame le respect de la
constitution. Elle note également la rigidité de l'article 157 de la
constitution, et s'interroge sur des commentaires inappropriés de certains
députés. " Il y a beaucoup de non-dits, d'interférences et d'accusations",
insiste t-elle regrettant des marchandages.
En ce qui concerne l'influence des partis politiques dans le processus de
ratification du premier ministre, Mme Manigat fait remarquer que son parti
n'avait pas donné de consigne à ses 4 élus.
Elle soutient que groupe majoritaire ne doit pas être confondu avec le thème
majorité parlementaire qui doit être compris dans le sens de parti . " Il y
a des groupes circonstanciels tel la Concertation des Parlementaires
Progressistes (CPP), il s'agira de voir si après le processus de
ratification du premier ministre le groupe pourra se maintenir", ajoute
t-elle.
Réagissant aux rumeurs sur l'éventualité que le CPP se transforme en parti
politique, Mme Manigat assure que les paramètres seront différents. " On ne
pourra pas créer un parti au parlement mais à l'extérieur", rappelle la
secrétaire générale du RDNP.
Intervenant à la rubrique " Invité du jour" de radio Métropole, Mme Manigat
a indiqué qu'on est à une phase d'apprentissage de la vie démocratique. Elle
se prononce pour le choix d'une personnalité compétente pour occuper le
poste de premier ministre refusant de citer des noms de personnes présentant
un bon profil. " Il n'est pas intéressant de choisir des petits copains",
lance t-elle.
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